Phoenix ▶ titre en cours.

Beau, très beau, et jeune garçon qui nous vient tout droit de Poudlard pour entamer sa huitième année, GISIS en politique magique au collège. Il est né à Hammersmith, Londres en ce beau jour qu'était le seize juin 1980 en tant que sang-pur ; à présent il vit à Poudlard durant sa scolarité, et pendant les vacances, au Manoir de sa famille, à Hammersmith. Il est plutôt doux, chaleureux - quand on le connaît, casse-cou, studieux, loyal envers ses amis, charismatique, malin mais aussi sarcastique, mystérieux, égoïste, séducteur, possessif, franc, manipulateur, hautain, fier, froid. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être bon, après tout dépend des branches. Mais disons que la seule branche ou il est mauvais, est l'étude des moldus. Il y a quelques années maintenant, il s'est procuré une baguette faite en bois de ebène, mesurant 30 centimètres et contenant une plume d'hippogriffe. Avec cette baguette, il lui est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'un rat. La vision qu'il a eu face au miroir du risèd : être le seul homme dominant de la famille. Avoir le pouvoir, rien qu’à moi seul. Tout contrôler, tout diriger, depuis mon trône en or. Que les gens s’agenouillent devant moi, que ce soit ma famille que de simples mortels.. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. C'est plutôt une situation. Que la race pure s’éteigne. Que le monde soit uniquement peuplé par des moldus. Ce qui m’irrite le plus, c’est de voir un sang-de-bourge au pouvoir. Plutôt crever. , dans son cas.

ϟ Que pensez-vous de l'échange européen inter-écoles ? Ce que j’en penses ? Que c’est du grand n’importe quoi. Je ne sais pas vraiment ce qui a pu passer dans la tête de notre très cher nouveau directeur de Poudlard. Une lubie de vieux, certainement. Va savoir. Je ne dis pas que je suis contre, loin de là, il y a toujours de bons côtés partout, mais après la bataille que nous avons vécue, non. Il n’était déjà pas simple de réussir à s’apprécier entre quatre maisons, au sein d’une même institution, avec toutes les rivalités que cela encoure, mais rajouter maintenant deux autres écoles … C’est la mort assurée. Non pas que ça me déplaise de voir circuler dans nos couloirs de nouvelles charmantes jeunes filles – ça change de voir traîner toujours les mêmes – mais je me dis qu’après ce qu’il s’est passé, je ne suis pas spécialement pour. Certes, Poudlard a été fermé une année après la bataille, ce qui a laissé, en quelque sorte, un temps d'adaptation pour tout le monde. Mais revenir dans cet endroit, après ce qu'il s'est passé se retrouver avec trois fois plus d’élèves avec les hormones en ébullition, c’est n’est pas une partie de joie. Au moins, personnellement, un de ses avantages, et que la plupart des élèves étrangers de me connaissent pas, et ne savent donc pas la réputation que je me traine depuis la première année ici. Mais pour le reste … je ne changerais pour rien au monde mon opinion sur ce point.

ϟ Que faisiez vous lors de la Grande Bataille ?  Je jouais à une partie de scrabble buvant une tasse de thé, à l’anglaise, le petit doigt en l’air. Vous en avez des questions encore plus idiotes ? Pendant la dernière année, à la suite de la mort de Dumbledore et avant la bataille, mes parents avaient décidé que je retourne à Poudlard, suivre mes cours sous la direction des Carrow, et pour que je garde un œil sur ce qu’il se passe, de l’intérieur. J’avoue, préoccupé à autre chose, je ne l’avais pas vu venir. Au début, tout naturellement, j’étais du côté des élèves, de l’école. Malgré que mes parents soient du côté obscur, et que, en partie, je l’étais aussi – en témoignait la marque que j’avais sur mon avant-bras – je n’avais pas envie que tout mon avenir s’écroule à cause de … ce mage noir. Je voulais que l’autre traître se rende, bien sûr, mais en attendant je combattais, comme je le pouvais – je n’avais que dix-sept ans au fond – auprès de mes camarades et des professeurs. J’essayais de survivre. J’ai passé plus de temps à en esquiver plutôt qu’à la lancer, et pour finir, comme un lâche, j’ai été me cacher dans un coin et je n’ai plus bougé de là, regardant ce qui se passait sous mes yeux d’un regard passif.

