e soir les Serpentard faisaient la fêtes... Dimka ne savait pas vraiment à quoi s'attendre, il n'était pas certain qu'Andreï le sache lui-même. Mais les slaves savaient faire la fête et ils n'hésiteraient pas à ramener ce qu'il fallait pour être certains de s'amuser. Il ne s'était pas changé, il avait seulement enlevé sa cravate et avait défait quelques boutons de sa chemise et c'était parfait. Son cousin c'était occupé de le faire entrer. Qui a dit que les Serdaigles n'entrerait pas dans cette soirée ? Ils se retrouvent au milieu des verts et argents et pourtant il se sentait comme un poisson dans l'eau. Il savait très bien où il aurait terminé s'il n'avait pas été chez les aiglons, il était juste plus réfléchit que d'autres, aimait réellement ses études, c'était ce qui finalement avait fait la différence avec d'autres. Enfin de ce qu'il avait compris... Tout était tellement différent ici, la seule chose qui vraiment valait le coup, était que les deux cousins Dimitrov pouvaient alors agrandir leur tableau de chasse, il y avait tellement de divine créatures en ces murs et ils s'en donnaient à cœur joie, une chose était certaine, ils n'avaient pas perdu de temps ! La musique battait son plein. Dimka avait fini par sortir les bouteilles qu'il avait ramené tandis qu’ils s'installaient lui et Andreï en bonne compagnie, mais rien qui ne le distrayait réellement... Les verres s'enfilaient les uns après les autres tandis que du regard, il partait à la chasse, ce soir, il ne finirait pas la soirée seule, il le savait déjà... Il jetait un regard complice à son cousin.
"Celle-ci ?" Demandait-il alors dans sa langue maternelle en désignant une petite blonde pas loin, aguicheuse, petite, très jolie, mais cela ne finissait pas de lui plaire finalement... Jusqu'à ce qu'une voix qu'il connaissait déjà se fasse entendre. Dimka tournait la tête en découvrant Lucrezia. D'un regard il la détaillait de haut en bas. Il avait déjà goûté la jeune femme et elle ne l'avait pas déçu, loin de la... Cependant Dimka avait cette fâcheuse tendance à ne jamais remettre le couvert deux fois avec la même personne... Mais, peut-être bien qu'aujourd'hui ferait exception ? "J'ai mes petits secrets." Répondait-il complètement charmeur accompagnant son sourire et son accent d'un léger clin d'œil. Tandis qu'elle s'assoit sur l'accoudoir, c'est naturellement que Dimka passait son bras autour d'elle, ses doigts frôlant sa peau bronzée de sa hanche, laissant deviner son humeur à la jeune femme. Il sourit en l'entendant, en regardant ce qu'elle avait apporté, avant qu'elle ne porte quoique ce soit à ses lèvres, Dimka s'emparait de son verre. " On peut dire ce qu'on veut. Rien de tel qu'un peu de vodka de Russie." Lâchait-il, il lui servait un autre verre, plutôt que ce je ne sait quoi qu'elle leur avait apporté, elle allait lui dire merci. Dimka tournait ensuite le regard vers son cousin, il n'avait pas besoin de parler, Andreï comprendrait déjà l'idée qu'il avait en tête, la question était à savoir s'il serait partant. Vue la manière d'agir de l'aiglons, son cousin pouvait facilement deviner qu'il était déjà en terrain conquis et que donc s'il le lui proposait c'était que la jeune femme en valait vraiment le coup... S'approchant un peu plus de Lucrezia, il venait lui murmurer à l'oreille.
"Et si je te montrais comment on danse par chez nous ?" C'était une question, mais en réalité il se levait déjà, l'entrainant sur la piste de danse, un regard entendu vers Andreï, il les rejoignait dès qu'il le souhaitait... La petite serpentard n'aurait alors plus aucune chance de leur résister...
(c) Emi.
