années sauvages (hippolyte)

Belle et jeune fille qui nous vient tout droit de Beauxbâtons pour entamer sa huitième année au collège. Elle est née à Nantes en ce beau jour qu'était le vingt-quatre mars 1981 en tant que sang pur ; à présent elle vit à Londres. Elle est plutôt affranchie, sincère, loyale,  mystérieuse, sensible, empathique, secrète, attentive, pure, astucieuse, habile mais aussi intrépide, impulsive, rancunière, lunaire, espiègle, joueuse, obstinée. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être bon. Il y a quelques années maintenant, elle s'est procurée une baguette faite en bois de tremble, mesurant vingt-sept virgule quatre centimètres et contenant une plume de phénix. Avec cette baguette, il lui est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'un éléphanteau. La vision qu'elle a eu face au miroir du risèd : elle se revoit, elle, dansant avec Tristan. Elle partage cet instant avec la personne qu'elle aime. Son coeur palpite et au rythme d'une mélodie entraînante, les pas s'enchaînent et les arabesques défilent. Elle aimerait tant revivre ce moment.. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. Il gronde, il claque, il frissonne. Maître du ciel, il apparaît lors des orages. Le tonnerre, dans son cas.

ϟ Que pensez-vous de l'échange européen inter-écoles ? les relations changent, évoluent au fil du temps. Cette nouveauté permet aux élèves de poudlard mais également à ceux de beauxbatons et de durmstrang d'avoir la possibilité de découvrir de nouvelles personnes, de nouveaux horizons. Hippolyte aime l'idée qu'il puisse y avoir un échange, d'autant plus qu'au vue de l'histoire de l'école de sorcellerie du royaume-uni, ils ont besoin d'un peu de renouveau. Des personnes qui pourraient leur faire oublier ce qu'il s'est passé. Des sourires nouveaux, afin de faire disparaître cette illusion, cette crainte de retrouver la mort. Et pour les étudiants étrangers qui ont cette mission de redorer l'ambiance de poudlard c'est une aubaine pour s'intégrer à la vie de cette école, de créer des relations nouvelles pour une aventure qui ne fait que commencer. Chacun a besoin de l'autre pour évoluer parce que malgré la magie qui ne cesse de nous entourait, chacun de nous sommes humains.  

ϟ Que faisiez vous lors de la Grande Bataille ?  Hippolyte elle était en rentrée. À attendre. Elle n'a jamais cherché à se battre pour une guerre dont elle ne comprenait pas le sens. Mais elle était là. À Londres, ses parents s'étaient portés volontaires pour aider à l'hôpital, Sainte Mangouste. Elle les attendait eux aussi. Elle entendait les nouvelles, écouter la radio pour connaître l'issu de la bataille. Elle n'y était pas mais c'était comme si. C'était dure pour elle, attendre. L'ennui était présent, la peur la rongeait. Il faisait sombre et elle ne pensait qu'à lui. Qu'à Tristan. Il était parti se battre. Grand guerrier, il avait répondu à l'appel de sa famille anglaise. Un être d'une gentillesse exceptionnelle, il n'avait pas hésité une seule seconde, ne portant pas d'importance au danger. Hippolyte elle n'avait qu'une hâte le retrouver. Peu importer le résultat, le bilan de la guerre, tant qu'il était là. Puis la radio se mit à annoncer de bonnes nouvelles, Lord Voldemord était vaincu. Disparu, sans laisser de trace. Il y avait des morts dans les deux camps. Mais ils disaient qu'il y en avait moins dans le camp des vainqueurs. Alors Hippolyte elle avait le coeur plus léger. Puis les noms ont défilé. Par ordre alphabétique. Alors quand ils se sont rapprochés de la lettre P, Hippolyte, elle ne sentait plus son rythme cardiaque. Sa respiration en suspend. Jusqu'à entendre : « Tristan Prost. » Elle s'est écroulée Hippolyte, à ce moment-là. Les membres tremblant. Les larmes coulant à flot. Des cris des hurlements, elle avait le coeur brisait Hippolyte. Il était parti. Mort. Il ne reviendrait plus. À cause de cette futile guerre. À cause d'homme assoiffée de pouvoir, de puissance. Avec lui, Tristan avait pris un morceau de l'âme d'Hippolyte. Meurtrie par le mort de son amant, elle avait mal.