ϟ Avez-vous peur de perdre vos pouvoirs ? Pourquoi ?  Quel sorcier n’en aurait pas peur ? Bien sûr. Je ne pourrais plus vivre sans mes pouvoirs. Je n’ai connu que ça, dès ma naissance, alors tout à coup devenir un cracmol – alors que je passe mon temps à les mépriser – non merci. Ou ressembler à un moldu, encore pire. Mes pouvoirs, c’est justement ce que j’ai en plus. Qui me différence des êtres humains tout à fait normaux. Qui montre – en quelque sorte – ma supériorité. Je me dis que, si je suis né avec des pouvoirs, ce n’était pas pour rien, alors oui, je dirais que c’est une de mes plus grandes peurs. Tout est tellement plus simple quand on connaît la magie.

ϟ Quelle est votre réputation à Poudlard ? Que pensent les autres élèves de vous ?  Tout dépend quel point de vue vous voulez exactement. Si c’est celui de ma maison, dont je fais partie depuis mes onze ans, disons que j’y ait une place respectable, soit on m’aime, soit on me craint. Je ne suis pas le type qui a besoin de trente-six mille amis pour se sentir bien dans sa peau. Chacun vous dira que je suis quelqu’un de drôle, toujours prêt à faire les quatre coups à droite et à gauche, un grand séducteur avec la gente féminine, et toujours à l’écoute, quoique … j’ai surtout appris à faire semblant. Je ne suis pas souvent d’un bon conseil et je ne sais pas consoler les gens. Bref, les autres étudiants de ma maison, ceux de mon âge du moins, m’apprécient pour ma juste valeur, les plus jeunes, qui ont commencé après moi, ont plutôt tendance à me craindre, ou alors à toujours traîner dans mes basques, en sorte de protection. Personne n’ose sans prendre à moi, sauf quelques petits courageux. Tout le monde connaît mon nom de famille, et donc ma famille. J’impose le respect.

Les autres maisons, là aussi, tout dépend de laquelle. En principe, je ne me mélange pas, sauf en cours, si je n’ai pas le choix. La plupart diront que je suis un petit con prétentieux, toujours la tête haut, froid. A me pavaner dans les couloirs, à faire mon show. Ce qui est vrai, j’ai besoin d’un public. Tout le monde m’admire tout autant qu’ils ont peur de moi. Encore plus depuis la chute de Dumbledore, ou j’ai dévoilé ma vraie facette. Mais au fond, suis-je vraiment tout ça ? Qui suis-je réellement ? Personne ne me connaît vraiment. Tout ça n’est un jeu pour moi. Je m’adapte à la personne que j’ai en face.   

Pour les élèves de Poudlard : Honnêtement, disons qu’après la mort de Dumbledore, je m’y attendais un peu à tous ces changements au sein de l’école. Mes parents étant de parfaits Mangemorts, et ayant moi-même la marque depuis peu de temps, ils m’avaient averti que quelque chose se préparait. Je ne savais pas quoi par contre. Alors oui, dans un sens, la mort de notre regrettable directeur fut un choc pour moi. Comme toute l’école, j’étais dehors, avec eux, le regard dans le vide, ma baguette levée vers le ciel. Je n’aimais pas ses idées, encore moins son ouverture face aux enfants moldus, mais au moins, je savais qu’avec lui à Poudlard, nous étions en sécurité. Et maintenant, je n’étais plus sûr de rien. Derrière ma carapace de dur à cuire, j’étais plutôt un grand trouillard. Je n’avais que seize / dix-sept ans en fin de compte. Encore trop jeune pour tout comprendre dans ce monde, et surtout tous les enjeux. Je suivais le mouvement à cause de mes parents, mais sans réelle conviction.

Au début, pour ma sécurité, ils voulurent que je reste avec eux, à Hammersmith, dans le domaine familial, mais j’avais tenu bon. Je savais que rester là-bas, ça me rendrait totalement fou.  J’étais donc retourné à l’école, et, je ne fus qu’à moitié surpris par la nomination de Rogue. Cela ne me fit ni chaud ni froid. J’essayais plutôt de rester en retrait, de me faire oublier. Je savais ce qu’il valait en tant que professeur de potion, et il était plutôt bon d’ailleurs, mais en tant que directeur … il devait encore faire ses preuves. Quoi peser de ses acolytes ? Les Carrow ? Je ne saurais dire. En tant que sang-pur et descendant de Mangemort, j’avais la paix. Ils s’attaquaient plutôt aux enfants nés sans pouvoir.

A l’orée de la bataille, quand Harry Potter fit son entrée remarquable, je restais parmi les miens. Soudés, à jamais. Tout était embrouillé dans ma tête. Une très grande partie de moi voulait le rejoindre, tout laisser tomber. Mettre à mort le Maître des Ténèbres, mais une autre, la loyauté, l’amour, mes convictions, me poussèrent à me taire. A me faire tout petit et rejoindre ma famille. Combattre à leurs côtés. Même si, techniquement, j’ai passé plus de temps planquer quelque part que réellement combattre. Mais je ne voulais tout simplement pas voir la déception dans leur regard. Je n’eus d’ailleurs jamais eu le temps de la voir, leur déception, ni le reste. Ils se firent tués durant la bataille. Depuis, je suis complètement perdu, sans aucun repères, ancrés dans mes idéaux, sans aucune lumière pour me guider. Perdu.

ϟ Ton pseudo : spf ϟ Ton âge : vingt-six ans. ϟ Ton avis sur mumblemumps :   . ϟ Le mot de la fin : j'espère que je m'y sentirais et et que je trouverais ma place   .

Seul, déambulant dans les couloirs de ma demeure, devenue trop grande à mon goût, je faisais le vide dans ma tête. Je réfléchissais aux événements antérieurs. A la mort de Dumbledore, à l’accession au pouvoir du professeur Rogue, de la marque que j’arborais dorénavant sur mon avant-bras, de la bataille du Maître des Ténèbres contre l’Elu, et, surtout, le plus chagrinant, la mort de mes parents. Mes seuls repères. Arrivé inconsciemment dans le salon, je me laissais tomber sur un fauteuil en velours, regardant les servantes à mon service s’activer à faire je ne sais pas trop quoi. D’un claquement de doigt, je fis appel à mon elfe de maison, Terry. Je lui demandais d’aller me chercher un objet – trop flemmard pour bouger de ma place, autant s’en servir – et cinq minutes plus tard, il revint, la pensine sous le coude. Je le remerciais avant de le laisser vaquer à ses occupations. Je la posais devant moi, sur la table basse, et d’un mouvement de bras, à l’aide de ma baguette, j’en fis sortir mes souvenirs. De ma plus tendre enfance à maintenant. J'avais besoin de me remémorer, de plonger dans des temps plus joyeux, ou nous étions encore réunis.



Un jardin s’étendait à perte de vue. Un petit garçon d’environ cinq ans – qui n’était personne d’autre que moi – courrait dans tous les sens, un balai entre les jambes. Se prenant pour un sorcier. Ce qu’en réalité, j’étais. A cet âge-là j’étais encore inconsciemment, loin de tout ce monde. Mes parents, émerveillés, les yeux brillants, s’approchèrent de moi. « Phoenix, chéri, tu peux arrêter un moment, s’il-te-plaît ? Nous avons quelque chose d’important à te dire ».  Dans ma petite tête, rien n’était plus important que le jeu. Je secouais vigoureusement la tête, leur tournant autour, à une vitesse folle. « Naaaaan, ze veux jouer. Ze suis un sorcier », dis-je, en brandissant une baguette, alors qu’il s’agissait d’une simple branche que j’avais ramassé au pied d’un arbre quelconque. « Pfiou pfiou pfou », continuais-je, comme si des sorts sortaient de ce petit bout insignifiant. « PHOENIX », mon père leva la voix. Je blêmis, arrêtant tout mouvement, et, traînant les pieds, j’allais m’asseoir à leur table. Boudeur. Les bras croisés. Il se racla la gorge, pris la main de ma mère dans la sienne, et planta son regard dans le mieux. Je me recroquevillais au fond de ma chaise. Je n’avais pas quand il me regardait de cette façon. « Avec ta mère, nous sommes arrivés à la décision que tu étais en âge de savoir. Tu es maintenant un grand garçon, et plus tôt tu seras au courant, mieux ça sera ». Il chassa une mouche imaginaire. Toute peur avait disparu, et je le regardais maintenant, impatient d’entendre la suite. « La famille Derwent est une famille de sorciers ». Mon cerveau se déconnecta. Mes neurones n’arrivaient pas à assimiler ce que je venais t’entendre. Je regardais tout à tour ma mère, ainsi que mon père, avant qu’il ne se le lève, silencieux, et qu’il parte en direction de notre maison. « M’man ? » Je tournais la tête vers elle. « C’est … c’est une blague ? Un poisson d’avril ? » Elle secoua tout simplement la tête, ou moment ou père revint, avec deux albums photos sous la main.  Il les déposa devant moi, les ouvrant. A l’intérieur, des images en noir et blanc. Rien de très original, dirons-nous, à la seule différence près que les personnages gravés dans le papier, bougeaient. Je les regardais, fasciné, tandis que mon père me racontait l’histoire de notre famille. Je buvais chacune de ces paroles. « […] j’ai estimé qu’il était temps que tu l’apprennes, fiston. A ton âge, tu ne sais encore pas contrôler le monde qui t’entoure, ni ce que tu as en toi. Tu vas certainement vivre de fortes émotions, comme tout gamin, sauf que chez toi, et bien, … il risque d’y avoir des dégâts. Un verre qui casse tout seul, des choses qui volent … », il posa sa main sur mon épaule, me fixant droit dans les yeux. « Mais il ne faudra surtout pas t’inquiéter, avec maman nous sommes là pour toi. Toujours ».



Juin 1990. « Phoenix, arrête, ça chatouille », je continuais de plus belle, torturant avec mes mains la jeune fille couchée sous mon poids. Fallon. Ma meilleure amie, avec laquelle je passais le plus clair de mon temps, une fois que j’étais autorisé à sortir. A dire vrai, c’était un peu la seule amie que j’avais. Mes parents me surveillant de très prés. Je ne lui avais jamais dit qui j’étais réellement, notre amitié étant bien plus importante à mes yeux. Nous étions comme les cinq doigts de la main. Soudés. « Qu’est-ce qu’on dit ? », dis-je, alors qu’un rictus sadique se dessina sur mes lèvres. « S’il-te-plaaaaît ». J’arrêtais, avant de me coucher à ses côtés, contemplant le ciel, rêvant que, quelques années plus tard, elle sera toujours là. Un bruissement derrière nous me fit tourner la tête. Mon père se tenait là. La tête haute, le teint livide, les lèvres pincées. « Hou hou, ça ne sent pas bon ». En effet, car il ne tarda pas à ouvrir la bouche. « Phoenix, rentre à la maison, tout de suite ». L’air désolé, je fis un bisou sur la joue de mon amie – comme seuls savent le faire les enfants – en lui promettant que je repassais dès le lendemain, avant de partir en direction de la maison. La boule au ventre. Les hostilités ne se firent pas attendre.  « A partir de maintenant, je t’interdis de revoir cette fille. Et n'essaie pas de la voir en cachette, nous le saurons. Selon toi, pourquoi ta mère sue nuit et jour pour te faire les leçons à la maison ? C’est justement pour éviter que tu traînes avec ce genre de personne, et que tu t’éprennes à des moldus ». Ce n’était pas la première fois que mon père prononçait ce mot, et j’avais compris qu’il désignait les gens sans pouvoir magique. « Il me semblait te l’avoir dit déjà plusieurs fois. Nous sommes une famille de sang-pur ! Jamais, au grand jamais, nous nous mélangeons avec la race inférieure. Ni avec les moldus, et encore moins avec des sang-de-bourbes, qui volent nos pouvoirs, qui ne les méritent pas ! » Je l’écoutais qu’à moitié, ayant compris là ou voulait en venir. Je le laissais faire son laïus. Sans dire un mot.  « […] Oublie-là ». Et effectivement, dès ce jour, je ne l’ai plus jamais revue, enfin ... pas tout à fait. Mais pas oubliée.


