Aria •• La jeunesse éternelle ? Conneries.

Belle (canon même) et  jeune femme qui travaille (travaillait ?) comme professeur de vol depuis maintenant près de quatre ans. Elle est née à Paris, ville de la gastronomie et de la mode en ce beau jour qu'était le 2 février 1970 en tant que métamorphomage de sang pur ; à présent elle vit à Poudlard. Lors de son passage à Poudlard, son niveau scolaire était plutôt bon, sans doute aurait-il pu être meilleur si elle y avait  mis un peu plus de cœur et d'énergie. Lorsque les dinosaures vivaient encore, elle s'est procurée une baguette faite en bois de d'amandier, elle est fine et élégante, tout comme sa porteuse, mesurant vingt et un centimètres et contenant un poil de salamandre, qui s'associe à la perfection au caractère flambant d'Aria. Avec cette baguette, il lui est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'un grand Pingouin, animal noble et fier. La vision qu'elle a eu face au miroir du risèd : tout simplement elle, la véritable elle, sans magie et sans transformation, ce qui représente le retour de ses pouvoirs. Elle veut guérir. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. Sa forme enfant, dans son cas. Sa peur de toujours rester ainsi et de ne jamais retrouver ses pouvoirs la ronge depuis qu'elle a été touchée par ce mal inconnu. Avant, c'était les crevettes. Drôle de phobie, non ?

ϟ  Quel est votre opinion sur l'épidémie ?
Une horreur, une douleur certaine, un cauchemar auquel elle n’aurait jamais songé devenu réalité. Née métamorphomage, vivre sans magie semble inconcevable, irréel. La perte de sa magie revient à lui faire perdre une partie d’elle-même. Sans jamais oser le dire à voix haute, cela l’effraie. Peu rassurée face aux premiers cas, totalement terrifiée lorsque la contagion s’intensifiait. L’inquiétude grandissante jusqu’à ce que cela frappe, aurait-elle dû s’y attendre ? Que fera-t-elle si un remède n’est pas trouvé ? Elle préfère ne même pas y songer. Qui est-elle à présent ? Une femme, une enfant qui recherche son identité. Une sorcière sans magie à la recherche d’une solution, qu’elle considère comme vitale. Peut-être l’est-elle. Les pouvoirs deviennent incontrôlables, diminuent, disparaissent. Qui peut affirmer que la suite ne sera pas l fièvre et la mort ? Personne. Hélas.

ϟ Que pensez-vous du nouveau directeur de Poudlard ?  
Le choc. L’incompréhension. Les étapes du deuil. Toutes les étapes du deuil. C’est ce par quoi l’ex-étudiante devenue enseignante et de nouveau étudiante à Poudlard est passée avant de comprendre et de se faire une idée. Albus Dumbledore était là lors de sa première année, tendre et attachant. Il était là lorsqu’elle a été diplômée, lorsqu’elle a commencé à enseigné. Irait-elle jusqu’à dire qu’elle le considérait comme un membre de sa famille ? Peut-être pas. Le vide qu’il a formé à sa disparition était pourtant bien présent. Dans le cœur de la métamorphomage, il est toujours présent. Pour l’heure elle ne se prononce pas sur son successeur. Elle lui laisse sa chance, c’est à lui de lui prouver qu’il sera digne de l’héritage qui lui est confié.

ϟ Le partenariat magique entre les écoles est-il une bonne chose ?  
Véritable fausse élève, elle sait. Cet échange n’est qu’une illusion, un prétexte pour lutter contre ce maux qui les touche tous. Autour d’elle les élèves vivent dans l’ignorance, et c’est sans doute le mieux à faire. Un vent de panique ne serait bénéfique pour personne. Il est bon de s’unir pour faire des recherches. L’union fait la force, n’est-ce pas ? Même contre un virus dont l’on vient probablement d’augmenter le champ de contagion ? Rien n’est moins sûr. Elle observe, reste en alerte. Elle espère que les enfants iront bien, et elle est présente pour observer « au premier rang » à présent. Peut-être saura-t-elle ainsi trouver des réponses que le monde magique ne connait pas encore.

ϟ Quel était votre camp lors de la Grande Bataille ?
Rien de plus évident. Le souffle coupé, et la peur au ventre elle s’est fièrement battue pour défendre son école, celle où elle avait fait toute ses années d’études et dans laquelle elle avait commencé à enseigné il y a peu. Fière, brave, hors de question de montrer quelconque signe de faiblesse. Forte pour les élèves, forte pour l’avenir elle n’avait montré aucune de ses angoisses à quiconque. Pas même après, alors qu’elle se laissait enfin aller et que ses nerfs lâchaient. Cela s’était fait dans la plus grande intimé, en face à face avec elle-même. La victoire fut la leur, fort heureusement. Quel soulagement que de se dire, ignorante, que les choses allaient enfin redevenir comme avant…


ϟ Que pensez-vous de l'échange européen inter-écoles ?
Dans le fond, elle sait. Elle connait les véritables raisons de cet échange, mais dans le silence elle se mue. Elle prétend ne pas savoir, elle joue un rôle. Première année de façon officielle, dans une classe ou dans un couloir, la question lui a déjà forcément été posée. Sous un masque, portant dignement sa couverture d’élève, un sourire s’est dessiné sur ses lèvres. Elle aime l’idée, déclare-t-elle simplement. Rencontrer de nouvelles personnes, apprendre de nouvelles chose et ivre de façon différente. Tant de bonnes raisons qui ouvrent leurs esprits au monde. Puis elle hausse les épaules et change de sujet. Peut-être qu’elle parle trop, peut-être que c’est une vision un peu poussée pour une enfant de onze ans, elle ne sait plus. Comment était-elle à onze ans ? Elle ne sait plus.

ϟ Que faisiez vous lors de la Grande Bataille ?  
Officiellement elle n’était pas encore là, pas encore présente. Elle pourrait répondre qu’elle était cette enseignante à la chevelure rousse qui se donnait sur le champ de bataille. Elle pourrait, mais cela révélerait bien trop sur elle. Tant de choses qu’elle ne peut dévoiler. Officieusement elle se battait pour la gloire de son école. Officiellement, elle n’était même pas là, elle n’était qu’une gamine de plus dans les rue de Paris, ce jour là.

ϟ Avez-vous peur de perdre vos pouvoirs ? Pourquoi ?  
Née métamorphomage, la magie fait partie d’elle-même, de son identité. Lorsque les premières rumeurs sur l’épidémie ont commencé à venir jusqu’à leurs oreilles, elle savait déjà que le jour où elle serait touchée, elle perdrait une part d’elle. Alors oui, cela l’effrayait. Car elle n’aurait alors plus été celle qu’elle était devenue, elle n’aurait plus été tout ce qu’elle connaissait d’elle. Et puis, elle a été frappée. Au pire moment qui soit. Jamais elle n’aurait osé imaginer un tel scénario. Incapable de reprendre sa forme, la voilà bloquée dans le corps d’une enfant. Terrorisée à l’idée d’y rester toute sa vie.

ϟ Quelle est votre réputation à Poudlard ? Que pensent les autres élèves de vous ? Dans la mesure du possible elle se veut discrète, elle veut se fendre dans la masse, raser les murs, vivre sa petite vie et se faire oublier. Difficile pour elle de se faire des amis alors qu’elle a en réalité vingt-neuf ans. Pourtant elle fait parfois des efforts. Plus mature et plus réfléchie, sans aller jusque dire qu’elle s’est fait des amis, elle est capable de trouver des solutions à des problèmes qu’elle a déjà connus lorsqu’elle était élève. En tant que professeur, en tant que femme avec du recul, en tant qu’ancienne qui est déjà passé par là, elle a tendance à trouver les bonnes solutions, ou les moins pires selon les cas. De même, en tant qu’ancienne enseignante, très pédagogue elle n’hésite pas à aider ses camarades dans le besoin lorsqu’ils ont besoin d’aide pour leurs leçons. Tout est une question de perspective. Lorsque certains lui seront reconnaissants de son aide, l’autre la prendrons simplement pour une miss-je-sais-tout insupportable et hautaine. Mitigé, donc.

Classe, chic, peut-être légèrement –très légèrement- sexy sur les bords, l’espace de quelques secondes elle se demande si elle n’en a pas trop fait pour postuler en tant qu’enseignante. Mais l’idée se chasse, presque seule. Tandis que d’autres laisseraient le stress et l’angoisse, l’incertitude les envahir, elle est calme, elle se contente d’attendre. Debout alors que des sièges plus que confortables se dressent près d’elle, bras croisés elle contemple ces tableaux qu’elle connait presque par cœur, un fin sourire sur les lèvres. Ses années à Poudlard ont sans doute été les plus belles de sa vie, comment ne pas vouloir prolonger l’expérience ?
Une porte s’ouvre sur le plus grand sorcier qu’elle connaisse. Le directeur de l’école, à cette époque, était encore le regretté Albus Dumbledore. Elle lui adresse un sourire poli, toujours aussi tranquille et apaisée. Avec tout le reste qu’elle lui porte, elle le salut en lui tendant sa main. Elle n’aime pas vraiment le formalisme, mais il est parfois de mise, elle ne le sait que trop bien. Il serre sa main, et elle sent que l’entretien commence déjà. « Mademoiselle Wagner, vous ne semblez pas avoir changé depuis la dernière fois que je vous ai vu. » Elle continu de sourire, bien qu’elle ne sache pas s’il s’agit là d’un compliment ou non. Il n’y a pas très longtemps qu’elle a terminé ses études, elle a peur d’être toujours vu comme une étudiante, de ne pas être considérée comme assez mature pour enseigner. « Ainsi donc vous désirez revenir et enseigner ? » Elle hoche la tête. En tant qu’élève elle était irréprochable, mais il le sait déjà.
Ils s’installent et c’est ainsi que l’entretien commence comme s’ils ne s’étaient jamais rencontrés avant. Ses connaissances et ses motivations lui semblent sans failles, est-ce également vu ainsi de l’autre côté de cet imposant bureau ? Il lui faudra attendre la fin de cet interminable entretien pour le découvrir. Pédagogie, pratique, rien n’est laissé entre les bonnes mains de la chance. Lorsqu’enfin l’entretien se termine, elle est incapable de dire combien de temps elle y a passé. Mais qu’importe, la voilà sur un petit nuage puisqu’elle est désormais la nouvelle professeure de vol de Poudlard. Elle a de quoi être fière. De quoi être ravie. Elle quitte le bureau et fais ses premiers pas dans un nouveau chapitre de sa vie.

Le vide est là, présent. Parfois elle s’isole, son regard se perd. Seule, elle fait son deuil. Silencieuse, elle se recueille parfois. Le roi est mort, vive le roi ? Non. Elle ne peut penser de la sorte. Un grand homme est mort et son remplaçant est, à ses yeux, d’une petitesse. Pourtant, elle est restée. Le nouveau directeur n’a rien changé à sa passion et son envie d’enseigner. Les élèves sont restés sa priorité. Sa confiance envers son supérieur n’était plus présente, cependant. On ne peut pas plaire à tout le monde et on ne peut pas aimer tout le monde, c’est ainsi. Elle considère que l’on se doit d’être plus proche de ceux dont l’on se méfie que de ceux en qui on a confiance. Raison de plus pour que son quotidien ne change pas. Malgré la tristesse. Malgré la méfiance.
Jusqu’à ce que tout bascule, bien entendu. Quelques semaines à peine après la rentrée la voilà passée d’enseignante à étudiante, de nouveau. Officieusement son statut ne change pas. Officiellement elle côtoie bien plus les élèves que le corps enseignant…Quelle poisse.

Belle et jeune fillette en apparence qui nous vient tout droit de Poudlard pour entamer sa seconde première année au collège. Elle est née à Paris, ville de la gastronomie et de la mode en ce beau jour qu'était le 2 février 1970 en tant que métamorphomage de sang pur ; à présent elle vit à Poudlard. Elle est plutôt vive, intelligente et aimante mais aussi têtue, bornée et jalouse. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être excellent, chose peu étonnante lorsque l'on sait qu'elle a en réalité déjà terminé son cursus. Il y a quelques années maintenant, elle s'est procurée une baguette faite en bois de d'amandier, elle est fine et élégante, tout comme sa porteuse, mesurant vingt et un centimètres et contenant un poil de salamandre, qui s'associe à la perfection au caractère flambant d'Aria. Avec cette baguette, il lui est possible de créer un patronus, ce qu'elle se garde bien de dire et de montrer depuis qu'elle n'a officiellement que onze ans - le sien prend la forme d'un grand Pingouin, animal noble et fier. La vision qu'elle a eu face au miroir du risèd : tout simplement elle, la véritable elle, sans magie et sans transformation, ce qui représente le retour de ses pouvoirs. Elle veut guérir. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. Sa forme enfant, dans son cas. Sa peur de toujours rester ainsi et de ne jamais retrouver ses pouvoirs la ronge depuis qu'elle a été touchée par ce mal inconnu. Avant, c'était les crevettes. Drôle de phobie, non ?

