(M) Sebastian Stan ϟ Problem and issue

ϟ Le pseudo : Le prénom est totalement négociable à partir du moment qu'il est d'origine d'Europe de l'Est. Tout comme le nom de famille (bien que j'aime bien la sonorité de Sokolov ).

ϟ L'avatar : Négociable de nouveau. Sebastian Stan a un petit côté soviétique foufou qui correspond bien au personnage, tantôt sombre, tantôt déjanté mais il reste entièrement libre tant qu'on retrouve les traits d'un soviétique.

ϟ Le niveau : Un français correct de base. La norme au final sur chaque forum rpg. Je ne demande pas qu'on fasse trois pages word pour une réponse (je me sentirais misérable en plus à côté) mais au moins le minimum requis de vingt-trente lignes semblent justes. Histoire d'avoir matière à travailler    Concernant l'orthographe, on fait tous des fautes et certaines saignent les yeux mais un petit coup de Word ou de bonpatron est le tour est joué. Le but du jeu est avant tout de bien s'amuser donc d'avoir de l'imagination pour les rps      

ϟ L'activité :  Je ne m'attend pas à ce que vous squattiez le forum. Plus présente en semaine qu'en week-end, j'ai moi-même une vie en-dehors alors tant que vous ne désertez pas le forum et qu'il y a une réponse allez par semaine, cela me convient parfaitement    

ϟ Mais encore : L'histoire est parfaitement libre, les points ne sont qu'une ébauche pouvant expliquer le personnage que j'ai en tête. Il s'agit bien entendu de votre personnage à vous, alors faites-vous plaisir : imprégnez-vous        

ϟ Nom : Sevastien Sokolov ϟ Âge : Vingt-huit à trente ans ϟ Métier/Maison : Ancien Durmstrang, fratrie des Troll. Nouveau professeur de soin aux créatures magiques. ϟ Situation : Célibataire. Revenus moyens. ϟ Ascendance : Pure ϟ Traits de caractère : Joueur, fier, revanchard, moqueur, résistant,  audacieux, intègre, sociable, serviable, volontaire, bon vivant, blagueur, désordonné, optimiste.

ϟ  Les Sokolov sont une famille de sorciers au sang-pur vivant au nord de la Russie, là où le verglas et la neige sont une vision constante et les températures au-dessus de 10° sont rares. Pourtant, Sevastian s'est toujours senti chez lui dans ce paysage hostile. Éleveur de dragons de père en fils, il faisait plutôt office de guérisseur pour ces créatures. Un travail difficile et qui paye assez mal mais qui lui permet d'être loin des sorciers pompeux de St Pétersbourg où, comme à Durmstrang, la supériorité des sang-purs et surtout des familles riches et anciennes, prédominent. Ainsi, les Sokolov n'ont jamais fais partie d'aucune élite et n'ont jamais cherché à en faire partie, restant tranquillement dans leur coin. Préférant souvent la compagnie des animaux aux sorciers.
ϟ Rejoignant Durmstrang, il fut envoyé dans la fratrie des Troll, ce qui signa d'emblée son déshonneur auprès des prétentieux Dragons. Etant souvent les bouc-émissaires, les Troll étaient connus comme sous-fifre et sorciers de cirque. Ce dont il fit les frais, prenant souvent sur lui pour épargner aux plus faibles de sa fratrie de capituler, trop chétifs à leurs jeunes âges. Il n'a guère de bons souvenirs de ses années d'étude, hormis celles qu'il partage avec ses anciens compagnons de souffrance et d'armes, les Trolls. Quittant Durmstrang, il décida de gaieté de cœur de rejoindre son père à l'élevage familial, tâchant de se tenir le plus loin possible du Ministère et de ses anciens tortionnaires dont la plupart ont pu entrer dans la grande tour, surement grâce à père.
ϟ Il y a peu, un représentant du Ministère est venu jusqu'à chez eux, bravant le froid et le verglas. Il avait une mission pour Sevastian, se servant de sa renommée en tant que soigneur de dragon pour allier l'utile au nécessaire. On lui promit richesse et titre s'il réussissait, permettant ainsi de sortir sa famille du besoin, son père étant sur le point de devoir vendre la ferme par fautes de ressources financières. Une offre qui tombait à pic. Trop à pic, même. Or, bien que ses suppositions étaient fondées, il ne pût jamais le prouver. Pas encore. Sevastian n'avait qu'une chose à faire : partir pour l'Angleterre et devenir professeur de soins aux créatures magiques. Avec pour objectif officieux de surveiller une camarade soviétique enquêtant et espionnant sur l'avancée de l'épidémie, en vue de trouver rapidement une solution et couvrir le ministère russe. Il accepta. Plus pour aider son vieux père que la gloire... et appris que la comparse en question se prénommait Anastasiya Vladoska. La même de son adolescence.
ϟ Sevastian raconte à quiconque qu'il a réussit l'exploit de tuer un Povrebine avant qu'il ne lui insuffle trop de désespoir. Ce qui est vrai, le sorcier ayant complètement massacré la bestiole à cause des idées noires sur Sofiya et lui. Anecdote qu'il ne rapporte pas.
ϟ  Avant la venue du représentant du Ministère de la magie russe et de cette mission qu'il ne pouvait réellement refuser, il était en couple. Depuis quelques mois seulement mais un début d'idylle qui lui convenait, lui qui galère avec les femmes. Tournant souvent en bourrique à cause d'elle et de leurs longues jambes. Ne pouvant lui révéler la vérité sur sa "mutation" suspecte, elle le quitta, ne supportant pas la situation et étant surement trop excessive. S'il n'était pas tout à fait amoureux, il vit plutôt mal la rupture et voit sa mutation à Poudlard d'un œil d'autant plus désapprobateur et noir. Sans parler de Vladoska. C'est certain, il fera tout pour la presser de trouver la solution, quitte à devoir rester derrière elle comme un perroquet énervant afin de rentrer au plus tôt... et qui sait, peut-être retrouver Sofiya.
 