Durant ma scolarité à Poudlard, voulant toujours plus, toujours mieux que mon père, je me suis entraîné, en catimini. A devenir un Animagus. Et autant dire, qu’on ne le devient pas en deux coups de baguette. Depuis le temps, ça ne marche qu’une fois sur trois. Donc, je sais que j’en suis capable, que j’en ai les moyens, mais il me faut encore de l’entraînement. Au vu des derniers événements subvenus à Poudlard, et ayant dû rester une année entière chez moi, j’ai dû abandonner, mes parents n’étant pas au courant. Dès ma nouvelle année, je vais recommencer, me donnant encore plus à fond. Toutefois, lors de mes réussites, j’arrive à me transformer en chat noir, et, bien évidemment, mon nom n’est pas inscrit dans le registre que tiens le Ministère, n’en étant pas encore tout à fait un. Don validé par Cassandre.


Etant conditionné par mes parents depuis mon plus jeune âge, ce qui devait arriver arriva. Mes parents étaient des Mangemorts, et, alors que j’étais âgé de seize ans, ils ne m’ont pas trop laissé le choix, et d’un côté, j’en avais envie. Que les gens voient ma puissante, qu’ils me craignent. J’ai donc rejoint leur rang, pour leur plus grand plaisir, et depuis, je me retrouve avec la marque des ténèbres sur mon avant-bras. Je n’en suis plus vraiment fier, et, la plupart du temps, je la cache, s’il y a possibilité. Même si, dans un sens, ça ne change pas grand-chose, les gens sachant très bien qui était du côté de qui. A la reprise des cours, suite à la mort de Dumbledore mes parents m’ont renvoyé à Poudlard, malgré leur réticence. Ils ne voulaient pas que les gens se posent trop de question, et j’étais, selon eux, une taupe. J’étais sur place, et donc, je voyais tout. J’étais au courant de tout. Je n’ai jamais tenu compte de mon statut. Préférant leur mentir. Que rien ne se passait. Même pendant la bataille, j’étais un participant passif. Avec le recul, je me dis que, même si je suis pour l’idéologie des sang-purs, plus jamais je n’irais du côté obscur. De devoir obéir à un être infect, qui nous lave le cerveau plus qu’autre chose. Comme à mes parents, qui sont morts à cause de lui. Pour la bonne cause, selon eux. Je ne le lui pardonnerais jamais. Encore maintenant, je sens la marque me brûler. Tatouage superflue, que j’aimerais ôter à tout jamais.    

Félicitations tu as réussi à faire ta fiche de répartition. Le Choixpeau n’a pas hésité plus d’une minute avec toi et a pris sa décision. Maintenant que tu as été réparti dans ta maison, tu vas pouvoir procéder à toute la partie inscription administrative de Poudlard

N’oublies pas qu’ici tu peux t’amuser rapidement alors n’hésites pas à nous rejoindre soit dans le Flood soit sur la ChatBox tout le monde est le bienvenue. Tu peux maintenant commencer à créer de nouveaux liens avec les autres élèves, tu trouveras tout ça dans  le journal du sorcier. Ce n'est pas tout, il va falloir que tu viennes recenser ton personnage dans le dortoir, les clubs, l'équipe de quidditch, tu trouveras tout ce qu'il faut dans les parchemins indisensables   Ensuite si tu as la moindre question n’hésites pas à envoyer un hibou à l’un des membres du Staff. Allez nous t’attendons vite à Poudlard et nous tenons à te remercier d’être venu sur MUM.

Si tu veux agrandir ton cercle d'ami et que tu as une idée en particulier, n'hésites pas à créer ton propre scénario que tu peux faire ici et enfin pour surtout gagner le coeur de nouveaux sorciers nous t'invitons à voter pour MUM dans la session que tu trouveras dans la taverne.


Cordialement,
Le Choixpeau Magique