Ready or not (Cassidy)

Beau et jeune garçon qui nous vient tout droit de Poudlard pour entamer sa huitième année au collège. Il est né à Cardiff en ce beau jour qu'était le 20 février 1981 en tant que sang mêlé ; à présent il vit à Cardiff. Il est plutôt Débrouillard - Intelligent - Patient - Fier - Loyal - Téméraire - Plutôt franc - Délicat - Attentif mais aussi Insolent - Rustre - Violent - Rancunier - Maladroit - Distant - Orgueilleux - Colérique. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être moyen. Il y a quelques années maintenant, il s'est procurée une baguette faite en bois de Cornouillier, mesurant trente-deux centimètre et contenant une plume de phénix . Avec cette baguette, il lui est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'un petit moineau. La vision qu'il a eu face au miroir du risèd : lui, enfant, dans le bras de ses parents. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. Un miroir, reflétant tout sauf lui, comme si il n'existait pas, dans son cas.

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   ϟ Quelle est votre réputation à Poudlard ? Que pensent les autres élèves de vous ?  Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat.

   (MISE EN SITUATION : Aucun nombre de lignes imposé.)
   Pour les élèves de Poudlard : Après la mort de Dumbledore, Rogue a été autoproclamé Directeur de Poudlard et vous avez décidé de retourner à Poudlard pour faire votre année. Bien sûr vous ne vous doutez pas des modifications qu’il va y avoir dans l’enceinte de l’école. Donnez nous votre première réaction quand vous voyez tous les changements. Avez-vous pris parti pour Rogue alors qu'il venait de tuer Dumbledore? Avez-vous été horrifié par les nouvelles manières d'enseignement des Carrow? Vous êtes vous cachez dans un coin de peur d'être torturé par des dernières années? Avez-vous eu une once de courage en vous soulevant lorsqu'Harry apparut dans la Grande Salle? Si vous avez décidé de ne pas revenir à Poudlard cette année-là, racontez nous de quelle façon vous occupiez votre temps, étiez-vous au courant des mauvais traitements que subissaient les autres élèves à Poudlard ? Pour les élèves de Beaubâtons et Durmstrang : Racontez votre voyage pour venir à Poudlard. Quel moyen de transport avez-vous pris ? Que ressent le personnage ? Que fait-il ? Essaie-il de se lier aux autres ? Quelles sont ses premières impressions sur Poudlard, sur les élèves qui y étudient ? Sont-ils accueillants, le château est-il à la hauteur de ses attentes ? Ou le contraire ? Pourquoi a-t-il choisi de venir à Poudlard ?

ϟ Ton pseudo : SPF ϟ Ton âge : 24 ans ϟ Ton avis sur mumblemumps :    ϟ Le mot de la fin :  

 Je n’ai jamais réellement apprécié parler de mon passé. Il y a des personnes qui adorent parler d’elle, très certainement qu’elles aiment le son de leurs voix et s’excuse de ressasser le passé uniquement pour s’entendre parler. Je ne suis pas comme ça, je n’aime pas mon passé. Vous me direz, je n’ai rien contre ma voix. Mais ma vie n’a rien d’exception, je n’étais qu’un gamin parmi tant d’autres. Rejeté par mon géniteur, un bâtard de surcroît, là était la différence. Par ailleurs, je faisais souvent le même rêve. Ou plutôt le même cauchemar, qui m’a hanté enfant et me hantera adulte.

Je n’arrivais plus à respirer. Quelques choses de pesant s’appuyant contre ma bouche et mon nez. Un poids qui écrasait ma tête contre le lit, m’empêchant de bouger. Ma bouche était ouverte et calfeutrée par une masse molle et dense qui m’étouffait. Je criais, du moins j’essayais de le faire. Sans air, j’étais incapable de produire le moindre son.
Mon crâne s’emplissait de rouge. Un rouge alarmant, palpitant. Le rouge de mon propre sang qui montait à ma tête. J’essayais en vain de battre des bras, des jambes, mais la masse empêchant tous les mouvements. Je n’arrivais à rien. J’avais besoin d’oxygène. J’y consacrais la moindre parcelle d’énergie, cherchant de l’oxygène, faire entrer de l’air dans mes poumons. Ma tête était saturée de rouge, vrillé par l’idée, l’ombre d’un hurlement. Je me sentais faiblir, m’effacer. Mourir. Aussi misérablement et seul que mon statut me l’accorderait.
Puis soudain, le poids disparaissait toujours, me laissant respirer à nouveau. M’accordant la grâce que je ne méritais semblait-il pas, la vie. Le soulagement qui m’envahit était si immense que je me redressais dans l’obscurité pour aspirer l’air en goulées bruyantes, impatientes, chaotique. Peu à peu, je reprenais conscience, mon cœur battant à tout rompre. Les rideaux étaient fermés et je ne distinguais rien dans la chambre. Je scrutais l’obscurité et  cherchant du regard quelque chose, les écarquillant pour tenter de faire le point. Je me concentrais sur ma respiration pour que mon pouls ralentisse. C’était à ce moment-là que je la voyais. Une silhouette, une ombre. Me regardant. Mon géniteur me fixant. Puis je finissais toujours par me réveiller en sueur, le cœur emballé par la peur.

C’est très sain, vous ne trouvez pas . Rêver que son père essaye de vous tuer. Je pense que mon inconscient voulait me faire passer un message du genre : il ne t’acceptera jamais. Ou alors, peut-être que c’était simplement le fait de savoir qu’il m’avait délibérément abandonné avec elle. Cette mère incapable de respecter son corps, se donnant aussi facilement. Après tout, mon père est à blâmer pour m’avoir rejeté. Mais ma mère, elle pour simplement ne pas avoir su garder ses cuisses closes. Rejetée ainsi de sa propre famille. J’étais donc un déchet aux yeux de mes deux « familles ». Grandissant dans la branche brisée et pourrie de la famille de ma mère, la branche sans magie. La branche sans la moindre particularité. Un mélange répugnant de Cracmol et de Moldu. Des êtres sans fantaisie, sans magie et surtout sans grand intérêt. Ils sont tels, des chimpanzés faibles. Et j'ai du croupir avec eux jusqu'à ma majorité.

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Un frisson envahit son corps alors que le tonnerre se faisait entendre. Il avait serré les bras autour d’elle pour la rassurer. Son regard plongé dans le sien, heureusement qu'elle l’avait dans sa vie ce sorcier. Même s’ils n’étaient que rarement tendres l’un envers l’autre. Un sursaut provoqué par un autre coup de tonnerre. Il retient un ricanement. « Arrête Cass'. » Elle serra la mâchoire, il avait tout de même le don de l’énerver quand il se moquait d’elle. « Pense à autre chose » « T’es bien marrant, mais avec ta face de troll sous les yeux je n’arrive pas à me changer les idées » « L’orage te rend toujours aussi aimable, si tu es pas contente, tu peux retourner dans ton lit. J’essaye de t’aider. Espèce de gorgone va ! » « T’es vraiment qu’un… » Elle n’avait pas réalisé que leurs visages c’était rapproché pendant leurs petits discourt, et fut donc coupé alors que Cassidy vient prendre possession de ses lèvres. Effectivement, la face de troll avait réussi à lui faire oublier rapidement l’orage. «  Voilà, tu te tais et tu dors maintenant. » souffla-t-il, avec lui la tendresse ne durait jamais. Elle lâcha un long et profond soupir, parfois elle ne savait pas à quoi s’attendre avec lui.

La pensine: