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Hands up if your head's the dumbest ✞ Ashead

S. Nead Sawbridge
Consumed by the shadows
S. Nead Sawbridge
Élève de Poufsouffle
Célébrité : Frank Dillane
Pseudo : Blimey! Âge : 30 Parchemins : 178 Gallions : 267 Date d'inscription : 07/09/2017
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✞ Février 2001 ✞
Hands up if your head's the dumbest
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Allongé sur mon lit, les baldaquins r’levés, j’souffle la fumée en la r’gardant s’envoler au d’ssus d’ma tête, formant de drôles de formes imagées. Au stade où j’en suis, j’sais plus trop si les dragons qu’jvois dans les formes blanches viennent d’mon imagination où s’ils sont bien réels. Ce soir, t’étais r’venu de je n’sais où en me fourrant sous l’nez un sachet aux couleurs mordorées, tirant sur le vert. J’avais louché d’ssus, sans comprendre ce que c’était et d’où ça pouvait bien v’nir. La quarantaine avait beau avoir été l’vée, les autorités continuaient d’nous surveiller comme des criminels. Ou des malades dangereux, j’savais pas trop. Toujours est-il que t’avais eu l’air bien fier de toi alors qu’tu t’laissais tomber sur mon lit comme si ça avait été l’tien. Et puis, t’m’avais expliqué, ménageant ton rythme tel un maître faisant exprès d’me faire languir. T’avais dégotté d’l’herbe d’un pays d’l’est réputé pour faire voir des choses merveilleuses. J’t’avais r’gardé avec des yeux ronds, impressionné et vachement curieux, d’un coup. On avait pas trop attendu pour tester c’te merveille.

J’pousse ta tête qu’repose sur mes côtes, m’donnant l’impression d’m’enfoncer dans mon lit comme si c’était d’la putain d’barbe à papa. J’sais pas l’heure qu’il est et j’sais pas d’puis combien d’temps on est allongé là à passer du coq à l’âne, alternant entre un Johnny Depp bien foireux et une discussion animée sur les demiguises, ces singes savants originaires du moyen orient capables d’se rendre invisibles. « Non mais mec, c’que j’te dis c’est que ces bestioles r’ssemblent vach’ment à la bibliothécaire. Z’ont les même grands yeux. … D’quoi j’en ai jamais vu ? T’as jamais ouvert un p’tain d’bouquin ou quoi ? C’est à toi d’jouer, d’puis cinq minutes. » L’dortoir est vide, nos camarades sûr’ment en train d’profiter d’leur sam’di soir dans la salle commune. L’courrant d’air de février qui s’engouffre par la f’nêtre ouverte au ras du gazon m’fait frissonner et soudain, j’en ai marre d’être là. J’en ai marre d’devoir rester dans mon dortoir, d’pas pouvoir m’balader un peu un soir d’week-end, d’marcher au pas et d’plus pouvoir improviser. Index et majeur en avant, j’te tend l’bâton fumant alors que j’perd l’cours d’ta diatribe. Mon r’gard se perd à nouveau dans c’plafond ensorcelé pour moins nous donner l’impression d’être à moitié sous terre. Comme des taupes, à nous terrer, à attendre qu’ça s’passe.

Et, j’me relève d’un coup, t’poussant au passage comme si t’avais été qu’une couverture. J’lâche un « wow » désorienté, m’attendant pas à perdre l’équilibre alors qu’j’suis même pas d’bout. En temps normal, j’sais qu’j’aurais ricané. J’aurais trouvé ça drôle et j’aurais sûr’ment lancer un concours d’flamant rose, l’perdant devant s’teindre les ch’veux d’la couleur représentative d’ces bouffeurs d’crevettes. Ou un truc du genre. J’sais pas. Mais là, mon esprit reste fixé sur c’t’idée qu’vient d’germer dans mon esprit, comme si aucun autre futur était possible alors qu’les images défilent dans ma tête. J’attrape une d’tes dreads et j’la tire douc’ment pour attirer ton attention alors qu’mes yeux parcourent un poster décorant l’espace du lit d’en face. J’me dis qu’les couleurs sont belles, quand même, même si j’comprends pas pourquoi un centaure roule dans une d’ces machines moldues servant à s’déplacer. T’me les avais montrées un été, une voifure, ou un truc du genre. J’sais plus. Mais c’t’avait bien fait marrer que j’sache pas du tout c’que c’était alors qu’t’en ouvrais une avec une mèche métallique, m’disant qu’c’était comme ça qu’ça s’ouvrait dans l’monde moldu. J’avais haussé les épaules et j’avais pas su si j’avais trouvé notre tour dans c’machin roulant drôle ou effrayant. Tu m’fais r’venir sur terre et j’secoue la tête, f’sant disparaître le centaure né d’la fumée. J’tourne la tête vers toi et j’me met à sourire comme un con. « On s’fait la malle ? » J’me lève d’un bond, et j’me rappelle qu’une d’mes chausettes est dans l’herbe, dans l’parc, après qu’tu l’y ai balancée, j’sais plus pourquoi. Mon pied nu sent l’parquet sous sa plante et j’remue les orteils sans t’quitter des yeux. « Allez mec, y en a ras l’cul d’être là. On s’casse. » J’souris trop pour être dans mon état normal mais j’sais pas pourquoi, j’sens qu’c’est la meilleure idée qu’j’ai jamais eu de toute ma vie.

