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Game of Survival | Oxana Yordanova

Mathilde Dumont
Consumed by the shadows
Mathilde Dumont
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Game of Survival
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11 juin 2001

J’ai l’impression de ne plus rien contrôler. Tout mon univers semble s’être écroulé. Tout allait pourtant si bien et en quelques secondes, tout avait basculé. Mon petit monde qui vivait par la simple présence d’une personne avait été détruit. Je n’avais pas voulu écouter la moindre explication. Je me moquais bien des raisons qui l’avaient poussé à agir comme cela. La scène était encore fraiche dans ma mémoire, elle ne datait que de trois jours. La soirée du vendredi avait pourtant bien commencé, je passais du temps avec deux amies, nous discutions tranquillement. Et c’est alors qu’il est apparu sous un jour que je ne connaissais pas. Niall n’était plus lui-même. Mon week-end ? Je l’avais passé enfermée dans le dortoir, ne sortant que pour les repas. Et même à ces moments, je touchais à peine à mon assiette. Je veillais toujours à m’installer le plus loin possible du semi-Vélane, fuyant sa présence alors que je l’avais tant cherché et apprécié pendant les quelques mois précédents. Mais il faut croire que plus les choses sont fortes et plus la chute est douloureuse. J’avais l’impression que tout en moi s’était brisé. J’avais mal, j’avais l’impression de me consumer à petit feu de l’intérieur. Je fuyais le regard de celui qui avait partagé mon temps libre. Penser à lui me broyait le cœur. J’aurai voulu l’arracher de ma poitrine pour ne plus ressentir se mal qui me rongeait. Mais cela n’aurait servi à rien dans le fond. Disparaitre aurait sans doute été une solution. Mais c’était trop violent. Katerina et Magdalena faisaient de leur mieux pour ne jamais me laisser seule. J’étais capable de passer la journée sous ma couette, amorphe. Je n’avais pas ouvert le moindre livre, pas sortis le moindre crayon pour griffonner. J’avais cette impression que plus rien jamais ne serait pareil. Je me sentais comme morte à l’intérieur par moment. Et je ne pouvais en parler à personne. Et je ne le voulais pas non plus. J’avais cette impression que personne ne pourrait comprendre. Mes amies ? Je ne voulais de toute manière pas les accabler avec ça. Delilah ? J’avais beau lui faire confiance et savoir qu’elle a de l’expérience dans ce domaine, je ne veux pas aller pleurnicher dans ses appartements. Mon père ? Je refuse de lui avouer cet échec.

Le lundi représente tout de même la reprise des cours après le week-end. Je n’avais pas eu d’autre choix que de sortir. Dans mon malheur, j’avais la chance de ne pas suivre les mêmes cours que le Blaireau. Je ne l’aurais sans doute pas supporté. Le croiser dans la salle commune ou à la table de notre maison était déjà bien assez douloureux comme cela. Pour le moindre cours, je faisais acte de présence. Incapable de me concentrer, j’écoutais d’une oreille distraite. J’aurai préféré être n’importe où plutôt qu’ici. J’aurai pu me jeter à corps perdu dans mes révisions mais j’en étais bien incapable. Ce jour-là pourtant, nous avions du temps à partir de quinze heures pour réviser nos examens qui approchaient à grand pas. Nous passions alors dans notre salle commune avec mes deux amies. Les deux tentaient de me convaincre de les suivre à la bibliothèque. Je tournais alors mon regard vide vers elles avant de lâcher un soupir « Allez y devant, je dois prendre un truc et je vous rejoins. » Elles avaient alors tourné les talons, peu convaincues. Je pris alors mon carnet à croquis et de quoi dessiner. Une sacoche sur l’épaule, je sortis alors de ma salle commune. Je n’avais pas la moindre envie d’aller à la bibliothèque. Je voulais être ailleurs que dans ma salle commune. J’avais besoin de sortir de mon dortoir. Mais je voulais être dans un endroit calme. Personne ne passe jamais dans ce couloir. C’est donc dans le couloir du sous-sol que je décidais de rester. Je m’installais sur le sol, adossée au mur.

Lentement, j’ouvris mon carnet à croquis. Je passais lentement sur chacune des pages. Mon cœur se serra alors quand je vis mon visage sur la page de gauche et le sien sur la page de droite. Souvenir d’une soirée d’insouciance où je n’avais aucune idée de ce à quoi je m’exposais. Epoque à laquelle j’ignorais la dangerosité que pouvait représenter l’Irlandais. Je fermais les yeux, tentant de me ressaisir. Je continuais alors de tourner les pages jusqu’à en trouver une vierge. Et je tentais alors de dessiner. Mais chaque fois, je ne voyais que des éléments en rapport avec le semi-Vélane apparaitre sur ma page. Lorsque je tentais de dessiner autre chose, j’en étais totalement incapable. Je voulais reproduire un oiseau que j’avais vu il y a environ deux semaines au bord du lac. Mais au lieu du volatile, je me retrouvais à dessiner des fleurs. Non, cela ne pouvait plus continuer. Je ne supportais plus tout cela. Et de rage, je lançais alors le carnet contre le mur face à moi. Le petit carnet noir rebondit contre la pierre. Je ramenais doucement mes jambes contre ma poitrine et calais mon front contre mes genoux. En cet instant, j’aurai donné n’importe quoi pour effacer ce souvenir de ma mémoire. Et sans que je m’en rende compte, les larmes commençaient à couler le long de mes joues, secouant mon dos de soubresauts.

