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Kamen profite de la faiblesse de Pandore, il est celui qui lui fera faire des conneries, voir même des choses dangereuses et pourtant... La gryffondor se sent en vie grâce à lui, elle aime ce qu'elle ressent en présence de Kamen malgré les reproches de son frère ou de sa propre conscience qui lui hurle qu'elle devrait arrêter de jouer à ce petit jeu... Mais elle a besoin de ces moments-là, telle une drogue, car il n'y a qu'elle, elle oublie tous ses problèmes, elle ne pense plus à la mort de son frère et au fait qu'il vit dans sa tête...  

blablabla

Son frère, son double, son ombre, son "partenaire in crime". Jusqu'à leur entrée à Durmstrang, les jumeaux n'ont fait qu’un et malgré ce qu’ils ont pu faire croire à Ilia et Oxana, ils n’ont toujours fait qu’un. Durant toute leur enfance ils ont chacun été habitué à être "les jumeaux", sans aucune distinction. Cela les a liés à jamais, mais les a également énormément atteint. Être deux personnes différentes et n'être pris que pour une seule, c'est quelque chose que chacun des jumeaux a eu du mal à vivre. Alors ils se sont renfermés sur eux-mêmes renfermaient, suivaient stupidement leur sœur Oxana dans ses délires de tortures, ne se posant jamais trop de questions, ne réfléchissant pas par eux-même. C'est à leur entrée à Durmstrang qu'ils ont commencés à se distinguer l'un de l’autre, leur caractère prenant place, leur permettant d’enfin réfléchir par eux-même. Malgré leur différence croissante, les jumeaux sont restés très proche.
Il y eut la période où Kamen se rapprocha d’Ilia, ce qui énerva sérieusement Yassen, qui sembla de son côté se rapprocher d’Oxana. Cette période dura quelques années, semblant les éloigner quelque peu, puis Ilia partit de Durmstrang, et ce fut alors l’âge d’or des jumeaux Yordanov à Durmstrang.
Chacun avait son truc, Kamen son addiction pour les confections et tests de poisons, Yassen son addiction pour la violence et les combats, mais ils ont avaient aussi leur truc bien à eux. Les soirées. Si Yassen a longtemps fait croire à Oxana qu’il était seul derrière la création de ces soirées démentes à Durmstrang, Kamen l’avait en fait toujours aidé, lui donnant des idées, des suggestions, etc.
Il faut savoir que Kamen et Yassen ne se sont jamais réellement séparés. Même lorsque Kamen s’était rapproché d’Ilia, même lorsque Yassen s’est rapproché d’Oxana, même lorsque Kamen a abandonné les maltraitances envers Zahari, même lorsque Yassen s’est plongé dans ses combats et Kamen dans ses poisons, ils sont restés proches. Ils se sont toujours tout dit sans jamais vraiment se le dire. C’est un peu comme s’ils pouvaient communiqué sans avoir à parler. Chacun connaît les tics, mimiques et habitudes de l’autre. Ils se comprennent d’un seul regard. S’ils ont fait les 400 coups à Durmstrang, ils comptent bien en faire de même à Poudlard !

À son arrivée à Durmstrang, Andreï a tout de suite pris Kamen sous son aile. Ils se ressemblaient, tous les deux ayant le poids de leur famille sur les épaules. Ils se sont appréciés sincèrement, mais leur différence les ont éloignés. Puis... Andreï a fait du mal à Nina, la meilleure amie de Kamen, et même si celui-ci ne sait pas encore que Dimitrov est coupable, il risque de vouloir l'empoisonner lorsqu'il saura.

Kamen et Teo ont commencé à se parler lorsqu'ils firent un duel l'un contre l'autre. Mais pas n'importe quelle sorte de duel, car ce dernier n'était pas magique, plutôt à la force des poings. Le combat était particulièrement serré, mais finalement ce fut Teo qui le remporta. Autant dire que Kamen n'était pas spécialement ravi de cela et c'est pourquoi, il voulu empoisonner Teo. D'ailleurs il réussi, mais à cause de cela, Teo fut envoyé à l'infirmerie, car sa vue se troublait, il se mettait à cracher du sang, et il délirait par moment. Peu à peu son état empirait et finalement Kamen se décida à intervenir, car après tout il voulait lui faire une leçon et non pas attenter vraiment à sa vie. Ainsi il concocta l'antidote et Teo se remis sur pied, mais même s'il savait que c'était à cause de Kamen qu'il s'était retrouvé dans cet état, il ne pipa mot, car après tout... Désormais Kamen avait une dette envers lui, puisque s'il avait parlé, il aurait été renvoyé. Pour le moment il n'a pas récupéré son dû pour que la dette soit effacée, alors il en joue et il en rajoute, mais il se doute bien qu'un jour Kamen pourra bien l'aider et il n'aura d'autres choix que d'accepter.

Kamen s'est mis en tête de mener la vie dure à Axel, pour il ne sait quelle raison. Apparemment, il se seraient moqué d'eux - eux étant les élèves de Durmstrang. Bien évidemment, Axel ne l'a pas fait, et tente en vain de l'expliquer au Serpentard. En effet celui-ci s'en prend donc souvent au Poufsouffle dès qu'il le croise. Axel se sent incapable de riposter, étant étrangement attiré malgré lui par son assaillant.

Quand Kamen a faillit se faire croquer par Orion un soir de pleine lune, Leorry lui a sauvé la vie. Sans lui, le jeune slave serait sûrement mort, ou même devenu à son tour loup-garou. Leorry est arrivé à temps, et Kamen se sent maintenant redevable. Seulement, le jeune Serpentard ne sait pas comment payer sa dette, surtout qu'il ne doit parler de ce qu'il s'est passé à personne.

Un soir de pleine lune, Kamen s'est trouvé au mauvais endroit au mauvais moment. Orion transformé, le loup a bien failli ne faire qu'une bouchée de Kamen. Il était devenu sa proie. Le jeune Serpentard n'arrive pas à effacer l'image des crocs de la bête de ses pensées. Il ignore qui est le sorcier derrière le loup-garou, mais il cherche à tout prix à le démasquer pour le faire renvoyer, ou pire.

But I must explain to you how all this mistaken idea of denouncing pleasure and praising pain was born and I will give you a complete account of the system, and expound the actual teachings of the great explorer of the truth, the master-builder of human happiness. No one rejects, dislikes, or avoids pleasure itself, because it is pleasure, but because those who do not know how to pursue pleasure rationally encounter consequences that are extremely painful. Nor again is there anyone who loves or pursues or desires to obtain pain of itself, because it is pain, but because occasionally circumstances occur in which toil and pain can procure him some great pleasure. To take a trivial example, which of us ever undertakes laborious physical exercise, except to obtain some advantage from it? But who has any right to find fault with a man who chooses to enjoy a pleasure that has no annoying consequences, or one who avoids a pain that produces no resultant pleasure?

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