Andreï Dimitrov
Consumed by the shadows
Maison/Métier : Serpentard, 9ème année en Politique Magique Célébrité : Stephen James Pseudo : Loupiotre Âge : 36 Parchemins : 768 Gallions : 125 Date d'inscription : 17/11/2016
a musique s’étire déjà dans les cachots tandis que tu glisses à travers quelques danseurs afin d’atteindre l’entrée de la salle commune. Ton regard observe, scrute. Ces petits anglais qui veulent montrer qu’ils savent faire la fête. Il parait que les Serpentard sont les plus malsains, les plus pervers. Peut-être que c’est pour cette raison qu’une majorité de Durmstrang se retrouve dans cette maison. Il faut avoir que vous êtes nombreux à vous y retrouver. C’est pas plus mal. Vous restez entre vous. Il n’y a bien que Dimka pour avoir été réparti chez les Aiglons. La maison des érudits. Ceci dit, c’est loin de t’étonner. De vous deux, c’est le plus posé, celui qui réfléchit avant d’avoir. Il pourrait être pire que toi qui agit impulsivement sans penser aux conséquences. Lorsque Dimka agit, il a déjà tout calculé. Tu passes l’entrée et attends à peine quelques minutes pour voir sa silhouette se dessiner. Et il n’est pas venu les mains vides. Parce que leur whisky, c’est pas mauvais, mais merde, la vodka bien frappée c’est quand même meilleur. Vous trouvez rapidement une place dans la pièce avec deux fauteuils libres. Vous avez beau être cousin, vos traits se ressemblent peu. Pourtant dans ta tête, il est plus qu’un frère. Plus, car tu l’as choisi. Vous êtes presque vêtu de la même façon. Seules vos cravates d’uniforme ont disparu. Dimka sort alors ses bouteilles et les sers. Vous en enchainez plusieurs comme le veut la tradition Russe. La vodka se boit dignement et cul sec. Dimka te désigne alors une blonde qui ondule sous vos yeux. Presque vulgaire. Une vraie pétasse. Il n’y aurait plus qu’à écarter ses cuisses pour s’y retrouver au chaud. Un rictus étire tes lippes. « Une salope, aucun challenge… »
Des courbes sensuelles s’approchent alors de vous et comme ton cousin, tes iris la scrute sans gène. Entre elle et toi, c’est un jeu du chat et de la souris. Et c’est souris, cette petite vipère ondule rapidement. Juste pour le plaisir de te frustrer. Elle s’étonne de voir Dimka et à ses gestes, ses paroles, tu comprends qu’elle ne l’a pas fait courir lui. Un éclat de rire rauque s’échappe de tes lippes alors qu’il lui impose votre vodka. Tu ris car dans le fond, tu sais que s’il l’embrasse il veut le goût de votre alcool sur sa langue plutôt que le whisky. Et il a raison. Vous échangez un regard rapide, à peine marqué. Pourtant tu sais ce qu’il a en tête. Tu t’enfonces dans ton fauteuil alors qu’il invite la sulfureuse Lucrezia à danser. Tes yeux les observent un peu plus loin. Les hanches de ton cousin se collent aux siennes. Il impose ton rythme à la jeune femme. Déjà ses mains se font possessives. Tu préfères attendre quelques minutes avant de te redresser. Tu attrapes la bouteille de vodka que vous avez glacée à l’aide d’un sortilège et remplit trois shots. Deux dans une main, le dernier dans l’autre. Tu te faufiles jusqu’à eux, te glisses dans le dos de la créature exotique qui s’amuse à te faire bander sans jamais terminer sa besogne. Tu te colles à elle sans gêne, ton souffle s’impose à sa nuque. Ton assassine ne tenant qu’un verre, le fait glisser du carré de sa mâchoire tout le long de son cou. La fraicheur de l’alcool franchissant le verre pour s’imposer à sa peau hâlée. Tu fais lentement descendre le récipient devant elle, t’arrêtant la naissance de sa poitrine. « Ca se boit cul sec chez nous. » Tu as murmuré, juste assez pour que Dimka puisse lui aussi t’entendre. Tu lui donnes d’ailleurs l’autre verre que tu as apporté pour chacun puisse porter la liqueur à ses lèvres. « Pour l’accueil des anglais… et des anglaises. »
