Drabble en musique

Prénom & Nom : Salem W. Engelmann
Genre musical désirée : Je n'ai pas de préférence, j'écoute de tout donc bon

Prénom & Nom : Tim H. Redford
Genre musical désirée : tout mais pas Disney ! :D

Prénom & Nom : Christiane Y. Falck
Genre musical désirée : Comme j'aime bien être chiante, j'vais dire du classique ♥

Prénom & Nom : Eärendil Y. von Schünberg
Genre musical désiré : de la pop, variété française, métal symphonique...

Prénom & Nom : Lionel Lemaire
Genre musical désiré : Le genre musical que tu déteste le plus, qui te fait saigner des oreilles, qui te donne envie de t'arracher la tête. Comme ça, je tenterai de te le faire aimer, le temps d'un petit drabble.

Prénom & Nom : Zephÿr Rosenberg
Genre musical désiré : Rock/Metal/Variété française des années 80/90/2000. Tu as le choix.

C'est vraiment une excellente idée cette animation.

Prénom & Nom : Heathcliff A. Lovecraft
Genre musical désiré : Métal

Prénom & Nom : Aldous B. Koch
Genre musical désiré : Métal

Prénom & Nom : Hope E. Scott
   Genre musical désiré : J'aime bien l'idée de Mérope mais je veux pas lui voler Dinsey donc selon l'inspiration xD
   

Prénom & Nom : Nathan Metcalf
Genre musical désiré : n'importe quoi x)

Eärendil Y. von Schünberg a écrit:

Allez, je tente moi aussi ! :D

Prénom & Nom : Eärendil Y. von Schünberg
Genre musical désiré : de la pop, variété française, métal symphonique...

Prénom & Nom : Lenora E. Stenson
Genre musical désiré : pop, variété française, métal symphonique... Comme pour Eä, de tout :D

Pour Chris:

Citation :

Les bruits des guitares ne se comparent pas aux harpes de sa France, de sa France natale, de sa France qui coule au travers de ses veines de diamant, elle, princesse qui vient de l’Hexagone pour tracer des carrés de fleurs et des polygones dans lesquels elle affirmera sa suprématie. La géométrie n’aura pas raison d’elle, parce que Moïra, elle ira plus loin que la mer, elle ira plus loin que la Terre, tout, pour simplement compenser la perte d’un frère.

Les grattements se poursuivent. Un. Deux.

Ça lui caresse l’oreille.
Ça lui fait trembler l’échine.

Bella.
Bella.

Tout le monde ne s’arrête que sur ses cheveux bruns, on lui dit qu’elle est belle, mais elle rit, elle lève la tête dans les airs pour regarder le ciel et éclater de rire au travers du Soleil. Elle répondait au nom de Bella, mais elle ne répondait pas au nom de Belle. Elle était intelligente, elle était belle, elle le savait, mais elle n’était pas une de ses princesses de conte de fées qui attendait la venue d’un prince. Les bêtes, elle les laissait aux brutes, elle les laissait aux gens incapables d’apprécier les plaisirs de la littérature. Qu’on laisse les phénomènes aux contes fantastiques, parce qu’elle était incomparable, elle était plus qu’un simple personnage, elle dansait le soir pour devenir la chaise sur laquelle les hommes se trémoussaient pour le plus grand des plaisirs.

Moïra, elle avait un fiancé, oh, il devrait s’en mordre les doigts de ne pas l’avoir eu, d’avoir effleuré les plumes de l’aigle et l’avoir laissé filé entre ses doigts. Elle fait trembler les gens, elle frissonne quand les mains des Bulgares passe sur son corps, mais elle se fait faible pour amadouer, elle est une hypocrite.

Tout le monde la haïssait, personne ne la comprenait, Thomas était le seul, Thomas, son jumeau, son double, son miroir, il défie la géométrie, elle avait si peur de le perdre, si elle le caressait, elle le perdrait peut-être ; si elle pouvait enfermer son monde dans une boule à neige, elle le ferait. En attendant, elle marche et elle danse, elle fait tout trembler, elle devient la chaise sur laquelle on s’assoit, et quand on danse, elle devient la chaise musicale.

Elle caresse ses chats, ses chats comme sa Cour, comme son seul rappel qu’au travers des terres anglaises, elle demeurait encore la princesse française. Que tout le monde lui fasse tourner la tête pour oublier le vide dans son cœur, le sentiment de malheur, la perte d’Alexandre. Alexandre. Alexandre. Ça sonne comme un nom de roi. Ça sonne comme un nom de guerrier. Ça sonne comme la pureté. Fais-moi tourner la tête. Fais-moi tourner la tête. Je prétends que tout va bien, mais je me menace de me briser.

Elle répondait au nom de Bella.

Elle ne répondait à aucun autre.

Elle répondait au nom de Bella.

Elle ne répondait aux autres noms.

Elle répondait au nom de Bella.

Elle était belle.
Elle était belle.

Elle était Bella.

Olala. J'ai lutté mais j'ai réussi à rester concentrée. Donc voilà ce que j'ai balancé. C'est court mais Renaud ça inspire des trucs brefs et du langage familier.

Spoiler:

Citation :

La renarde se promène dans les bois, avance doucement, fait craquer quelques brindilles au sol. Soudain, elle accélère le pas, elle sent que quelque chose approche, mais elle est incapable de distinguer quoi. Le danger la guette, et elle l'évite comme elle peut. Elle est agile, elle l'a toujours été, depuis le premier jour. Même si il a fallut du temps pour qu'elle puisse se transformer parfaitement, l'agilité a toujours fait partie d'elle. C'est peut-être pour cela qu'elle a choisi le renard, ou que l'animal l'a choisi.

Soudain, elle se retrouve dans une clairière ensoleillée. Le danger semble être loin derrière elle, et au milieu de cette clairière, il y a ce garçon, Skye. Il est immobile, la dévisage, et elle aussi, elle le regarde. Ils attendent quelques seconde, une éternité de silence. Puis, petit à petit, chacun avance vers l'autre, rompant cette distance qui les sépare depuis tellement longtemps. C'est tendu, c'est sucré, c'est explosif.

Citation :

Eärendil s'occupe doucement de cisailler les herbes qui dépassent des jeunes pousses de mandragore. Elle a du sortir plus tôt que prévu les jeunes plantes de leur pot, il y en a eu besoin pour les victimes du basilic. Eärendil se fait du soucis pour ceux qui ont été pétrifiés, mais aussi pour ceux qui perdent leur pouvoir. Il y en a de plus en plus. Quand elle ferme les yeux, elle sait au fond d'elle qu'elle aussi est infectée. Elle soupire.

Elle ne veut pas le perdre, pas les perdre. Elle a déjà trop souffert. Papa, maman.... Le sourire s'efface doucement et elle se revoit dans le bureau d'une femme. Une femme aigrie qui lui annonce que ses parents sont morts. L'image s'efface et finalement, elle se retrouve au milieu d'une foule de sorciers. C'est la nuit de la bataille de Poudlard. Eärendil chasse cette image de ses pensées et continue de s'activer autour de ses plantes. Au moins, elle peut faire quelque chose. Au moins, elle peut encore être utile. Jusqu'à quand ? Jusqu'à quand pourra-t-elle apporter du soin aux autres ? Et lui... Sera-t-il toujours là pour elle ? Et si il était en danger ?

Spoiler:

sur Yassen:

sur Cassiopé: