Hortense » Behind blue eyes

Belle et jeune fille qui nous vient tout droit de Beauxbâtons, de l'Écurie de l'Orchidée pour entamer sa septième année au collège. Elle est née dans le domaine familial, au milieu de la forêt de Brocéliande, en Bretagne en ce beau jour qu'était le 2 janvier 1982 en tant que sang-pur, descendante d'une mère sorcière et d'un père vélane. Dotée d'un charme effleurant le surnaturel, son sang de Vélane déclenche également chez elle quelques changements physiques lorsqu'elle se met en colère : ses yeux deviennent complètement noirs et à un stade plus élevé, sa peau arbore une teinte grisâtre ; à présent elle vit à Poudlard. Elle est plutôt sociable, taquine, indépendante, intrépide, imprévisible, originale et sûre d'elle mais aussi sarcastique, grande gueule, casse cou, fière et lunatique. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être très bon, résultat d'un travail sérieux. Il y a quelques années maintenant, elle s'est procurée une baguette faite en bois d'érable, mesurant vingt-six centimètres et contenant une épine de monstre du Fleuve Blanc. Avec cette baguette, il lui est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'une méduse. La vision qu'elle a eu face au miroir du risèd : Elle qui voit ses origines comme une malédiction, elle y distingue la branche vélane de sa famille dépourvue de cette fascinante aura caractéristique des Vélanes. . Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. Une grande flaque de sang. Etant hématophobe, la simple vision de l'hémoglobine suffit pour déclencher chez elle une peur qui l’agace autant qu'elle l'affaiblit, dans son cas.

ϟ Que pensez-vous de l'échange européen inter-écoles ? Resserrer les liens après la guerre, former une communauté magique soudée... Je me fous bien des raisons qui ont poussé cet échange à se produire, mais il m'arrange bien à vrai dire. Quitter ma France natale pour de nouvelles contrées était une occasion que je ne pouvais pas me permettre de manquer. Et puis il est dit dans les livres que Poudlard regorge de créatures magiques. Il ne m'en a pas fallu plus pour y participer de mon plein gré...

Je dois avouer que je n'ai pas ressenti comme un déchirement le fait de laisser Beauxbâtons et ses uniformes bleu pâle qui m'insupportaient. La si parfaite école française et ses jardins parfaitement symétriques ne me manquent pas, ni son culte de l'élégance. Au lieu de ça, je trouve ici les pros sang pur -qu'ils soient Bulgares ou Anglais- qui s'en prennent à leurs têtes de turc, ce qui ne fait que me conforter dans mon idée selon laquelle le but cet échange ne pourra jamais être atteint. Pour autant, je ne considère pas cela comme mon problème, du moins jusqu'à ce que l'un d'entre eux tente de tourner sa haine contre moi.


ϟ Que faisiez vous lors de la Grande Bataille ?  J'étais en France, sans aucune intention de me rendre en Angleterre. Non pas que mes parents auraient voulu que j'empoigne ma baguette pour prêter main forte, mais mon indifférence face à la situation les a décontenancés quand quelques mois auparavant j'aurais tout fait pour rejoindre mon frère en Angleterre. Habitués à mes changements d'humeur, ils n'ont pourtant pas relevés, s'arrangeant du fait que je sois en sécurité.
En réalité, je ne cessais d'osciller entre le désir de combattre et une indifférente neutralité presque dérangeante. Et comment dire... Un combat entre un qui s'auto-proclame plus grand mage noir de tous les temps d'un côté, et un autre qui se fait appeler l'Elu ou Le Survivant de l'autre mérite d'être observé de loin.


ϟ Avez-vous peur de perdre vos pouvoirs ? Pourquoi ?  Un monde sans sorciers ni magie ne m'a jamais effleuré l'esprit. Sans ressentir de haine envers les moldus, j'ai toujours pensé que si un des deux mondes qui cohabitent actuellement devait disparaître, ce serait les moldus qui s'éteindraient. Sûrement est-ce le fait que je n'ai jamais eu de contact avec eux qui me les fait paraître si faibles. Ou peut-être est-ce une simple vérité...

