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what about bad news - qentrys

Blaise Zabini
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Blaise Zabini
Élève de Serpentard
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Pseudo : brioche Âge : 30 Parchemins : 244 Gallions : 689 Date d'inscription : 31/08/2017

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j'ai fait une fausse manip what about bad news - qentrys 3634967204 faut que je retrouve ce que j'avais écrit what about bad news - qentrys 3634967204
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Il marchait. Il avait le dos droit et le regard dur. Il fronçait légèrement les sourcils. Hésitant. Il manquait de réponses. Un peu plus tôt, Qentrys avait croisé Lucrezia en train d'acheter une substance édulcorée. Une drogue dont il ignorait les effets. Il s'était finalement résolu à la lui rendre. Non parce qu'il avait confiance en elle ou en ses intentions. Elle était un électron libre. N'avait aucunement l'envie que la vipère investigue sur ses affaires. Un choix difficile à méditer. La laissant vaquer à ses occupations primaires. L'aigle avait alors décidé de s'en remettre à Blaise. Il s'agissait de sa cousine. Histoire de famille. Il savait qu'il se poserait des questions. Comment l'avait-il appris ? Comment avait-il réagi ? Que s'était-il passé entre eux ? Néant. Quelques marques lors d'un duel. Il passa sa main sur les griffures qu'elle lui avait laissé. Foutue conne. Il leva les yeux au ciel. Il marchait. Devait trouver son frère. Lui avouer. Inconscient. Tout s'était compliqué depuis la bataille de Poudlard. Il lui devait sa loyauté. Il lui avait sauvé la vie. Lorsqu'il lui avait parlé de son baiser avec Lucrezia, Blaise l'avait arrêté. Tout s'était envenimé entre eux. Le temps renforçait leurs liens, alors qu'il succombait à la sirène. Un sifflement. Il s'arrêta instinctivement et se retourna aussitôt. Blaise.

« T'es devenu sourd, vieux frère ? » Un coup d'épaule. Il se détendit. Il n'arrivait pas à s'ôter Lucrezia de la tête. Une mélodie amère résonnait. Il avait ce regard où se mêlait conscience et inconscience. Blaise devait le voir. Le savoir. Ils se connaissaient depuis qu'ils étaient gosses. Deux mômes en perdition. Deux familles opposées. Ils étaient devenus frères. Une partie de l'autre. Un tout. Une fusion. Ils étaient pourtant différents. Opposés. Un aigle et un serpent. Tout aurait pourtant dû mener Qentrys à Serpentard. Une ambition cruelle. Un nom détestable. Une famille. Une amitié. Il était à Serdaigle. Ils avaient séparé l'âme et le corps. Mais les deux frères avaient trouvé un équilibre qui semblait leur correspondre. « Une bière au beurre ? » Il haussa les épaules. Fit quelques pas. S'arrêta. Le fixa.
« Putain. » Il resta silencieux pendant quelques secondes. Elles semblèrent devenir des minutes. « Faut qu'on cause, frère. » Confidence. Trahison. Il n'avait aucune loyauté ni aucune morale envers la petite Zabini. Il avait conscience des conséquences que cela aurait sur sa relation avec la jeune femme. Une dispute. Encore. Quelques reproches. Quelques piques. Une crise de colère. Un rapprochement intense. Il finissait par prendre le dessus sur elle. Vainqueur. « Lucrezia a acheté de la drogue. » Il regarda Blaise. Stoïque. Il n'y avait aucune appréhension dans sa voix. Il avait l'habitude de prendre un air complétement détaché dès qu'il parlait d'elle. Comme si elle ne l'intéressait plus. Comme si elle ne l'avait jamais intéressé. « J'crois qu'on est dans la merde. » Lui avoua-t-il sur un ton blasé. Blaise savait ce que ça impliquait. Le père Zabini ne devait pas être courant de ce qu'ils savaient. Ils allaient devoir jouer aux anti-héros avec une Zabini qui semblait en pleine crise d'adolescence. Il prit une profonde inspiration et finit par soupirer. « On s'la boit cette bière au beurre, frangin ? » Cynique. Parce qu'il savait qu'il venait de déclencher un raz-de-marée.