Rancune tenace et contrat ϟ Sevastian et Anastasiya se sont rencontrés sur les bancs de Durmstrang. Même année mais de confrérie différente. A la suite d'une altercation avec des Dragons, Sevastian resta amoché à même le sol glacé du dernier cachot de retenue. S'étant fait épinglé une nouvelle fois en train de vouloir aider une camarade troll, effectuant le sortilège à sa place. Il écopa d'une heure de retenue avec Leskov, le surveillant tortionnaire de ces lieux. Il n'avait pas prévu qu'une bande de dragons passerait dans le coin et qu'une altercation ne tourne au drame. Pour lui. Quatre contre un. De l'antijeu pur et dur. Il se fit passer à tabac, bien évidement. Pour le plaisir de la supériorité des Dragons. Elite durmstienne. Gisant au sol, il pestait mentalement lorsqu'un mouchoir lui fut tendu. Sans mot dire mais avec une mine mi-inquiète, mi-contrite, Anastasiya observait l'oeuvre de ses camarades, n'ayant ni participer ni arrêter leurs pulsions dominatrices. Ainsi aller Durmstrang : seuls les plus forts arrivaient à rester debout. Ils avaient treize ans à l'époque. Des gamins. Sevastian tomba amoureux de la jeune fille, l'observant de loin sans qu'ils n'échangèrent véritablement de parole. Juste parce qu'elle lui avait "tendu" la main. L'intellectuelle de service. Celle qui ne parlait qu'à la bibliothécaire, quasiment. Ce fut au cours d'un cours de duel qu'il prit son courage à deux mains. Ou plutôt laissa échapper sa demande. Surprise, prise au vif, l'adolescente fière et revêche refusa alors que les rires de quelques camarades fusèrent derrière elle... et qu'elle prit l'avantage tout en le désarmant. Elle aurait bien voulu s'excuser d'avoir profité de la situation comme le voulait leur professeur mais il ne lui en laissa jamais l'occasion, fuyant ruminer son humiliation ailleurs alors que la cloche tintait. Depuis, il conserve une rancune d'adolescent bête et méchante à son égard, n'ayant que le souvenir d'un cœur brisé d'étudiant. Au fond, ce n'est pas tant à elle qu'il en veut mais surtout à ses confrères d'avoir profités de la situation pour l'humilier encore plus. Qu'importe s'il y réfléchit, cet épisode l'a rendu maladroit et incertain avec les femmes, nourrissant sa rancune. Jamais il n'aurait pensé la revoir un jour. Mais voilà que des années plus tard, un représentant du ministère se pointe chez lui avec une mission. Ou devrait-on dire une obligation avec le ministère russe. Surveiller Vladoska en Angleterre. Veiller à ce qu'elle reste bien dans les rangs du ministère, envoyée en tant qu'espionne à la solde du ministre. Elle ne cesse de revenir dans son sillage, bousculant et bousillant son existence. Alors, il compte réaliser sa nouvelle tâche avec un petit bonus : rendre la pareille à la jeune femme. Vieille rancune tenace. Quitte à saboter ses chances amicalement ou amoureusement. Par jeu et petite revanche personnelle sans pour autant que mal ne soit pensé. Mais Sevastian gardera-t-il sa rancune toujours aussi tenace lorsqu'il se rendra compte qu'au lieu d'être une investigatrice, la jeune femme n'est qu'une prisonnière des lubies du ministre ? Quant à Anya, elle ne se doute absolument pas à quel point la rancune de Sevastian est toujours fraîche, réveillée par les décisions du ministre. Simplement heureuse de revoir un ancien visage amical de Durmstrang, de se sentir moins seule dans ce pays qui lui donne la nostalgie. Affaire à suivre.

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