Mais perdre mes pouvoirs ? C'est une idée qui me terrifie. Je suis venue au monde et j'ai grandi entourée de magie, mon père est un être magique. Littéralement. Une telle disparition de ma magie me contraindrait à une vie chez les moldus. Non seulement ma fierté en prendrait un coup, mais en plus de cela je crains un accueil glacial de la part d'une société non magique envers la moitié de créature magique que je suis. À moins que l'on ne m'ouvre chaleureusement les portes d'un de leurs ridicules cirques ... Non. Juste non. Plutôt envisager la mort qu'une perte de mes pouvoirs.


ϟ Quelle est votre réputation à Poudlard ? Que pensent les autres élèves de vous ?  
Une fille originale, qui semble être la seule à se comprendre parfois. Une intrépide, que l'on voit souvent émerger de la forêt interdite et roder autour du lac. Un garçon manqué aussi, mais doté d'une beauté indéniable que mes cheveux en bataille et mes vêtements d'hommes ne dissimulent pas toujours aussi bien que je le voudrais. L'objectif ? Eviter les regards masculins éperdus que j'attire encore malgré moi. Putain de malédiction. Personne ici n'a connaissance de mes origines vélanes, tout comme ils n'ont jamais vu les légères modifications que la colère déclenche chez moi...

Sinon, j'étais prête à plonger dans le lac noir de Poudlard sans raison valable un jour d'automne, affirmant à qui voulait l'entendre que je ne craignais pas les êtres de l'eau et que je pouvais même parler leur langage -il s'agit d'une simple vérité. Alors ils doivent bien me prendre pour une ahurie un peu trop grande gueule désormais, sans mentionner mes camarades de dortoir, toujours perplexes sur le strangulot qui me sert d'animal de compagnie.

Je me rend compte que j'en déconcerte plus d'un et mon humeur changeante ne doit en rien les aider à se faire un avis sur moi. En vérité ? Je n'y peux rien si mes sarcasmes titillent la susceptibilité des dépourvus d'humour et je ne vois aucun problème à s'emporter face à un individu, aussi agréable sa compagnie puisse-t-elle être la minute d'avant.

Pour les élèves de Beaubâtons et Durmstrang : Un passage par les écuries de Beauxbâtons pour effectuer le trajet à dos de cheval ailé aurait été nécessaire pour que je puisse qualifier mon déplacement de voyage digne de ce nom... J'ai pourtant du me résoudre à emprunter un portoloin -bien trop conventionnel- pour atterrir sous le ciel gris de l'Ecosse en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, découvrant par la suite Poudlard et ses hautes tours de pierres grises. Tu m'étonnes que l'on nous prenne pour des maniérés avec le palais de Beauxbâtons, ses murs immaculés et ses sols de marbre

Les travaux de réparations du château qui encombrent les couloirs me semblent trancher avec les sourires des étudiants anglais, qui essayent misérablement d'oublier le carnage passé. Malgré cela, leur accueil chaleureux à la limite du supportable contribue au processus d'intégration que je me dois de suivre. En plus, moi qui pensais que le programme intensif d'apprentissage de l'anglais que je me suis infligée durant l'été allait m'aider... Autant dire que l'accent français dont je ne parviens pas à me débarrasser semble crier à mes interlocuteurs mes origines, tandis que le leur -fort prononcé- m'insupporte tant il rend chacune de leur phrase à moitié incompréhensible.

Pour autant, le changement d'air ne fait pas de mal et cette forêt interdite se révèle être bien plus fascinante que les jardins français...

ϟ Ton pseudo : Ezek ϟ Ton âge : 19 ans ϟ Ton avis sur mumblemumps : Je le trouve vachement sympa ce contexte  ϟ Le mot de la fin :    

» 6 ANS

J'ai suivi maman dans la forêt qui entoure la maison ce matin avec Marius. Ce n'est pas compliqué de la convaincre de nous emmener avec elle quand elle se réjouit autant de nous transmettre son goût pour les créatures magiques et la nature. D'habitude, nos aventures dans la forêt avec Marius occupent mes journées, mais pour une fois je me retrouve à lâcher un soupir d'ennui. Maman à décider de s'arrêter au milieu des arbres et s'est mise à prendre des notes sur un carnet, assise sur un rocher à côté de nous. Elle dit qu'elle observe des sombrals, mais que Marius et moi sommes trop jeunes pour les voir. Je préfère quand elle nous emmène au bord du grand lac. Il est peuplé d'Êtres de l'eau que maman arrive toujours à attirer et je me suis mis en tête de réussir à parler avec eux un jour.

Quand Marius est avec moi, maman me laisse m'éloigner un peu, alors je saisis l'occasion et je le traîne vers une boule de poils qui disparaît à travers les arbres quand on s'avance vers elle. Marius aussi a reconnu ce que c'était et on se met à suivre le chartier en se cachant derrière les arbres. Je me souviens de la fois ou Marius avait capturé cette sorte de gros furet pour le ramener à la maison. J'avais trouvé l'animal bien ennuyant, jusqu'à ce que mon frère me fasse découvrir qu'il crachait un flot ininterrompu de grossièretés à qui voulait l'entendre. L'animal était devenu notre passe temps favori jusqu'à ce que maman le découvre et nous interdise de le garder plus longtemps.

Je ne me suis pas rendue compte que notre chasse nous avait menée si loin de maman, et je sursaute quand j'entend une voix inconnue qui fait fuir l'animal, nous demandant si nous sommes perdus.

« Espèce de Troll ! Tu viens de faire fuir le chartier ! »

Marius semble mal à l'aise d'un coup, mais l'inconnu a un sourire idiot sur le visage tandis qu'il s'avance vers nous, intrigué par mes paroles.

« Et... qu'est-ce que tu appelles un chartier ? 
- Ce sont les furets qui disent des gros-mots... tout le monde sait ça ! »

Marius me tire par le bras pour s'éloigner, mais l'inconnu a l'air de se moquer de nous. J'étais déjà contrariée par mon début de journée et cet homme m’énerve de plus en plus quand il prétend que les animaux ne parlent pas. Il est habillé bizarrement en plus. Ca doit être ce que papa et maman appelle un moldu, ceux qui ne savent pas que les sorciers existent. Je continue de lui répondre, tandis qu'il s'approche en affirmant vouloir nous aider et que Marius me tire toujours en arrière. Puis alors que j'élève encore plus ma voix aiguë de petite fille, il recule précipitamment en me fixant. Je ne comprends pas, pensant que c'est maman qui vient d'apparaître qui l'a fait reculer. Mais il me fixe toujours. Je remarque alors mes mains. Ma peau a prise une teinte grisâtre drôlement moche, et mes doigts semblent être recouverts d'un duvet de plume. Un peu comme papa une fois.

Maman pointe sa baguette sur le moldu. Son visage prend un air perdu suite au sort de confusion qu'elle lui lance, puis il fait demi-tour et s'en va. Maman se retourne soudain vers nous, l'air fâché, nous empoigne par le bras et transplane à la maison.

Je me suis tout de suite enfermée dans la salle de bain, affrontant deux globes oculaires complètement noirs dans le miroir de la salle de bain. Est-ce que j'allais me transformer en harpie moi aussi ? J'avais fait peur à ce moldu. Et ce sont les monstres qui font peur.

Ce jour-là, j'en ai d'abord voulu à papa de m'avoir transmis ces gênes de vélane, puis il a fallu une longue discussion avec lui pour me convaincre que je n'étais pas un monstre, juste une enfant avec du sang de vélane. Ce jour-là, j'ai su que c'était une malédiction.