ucrezia allait bientôt lui remercier de lui donner de leur vodka à eux plutôt que ce whisky quasiment imbuvable... Non Dimka n'en était pas amateur loin de là. Et à la remarque de la jeune femme il ne faisait que hausser les épaules, ce n'était pas comme s'il en avait quelque chose à faire n'est-ce pas ? De toute façon cela importait peu au final il l'entrainait déjà sur la piste de danse. Dimka avait déjà pu être témoin de ce jeu qui se déroulait entre la jolie Lucrezia et son cousin. Pourquoi lui avait-elle cédé à lui et non à Andreï ? Il n'en avait pas la moindre idée. Mais ce soir si tout se passait comme prévu, elle en aurait deux, pour le prix d'un ! En l'entendant il haussait un sourcil, il n'avait aucune idée de ce dont elle parlait, mais il était bien décidé à lui montrer de quel genre de danse il songeait et très rapidement. Il ne rétorque rien, il agit tout simplement. Ses mains viennent s'emparer des hanches de la jeune femme naturellement et son corps vient coller le sien tandis qu'ils bougent alors en rythme tandis qu'il ne cache rien de ses attentions à la verte et argent ces attentions étaient plus que bien clair, elle n'avait pas besoin d'un dessin pour s'en rendre compte. Lorsqu'elle vint lui chuchoter à l'oreille, il la fait alors tourner sur elle-même avant de la ramener contre son corps d'un coup sec... Son souffle vient alors frôler la peau de la jeune fille sur son cou tandis qu'il remonte jusqu'à son oreille...
"Détrompe-toi, je ne m'attache pas... Il se trouve juste que quelques fois il m'arrive de faire des entorses à mon propre règlement..." Chuchotait-il alors tout contre elle. Inutile qu'elle se fasse des films, il n'y aurait jamais rien de plus. Était-elle assez intelligente pour le comprendre ? Il l'espérait, il n'avait jamais donné de faux espoirs, les filles qui s'accrochaient ? Très peux pour lui... Il n'avait vraiment pas besoin de ça... Qu'elle soit jolie, ouvre les cuisses et sache le satisfaire c'était tout ce qu'il demandait, il n'avait même pas forcément besoin qu'elle sache se taire, il n'allait pas dans ces conditions extrêmes contrairement parfois à son cousin, il était un peu plus tolérant même s'ils avaient eu la même éducation... Continuant de danser avec la jeune femme, son cousin ne mettait pas longtemps à les rejoindre, approchant tel un prédateur, à deux leur proie n'avait quasiment aucune chance... S'en rendait-elle compte ? Ou s'en rendrait-elle compte trop tard ? Une fois leur plan complètement refermé sur elle ? Dimka prend également son verre et lève le sien avant de boire cul sec tous comme ses deux acolytes de la soirée. Dimka laissait la jeune femme jouer avec Andreï tout en sachant que ce dernier lui ferait sans doute payé cette attente tôt ou tard... Un petit sourire entendu avec Andreï, elle pouvait jouer autant qu'elle voulait, c'était elle qui allait perdre... Il suit son petit manège des yeux, il sait que cela ne va pas plaire à son cousin, mais entre eux, il n'y a aucune dualité, jamais il n'a été une question d'égo loin de là et Dimka ne se sentirait jamais supérieur à celui qu'il considérait comme un frère loin de là. Ses mains viennent de nouveau s'emparer de la jeune femme, il la fait de nouveau tourner et l'arrête une fois face à Andreï... Il vient alors coller son torse contre le dos de la jeune femme... Dépose un baiser sur la base de sa nuque et remonte une nouvelle fois vers son oreille...
