“if i don't see it, it doesn't exist” -- Maddox

Il faisait froid. Jamais il n’avait eu aussi froid. Jamais il ne s’était senti si faible. Maddox se trouvait à Azkaban. Assis sur le sol en pierre de sa cellule, il était recroquevillé contre le mur, dans le coin le plus éloigné des grilles. L’air passait par les fenêtres. L’humidité n’arrangeait rien, ni à la chaleur, ni à l’odeur qui régnait dans cette prison. Mais le pire, c’était les détraqueurs. Ces êtres lui glaçaient le sang. Dans la cellule, il n’était pas seul. Chaque semaine, de nouveaux prisonniers apparaissaient. Parfois même, ils disparaissaient. Maddox ne parlait à personne. D’ailleurs, personne ne parlait. C’était l’effet que les détraqueurs avaient sur eux. Plus une pensée positive ne venait le réchauffer, il ne restait que le négatif et les pires souvenirs. Dans la cellule se trouvait de nombreux nés moldus qu’on avait accusé à tort d’avoir volé leurs baguettes à d’autres sorciers. C’était ce qui était arrivé à Maddox. Jamais il ne sortirait de cette prison. Il était convaincu qu’il finirait par mourir de froid. Mais il survivait. Et chaque jour était une torture. S’il avait pleuré au début, aujourd’hui, il ne restait plus rien. Il n’y avait plus aucun espoir. Juste le froid. Et les cauchemars. Épuisé, il finissait parfois par s’endormir. Pour découvrir qu’il n’y avait plus rien de positif dans ses rêves non plus. Les journées s’enchaînaient, se ressemblaient et il ne savait plus depuis combien de temps il était enfermé. Il était dans un état second. Ils l’étaient tous. Jusqu’au jour où la chaleur reprit possession des lieux.

Juin 1989

Erreur de la nature

Maddox évita de justesse le verre de vin qui s’écrasa sur le mur derrière lui. La voix de son père résonna dans la cuisine. « Tu n'es pas mon fils, sale erreur de la nature ! » Il se réfugia dans sa chambre et ferma la porte. Le jeune garçon, âgé de neuf ans, pris la chaise de son bureau et la plaça devant la porte avant de s’éloigner dans un coin de sa chambre. Ce n’était pas la première fois que son père haussait la voix ou lui jetait des objets dessus, mais il ne l’avait encore jamais appelé « erreur de la nature ». Tout ce que le garçon avait fait, c’était utilisé la magie sans le faire exprès. Il ne contrôlait encore rien. Quelques semaines plus tôt, ses pouvoirs s’étaient manifestés pour la première fois. Des représentants du ministère de la magie leur avait rendu visite pour tout leur expliquer. Leur fils était différent, un sorcier. Il allait devoir apprendre à contrôler sa magie dans une école spéciale. Maddox ignorait ce que son père avait entendu, mais depuis, son quotidien s’était empiré. La mère de Maddox semblait avoir accepté la différence de son fils, mais elle restait muette face à son mari.

Maddox plaça ses mains sur ses oreilles. Il entendait son père crier sur sa mère et l’accuser, lui dire qu’elle était responsable de cette erreur. Un silence, c’était terminé. Du moins, c’était ce qu’il croyait. Un grand vacarme suivit ce silence. Maddox sursauta. Il le savait, son père s’en était pris à sa mère. Il la frappait. Il en venait toujours aux mains. Toujours sur elle. Jamais sur son fils. Mais pour combien de temps ? Car son fils n’était plus un simple garçon, c’était un sorcier, une erreur de la nature.

Les scènes de violence, verbales ou physiques, n’étaient pas rares chez les Berkeley. Les voisins avaient déjà appelé la police plusieurs fois, mais il n’était pas le genre d’hommes qu’on voulait mettre en colère, alors la plupart du temps, ils ne faisaient rien. Le père de Maddox avait un gros problème avec l’alcool. Il buvait presque tous les jours, en rentrant du travail. Il avait parfois essayé d’arrêter, mais sans succès. Dans ses moments de lucidité, il promettait à sa femme qu’il allait guérir. Mais Maddox savait qu’il mentait. Le jeune garçon commença à détester son père. Il le détestait, mais il en avait aussi très peur. Dès que son père haussait la voix, il savait que ça allait mal se terminer. Alors chacun de ses gestes, chacun de ses mots étaient choisis avec précaution pour ne pas l’énerver. Parfois, ça ne fonctionnait pas.

Une heure plus tard, on frappa à sa porte. Deux petits coups, puis trois. Un code entre eux. Maddox ne bougea pas. Il n’avait pas bougé, figé sur place. Il attendit encore un moment avant d’aller regarder le mot qui avait été glissé sous sa porte. Tu n’es pas une erreur de la nature. Il reconnut l’écriture de sa mère. Dans cette maison, on ne montrait pas beaucoup son affection, mais il savait que sa mère l’aimait. Il plaça le mot dans une boite, une boite qui en contenait des dizaines d’autres.

Août 1991

Les livres

Maddox se souvenait encore clairement du jour où son père le frappa pour la première fois. Il venait tout juste d’acheter ses premières fournitures scolaires pour sa rentrée à Poudlard et feuilletait les manuels avec curiosité, assis à table, dans la cuisine. Son père n’était pas cessé rentrer avant quelques heures, mais il avait terminé son travail plus tôt. Le cœur de Maddox se serra quand il le réalisa.

« Tu lis quoi ? » avait-il dit d'un ton sec en entrant dans la cuisine. Sec, c’était le seul ton avec lequel il lui adressait la parole ces derniers temps. Sans attendre la réponse, il prit un des livres posés sur la table, un livre d’histoire de la magie. Maddox leva les yeux vers lui, prudemment. Il n’oublierait jamais l’expression qu’il vit sur le visage de son père, un mélange de dégoût et de confusion, qui se transforma en frustration et colère. Il serra le livre tellement fort dans ses mains qu’il en froissa des pages. Maddox se leva et reprit le livre dans ses mains un peu trop brusquement. « Tu te prends pour qui, mon garçon ? Tu es chez moi. Ces livres de merde, c’est avec mon argent que tu les payes ! » Il prit un autre ouvrage dans ses mains pour illustrer ses propos, toujours avec autant de délicatesse. Il continua tout en agitant le livre devant le nez de son fils : « Défenses contre les forces du mal. Quelles conneries. C’est pas avec ça que tu vas foutre quelque chose de ta vie. T’es déjà bon à rien, tu vas faire quoi après ? Clown ? » Son haleine sentait l’alcool. N’était-il pas censé être au travail ? Quand avait-il eu le temps de se mettre dans cet état ?

Frustré, vexé, Maddox jeta son livre d’histoire de la magie sur son père. Il pleurait. D’habitude, il aurait déjà filé dans sa chambre, mais là, seul face à son père, et âgé de onze ans seulement, il avait perdu le contrôle. Ce qu’il ignorait, c’était qu’il avait un comportement normal pour un pré-adolescent, c’était son père qui n’agissait pas comme les autres pères. Ce dernier attrapa Maddox par l’oreille, le faisant crier et le jeta au sol. « Qu’est-ce que tu vas faire ? Abracadabra ? » Et là, il leva la main et elle s’écrasa sur le visage de son jeune garçon. Ce n’était pas une simple claque, c’était beaucoup plus fort. Et il recommença devant le manque de réaction de son fils. « Bon à rien ! » Il répéta ces mots tout en continuant à le frapper à la tête. Et Maddox resta silencieux. Silencieux comme sa mère quand elle se faisait frapper. Priant mentalement pour qu’il s’arrête. Et il s’arrêta, coinçant la tête de Maddox entre sa main et le sol. « J’espère que ça t’apprendra à rester à ta place. File dans ta chambre. Emporte tes stupides livres avec toi, je ne veux plus jamais les avoir sous les yeux. Compris ? »

Décembre 1994

Noël en famille

Madd, c’est maman. Tu sais, ton père va mieux. Il fait beaucoup d’efforts. Il a arrêté de boire depuis maintenant deux mois. Peux-tu rentrer à la maison pour Noël ? Tu me manques. Je suis sûre que tu lui manques aussi. Maman. Maddox lut cette lettre des dizaines de fois. Il y pensa pendant des jours avant de pouvoir y donner une réponse. A présent en quatrième année, Maddox n’avait plus osé mettre les pieds chez ses parents depuis plus d’un an. Il avait passé toutes les vacances à Poudlard, et l’été chez un ami. Car à chaque fois qu’il mettait les pieds chez ses parents, c’était toujours la même histoire. Et malgré son âge, Maddox n’avait jamais cessé d’être terrifié par son père. Plusieurs fois, il avait conseillé à sa mère de le laisser tomber, il lui avait dit qu’il n’en valait pas la peine, qu’elle serait plus heureuse seule ou avec un autre homme. Mais elle continuait à croire qu’il pouvait changer. Maddox priait juste pour que son père ne fasse pas de mal à sa mère. Avait-il réellement changé ? Il en doutait. Le jeune élève attendit la dernière minute avant de prendre sa décision. Il allait rentrer pour Noël, pour faire plaisir à sa mère. La mère de son ami accepte de l’héberger à nouveau. Il ne se sentait pas encore le courage de rentrer chez lui, il passerait d’abord le réveillon de Noël avec eux, puis il aviserait ensuite.

« Maddox, mon fils ! » s’exclama sa mère en ouvrant la porte et en l’enlaçant dans ses bras. Le jeune homme fut extrêmement surpris, il n’avait pas l’habitude de ces gestes d’affection. Il resta planté sur le pas de la porte. « Viens, entre, ne reste pas là. » Maddox entra dans la maison qu’il avait toujours connu. Elle n’avait pas changé. Peu à peu, il eut du mal à respirer. L’air était oppressant. Étouffant. Il voulait faire demi-tour, mais sa mère le débarrassa de sa veste très rapidement. « Comme tu as grandi. Tu manges bien à Poudlard ? Tu es un peu pâle. Tout va bien ? » Le jeune homme inspira et expira plusieurs fois. Ce n’était pas le moment de paniquer. Il fit de son mieux pour sourire à sa mère. « Je vais bien. Et toi, tu vas bien ? » Maddox observa sa mère, elle tira un peu sur sa manche et lui sourit, acquiesçant. Quelque chose ne tournait pas rond. Elle avait l’air nerveuse. Il resta méfiant. En entrant dans le salon, Maddox fit face à l’homme qu’il avait toujours crains. Il eut l’impression que son cœur s’arrêta. Face à son père, il avait toujours l’impression d’être ce jeune garçon de onze ans, la tête écrasée contre le sol, impuissant. Son père se leva et Maddox constata qu’il faisait à présent presque la même taille que lui. Les deux hommes s’observèrent en silence, puis Maddox baissa les yeux. Sa mère mit fin au silence. Le reste de la soirée se déroula sans incident, Maddox discuta avec sa mère, mais les deux hommes ne s’adressèrent pas une seule fois la parole.

C’est en aidant sa mère à laver la vaisselle qu’il vit les bleus sur son bras. Elle baissa immédiatement sa manche en apercevant son regard. Ces bleus étaient récents. « Un plat m’est tombé dessus quand j’ai essayé de le descendre de l’étagère. » Elle mentait. Il savait qu’elle mentait. Il savait que son père était à nouveau violent avec sa mère. Avait-il cessé de l’être ? La colère commença à l’envahir. Mais aussi son anxiété. Il eut à nouveau du mal à respirer. Est-ce qu’elle lui avait menti pour qu’il revienne à la maison ? Maddox se mit à ouvrir frénétiquement les placards à la recherche de bouteilles d’alcool, de preuves. Mais il ne trouva rien. « Madd, arrête. Je n’ai pas menti. Je… » Elle ne termina pas sa phrase. « Qu’est-ce que c’est que ce vacarme ? On ne peut pas regarder la télé en silence ici ? » Le fils arrêta ses recherches et fit face à son père. Ils faisaient à présent la même taille. Maddox n’avait plus de raison d’avoir peur de lui. Plus jamais il n’aurait la force de le maintenir au sol. Il lui suffisait de remonter ses manches et de frapper le premier. « C’est rien chéri, on va faire moins de bruit… » Elle attrapa la manche de son fils. Elle pouvait voir à son regard qu’il était sur le point de craquer et elle ne pouvait pas tolérer que Maddox devienne comme son père.

« Tu devrais rentrer » , dit-elle à Maddox. On pouvait sentir toute la douleur du monde dans sa voix. Il acquiesça et prit sa mère dans ses bras, avant de passer devant son père pour repartir. Ce dernier le suivit dans le couloir. « C’est ce que je pensais, une tapette. Même pas capable d’adresser un mot à son père. » Maddox n’avait qu’une envie, disparaître. Il fallait qu’il parte vite. Il ouvrit la porte, mais avant même qu’il n’ait fait un pas vers la sortie, un coup dans les jambes le scia en deux et il s’écrasa sur le palier. Son père claqua la porte derrière lui. Maddox resta par terre, humilié. Si son père ne buvait plus, mais qu’il continuait à être aussi abjecte qu’avant, qu’est-ce que ça signifiait ? Est-ce qu’il détestait son fils à ce point ? Parce qu’il était une erreur de la nature ? Quelques instants plus tôt, dans la cuisine, Maddox avait eu envie de tuer son père pour tout ce qu’il avait fait jusqu’à présent. S’il en avait eu le courage, il l’aurait fait. Quel genre d’homme était-il pour avoir ce genre de pensées ? Mais surtout, pour ne pas défendre sa mère comme il le devrait ? Un lâche. Je suis un lâche. Un putain de lâche.

Septembre 1999

L'après Azkaban

Plus d’un an après, Maddox faisait encore des cauchemars d’Azkaban. S’il avait eu une enfance difficile avec la violence de son père, ce n’était rien comparé à ce qu’il avait vécu à Azkaban. A chaque fois qu’il s’endormait là-bas, il n’était pas sûr de pouvoir se réveiller. Il revoyait encore les détraqueurs aspirer tout ce qu’ils pouvaient de lui. Quand ils avaient quitté Azkaban et que la chaleur était revenue, il avait eu l’impression de revivre. Quand la porte de la cellule s’est ouverte, tous les regards s’étaient tournés vers l’Auror qui était venu les sauver. Les jours qui suivirent, il les avait passé à l’hôpital. Il redoutait le moment où il allait devoir rentrer chez lui. Ses parents avaient été sans nouvelles de lui depuis le jour où il s’était rendu au ministère. C’était surtout pour sa mère qu’il s’inquiétait. Son lit d’hôpital lui semblait être sa nouvelle prison. Maddox s’attendait à tout moment à ce qu’on le renvoie à Azkaban. Mais les jours passèrent, il rentra chez lui, et personne ne vint frapper à sa porte. Maddox avait décidé de ne plus quitter sa baguette magique. Du matin au soir, et même la nuit, il la gardait près de lui. Après tout, il était maintenant assez âgé pour utiliser ses pouvoirs en dehors de l’école. Et cette simple menace suffit à tenir son père à distance pendant les un an de fermeture de l’école. Cette menace, et le fait qu’il sortait dès qu’il le pouvait de chez lui pour courir. Il essayait de passer le moins de temps possible en compagnie de son père.