» 11 ANS

Je respire un grand coup avant de pousser la porte de la réserve de maman. Je ne suis pas supposée y entrer sans elle, mais c'est le seul endroit où je peux trouver ce que je veux. Je garde les yeux fixés sur le sol un moment, sachant très bien ce qui m'attend dès que je les lèverai vers les étagères remplies d'échantillons et de prélèvements qu'elle collecte au cours de ses excursions. Je m'avance dans la petite pièce jusqu'à lever les yeux sur ce qui m’intéresse : des fioles de sang. Je tressaille en les affrontant du regard, incapable de m'en saisir sans les emballer dans un morceau de tissu et de ressortir en silence, serrant mon poing libre à m'en faire blanchir les phalanges.

Affronter mes peurs. Affronter ma phobie du sang comme j'ai affronté mes yeux noirs et ma peau grisâtre dans le reflet d'un miroir quand je succombais à la colère pendant des années. Les affronter jusqu'à ce qu'elles ne soient plus des peurs. Marius s'est moqué de moi lorsque j'ai repris connaissance après m'être évanouie pour la première fois à la vue de son nez en sang. Maman dit que je suis hématophobe, moi je me trouve faible. C'est ridicule de s'évanouir ou de se sentir mal à la vue du sang. Papa dit que je suis trop fière pour admettre mes faiblesses, que ce n'est pas un mal d'en avoir, mais je ne suis pas d'accord. Je n'accepterai pas d'être faible.

Je me rends dans la cuisine et me penche au-dessus de l'évier. Je sens un premier haut-le-coeur quand j'ouvre la fiole d'un geste déterminé pour verser lentement son contenu, m'agrippant au rebord face à ma vue soudainement trouble et mes jambes tremblantes. Je perd rapidement mes moyens, l'ustensile se brisant sur le sol quand ma poigne se relâche. Pourtant, j'ai les yeux fixés sur l'hémoglobine qui tranche avec le blanc de l'évier, déterminée à résister au malaise qui s'installe.

« Par la barbe de Merlin, Hortense ! »

L'exclamation de papa ne me parvient que vaguement et je sens ses bras m'entourer quand le noir se fait autour de moi. Faible.

Je me réveille quelques instants après, affrontant le regard désemparé de maman qui tente plus tard de me faire comprendre que ça ne sert à rien, que je ne dois pas recommencer. J'acquiesce en silence, pourtant bien déterminée à retenter l’expérience. Autant de fois que ce sera nécessaire.

Et c'est ce que je ferai quelques années plus tard suite à un malaise face à une coupure en cours de potion à Beauxbâtons et aux moqueries qui s'ensuivront. J'irai même jusqu'à m'infliger des coupures sur les avant-bras pour affronter cette phobie, des tatouages recouvrant par la suite les nombreuses cicatrices. Ce que j'ignore, c'est que même six ans plus tard, cette faiblesse m'accompagnera toujours, moins forte, mais toujours présente.



» 15 ANS

« Tu es certaine ? »
- Certaine ! Vas-y. »

Je souris à maman dans le miroir tandis qu'elle approche les ciseaux de mes cheveux. Je fixe résolument mon reflet dans le miroir, certaine de ma décision. Je n'ai aucun regret en voyant mon crâne s’alléger de longues mèches noires qui tombent sur le sol de la salle de bain. Je viens tout juste de rentrer de Beauxbâtons pour les vacances d'été, avec l'idée de me débarrasser de mes cheveux sitôt rentrée à la maison. J'étais trop jeune pour le remarquer avant, mais je me rend bien compte de certains regards niais que je reçois dans les couloirs de Beauxbâtons désormais, malgré mes vêtements masculins, portés dans l'espoir de passer inaperçue. Des regards pénibles, agaçants. Si seulement ils avaient conscience des airs ahuris qu'ils arborent... C'est pathétique.