"Oserais-tu réellement nous dire non Lucrezia ?" Demandait-il d'un air faussement vexé... Ses mains remontaient alors sur son corps lui rappelant alors l'étreinte sauvage et passionnée qu'ils avaient pu échanger quelques semaines plus tôt... "Je me sens plutôt d'humeur à partager ce soir..." Laissait-il alors entendre à la petite brune, lui laissant alors le temps pour comprendre ce qu'il était en train de souligner... "Nous ferais-tu plaisir ?" Demandait-il alors à son oreille... Sa voix séductrice, ses mains tentatrices sur son corps lui promettait alors déjà monts et merveilles... Le regard de Dimka rencontrait alors celui d'Andreï, il allait sûrement devoir l'aider un peu pour la faire tomber définitivement dans leur filet...
(c) Emi.
Andreï Dimitrov
Consumed by the shadows
Maison/Métier : Serpentard, 9ème année en Politique Magique Célébrité : Stephen James Pseudo : Loupiotre Âge : 36 Parchemins : 768 Gallions : 125 Date d'inscription : 17/11/2016
u imposes ta présence dans le dos dans la Zabini sans aucune gêne. Ton corps se colle au sien, ondule au rythme de la musique suivant les mêmes mouvements que ton cousin lui dicte. Votre dessein se resserre autour de la Tentatrice qui est devenue en cette soirée votre proie. Prise en étau entre vos deux carcasses. Sous l’emprise de votre perversité. Lubricité malsaine que de jouer avec la même fille. Partager aux creux des draps cette beauté métissée. Un jeu que vous pratiquez souvent. Sa main se pose sur ton poignet et tu la laisses te guider pour lui faire le verre d’une seule traitre. Tout comme tu enchaines le tien avec un regard complice pour Dimka. Quand elle se tourne pour te faire face, tes mains se posent sur ses hanches. Son murmure accompagné de sa morsure t’exaspèrent autant qu’ils t’excitent. Ce jeu qui dure entre vous parvient à t’agacer. Pourtant tu arrives à prendre sur toi parce que dans le fond ça t’amuse. Car elle en a autant envie que toi. Pour l’instant, tu joues le chat qui court après sa souris. Tu sais qu’elle finira par se jeter dans ta gueule. Il faudra juste faire preuve de patience. Et peut-être que ce soir, cela finira par arriver.
Avant qu’elle ne se retourne, tu agrippes sa chevelure, la forçant à te regarder alors qu’elle a déjà le dos à moitié tourné. Tu es brusque, mais la douceur n’est pas ce qui fait ta réputation. Tes lèvres frôlent le carré de sa mâchoire. « T’en crève d’envie Zabini. » Tu la relâches presque aussi sèchement que tu ne l’as attrapé alors qu’elle s’accroche à ton cousin, tes mains glissant sur sa nuque, la massant doucement, glissant sur ses épaules avant de continuer leurs routes le long de sa colonne vertébrale. S’en allant en tout liberté faire connaissance avec la chute de ses reins. Tes assassines connaissent déjà ses courbes. Il faut dire que pour vous allumer, vous ne faites pas semblant. Tu repars souvent le membre dur et les couilles pleines… Tu la libères juste lorsque Dimka décide de la faire tourner sous prétexte d’un pas de danse, la figeant de nouveau à toi. Ton regard d’acier glisse sur ses courbes tandis que ton frère de coeur dépose un baiser sur son épaule.