ϟ Ton pseudo : Keira M.ϟ Ton âge : 24 ans ϟ Ton avis sur mumblemumps :    ϟ Le mot de la fin : Ces smileys manquent tout de même de pingouins

Exemplaire ? Non. Qui aurait pu le croire ? Seulement ceux qui ne connaissaient pas la jeune Aria Wagner. Il ne faut pas se fier aux apparences, jamais. Adorable bouille d’ange. Petite sorcière. Dans tous les sens du terme. Enfant comme les autres en apparence, mais exceptionnelle selon les dire de sa mère. Sorcière de sang pur et métamorphomage, peut-être n’avait-elle pas vraiment tort. Jeune sorcière élevée dans m’immensité de Paris, il faut croire que ses parents n’avaient pas froid aux yeux. Fort heureusement pour tous, il n’y eu pas d’accidents majeurs durant son enfance. Quelques petits soucis à droite à gauche, jamais rien d’insurmontable. Plus sage qu’on ne l’aurait cru, ou tout simplement assez intelligente pour ne pas se faire prendre ?

L’enfance est la phase de la vie où m’on expérimente, où l’on cherche ses limites ; bien sûr que les bêtises ont fait partie de son quotidien. Malicieuse et joueuse, elle n’a jamais véritablement arrêté en réalité. Élevée cependant dans une famille dont les valeurs et les apparences étaient importantes, le tout fut d’apprendre à se faire passer pour la gentille dans l’histoire. Bonne comédienne, autant dire que cela n’a pas vraiment été un problème pour elle. Douée en musique, elle n’avait aucun mal à se faire passer pour l’enfant sage de bonne famille. Non pas que cela la passionnait à l’époque, mais il faut croire qu’avec un nom comme Wagner, on n’a pas véritablement le droit de refuser ce destin qui nous poursuit.

L’émancipation arrive presque trop vite lorsque l’on est une enfant choyée dans une famille aimante. Bientôt les onze ans frappent à la porte. Il est temps d’entamer un nouveau chapitre d’une vie qui défile déjà beaucoup trop vite et d’aller à l’école…l’école de magie. Il aurait été simple, peut-être trop simple, de l’inscrire à Beaubatôns. Difficile pour elle de le comprendre dans un premier temps, mais il paraissait que Poudlard avait une bien meilleure réputation. Plus de prestige peut-être ; impossible d’entrer dans la tête de ses parents pour le comprendre. Toujours est-il qu’elle peut au moins se vanter de parler aussi bien l’anglais que le français à présent.

Que dire sur ses années d’études à Poudlard ? C’était une bonne élève qui aurait pu faire tellement plus si elle s’était investie davantage. Principalement douée en cours de vol –sa matière préférée- et bonne joueuse de Quidditch sous les couleurs de sa maison, ses années à Poudlard ont sans doute été les plus belles de sa vie. Fidèle à elle-même, elle ne manquait pas une occasion pour faire quelques petits coups avec ses amis, bien sûr. L’avantage d’être une magicienne telle qu’elle, qui peut se transformer à volonté, c’est qu’il est difficile de se faire prendre. Malicieuse, toujours. C’est un trait de sa personnalité qui ne l’a jamais vraiment quittée.

Est-ce incompatible avec le métier de professeur ? Très certainement pas pour elle en tout cas. Au délà de ses talents en tant que professeur de vol, elle a très vite appris à mettre à profit ses talents de métamorphomage pour ennuyer ses chers collègues qui lui tournaient un peu trop autour…ou alors était-ce elle qui avait commencé à leur tourner autour ? Elle ne sait plus. Mais elle se souvient de l’un d’eux en particulier était particulièrement proche elle…Ce qui ne la rendait que plus joueuse encore. Jusqu’à reprendre l’apparence de ses onze ans pour l’embêter un peu – la plus grosse connerie de sa vie, avec le recul.