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il avait toujours été la tête pensante. Qentrys avait toujours su trouver les mots justes pour motiver Blaise. pour qu’il se bouge un peu plus, voit plus loin que ces ambitions égoïstes. il avait su prendre graduellement le dessus sur son je m’en-foutisme sévère pour qu’au moins une chose ait de la valeur aux yeux de la vipère : leur amitié. ce sourire inexplicable quand il le voyait. la mauvaise humeur qui souvent s’en allait. le plaisir réciproque de passer du temps avec un frère. un double. un vieil ami. jamais femme ne saurait prendre la place de son meilleur ami. il était tout - sans lui, Blaise n’était plus rien. c’est aussi pour ça qu’il s’adonnait à passer la majeure partie de son temps en sa compagnie. aucun instant n’était vain. vécu à cent à l’heure. aucune autre personne n’était autant digne de son intérêt. et les conneries qu’ils avaient du assumer. il avait bien toujours été le seul pour qui Blaise était prêt à assumer quoi que ce soit - toujours.

pour arriver à sa hauteur, il dût presque accélérer son pas habituel. lent. monocorde. fier. droit. son rythme cardiaque était monté, un peu. pas beaucoup, en vrai. si Qentrys devenait peu à peu plus mystérieux, Blaise ne le remarquait qu’en de rares occasions : il était moins souvent disponible. son comportement envers lui, envers leur amitié, n’avait néanmoins pas véritablement changé. c’était surtout pour cela que la vipère ne disait rien. préférant largement laisser de l’espace à son meilleur ami afin que celui-ci puisse, parfois, vaquer à ses occupations. après tout, ils n’avaient plus l’âge d’être toujours ensemble. viendrait un jour où il devrait apprendre à vivre l’un sans l’autre. mais ce jour serait un autre car en celui-ci, ils se dirigeaient tout deux en direction d’une énième bière au beurre. l’air sérieux de Qentrys gêna tout de même Blaise. ok. quelque chose ne tournait pas rond. le temps commençait à se faire long ; Blaise était impatient : - accouches putain ! quand le verdict tomba enfin, le Serpentard ne put s’empêcher de se figer net. – QUOI ? mais tu déconnes là ? un instant. un silence. des minutes. une éternité. – c’est qui ce connard qui lui en a vendu ? un instant encore, trop long pourtant. – oh Qen déconnes pas. je te jure qu’il va pas s’en tirer vivant. et le regard noir qui habitait ses yeux n’annonçait rien de bon et il était prêt, déjà, à tourner les talons pour aller casser la gueule à ce dealeur qui jouait avec l’innocence qu’il accordait à sa cousine. à tord, il est vrai. mais personne d’autre que lui n’avait le droit de déconner avec lucrezia. même pas qentrys ! et il oublia la bière au beurre. Qentrys ne se gêna pas de la lui remettre en tête. – j’ai plus vraiment soif là. et le sang qui roulait dans ses artères avec une violence terrible ne lui laissait de répit que ses rares instants d’inspiration. le goût salé de l’hémoglobine salée qu’il allait faire couler faisait déjà écho au sein de son œsophage. impulsivité meurtrière . l’heure n’était plus au calme exemplaire de Qentrys. la tâche touchait alors de celle de calmer la vipère échauffée, prête à déverser son venin dans les veines de quiconque se mettrait en travers de son chemin.