ϟ Avez-vous peur de perdre vos pouvoirs ? Pourquoi ?  Les pouvoirs sont quelque chose qui nous rend spécial, Hippolyte le sait. Elle a grandi dans le monde magique, dès son plus jeune âge, elle a été plongé dans la magie. La plupart de ses jouets n'avaient pas lieu d'être dans le monde moldu. Toutefois Hippolyte, elle prend du recul, parce que pour elle, il y a plus grave. Perdre ses pouvoirs est horrifiant, l'exclusion d'un monde qu'on n'a toujours connu, idéalisé est inévitable. Toutefois, qu'est-ce qui est plus horrible que la mort ? Rien. Hippolyte, elle ne sera pas heureuse de perdre ses pouvoirs, elle sera même anéanti, mais son coeur a déjà été ruiné par la mort de Tristan. Rien ne pourrait être pire. Alors oui, elle aurait peur, très peur même, elle verrait tout son monde s'écroulait, toute une enfance être brisée. Sauf qu'elle saurait se relever. Le monde moldu n'est pas si horrible. Au contraire. Hippolyte, elle l'aime bien.

ϟ Quelle est votre réputation à Poudlard ? Que pensent les autres élèves de vous ?  Hippolyte, c'est l'innocence au bout des lèvres, les étincelles dans les yeux, le rire enfantin. elle s'émerveille d'un tout, s'émerveille d'un rien. c'est la douceur dans la voix, la simplicité, le naturel. Hippolyte, elle voit toujours le bon côté des gens qui l'entourent. Elle apprend de tout, tout le monde. Elle baisse pas les bras, tant elle est persuadée qu'en chacun de nous, il y a du bon. Mais Hippo, elle est extrême. Trop peut-être. Elle aime à en crever, déteste à en perdre la tête. Et elle s'en mord les doigts. Elle prend les choses à coeur. Parfois trop. Elle fait tout avec passion, déteste qu'on tente de lui marcher sur les pieds, qu'on freine ses envies, qu'on altère ses libertés. Elle hésitera pas à se faire entendre si elle estime que ça va trop loin. Oui Hippolyte, c'est aussi l'impulsivité, foncer tête baissée et regretter après. Elle dit tout ce qui lui passe à l'esprit. Elle a ce franc parler qu'elle déteste. Mais elle ne peut le réprimer. Alors, elle blesse parfois les gens sans le vouloir. Mais personne n'ose le lui reprocher tant elle s'en voudrait.  

Pour les élèves de Beaubâtons et Durmstrang : Hippolyte elle est venue avec son père et sa mère avec un porteloin. C'était étrange. Elle a senti son estomac se nouer et se tourner. Ce n'était pas une sensation agréable. Tous les trois se sont retrouvés dans leur appartement à Londres. Tout le monde sait que la famille Rose possède une énorme fortune en France. Ils l'ont accompagné jusqu'au premier septembre. Parce qu'ils savaient ce qu'elle avait vécu. La perte de Tristan lui avait du mal. Cela l'avait réellement bouleversé. Comme des parents dignes, ils avaient cherché à lui faire oublier l'absence de ce garçon. Parce qu'Hippolyte, elle tenait beaucoup à lui. C'est également cet événement qui a poussé Hippolyte a quitté la France. Elle avait besoin de renouveau, mais également, elle voulait se rapprocher de l'endroit où il avait passé ses derniers instants. Parce qu'elle avait vraiment besoin de sentir sa présence. Elle l'aimait réellement très fort. Alors elle a pris le train, le poudlard express, comme tous ces autres sorciers. Ça lui faisait du bien.  Les enfants étaient heureux, se retrouvant tous. Des étreintes, de l'amour, c'était beau. Alors le coeur lourd, elle a sourit à son tour et est monté dans le train. La vue du château l'attrista. Son coeur se resserra. Pensant à Tristan. Cependant arrivé dans le Hall, elle oublia cette mélancolie, laissant place à l'émerveillement. Elle était contente d'être ici. Hippolyte n'avait qu'une hâte, faire de nouvelles connaissances. Oublier le poids sur son coeur et avancer.

ϟ Ton pseudo : BARJAVEL ϟ Ton âge : dix-sept ans    ϟ Ton avis sur mumblemumps : je l'ai déjà dit mais j'ai un coup de coeur, il est beau avec un contexte qui tient la route j'adhère      ϟ Le mot de la fin : prout    

ϟ JOIE Tu grandis parmi les Rose. Une vie joyeuse et une maison bien trop grande pour ton petit corps frêle et mince de petite fille. Pourtant avec le temps, tu réussis à l'apprécier, cet endroit. Parce qu'on s'habitue aux belles choses. Les meubles sont de marbre et les ustensiles de cuisine en or. Les tapisseries qui décorent les longs corridors sont de grandes qualités, les statuts élégantes ne manque pas de se faire remarquer par leur pureté, tandis que le piano qui orne la salle de parquet ciré, illustre bien la grâce et la richesse de cette famille française. Grande famille influente de France, elle possède le mérite d'avoir d'excellents médicomages. « Papa, pourquoi le ciel est bleu ? Pourquoi la terre est ronde ? Pourquoi les gens pleurent ? Pourquoi nous ne comprenons pas les animaux ? Pourquoi je respire, pourquoi papa ? » T'étais une enfant aux questions innombrables déposant sur le visage de ton paternel un sentiment de savoir universel. Comme s'il détenait l'absolue vérité de toutes ces questions. Le monde était fou, un peu bancal et pourtant tes yeux crépitaient à l'entente des chants provenant des volatiles, à la vue du nuancier céleste et aux mille douceurs du vent. Et pour toi, ton papa avait la clé de l'univers entre ses mains. Il était grand et sage. Tel un héros que tu imaginais chaque soir avant de te coucher. Ton modèle vivant, conteur d'histoires enchantées. Tu lui vouais un culte parce qu'il était la représentation de cet aventurier du passé, le seul à connaître les secrets de ce monde. Ainsi qu'un bohème, tu voulais être comme lui. Sauveur du monde comme maman.


ϟ AMOUR « Tu es magnifique. » Il vient déposer ses lèvres contre ton front, laissant une empreinte chaleureuse contre ta peau. Tu noues alors ta main à la sienne et c'est lorsque la musique commence que vous vous élanciez dans une valse mélodieuse. Un instant de vie suspendu dans le temps, déconnecté de la réalité. Tu savourais chacun des mouvements de son corps qui t'entraîner dans un rythme élancé. Sans perdre de vue son regard céruléen, il te guidait parmi toutes ces personnes, parmi la mélodie. Vos coeurs en symbiose, ton regard de braise ne faisait que l'admirait. Il était beau dans ce costume, élégant, gracieux. Tel qu'un homme idéal, celui que l'on désire dans notre vie. Les musiciens cessèrent et un à un l'assemblée de cette salle s'arrêtait de danser. Tu venais alors écraser tes lèvres contres les siennes, savourant l'étreinte de ses bras, te délectant de la chaleur de sa peau voluptueuse, t'enivrant de la fragrance de son parfum. Tu l'aimais d'un amour qui ne pouvais se décrire d'une quelconque façon que ce soit. Il était une évidence qui résonnait dans ton cœur. Tu t'accrochais à lui. Tu revivais à chaque fois que son rire éclatait délicieusement dans la pièce. Il était partout où tu étais. Une ombre qui cédait à tout tes caprices, une arme armée qui s’abattait quand tu le demandais. Il était ton amant et ton homme de confiance. Il était tout. Éternellement à tes côtés. Il n'aurait jamais dû y avoir de fin. « Tu m'as manqué. » Tu venais à nouveau chérir ses lèvres, emprisonnant son visage entre tes mains pour le reconquérir. « Je ne t'ai pas quitté. »Un sourire malicieux venait fendre tes lèvres alors que tu te perdais dans ses bras. « Je le sais. »


ϟ VIDE Tu t’extrais de l'étreinte dans lequel il tente de t'enfermer. Tu te crispes, tous les muscles de ton corps sont tendus. Le moindre contactes t'es insupportable. Tu te recroqueville sur ton lit, encerclant tes jambes de tes bras pour les serrer contre ton ventre, comme pour combler le vide, l'absence. Tu te sens ridicule être autant accablé par la perte d'un être. Il était pourtant une part de toi, un petit bout de vie, un amant, une matérialisation parfaite de l'amour. Le sanglot s'empare de ton corps, t'arraches un frisson horrible alors que les larmes coulent sans que tu ne parviennes à les retenir. Ton père essaie de t'attirer une nouvelle fois contre son corps, ravalant sa propre détresse pour s'occuper de la tienne. Et si tu tentes de te défaire à nouveau de lui, il t'impose cette proximité, t'enveloppant d'une étreinte protectrice, tentant ainsi de construire une barrière entre toi et ce monde bien trop cruel. « Je suis là. » Il te berce, doucement, délicieusement. Il porte le poids de la détresse, mais il n'en montre rien, bien trop conscient que ta douleur ne saurait supporter la sienne. Il te berce, attendri cette foutue souffrance qui te paralyse. Au delà d'eux, personne ne saura jamais ce que tu as perdu. Cette nuit là, il est resté là-bas, à se battre, au péril d'être en danger, de se voir mourir. Il est resté sourd face à tes supplications, refusant d'abandonner sa famille dans l'instant qui devait être le pire de toute l'existence. Et il était mort. Mort par acte de bravoure alors que toi tu n'avais pu agir. Tu devais porter la culpabilité qui l'avait amené à l’exécutoire. Tu aurais dû le retenir, l'emprisonner avec ton amour, le contraindre de rester auprès de toi. Il ne serait jamais parti… Enfermé dans un mutisme désespéré, la simple présence de ton paternel pansait cette plaie béante et putride infligé à ton cœur. Blottie dans ses bras, tu t'autorisais à déverser des torrent de larmes, tu t'exposais à une sensibilité que tu n'avais jamais laissé transparaître, tu te risquais à cet instant de faiblesse.  


ϟ SOUFFRANCE Ton cœur souffrait comme jamais il n'avait souffert auparavant. Tu étais l'instigatrice de cette douleur fulgurant qui t'étreignait la poitrine, comme si l'on y avait enfoncé sa main pour extraire ton cœur de ta cage thoracique. Il ne restait plus qu'un trou béant, un vide, une absence qui ne pourrait jamais être comblée. Tu avais du mal à respirer. Chaque inspiration était bien plus douloureuse que la précédente. Et pour la première fois de ta vie, tu avais été incapable de regarder l'homme que tu avais chéri. De peur de te perdre dans un sanglot désespéré, de ne plus pouvoir t'arrêter. Le coeur lourd, tu fuis le corps de ce dernier pour purger ton coeur de cette douleur insupportable. Tes orbes s'embrument, elles se remplissent des ces foutues larmes que tu refuses de laisser couler, orgueilleux petit cœur brisé, méprisable, ça faisait si mal. Il est là, reposant en paix. Il semble si bien, presque endormi, les mains sur le ventre. La beauté d'un néphilim. Il t'appartenait. Désormais tu n'avais plus d'emprise sur lui. Tu n'aurais jamais dû aller là-bas. Les mots crèvent dans le fond de ta gorge, à peine audible. Il le savait, mais cela ne lui a pas empêcher de défier toutes les limites. Ta mère vient nouer sa main contre la tienne. Tu la regardes un moment, perdue, apeurée face à l'absence qui crevait ton coeur. Tu aurais souhaité trouver réconfort auprès de ta mère mais ce n'était pas le moment. Pas devant tous ces gens, toutes ces personnes qui méritaient autant que toi ce réconfort produit par la disparition d'un être aimé. Tes doigts touchent le bois ciré du cercueil, tu effleures une dernière fois ce qui te rapproche le plus de ton amant. Une dernière fois. Alors que tes yeux se brouillent, brûlant par la tristesse, tu souffles un dernier mot : « adieu. »

Félicitations tu as réussi à faire ta fiche de répartition. Le Choixpeau n’a pas hésité plus d’une minute avec toi et a pris sa décision. Maintenant que tu as été réparti dans ta maison, tu vas pouvoir tout d’abord réserver ton avatar dans le bottin que tu trouveras ici.

N’oublies pas qu’ici tu peux t’amuser rapidement alors n’hésites pas à nous rejoindre soit dans le Flood soit sur la ChatBox tout le monde est le bienvenue. Tu peux maintenant commencer à créer de nouveaux liens avec les autres élèves, tu trouveras tout ça dans  le journal du sorcier. Ce n'est pas tout, il va falloir que tu viennes recenser ton personnage dans le dortoir, les clubs, l'équipe de quidditch, tu trouveras tout ce qu'il faut dans les parchemins indisensables   Ensuite si tu as la moindre question n’hésites pas à envoyer un hibou à l’un des membres du Staff. Allez nous t’attendons vite à Poudlard et nous tenons à te remercier d’être venu sur MUM.

Si tu veux agrandir ton cercle d'ami et que tu as une idée en particulier, n'hésites pas à créer ton propre scénario que tu peux faire ici et enfin pour surtout gagner le coeur de nouveaux sorciers nous t'invitons à voter pour MUM dans la session que tu trouveras dans la taverne.


Cordialement,
Le Choixpeau Magique