Il y a eu le patient zéro, le tout premier cas. Puis un autre, et alors que toute la communauté magique –la communauté au courant s’entend- cherchais des solutions pour éviter ça, elle ne pensait pas un instant que cela pourrait lui tomber dessus. Trop peu de cas recensés, trop peu d’informations. Puis le nombre ne cessait d’augmenté et l’idée lui traversait l’esprit de temps en temps. Elle aurait dû se douter, lorsque ses pouvoirs ont commencé à détraquer, que ça allait lui tomber dessus. Une vilaine grippe, ou un virus dans le genre, s’était-elle dite. Sauf que ce n’était rien du genre. Et qu’abrutie comme elle était, elle n’avait rien changé à ses habitudes.

Tête haute, elle s’était fièrement éloignée de son collègue après, encore une fois, avoir pris l’apparence d’une enfant tandis qu’il se rapprochait d’elle une énième fois en lorgnant sur ses seins. Elle voulait le faire chier et rien de plus. Exactement comme d’habitude ; un petit jeu entre eux qui lui plait bien ainsi. C’était la fois de trop, la fois faite pile au mauvais moment. La panique d’abord. Simple, pure, dans toute sa splendeur. Une augmentation de son rythme cardiaque et de celui de sa respiration. Puis, la tentative de calme, pour refaire un essai, devant un miroir, la dernière tentative désespérée qui ne mène à rien. Impossible de redevenir elle-même, impossible de lancer un sort, même minime. Impossible. Impossible. La panique de nouveau.

Elle se met à pleurer. Comme une gamine –putain d’ironie. Puis se calme à nouveau. Ascenseur émotionnel, y’a rien de pire, vraiment. Elle s’isole dans sa chambre, des heures durant. Une journée peut-être. Beaucoup d’heures et beaucoup de tentatives plus tard, elle décide finalement d’en parler, résignée. Elle est malade. Elle se déteste. Elle le déteste aussi. Elle se maudit et déteste sa vie, longtemps, souvent. Même actuellement il lui arrive de s’en vouloir et de détester sa situation. Mais elle ne peut plus rien y faire. La voilà gamine de onze ans revenue en première année le temps que l’on trouve un remède à cette épidémie. Vie de merde. Sérieux.

Félicitations tu as réussi à faire ta fiche de répartition. Le Choixpeau n’a pas hésité plus d’une minute avec toi et a pris sa décision. Maintenant que tu as été réparti dans ta maison, tu vas pouvoir procéder à toute la partie inscription administrative de Poudlard

N’oublies pas qu’ici tu peux t’amuser rapidement alors n’hésites pas à nous rejoindre soit dans le Flood soit sur la ChatBox tout le monde est le bienvenue. Tu peux maintenant commencer à créer de nouveaux liens avec les autres élèves, tu trouveras tout ça dans le journal du sorcier. Ce n'est pas tout, il va falloir que tu viennes recenser ton personnage dans le dortoir, les clubs, l'équipe de quidditch, tu trouveras tout ce qu'il faut dans les parchemins indisensables Ensuite si tu as la moindre question n’hésites pas à envoyer un hibou à l’un des membres du Staff. Allez nous t’attendons vite à Poudlard et nous tenons à te remercier d’être venu sur MUM. Si tu as envie de RP mais que tu n'as pas de partenaire, viens t'inscrire au speed dating version sorcier, mais tu peux aussi consulter le répertoire des sujets libres et communs . . Enfin, pour consulter la liste des cours, c'est par ici .

Si tu veux agrandir ton cercle d'ami et que tu as une idée en particulier, n'hésites pas à créer ton propre scénario, une fois que tu auras deux semaines d'activité sur le forum et un RP en cours, que tu peux faire ici et enfin pour surtout gagner le coeur de nouveaux sorciers nous t'invitons à voter pour MUM dans la session que tu trouveras dans la taverne.


Cordialement,
Le Choixpeau Magique