Léonnie Martin ¤ Si la honte devait tuer, je ne serais plus de ce monde.

Cette histoire, mon histoire commence dans un petit corps de ferme en Bretagne, plus exactement à Saint-Pol-de-Léon. Une petite ville qui fait bon de visiter lorsqu’on est en vacances mais aussi d’y vivre tout au long de l’année. Cela fait quelques jours que je suis née que j’ai poussé mon premier cris que je suis partagée entre la magie et les objets de moldu. Par exemple, mon mobile éveil est enchanté mais mon doudou lui a été tricoté par ma grand-mère paternelle moldu. Tout le monde ne pourra guère résister à ma petite chevelure blonde au regard bleu perçant et voudra partager ses convictions. Tout le long de mon enfance, je verrais la magie mais aussi le monde moldu, c’est ainsi lorsqu’on nait sang mêlée. Je ne manquai de rien pour progresser dans la vie de tous les jours, et dés bébé je faisais des progrès rapide. Mon premier mot fut prononcé à huit mois et je marchais à neuf mois. Je faisais la fierté de ma famille, jusqu’à ce qu’un évènement perturbe ma famille, que l’on ajoute des meubles dans ma chambre me perturbant par la même occasion. C’est à un an et 7 mois que je devenu grande sœur d’une petite Jade. Je dû partager l’amour de mes parents avec une autre et ceci fut dans les premiers temps compliquée puis je me fis une raison et en devenu inséparable.
A la maternelle, j’étais plutôt douée et rusée puisqu’avec ma sœur on finissait par s’inter-changeait en classe sans que personne ne s’en doute. J’étais donc plutôt sociable, avancée sur certaines chose et en retard sur d’autre mais avec toujours de très bonne notes. A la primaire, les devoirs fut une chose complexe pour ma mère, la magie l’a bien sauvée plus d’une fois lorsqu’elle se devait d’assurer la maison mais aussi notre petit numéro de petite comique. Les devoirs duraient souvent des heures entières mais jamais ma mère nous a laissait avoir le dernier mot, ce qui a fini par être bénéfique. J’ai fini par me détaché au fur et à mesure de ma sœur pour finalement avoir mes propres amies qui finissait toutefois par toujours être celle de Jade.
Le plus difficile fut lorsque je reçu ma lettre de beauxbâtons. Nous savions tous que ce grand jour arriverait celui où je serais séparée de ma famille. J’étais alors âgée de onze ans, lorsqu’un hibou qui ne se trouvait pas être celui de ma mère déposa sur la table une lettre avec le cachet de cette grande école. C’est à cet instant que je fus pris pour la première fois de panique et surtout terrorisée de l’inconnu. Je n’avais jamais eu à me séparer de ma famille, je le serais jusqu’à noël dans cette école. Pendant trois mois, je refusais catégoriquement de me rendre dans cette école, puis je me suis fait à l’idée le quatrième mois. Fort heureusement, j’avais dit au revoir à mes copines d’école, celle que je ne reverrai probablement plu sans leur donner la réelle raison. Je prétextais devoir aller dans un pensionnat, ce qui n’était pas tout à fait faux. En août, je préparais avec ma mère la rentrée magique et en septembre monta dans le train en direction de beauxbâtons dans les Pyrénées. Je fus éblouie à la première seconde où je pouvais observer cette école, un palais de la renaissance entourée de jardins tous plus somptueux les uns que les autres et tout en symétrie. Je fus rapidement envoyé dans l’écurie de la rose par la couronne de fleur que l’on posa sur ma tête lors de la première grande cérémonie.
Rapidement, je me suis fait ma place et deux amies. J’ai aussi suivi à merveille comme en Bretagne les cours et comme toujours je me trouvais distraite lorsqu’il s’agissait de faire mes devoirs ce qui m’a coûtait plus d’une heure de retenue. Cette année se devait être mon année de premier examen mais je ne suis pas sûr qu’elle le sera. J’ai reçu une lettre me prévenant que plusieurs écoles dont Beauxbâtons avait un projet d’échange inter-école européen. Les sixièmes années comme moi ayant choisi de participer au projet partent à Poudlard. Ma petite soeur, elle a choisi de ne pas venir, je ne comprend pas réellement sa raison mais je me dois de la respecter. Je ne sais pas encore ce qu'elle va faire de son année, je m'en suis guère préoccupée, cela m'as énormément contrariée qu'elle ne veuille pas me suivre.