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J. Ash Dayori
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J. Ash Dayori
Élève de Poufsouffle
Maison/Métier : Cinquième année à Poufsouffle
Célébrité : Luka Sabbat
Pseudo : Carotte, Aguarà Âge : 30 Parchemins : 34 Gallions : 74 Date d'inscription : 29/01/2018
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hands up if your head's the dumbest
La tête de Michael Jackson flotte devant ses yeux. À moins que ce soit une tête de mort ? Ash ferme les yeux. Puis les rouvre. Non, c’est bien Michael Jackson. Ash pouffe. Le nuage de fumée tremble et les contours du chanteur se floutent. À moins que ce soit sa vision qui se brouille. Y a-t-il même de la fumée devant lui ? Ash lève ses mains qu’il contemple quelques longues secondes avant d’arriver à la conclusion qu’elles sont vides. Il tourne difficilement la tête pour regarder Nead. La fumée qui sort des narines de son ami ressemble à deux longs serpents qui ondulent jusqu’à se rejoindre, s’étreindre, puis former un énorme dragon. C’est lui qu’est en train d’fumer. P’têt que Michael était une hallucination.
C’était un des slaves qui lui avait donné le tuyau. Il était pas comme les autres sangs purs celui-là. Un camé. Un gosse de riche qu’à besoin de s’rebeller, de montrer qu’il est pas comme papa et maman. Un mec q’avait pas d’couilles non plus. Ses herbes, il n’osait pas les utiliser. Trop fortes, qu’il disait. Ça vous faisait voir des choses qu’existaient pas. Et les choses qu’existaient, vous les voyez plus toujours. Le slave, il avait volé ça dans la réserve de papa mais maintenant il ne savait plus quoi en faire. Se droguer était trop osé, alors il avait décidé de jouer au dealer. Bien sûr, il avait pensé à Ash quand il s’était agi de trouver un client. J’veux m’faire d’la thune, qu’il avait dit en essayant de se la jouer. Ash avait dévisagé ce p’tit péteux à l’uniforme parfait, visiblement neuf, du gel dégueulasse dans les cheveux pour les plaquer en arrière, des dents blanches étincelantes. Gosse de riche. Ash avait fait semblant de rien mais il le méprisait, ce p’tit con qui croyait pouvoir lui faire croire qu’il avait besoin de thunes. Il ne savait même pas ce que le manque d’argent voulait dire. Mais il avait une drogue de ouf et ça valait bien la peine de continuer à avoir un minimum de contact avec lui.