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Frères. Frères de cœur. Frères de sang. Ils étaient liés. Jumeaux. Ils étaient complémentaires. L'un était le feu dévastateur. Sanguin. Effronté. L'autre était l'eau paisible. Calme. Manipulateur. L'un promettait de brûler les corps vifs. L'autre promettait de les noyer. La fusion de deux esprits en un duo insaisissable. L'un était le rouage de l'autre. Ils avaient appris à vivre ensemble. En étant jamais seul. Toujours deux. La première déchirure avait eu lieu pendant leur répartition. Un aigle. Un serpent. L'un dominant les airs. L'autre dominant les terres. Une métaphore qui démontrait une fois de plus leur différence. Peu comprenaient comment ils s'entendaient. Ils étaient les seuls à savoir. Qentrys y avait réfléchi. Il n'avait jamais trouvé de pistes de réponse. Il était né avec un jumeau sans que ça ne soit réellement le cas. Accueilli aujourd'hui chez celle qu'il considérait comme sa mère. Une seconde mère. Une mère adoptive. Douce mais cinglante. Impétueuse. Une femme au gant de fer pour une main de velours. La mère Zabini les avait longuement écouté et s'était interposée lorsque la justice magique avait décidé de l'envoyer lui aussi à Azkaban. Loyal envers les Zabini. Ceux qu'il considérait véritablement comme les siens. Ses géniteurs avaient laissé quelques déchirures en lui. Un gamin blessé par la mort de son père. Il ne lui avait jamais accordé une quelconque marque d'affection ou un soupçon d'intérêt. Mais il l'avait élevé et fait de lui ce qu'il était à présent. Une mère absente. Enfermée à Azkaban. L'aigle regarda son ami.

« Accouches putain ! » Il lui annonça que Lucrezia avait acheté de la drogue. Une substance blanche qu'il avait déjà aperçu auparavant. Elle l'avait regardé et lui avait menti. Il ne savait pas ce qu'elle désirait en faire. Une partie de son mensonge était peut-être réelle. Mais il doutait qu'elle lui avait avoué ses raisons. Qentrys n'avait d'autres choix que de prévenir Blaise. Il s'était promis de protéger les Zabini depuis qu'il lui avait sauvé la vie. Lucrezia. Douce inconsciente du danger. Blaise se figea. Il ne cilla pas. « QUOI ? Mais tu déconnes là ? » Impulsif. Il ne perdit pas son sérieux sous le coup de colère de son frère. Etait-il réellement celui qui plaisantait ? Il n'avait aucun droit sur elle. Il n'aurait pu l'empêcher de faire quoi que ce soit. Une menace. Lucrezia l'avait balayée d'un revers de la main. Elle ignorait la mesure des conséquences. « C'est qui ce connard qui lui en a vendu ? » Il haussa les épaules alors qu'il savait parfaitement de qui il s'agissait. Il l'avait vu. « Oh Qen déconnes pas. Je te jure qu’il va pas s’en tirer vivant. » Le cobra était prêt à ramper jusqu'à sa victime pour l'étouffer. Les yeux noirs. Sanglants. Emplis de haine. Il passa son bras autour des épaules de son ami. Le retint. L'obligeant à se soustraire d'une crise de colère. Les Zabini avait le sang chaud. Combien de fois n'avait-il pas assisté à une crise de Lucrezia ? Combien de fois n'avait-il pas vu la colère de Blaise faire des dégâts matériels considérables ? Il poussa légèrement Blaise. Amicalement. « Redescends Zabini. » Lui lâcha-t-il pour le calmer. « Je m'occupe de lui. Occupe-toi de Lucrezia. » Il lui lança un regard insistant. Celui qui disait de ne pas s'inquiéter parce qu'il s'en occupait. Il savait depuis le temps qu'il était le plus agressif. Mais Qentrys était celui qui se vengeait le mieux. La torture était devenue une pratique ordinaire. Il avait notamment pu tester des poisons de Kamen. Le maître qui constituait les poisons les plus douloureux qui soient. « Il paraît qu'elle en a acheté pour l'une de ses amies qui n'osait le faire elle-même. » Ajouta-t-il dubitatif. « Tu connais les potes de Lucrezia... T'vas me dire le quel de ces débiles n'est pas capable de s'en fournir, sérieux ? » Blasé. Il soupira. Et cette personne devait en valoir la peine, car ils savaient qu'elle ne l'aurait pas fait pour n'importe qui.