Septembre arriva rapidement. Après la Grande Bataille, le ministère a accordé aux cas comme Maddox le droit de poursuivre leurs études sans perdre une année de plus. Ses ASPICs lui ont été donnés par le Ministère, comme pour les autres élèves s’étant injustement retrouvés à Azkaban, ou ceux ayant été traumatisé au château. Retourner à Poudlard après tant de temps était étrange, surtout quand il apprit toutes les choses horribles qui s’y étaient déroulées en son absence. Il avait du mal à imaginer la Grande Bataille telle qu’elle était décrite dans la nouvelle édition de l’Histoire de la Magie. Quand on lui avait donné le choix d’arrêter ses études ou de continuer, il prit la seconde option. Il n’était pas encore prêt à retourner dans le monde des moldus. Et il n’était pas prêt non plus à s’intégrer au monde des sorciers. Il avait encore besoin de temps, mais surtout de formation. Car contrairement à ce que son père pensait de lui, Maddox n’avait pas pour ambition de devenir clown. Parmi les spécialisations du GISIS, il hésita longuement entre sécurité magique et médecine magique. Mais il savait qu’il n’avait pas ce qu’il fallait pour défendre des sorciers. Médecine magique est donc la spécialisation qu’il inscrivit sur son parchemin, la main tremblante. Peut-être qu’il apprendrait en cours comment se soigner lui-même. Il avait de nombreuses blessures à réparer, pas physiques, mais mentales. Il avait choisi cette option par intérêt personnel. Il n’avait jamais vraiment pris le temps de réfléchir à sa future carrière avant. Au fond de lui, les mots de son père raisonnaient encore. Bon à rien.

Et ces élèves de Beauxbâtons et Durmstrang à Poudlard ? Maddox allait devoir redoubler d’efforts pour se faire à ces nouveaux visages, surtout avec ses nouvelles angoisses. Et si l’un d’entre eux détestait les moldus et nés moldus ? On connait la réputation des élèves de Durmstrang après tout. Et si on essayait à nouveau de le séparer de sa baguette ? De l’envoyer à Azkaban ? Oui, Maddox allait vraiment avoir besoin de ces cours de médecine magique.

Félicitations, tu as réussi à faire ta fiche de répartition ! Le Choixpeau n’a pas hésité plus d’une minute avec toi et a pris sa décision. Maintenant que tu as été réparti dans ta maison, tu vas pouvoir procéder à toute la partie inscription administrative de Poudlard.

N’oublies pas qu’ici, tu peux t’amuser rapidement alors n’hésites pas à nous rejoindre soit dans le flood soit sur la ChatBox ! Tout le monde est le bienvenue. Tu peux maintenant commencer à créer de nouveaux liens avec les autres élèves. Tu trouveras tout ça dans le journal du sorcier. Ce n'est pas tout, il va falloir que tu viennes recenser ton personnage dans le dortoir, les clubs, l'équipe de quidditch etc... Tu trouveras tout ce qu'il faut dans les parchemins indispensables ! Ensuite, si tu as la moindre question n’hésites pas à envoyer un hibou à l’un des membres du Staff. Nous t’attendons vite à Poudlard et nous tenons surtout à te remercier de t'être inscrit sur MUM ! Si tu as envie de RP mais que tu n'as pas de partenaire, viens t'inscrire au speed dating version sorcier. Tu peux aussi consulter le répertoire des sujets libres et communs. Pour ne pas te perdre dans la chronologie du forum, voici un petit rappel.
Si tu as du mal à te retrouver dans le château, que tu ne comprends rien à tes cours ou que tu as été victime d'un sortilège de confusion, tu peux toujours demander un parrain pour te guider.

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Si tu veux agrandir ton cercle d'ami et que tu as une idée en particulier, n'hésites pas à créer ton propre scénario, une fois que tu auras deux semaines d'activité sur le forum et un RP en cours, que tu peux faire ici. Enfin, et surtout pour gagner le coeur de nouveaux sorciers, nous t'invitons à voter pour MUM dans la session que tu trouveras dans la taverne.

N'oublie pas le plus important : amuse-toi bien sur MUM !

Cordialement,
Le Choixpeau Magique