« Non mais mec, c’que j’te dis c’est que ces bestioles r’ssemblent vach’ment à la bibliothécaire. Z’ont les même grands yeux. … D’quoi j’en ai jamais vu ? T’as jamais ouvert un p’tain d’bouquin ou quoi ? C’est à toi d’jouer, d’puis cinq minutes. » Ash fronce les sourcils. Nead sait pas de quoi il parle. Les demiguises sont invisible, ça peut pas ressembler à qui que ce soit. À moins qu’ils ne soient pas tout le temps invisibles. Ash a pas bien compris. C’quoi ces animaux de merde, de toute façon ? Ash ferme les yeux et secoue la tête. Il s’rappelle vaguement d’un dessin de singe dans un livre de cours. Peut-être bien que ça ressemble un peu à la bibliothéquaire. « Moi j’ai jamais ouvert d’bouquin ? Pour un gars qui connait pas Einstein, tu t’prends trop au sérieux. » Ces sorciers étaient incroyablement incultes et Nead ne dérogeait pas à la règle. Quand, durant des vacances chez Ash, il avait vu la célèbre photo d’Einstein, il avait dit ne pas savoir qui s'était. Avec ses grands yeux, sa langue tirée, ses cheveux argentés en bataille… c’était pourtant une photo iconique.
Ash se saisit de la cigarette améliorée que lui tend son ami. Il tire une taffe ou deux. Peut-être trois. Ça lui fait à nouveau voir des formes dansantes dans la fumée. Il rigole doucement, le regard dans le vide. « T’sais quoi ? J’crois qu’Einstein ressemblait pas mal à une demiguise aussi. P’têt qu’il est cousin avec la bibliothécaire. Quoiqu’la bibliothécaire, j’trouve que c’est surtout sa moustache qu’lui donne c’t air de demiguise. » Il se fait pousser par Nead qui se relève. Il l’écoutait plus ou quoi ? Pour une fois qu’Ash essayait de dire quelque chose de cohérent. Nead a l’air de perdre l’équilibre alors qu’il est assis sur le matelas. Ash ricane, se moque un peu. Pourtant, c’est vrai que ce matelas est moelleux comme un nuage. Ça devait pas être si facile que ça de s’asseoir. Ce qui expliquait pourquoi ils étaient couchés et pourquoi Ash comptait bien rester dans cette position. L’était pas fou. Sauf que Nead lui attrape une dread et tire dessus. C’est pas bon signe. Il a une idée en tête. Ash tourne la tête pour croiser le regard de son pote mais ce dernier a les yeux dans le vague. Apparemment il a déjà oublié son idée. Ash rigole en crachotant de la fumée. « T’es tellement def, mec. » ça le fait revenir à la réalité, un peu en tout cas. Nead quitte un centaure de fumée du regard pour sourire d’un air imbécile à Ash. Ash lui retourne son sourire, soudain heureux pour aucune raison. C’qu’il a l’air teubé Nead avec son air innocent, là. Ash l’aime bien. « On s’fait la malle ? » Ash redresse  la tête pour voir où Nead a disparu. Il semblerait qu’il se soit levé trop rapidement pour que le cerveau du blaireau ait eu le temps de faire les connections. Ash rabaisse la tête aussitôt. Le monde tourne trop autour de lui. « Allez mec, y en a ras l’cul d’être là. On s’casse. » Ash pousse un gémissement de condamné à mort. Il a pas la force de se lever. Mais il a encore moins la force de protester. Ash tend le joint à Nead. Des papillons de fumée turquoise volent autour d’eux. Péniblement, Ash se redresse. Les papillons se sont changés en une fine brume bleutée qui lui brouille le champ de vision. « C’quoi l’plan ? On va s’faire chopper. » Malgré ce qu’il vient de dire, Ash se lève. Il est soudain motivé. Le monde est si grand, y a tant de chose à faire. Sans attendre la réponse de Nead, il se dirige vers la porte du dortoir. Y a des escaliers en colimaçons à descendre pour arriver dans la salle commune. Ash a à peine descendu une marche que la terre commence à tanguer sous lui. Il doit s’asseoir en haut de l’escalier. Il relève le regard vers Nead à qui il sourit d’un air un peu con. « John Leonardo Freddie Mercury Godric Gryffondor Madonnaradona Caractacus Beurk prio Norbertie Kurt Cobain rnelius Fudge chue Dragonneau Nicolas Flamel Depp »

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S. Nead Sawbridge
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S. Nead Sawbridge
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✞ Février 2001 ✞
Hands up if your head's the dumbest
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J’crois qu’normalement, j’aurais du t’trouver insupportable. À m’dire qu’j’étais inculte à pas connaitre des trucs moldus, alors qu’tu connaissais encore moins d’trucs sorciers qu’moi. J’aurais du vouloir t’secouer à chaque fois qu’tu t’faisais prier pour aller faire une connerie. Seulement voilà, j’sais pas pourquoi, mais ça m’faisait bien marrer. « L’amour » diraient les mecs, pour s’foutre de notre gueule. P’t’être bien.

Tu m’répondais un truc sur les demiguises, m’parlant d’un certain Weinstein que j’aurais apparemment dû connaître. Ça f’sait longtemps qu’j’avais lâché l’affaire. J’acquiesçais, t’posais quelques questions, pis j’avais tendance à oublier aussi vite. Oups. J’t’écoute vaguement parler d’la moustache d’la bibliothécaire et j’te souris, l’œil d’un poisson un peu mort posé sur toi, avant d’me rel’ver comme un mec qui aurait plus toute sa tête. Ce qui était plutôt l’cas.

J’t’entends m’dire que j’suis défoncé, et j’sors de ma rêverie, détournant mon esprit d’ces illusions vaporeuses. J’te pose alors la question fatidique, plus pour la réthorique qu’autre chose : « On s’fait la malle ? » Pourtant, ça semble t’interpeller. Tu t’redresses, sûrement trop vite, parce que tu t’rallonges aussitôt. J’laisse un éclat d’rire passer mes lèvres. « T’es tellement def, mec. » J’imite ta voix, plus grave qu’la mienne, juste pour m’foutre de ta pomme. J’me lève et mon attention est momentanément attirée par mon gros orteil appréciant l’bois avec lequel il est entré en contact. Quand j’redresse l’visage, j’vire une dread de d’vant mes yeux. « Allez mec, y en a ras l’cul d’être là. On s’casse. »
Tu t’mets à gémir, telle une drama queen et ça m’fait lever les yeux au ciel. Avec toi, c’tait toujours compliqué ; C’comme si on t’demandait la lune à chaque fois. Pourtant, j’sais bien qu’t’en as marre d’être là, toi aussi. Tu m’tend l’baton du diable, que j’coince entre mes lippes. J’te laisse te r’dresser alors que j’fouille dans ma malle en bordel à la r’cherche d’une chaussette propre. Lorsque j’met la main sur une chaussette rose, qu’est clairement pas à moi, j’hausse les épaules et l’enfile quand même. Mes orteils sont tout r’croquevillés, serrés les uns contre les autres par l’tissu trop tendu. Même si l’talon s’trouve au trois quart d’ma plante de pied, tant pis. Ça f’ra l’affaire.