Qentrys s'avança vers l'une des échoppes. « J'ai plus vraiment soif là. » Il se tourna vers Blaise en ricanant. La nouvelle n'était pas réellement réjouissante. Certes. Mais ça ne valait pas le coup de se démonter. « Putain, fais pas l'idiot. Viens te poser. » Lui lança-t-il. La famille était un concept confus pour Qentrys. Il apprenait sur le tas les sentiments que ça lui procurait. L'inquiétude. La loyauté. Néréo était le seul de la fratrie pour lequel il ne s'inquiétait pas. Il n'avait pas une once de sympathie pour lui car trop souvent fermé. Mis de côté dans leurs histoires. Néanmoins, il veillait sur lui. C'était d'autant plus facile puisqu'ils appartenaient à la même maison. Les deux têtes brûlées de Serpentard demandaient davantage d'attention. Impulsifs. Colériques. Sanguins. Et irrévocablement idiots lorsqu'ils l'avaient décidé. Il ne se lassait pourtant pas d'eux. « Elle fait ce qu'elle veut après tout. Essaye juste de la contenir. » Il lui fit un demi-sourire alors qu'il passa la porte d'un bar.

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c’était un tableau étrange. rocambolesque. plus qu’évident, également - pourtant. deux âmes qui se ressemblent, deux corps qui se rassemblent à la moindre contrariété, la première ambiguïté. néanmoins, cette amitié en ce jour ne savait suffire. l’insertion de l’unique Zabini de sa génération dans l’équation suffisait à rendre la vipère vindicative. sournoise. terrifiante. meurtrière. s’il avait toujours tout partagé avec son double, il demeurait difficile pour lui que sa cousine se joigne à leurs chamailleries. enfant déjà, il aurait voulu l’en exclure. une possessivité maladive de l’un, sûrement aussi de l’autre. ils étaient les deux essentiels de son équilibre fragile. et quelqu’un en ce jour avait accepté d’assister sa cousine dans ses conneries ; au contraire de ce frère qui venait loyalement rapporter ses observations. inflexible devant les codes de cette amitié destructrice.
malgré cette dévotion totale, la tension était trop forte. plus forte que ce qu’était capable de contenir Blaise Zabini. la vipère jouait de la queue, s’entortillait dans ce corps devenu trop étroit pour elle. la rage était devenue maitresse de son âme. prête à détruire les rouages de leur vie paisible. ses mains nues se languissaient d’étrangler ce dealeur, ce traître effroyable entrainant sa cadette dans les enfers des substances illicites. et pourtant ils étaient nombreux ! les bruits de couloirs. les acteurs ainsi que les témoins de la perdition de Lucrezia mettaient en gage leur vie ; le courroux de Blaise était terrible. et ô combien il devenait sévère lorsqu’il s’alliait à celui de Qentrys ! étrangement, les tentatives de l’aigle pour calmer la vipère ne semblaient fonctionner. et l’adresse qu’il ajoutait à celles-ci demeurait vaine devant le manque de sang froid du métisse. le plus brutal de l’histoire était la manière dont Lucrezia lui glissait entre les doigts ces derniers temps, depuis l’annonce des fiançailles de Néréo. Blaise était inquiet.
le sérieux de Qentrys continuait de contraster avec sa rage. l’eau dormante se mêlait au feu ardent. un mélange empoisonné. exquis. dangereux. et il commençait à s’impatienter – à ruminer. Blaise ne comprenait pas le flegme de son frère : il aurait du s’activer, lui aussi – loin d’être un inconnu pour Lucrezia : ensemble, inconsciemment, ils s’étaient promis de la protéger. et la situation était terrible ! horrible ! une vraie situation de crise dans le vocabulaire Blaisesque. et il voulait un nom, Blaise ! il avait besoin d’un défouloir. d’un nom. sur lequel libérer sa colère. un nom susceptible de devenir la victime des chiens terribles de sa vengeance et de leurs plus grands appétits. il haussa les yeux. puis les épaules. bordel Qentrys crache le morceau. mais Qentrys ne disait mot – tout du moins faisait durer le suspens à sa convenance.