Ton bassin se colle alors à celui de Lucrezia. Tes mains, elles, glissent là où celles de Dimka ne sont pas. Et s’il l’embrasse d’un côté de sa nuque, tes lippes s’attaquent à l’autre. Tu entends les paroles de ton cousin, esquisse un sourire à mesure qu’il parle. Tes lippes glissent le long de son cou, remonte à son oreille. « Tu as peur ? » A ton tour, tu lui mords la chair tendre de son oreille. Autour de vous, la température monte doucement. Vous attirez lentement les regards. La tension qui vous embrase est certainement palpable. Et personnellement, baiser au milieu de la pièce ne te dérangerait même pas. Tu regardes par dessus l’épaule de l’Anglaise ton cousin. « Elle a pas assez de cran. » Tu attrapes le visage de la Vipère, coinçant son menton entre ton index et ton pouce, faisant mine de l’étudier. Ton visage se penche vers le sien, tes lèvres encore gelées de la vodka vont frôler les siennes. Un susurre. « Serais-tu qu’une allumeuse dans le fond ? » Sans réellement t’éloigner, tu tends juste assez le bras pour attraper la bouteille de vodka avant de la porter à tes lèvres sans la quitter du regard. D’un mouvement, tu retrousses tes manches jusqu’aux coudes dévoilant une partie de tes tatouages.
imka se servait de la tentation, Andreï jouait la carte du défis, les deux combinés la pauvre n'avait réellement aucune chance de leur échapper. Dimka entend son cousin et ses lippes s'étirent dans un sourire non dissimulé que seul son cousin puisse voir puisque la Zabini était dos à lui. Il le laisse jouer tandis que Dimka ne cesse pas de bouger en rythme de la musique frottant son corps contre celui de la jeune fille, ses mains se faisant quelques fois baladeuses... Lorsque Lucrezia lui donne la bouteille de vodka il ne se fait pas prier et boit à son tour. Il suit les déplacements du corps de la jeune femme avec le sien tandis qu'elle s'approche d'Andreï refermant de plus en plus le cercle des Dimitrov autour d'elle. En entendant sa phrase il sourit de nouveau, pour le coup elle allait avoir les deux pour le prix d'un même si elle avait déjà cédé à ses avances à lui ! Une chose était sûre, ils allaient s'amuser et passer une bonne soirée ce soir. Lorsqu’elle les attrape par la main, Dimka suit sans oublier la bouteille, il lui laisse croire qu'elle à le pouvoir que c'est elle qui les mènes... Elle comprendrait bien vite que cela allait être tout le contraire et qu'elle ne deviendrait qu'un instrument sous leurs doigts experts... Elle prend le chemin des cachots, l'endroit parfait pour une séance de débauche comme ils avaient prévu ! Le slave ne quitte plus des yeux la belle Lucrezia, il est déjà trop tard pour elle de faire marche arrière en les amenant ici, elle leur donnait le feu vert. La pièce comptait déjà un vieux matelas qui ne valait pas grand-chose, mais qui serait parfait pour ce qu'ils avaient à faire et également une vieille table en bois. Dimka se demandait si elle supporterait réellement le choc. De sa baguette il scellait le cachot. Pas pour empêcher quelqu'un de partir, mais plutôt pour dissuader les gens d'entrer... Son regard se posait ensuite sur Lucrezia qui jouait déjà les allumant bien plus que nécessaire... En réalité, la virilité de Dimka était déjà réveillée depuis leur danse... Un regard entendu avec son cousin, ils approchaient tel des prédateurs prêts à dévorer leur proie...