« C’quoi l’plan ? On va s’faire chopper. » J’ricanne, parce qu’on sait tous les deux qu’on en a rien à foutre. Quand j’me r’dresse, t’es déjà en train d’te diriger vers la sortie. « Comme si j’étais du genre à avoir un plan ? Hé, tranquille, mec ! » Comme d’hab, tu t’faisais prier, puis t’fonçais dans l’tas avant tout l’monde. Trop pressé, j’te r’trouve en haut des escaliers, ton cul posé sur la pierre froide. J’ricanne, m’foutant clairement d’ta gueule. J’ai pas l’temps d’matérialiser ma moquerie à l’oral, que tu m’sors une phrase longue comme ma b*te. J’ouvre grand les yeux, m’disant qu’ça allait être à moi d’jouer, mais qu’fallait d’jà qu’j’me souvienne de c’que t’avais dit. J’m’arrête derrière toi, et j’pose les poings sur mes hanches dans une imitation parfaite d’ma génitrice. « Bah alors Ash, on fait moins l’mâlin ? » J’tiens l’imitation quelques s’condes, avant d’pouffer à nouveau sans trop savoir pourquoi. « Bouge pas, mec »
J’me dirige vers le lit d’Gregory, et j’y fous l’foutoir en moins d’temps qu’il faut pour prononcer son nom. D’un mouv’ment sec, j’lui choure sa couette, profitant d’l’absence de l’élève pour commettre mes méfaits. Mon butin sur l’épaule, j’me laisse tomber un peu plus lourdement sur l’sol que c’que j’avais prévu, et fourre la couette sous mon fessier. « Vas-y, lève ton cul. » Et puis, j’me souviens qu’j’avais l’joint dans ma bouche. Parce qu’il tombe sur la couette d’notre camarade. J’le vois tourner dans sa chute, au ralenti, comme si ma vie défilait d’vant mes yeux. Quand la drogue tombe sur la couette blanche, laissant une belle trace noire, j’lache un oups détaché. Avant d’le rattraper et d’le r’foutre entre mes lèvres. J’pose mon menton sur l’épaule d’mon pote. « Allume, s’teupl » Ash était pas spécialement meilleur que moi en magie, mais ses coups d’baguette étaient moins aléatoires.

Une fois qu’tu t’es bien installé sur l’tissu molletonné, j’passe mes bras d’chaque côté d’ta personne, attrapant les rênes d’notre chariot improvisé, matérialisé par les deux coins d’la couette. D’un mouv’ment d’rein j’nous fais glisser sur la pierre, jusqu’à c’qu’nos cul soient le plus au bord possible. J’prend ma baguette et j’la tapote sur ton crâne en m’raclant la gorge tel un chef d’orchestre. J’la pointe ensuite derrière mon épaule et m’met à sourire. J’maitrisais pas toujours les sortilèges en rapport avec l’feu, mais pour l’eau…. « Prêt ? C’est partiiiiiiii » J’lâche alors un aguamenti, c’sortilège qu’Hortense m’avait appris, un peu après son arrive à Poudlard. Pour l’avoir lancé à d’nombreuses reprises, j’savais qu’si y avait bien un sort qu’j’savais utilisé, c’était celui là. J’savais aussi qu’j’pouvais balancer d’vrais geyser avec. Ni une ni deux, un jet d’eau sous pression sort d’ma baguette, provoquant la colère d’certains camarades d’dortoir qu’avaient d’jà été bien tolérants avec not’ fumée. Un peu moins avec l’jet d’eau qu’ils viennent de s’prendre en pleine poire.
Mais leur mécontentement est l’dernier d’nos soucis, alors qu’on s’retrouve projeté dans les escaliers, assis sur la couette qui protège à peine nos culs d’la pierre, et mon rire presque hystérique remplissant l’espace. La descente semble durer quelques secondes, à peine, tant j’rigole dans tes oreilles. C’dans un putain d’rouler bouler qu’on atterri dans la salle commune, emmêlés comme deux abrutis. Des gens nous r’gardent et moi j’me marre, sans réussir à m’arrêter.

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