« Toujours si abominable si tu veux mon avis. Je me ferai un grand plaisir de repousser les trolls trop insistants. 
- O joie... Mon vaillant protecteur de frère.
-  Tu serais presque aussi beau que moi dis donc à bien y regarder... Ne me vole pas la vedette auprès des filles.
- Ça poserait un problème ?  »

J'échange un regard complice avec lui alors qu'il sort de la pièce, interceptant alors le sourire de maman dans le miroir. À Beauxbâtons, mon entourage s'étonne de ne m'avoir jamais vue en compagnie d'un garçon, mais je ne les aime pas, leur préférant les formes et la compagnie de la gente féminine. Je ne m'en suis pas cachée longtemps, espérant que cela en éloignerait plus d'un... Quel joli rêve. D'où cette résolution d'arborer une coupe à la garçonne en bataille associée aux vêtements de mon frère que je traîne depuis l'enfance. Dans l'optique de me fondre dans la masse, de masquer ces origines vélanes que certains envient quand je les considère comme un fléau.



» 17 ANS

J'observe le selkie s'éloigner de la rive du lac qui borde la maison en lâchant un dernier cri auquel il répond. J'ai toujours été fascinée par les Êtres de l'eau, profitant de chaque excursion pour en découvrir plus sur eux et dévorant chaque livre que je pouvais trouver à leur sujet. Il n'est pas difficile de les comprendre une fois sous l'eau, mais communiquer à l'air libre avec eux m'avait demandé un certain temps. Je m'étais jetée corps et âme dans cet apprentissage, qui m'avait permit par la suite de tirer Marius près du lac et de pouvoir lui affirmer que je pouvais bel et bien communiquer avec eux, preuve supplémentaire de ma détermination à toute épreuve.

C'est le dernier matin que je passe en France, passant de Beauxbâtons à Poudlard pour ma septième année. La guerre terminée, l'annonce de l'échange avait surgie et je m'étais jetée sur l'occasion. De revoir Marius resté en Angleterre après la guerre, de quitter Beauxbâtons pour de nouveaux horizons et d'envisager des études en Zoomagie, mes parents ayant réussi avec brio à me transmettre leur passion.

Ainsi, je me retrouve au pied de l'imposant château, suivant le groupe d'élèves tous étrangers à ces lieux s'y infiltrant, l'inconnu se voulant euphorisant en attente de la répartition.

Félicitations tu as réussi à faire ta fiche de répartition. Le Choixpeau n’a pas hésité plus d’une minute avec toi et a pris sa décision. Maintenant que tu as été réparti dans ta maison, tu vas pouvoir procéder à toute la partie inscription administrative de Poudlard

N’oublies pas qu’ici tu peux t’amuser rapidement alors n’hésites pas à nous rejoindre soit dans le Flood soit sur la ChatBox tout le monde est le bienvenue. Tu peux maintenant commencer à créer de nouveaux liens avec les autres élèves, tu trouveras tout ça dans  le journal du sorcier. Ce n'est pas tout, il va falloir que tu viennes recenser ton personnage dans le dortoir, les clubs, l'équipe de quidditch, tu trouveras tout ce qu'il faut dans les parchemins indisensables   Ensuite si tu as la moindre question n’hésites pas à envoyer un hibou à l’un des membres du Staff. Allez nous t’attendons vite à Poudlard et nous tenons à te remercier d’être venu sur MUM. Si tu as envie de RP mais que tu n'as pas de partenaire, viens t'inscrire au speed dating version sorcier, mais tu peux aussi consulter le répertoire des sujets libres et communs  . . Enfin, pour consulter la liste des cours, c'est par ici .

Si tu veux agrandir ton cercle d'ami et que tu as une idée en particulier, n'hésites pas à créer ton propre scénario, une fois que tu auras deux semaines d'activité sur le forum et un RP en cours, que tu peux faire ici et enfin pour surtout gagner le coeur de nouveaux sorciers nous t'invitons à voter pour MUM dans la session que tu trouveras dans la taverne.


Cordialement,
Le Choixpeau Magique