"Ça dépend... Le spectacle peut-être sympa à regarder aussi..." Disait-il en la désignant, il parlait évidemment du fait qu'elle semblait vouloir commencer à se déshabiller toute seule... A présent enfermés dans ce cachot, Dimka arrivait en terrain conquis, il faisait le tour de Lucrezia, se collant à elle en laissant de l'espace à son cousin, lui faisant sentir au passage son érection qui ne laissait plus de place à l'imagination. Ses bras faisaient le tour d'elle, jusqu'à agripper les boutons de sa combinaison, peut-être aurait-elle dû les enlever finalement ? Dimka n'était pas connu pour être tendre envers les vêtements et dans la seconde qui suivait, il faisait exploser tous les boutons dans la pièce en tirant sur le tissu... "Humm mieux, mais pas encore parfait..." Chuchotait-il en la regardant. "T'en penses quoi ?" Demandait-il alors à son cousin, invitant de cette façon le jeune homme à l'aider à la déshabiller totalement tandis que la bouche du slave s'invitait partout, sur chaque parcelle de sa peau où il pouvait avoir accès. La bouteille toujours à la main, il en buvait une gorgée, en faisait boire une gorgée à Andreï et aussi à Lucrezia avant de déverser le reste sur sa poitrine offerte qui tenait encore dans son écrin... "A la vôtre !" s'exclamait-il alors tandis que sa bouche venait lécher une partie du liquide qui coulait sur la peau de la Zabini...
(c) Emi.
Andreï Dimitrov
Consumed by the shadows
Maison/Métier : Serpentard, 9ème année en Politique Magique Célébrité : Stephen James Pseudo : Loupiotre Âge : 36 Parchemins : 768 Gallions : 125 Date d'inscription : 17/11/2016
u provoques la Serpentard car si vous avez bien un point commun, c’est ce dernier : le goût du défi. La fierté mal placée. Quitte à se lancer sur des chemins hasardeux et dangereux. Quitte à faire des choses que tu n’aurais jamais réalisé. Juste pour prouver que tu avais le dernier mot. Que tu étais plus fort que le défi qu’on te lançait. Lucrezia était comme toi. Tes mots, tes provocations, tu ne les laissais pas tomber au hasard. Et la belle métissée aux courbes sensuelles rentre dans ton jeu. Tes yeux se posent sur ses lèvres au travers desquelles glisse la vodka. La bouteille file entre les mains de ton cousin alors que la Vipère ondule vers toi. Sa réaction a tes provocations ne se fait pas attendre. Sa main se pose sur ton cou et instinctivement la tienne se glisse au creux de ses reins. Lorsqu’elle te mords la lèvre, tu laisses un léger grognement s’échapper. Puis vos langues se rencontrent. Elles se cherchent avec une tension électrique. Même dans ce baiser, le défi entre vous est toujours à fleur de peau. « J’allume seulement quand je suis sûre d’avoir la possibilité d’avoir la personne... » Un rire rauque s’écrase sur les lippes de Lucrezia. « Comme si tu n’en avais pas envie… » La seule chose qui t’a poussé dans ce jeu avec la Zabini, c’est le fait que tu restais persuadé que vous finiriez au pieu ensemble. Puis tu aimais ce jeu avec elle. Parfois plus intéressant qu’une simple trainée qui écartait les cuisses juste parce que tu lui demandais.
La Zabini vous entraine alors en dehors de la salle commune au travers des dédales des cachots et vous enferme dans l’un d’entre d’eux. Tu observes un instant sa silhouette qui se dessine dans sa combinaison. Ses doigts fins jouent avec ses boutons. « Vous comptez rester plantés là ? » Tu croises les bras avec un sourire en coin alors que Dimka s’avance vers elle, la bouteille toujours en main. Tu regardes ton cousin se glisser dans le dos de la jeune femme. Ses bras l’enlacer pour mieux faire exploser les boutons de sa combinaison. Lorsque tu t’approchais enfin d’une démarche nonchalante, tu attrapais la bouteille que ton cousin te tendait en prenant plusieurs gorgées avant qu’il n’en renverse sur les courbes de Lucrezia. Tes lippes glissent alors le long du liquide, suivant son chemin sur sa peau ambrée, sur le rebondit de sa poitrine, ses genoux se pliant à mesure qu’il descend le long de son ventre. Tes assassines se posent un instant sur ses hanches observant la dentelle délicate qui recouvre sa poitrine. Tes doigts tirent lentement sur le reste de sa combinaison, libérant ses jambes une à une, prenant soin de lui laisser ses talons.