un geste – un seul. un bras qui se pose sur ses épaules et son ami qui le somme de redescendre. un regard noir qui menace. une mise à mort à n’importe qui d’autre aurait eu ce geste d’opposition à son excellence. mais pas de Qentrys ! mais ce geste ne l’apaisait pas. la vipère rampa un peu plus loin ; elle s’éloigna. un coup de pied vindicatif dans ce caillou qui jonchait le sol. - putain. elle est où Lucrezia ? les poings qui se serrent et Blaise qui se retourne, qui devant le calme glacial de Qentrys ne peut que redescendre sur terre. - ah bon ! tu t’en occupes ? et depuis quand on fait les choses seul putain? les yeux noirs de rage de Blaise fixaient ce frère jusqu’à peu inséparable. - je sais pas ce qui cloche chez vous ces temps. tu sais très bien que j’aurai son nom Goyle. question de temps. chez vous. des mots qui sont lourds. qui pèsent. mais certains regards ne trompaient pas et ceux trop peu discrets de Lucrezia quand ils se posaient sur ce frère de fortune ne plaisaient pas du tout à la vipère. et enfin cela suffit à le faire parler. enfin ! et le fait qu’il ait récupéré sa langue calma transitoirement le Zabini. à sa réponse ; il leva les yeux aux ciels. lequel des amis de Lucrezia ? Tous. Lucrezia était de loin la plus téméraire de ses copines aux mœurs légères (que son cousin n’appréciait pas, soit dit en passant).
c’est ainsi que finalement, et machinalement, il le suivit dans la première échoppe qu’ils rencontrèrent. ils la connaissaient bien ; elle avait vu naître leurs plus grandes nuits d’ivresse. - essaie juste de la contenir. lol. dernier mot qu’il avait singé avec un geste machinal des index et majeurs de ses deux mains, des guillemets ironiques. - j’suis pas un putain de baby-sitter. elle commence à me les gonfler sévère.  avec toutes les conneries qu’elle fait ces derniers temps, manquerait plus qu’elle écarte les jambes pour tout Poudlard et je serais un cousin comblé ! une franchise brutalement fausse. mais Blaise se devait de jouer au con : après tout ne l’avait-il pas toujours été ? et il devait garder la face devant Qentrys. si tout ça ne l’inquiétait pas plus que ça ; il trouverait bien un manière de détourner sa garde pour assurer sa vengeance : un jour !
- mets en deux.   un clin d’œil assuré à la tenancière qui servait une bière-au-beure à un sorcier du coin. tout en poussant de sa jambe un tabouret en direction de Qentrys, Blaise s’assit sur l’autre ; il se mit à l’aise. - et toi sinon ? Lucre m’a dit qu’on te voyait souvent en compagnie de Persé, ces derniers temps. Blaise donna un léger coup avec sa jambe dans celle de son ami. - te gène pas, hein !   un sourire carnassier. Goyle était au courant de toutes les coucheries de son ami – la seule qui ne soupçonnait pas étant celle qui risquait de mettre un terme à leur amitié, tout du moins de la mettre en péril. et la vipère était partageuse – du moins pour les femmes. même si son affection pour Perséphone commençait à légèrement le déranger. il n’aimait pas remettre les couverts, ni même s’attacher…mais la Rosier ! c’était un sacré morceau ! et son souffle sucré le long de ses tempes le faisait encore frémir de plaisir. - sinon paraît que t’as tout défoncé aux derniers examens. alors, à ta santé. sans laisser passer une seule seconde, il saisit les chopes qu’apportait la tenancière, en tendit une à son ami et porta la sienne vers le plafond.  -  à ce que ta réussite soit toujours un peu la mienne, aussi, haha. et si Blaise avait toujours été imbu de sa petite personne ; avec Qentrys, il avait appris l’humilité ; il ne pouvait vivre sans lui. Pourtant viendrait un jour où il y serait contraint.
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