J.R.M ❍ Ce sont nos choix qui montrent ce que nous sommes vraiment

Beau/belle et peut-être encore jeune homme/femme qui travaille comme professeur de/métier depuis maintenant près de année d'étude en lettres ans. Il/elle est né(e) à lieu de naissance en ce beau jour qu'était le jj mois en lettres aaaa en tant que né(e) moldu(e), sang mêlé, sang pur ; à présent il/elle vit à ville. Lors de son passage à Poudlard/Beauxbâtons/Durmstrang, son niveau scolaire était bon, moyen, très mauvais, etc. Il/elle est plutôt qualité, qualité, qualité mais aussi défaut, défaut, défaut. Lorsque les dinosaures vivaient encore, il/elle s'est procurée une baguette faite en bois de nom de l'arbre, mesurant nombre en lettres centimètres et contenant nom de l'élément. Avec cette baguette, il lui est possible/impossible de créer un patronus - le sien prend la forme de/d'un(e) animal. La vision qu'il/elle a eu face au miroir du risèd : en bref ce que le personnage voit dans le miroir. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. En quelques mots, l'apparence de l'épouvantard, dans son cas.

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Des bruits de pas résonnèrent au bout du couloir. Une ombre se dessina peu à peu sur le pavé du château, laissant deviner une silhouette à l'allure imposante. Puis un homme à la mine sévère apparut. Á première vue, pour quelqu'un de totalement étranger, ne connaissant pas l'individu, qualifierait cet homme d'austère. Son visage était fermé, les traits tirés et les lèvres pincées. Même son costume était aussi rigide que lui. Il était tiré à quatre épingles et ce n'était plus un balai qui était logé dans son postérieur...

Un dossier sous le bras, Jack sortait de sa consultation avec le petit Patterson et se dirigeait d'un pas ferme jusqu'au bureau du directeur afin de lui faire part des nets progrès du garçon.
Celui-ci avait cessé de vouloir couper des mèches de cheveux de ses homologues féminin, du moins il essayait, s'était pas gagné. Bien sûr, Patterson était un cas récalcitrant mais, pas irrécupérable. Et Jack s'y atterrerait pour le guider sur le bon chemin.

Perdu dans ses pensées, il marchait tranquillement quand la première bombe s'éclata à ses pieds. Il épargna les oreilles innocente qui trainait dans le couloir des noms d'oiseaux qui lui vint à l'esprit et fixa d'un air ahurit ses belles chaussures qui, quelques secondes plus tôt, était encore immaculées, fraîchement cirées. Jack avait passé des heures à cirer ses pompes ! Voilà qu'elles étaient fichues, irrécupérable, avec cette horrible couleur rose bonbon. Il releva brusquement la tête et chercha le coupable des yeux. Il était barbant ? Et bien après une séance à lui avoir rabâcher à quel point jeter des bombes de peinture n'était pas quelque chose qui se faisait en société, le coupable connaîtrait enfin la véritable définition du mot barbant !
Trop préoccuper par le cas Patterson, à tenter de comprendre pourquoi ce gosse tenait à ce point à collectionner chaque mèche de chaque filles du château, il n'avait pas prêté attention au vacarme qui grondait au loin. Il avait tout d'abord pensé à Peeves, l'esprit frappeur du château dont il avait subit le bizutage à la rentré mais la scène qui se jouait au bout du couloir était bien pire.

Quelque chose siffla non loin de son oreille, il eut tout juste le temps de plonger sur le côté qu'un nouveau projectile s'écrasa à l'endroit même où il se trouvait quelques secondes plus tôt. Une odeur immonde se libéra dans toute la pièce et il fut obligé de couvrir son nez pour ne pas salir encore plus le château.
Jack se releva tant bien que mal, cramponnât le dossier de son patient et allait réprimander le premier gamin qui passait par là quand, surgit de nul part, une nouvelle bombe lui vola au dessus de la tête. Il prit la première chose qui lui tomba sous la main pour se protéger. Non, pas le gamin à ses côtés mais le dossier de Patterson.

« C'est du Hugo Boss ce que je porte ! Vous savez combien ça coûte ce genre de costume ? », s'exclama l'homme, outragé qu'on puisse s'en prendre à ses vêtements qui, soit dit en passant lui avait réellement coûté les yeux de la tête.

Le gamin qui affichait un air de poisson hors de l'eau, ne comprenant visiblement pas un mot de ce qu'il racontait, fini par le faire sortir de ses gonds.

« Retournez dans votre dortoir, lâcha t-il. Tout de suite ! », rajouta Jack plus durement en le voyant planter là, tel un piquet.

Le psychologue jeta par terre le dossier tâché de peinture et récupéra sa baguette dans la poche intérieur de sa veste. Ça allait chier des bulles ! Il fonça au cœur de l'action et se retrouva en pleine guerre entre les élèves de Poudlard et ceux de Dumstrang. Les coups pleuvaient, les insultes fusaient et merlin, l'homme était choqué par la grossièreté des gosses.
Les élèves, dans leur bataille, n'avaient même pas remarqué sa présence, d'ailleurs ils ne remarquaient pas non plus à quel point tout ceci allait trop loin, à quel point dans cette lutte à savoir qui avait la plus grosse, ils détérioraient l'enceinte du château. Il devait agir, et vite. Se préparant à lancer un sortilège, il formula son sort mais rien ne se passa. L'homme fixa le bout de bois entre ses longs doigts fins, une expression d'incompréhension sur le visage et fut frappé de plein fouet. Son corps fut propulser à travers le couloir, frappa le mur et retomba lourdement sur le sol froid. La minute d'après, un voile noir lui barra les yeux et il sombra.

ϟ Ton pseudo : Nani ϟ Ton âge : 25 ans et toutes mes dents ! ϟ Ton avis sur mumblemumps : Terrible ! J'aime le contexte et la deco ϟ Le mot de la fin : And here we go !

uc.