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Oxana S. Yordanova
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Game of survival

   
Blood, sweat and tears...

    Le silence se creuse entre les murs, marquant l'instant par l'absence de bruit caractéristique. Des échos étouffés résonnant cependant. Au loin, des pas dans les couloirs, des éclats de voix, des rires raisonnant contre les vieilles pierres du château écossais. Clignant des paupières, tu penches légèrement la tête sur le côté, enserrant le tissu au creux de ta paume. Le passant délicatement sur l'instrument maintenu entre tes doigts. Un couteau sur lequel est gravé les armoiries de ta famille. Un bien précieux dont tu ne te sépares que rarement. D'habitude tu le garde bien caché à l’abri des regards indiscrets, après tout tu doutes que ce genre d'outils soit autorisé à Poudlard, mais aujourd'hui tu ressens le besoin de le manier. Dans un geste précis, fluide et empreint d'un respect quasiment sacré. Tes iris accrochant l'arme, tandis que tu retires le chiffon, baissant la main jusqu'à tant qu'elle frôle ta cuisse. Élevant l'autre à hauteur de ton visage, bougeant l'outil entre tes phalanges, soupesant son poids. Contemplant la lame scintiller sous la lueur blafarde des bougies qui t'éclaires d'une lumière tamisée. L'éclat brillant atteignant tes iris, tu plisses soudainement les paupières. Un sourire étire le coin de tes lèvres, peignant tes traits marqués par ta concentration assidue. Parfait.  Ta respiration contrôlée s'échappe alors de ta gorge, et résonne alentour. Caressant tes tympans, tandis que tu t'adosses contre le mur derrière toi, croisant les bras contre ta poitrine. Ton esprit s'épanchant, des images remontant à la surface, embuant tes pensées à la dérive. Les souvenirs de ce que tu as put infliger à Zahari  à l'aide de cet outils s'inscrivant à l'arrière de tes paupières lorsque tu fermes les yeux. Tandis qu'une nouvelle scène va se jouer. Là. Prochainement. Tu en as besoin. Le manque est incontrôlable. La torture est la seule chose qui t'aide à te sentir vivante. Là où le monde ne voit que répulsion, toi, tu vois la beauté, l'art. La plupart des gens ne comprennent pas et ne le pourront malheureusement jamais. Ta langue passe doucement sur tes lèvres pintent de rouge, les humectes doucement alors que ton regard s'ancre aux alentours. Tes doigts caressant la lame alors que le temps semble s'écouler au ralentit. Tu n'as plus gout à rien, depuis la mort de ton petit jouet. Plus rien à quoi te raccrocher. Plus rien pour étancher ta soif de douleur. Plus rien pour t'occuper. Tu ne te l'avoue qu'à moitie mais il te manque.  Lui et ses silences. Lui et son regard terrorisé. Lui et son acceptation. Zahari te manques et ça te répugnes.

Un frisson parcours ton échine alors que tu ranges le petit ustensile dans la poche de ta robe de sorcière. Ton corps se dresse avec difficulté et tes jambes flanchent légèrement alors que tu te relèves. La faiblesse est une chose que tu ne peux décidément pas accepter. Te mordillant la lèvre inférieure, tes pas martèlent le sol rugueux de l'école de magie. Bousculant de temps à autre un élève sur ton passage. Tu cherches de ton regard épineux une nouvelle occupation. Ton esprit tourne à plein régime, alors que ton palpitant joue des siennes. Depuis plusieurs mois tu grilles clopes sur clopes afin de calmer tes nerfs mais aujourd'hui cela ne te suffit plus. Parfois, tu trouves un élève seul dans un coin et tu joues avec lui, le manipule comme Dimka te l'a appris mais encore une fois le manque est toujours présent. La manipulation, la torture mentale ne vaut pas le crépitement d'un épiderme sous tes doigts et ça, tu en es malheureusement trop consciente. Tu marques un temps d'arrêt, passe la main dans tes cheveux alors que se dessine sous tes yeux les escaliers menant au sous-sols. Quand tu l’aperçois au détour d'un couloir. Ton visage s'illumine en voyant la tignasse brune se trouvant à terre, secouée par des soubresauts. Mathilde.

