(M) Dylan O'Brien - Madness is my old friend || libre

ϟ Le pseudo : Le prénom est négociable mais pas le nom
ϟ L'avatar : J'aime Dylan et l'alchimie qu'il partage avec Holland. Et puis on a une magnifique réserve de gif. Et puis, il vas bien avec le reste de la famille

ϟ Le niveau : Quelqu'un qui se prend pas la tête et qui fait un minimum attention. Je fais des fautes moi aussi et je ne suis pas parfaite. Mais, cela ne m'empêche pas de m'amuser. Alors, venez comme vous êtes, jsuis comme le mcdo.

ϟ L'activité : Un peu tout les jours, même si ce n'est pas pour rp. Je veux quelqu'un qui s'investit sur le forum, qui passe un peu de temps sur la cb, ... Ce genre de chose.

ϟ Mais encore : Merci d'être venue lire ma petite fiche, vous êtes adorable. Vous méritez des cookies et des bisous partout sur votre petit corps.

ϟ Nom :Nott ϟ Âge : 17 ans ϟ Métier/Maison : Serpentard (la maison est définie par le staff)ϟ Situation : Célibataire ϟ Ascendance : Sang-pur ϟ Traits de caractère : Psychotique, Cruel, Impulsif, Violent.

ϟ Étant le seul héritier mâle de sa fratie, il est l'enfant choyé de ses parents. Sa mère le met sur un pied d'estal alors que son père est tout simplement fier de lui. Seulement, ils ne se rendent pas compte à quel point l'espoir de la famille est dérangée.
ϟ Il est maintenant en 7 ème année et, il pense à l'avenir. Il sent la colère envahir chaque muscle de son corps, quand Hypso adresse la parole à un autre homme que lui. Il sait qu'il ne peut plus se passer de son jouet favoris. Et il n'est pas sûr de revenir à Poudlard, l'année prochaine. Alors, il est parti trouver les parents d'Hypso pour leur demander la permission de l'épouser en leur demandant de garder son identité secrète.
ϟ   La seule personne qu'il ne déteste pas totalement est sa petite soeur, Mélusine. Elle a beau avoir un caractère de chien, être une peste et être totalement superficielle, il n'arrivait pas à la voir autrement que la petite chose fragille qui le suivait à longueur de journée alors qu'elle ne savait à peine marcher. Malheuresement, il ne tient pas ce genre de rapport avec son autre soeur.
 

 ϟ Les yeux rongés par le mépris. C'est ce regard qu'elle connaît par coeur. Celui qui l'a accompagné pendant toute sa scolarité. Au début, Hypso n'avait aucune idée de ce qu'elle avait pu commettre pour mériter autant de haine de sa part. Pourquoi il s'évertuait à la faire souffrir, la malmener de plus en plus, jusqu'à la faire craquer ? Elle qui a l'époque n'était qu'une fragile petite chose. Seulement, ces rixes plus violentes les unes que les autres laissèrent à la jeune Rosier, une folle envie de vengeance. Et la petite chose fragile se changea doucement en ouragan, dévastant tout sur son passage, y compris lui.

Elle ne le sait pas encore mais, le simple fait de lui tenir tête fut le début de la fin. Selon lui, elle n'était personne. Une simple erreur de la nature. Mais l'erreur en question n'avait plus peur à présent. Et cette simple constatation lui glacer le sang. Il voulait salir sa perfection. Il voulait la blesser dans son être. Il voulait tout simplement passer ses doigts autour de son délicat cou trop pale pour le briser. Pour ne plus entendre injures. Pour ne plus faire face à cette lueur de défi qui brille dans ses orbes, à chaque fois qu'elle pose le regard sur lui. Fasciné depuis toujours par les objets, un peu cassés, elle représente un diamant brut dans ce tas de fumier. Et quand il compris cela, il se fit la promesse solennelle de la transformer en une magnifique pierre précieuse, même si cela signifiait de lui faire du mal, toujours plus de mal. Jusqu'à qu'elle brille de mille feux, comme le joyau qu'il voyait en elle.

Et puis il y avait, ces petits moments. Trop rare, trop éphémère mais, donnant un infime espoir naissant, dans le creux de la poitrine d'Hypso. Ces moments, ou la folie dévastatrice faits place à une infinie douceur, à une totale dévotion et, à un complet laissé allez. Elle a beau l'avoir méprisé les trois-quarts de sa vie, elle sait qu'il est trop tard pour son coeur. Il l'a emprisonné entre ses doigts fins, sans lui demander, impunément. Et il bas plus qu'à l'accoutumer quand il s'avère être doux avec elle.

Il a su éveiller le monstre qui sommeillait en elle, alors qu'elle s'était acharnée à le faire taire à coup de bourbon. Mais fascinée par sa névrose, elle se laissa entraînée par les spirales de sa folie. Mais tout cela est fondé sur la perdition et rien d'autre, car sa raison lui souffle aux creux de son oreille une seule phrase :

- Il est dangereux.

Personne d'autre ne  connaît aussi bien sa démence qu'elle. Mais, elle se laisse chavirer doucement, ne retrouvant plus sa raison quand, il attrape brutalement son cou de sa main, pour y nicher sa tête et, mordre violemment sa peau ornée de ses grains de beauté. Non, elle n'a plus aucune force et se laisse manipuler comme une marionnette. Alors, qu'il sourit un brin narquois, se félicitant d'avoir trouvé le plus beau des jouets abîmés

Cousine ϟ Philomène très proche de Théodore a immédiatement pris en grippe Ezéckiel quand celui-ci a commencé une guerre entre eux à cause de sa jalousie. Si avant cette guerre, elle appréciait son cousin bien qu’elle le trouvait un peu dérangeant pour une raison qu’elle ne pouvait pas expliquer, elle s’est rapidement mise à le haïr face cette jalousie maladive et aux coups tordus qu’il tentait à l’encontre de leur cousin. Une haine farouche doublée d’une crainte ancrée en elle de voir Ezéckiel s’en prendre à elle ou pire à son petit-frère puisqu’elle a rapidement compris que son cousin était loin d’être sain d’esprit. Cette tendance psychopathe l’a poussée à soutenir Cassiopé contre lui alors qu’elle n’apprécie pas énormément la demoiselle mais entre deux ennemis, il faut toujours choisir le moindre et sa cousine représente un moindre danger face à lui. Peu tendre dans ces mots lorsqu’elle parle de lui, elle ne cherche pas pour autant à lui nuire trop profondément, se contentant de lui rendre les coups qu’il impose à celui qu’elle considère comme son jumeau et à tenter de protéger du mieux qu’elle peut les autres contre lui. Ezéckiel face à ce comportement protecteur n’hésite pas à s’en prendre directement à elle se délectant de la peur qu’il sent en elle quand ils se croisent et de la souffrance qu’il peut lui infliger. Une souffrance dont il joue d’autant plus maintenant que Philomène a vu son père emprisonné à Azkaban et sa mère exilé loin d’elle, il n’hésite que rarement à rappeler ses faits pour remuer le couteau dans la plaie et se venger de cette cousine qui lui met régulièrement des bâtons dans les roues. A ces remarques mesquines s’ajoutent des menaces virulentes envers son petit-frère qu’il pense de plus en plus à concrétiser pour stopper définitivement Philomène et prouver sa puissance face à deux branches familiales beaucoup plus humiliée par les procès que la sienne.

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