A pas de loup. Glissant sur le sol dans un silence infinie, tu te plantes devant ta proie. La zieute avec un sourire en coin. T'agenouilles face à elle et pause une main contre le mur d'en face. Dans un claquement sonore pour la prévenir de ta présence. Elle relève vers toi un visage empli de larmes ce qui te fascines d'autant plus. Tu la fixes. L'instant perdure, la tension alentour crépitant contre ton épiderme. Le poids sur tes épaules t'entraînant vers elle. Vers la chaleur dégagée par ce corps qui se dessine sous tes iris, si frêle, si triste, si fragile. Les contours de sa silhouette t'appelant à combler la distance. Ses formes, familières, s'inscrivant à l'arrière de tes paupières dès lors que tu fermes les yeux. S'imprimant contre tes paumes alors que tu poses tes mains sur la petite jaune et bronze. Cherchant le contact, la proximité avec la brune. Son corps contre le tiens, te tires un sourire carnassier. Sa chaleur t'empoigne et t'arrache un soupir d'aise. Tu redécouvre sa peur avec délectation. Bonjour Mathilde... ton visage s'approche du siens, ta main caresse sa joue pour y cueillir ses larmes alors que tu les observe avec intérêt Pourrais-je savoir qui d'autre que moi arrache des larmes à mon jouet préféré ?lâche-tu d'une voix purement innocente.

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11 juin 2001

Je ne savais plus quoi penser de tout cela. Pourquoi avait-il agit de la sorte ? Il y avait forcément eu quelque chose pour qu’il se mette dans une telle colère. Pourtant, le semi-Vélane m’avait prévenu dès notre première contre que je n’aimerais pas le voir en colère. Il avait été bien loin de la réalité. Sa haine n’avait pas été dirigée contre moi pourtant elle m’avait terrifié. Je voulais juste ne plus jamais le voir avec ce visage, avec ce regard. Est-ce que je prenais le risque de voir un jour le Blaireau s’énerver contre moi ? Si tel était le cas, je ne donnais pas cher de ma peau. J’aurai sans doute dû suivre les filles, cela m’aurait évité de rester seule ici à me morfondre. Elles auraient trouvé quelque chose pour que je ne me perde pas dans des réflexions morbides qui me faisaient me demander si je devais le fuir ou tout faire pour ne plus jamais le voir dans cet état. J’avais choisis la première solution et mon cœur en était broyé. Mon âme était tiraillée. Une part de moi avait envie d’aller le retrouver. J’avais envie de me jeter dans ses bras et de ne plus jamais les quitter. Mais une autre part était angoissée. Comment allait-il réagir ? Je ne pouvais pas revenir comme une fleur, pas après tout cela. Et plus j’y pensais plus j’étais incapable de stopper le flot de mes larmes.

Un claquement contre le mur, juste à côté de moi, me fait sursauter et lever la tête. Et c’est là que je la vois, malgré le brouillard dans lequel je me trouve… mon cauchemar… Il fallait qu’elle me trouve, ici et maintenant. Je ne pouvais pas reculer, je ne pouvais plus lui échapper. Une biche effarée, voilà ce que j’étais sous les yeux de la vipère à la chevelure flamboyante. Je ne supportais pas cette proximité qu’elle m’imposait. Son sourire était angoissant, ne présageant rien de bon pour moi. Le contact de sa main me donne envie de fuir encore plus loin. Une seule autre personne a essuyé mes larmes de la même manière. Ce n’est en rien comparable, cette fois ce genre de contact me donne la nausée. Ce qui me donne encore plus la nausée, d’être qualifiée de jouet. Et je reste prostrée contre ce mur de pierres plutôt que de réagir. La voix de la demoiselle semble innocente mais je sais bien qu’il n’en est rien. Comme toujours, elle attend le bon moment pour attaquer. Et aujourd’hui est sans doute idéal pour la Serpentard. Mais je ne lui dirais rien. Ravalant les larmes. Je plantais mon regard dans le sien et d’une voix déterminée, je lui crachais presque ma réponse au visage. « Ma vie ne te regarde pas Oxana ! » Elle n’avait pas à savoir ce qui me rendait triste. Oxana pourrait parfaitement le réutiliser contre moi plus tard. C’était hors de question.

Poussée par un élan de courage, peut-être un peu de folie aussi, je plaquais mes mains contre elle et la repoussais de toutes mes forces. Faisant rapidement glisser mon dos contre le mur, je me relevais, faisant tout pour effacer cette proximité que la vert et argent avait créé entre nous. Je ne voulais pas être proche de cette fille, je voulais juste qu’on me laisse en paix. Et en cet instant précis, j’aurai pourtant aimé qu’il soit là. C’était sans doute cruel pour Oxana. Mais il suffit de voir ce qu’il était advenu de mon camarade pour comprendre que les colères de Niall était dévastatrice. Enfin je ne savais pas ce qui pouvait déclencher son animosité mais j’aurai certainement trouvé. Je me dirigeais alors rapidement vers le mur opposé pour ramasser mon carnet. Instinctivement, je serrais le carnet à la couverture noire contre ma poitrine. Je tentais de contenir mes tremblements, j’étais terrifiée par la Yordanova. « Maintenant désolée, mais on m’attend ! » Je tentais le tout pour le tout et décidais de me diriger vers l’extrémité du couloir. C’était sans doute peine perdue, je n’avais jamais vu la dragonne abandonner. Elle continue encore et toujours de venir me persécuter alors pourquoi allait-elle arrêter ? Mais j’avais un fol espoir, celui de trouver quelqu’un au bout de ce couloir…

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