La vie selon Loris

Beau/belle et jeune garçon qui nous vient tout droit de Durmstrang pour entamer sa première année en GISIS en médecine magique . Il est né à Londres en ce beau jour qu'était le 14 Février 1980 en tant que sang pur ; à présent il vit à Londres. Il est plutôt Charismatique, Intelligent, Calme mais aussi Rancunier, Farouche, Cru. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être bon. Il y a quelques années maintenant, il s'est procuré une baguette faite en bois de chêne, mesurant 25,3 cm et contenant crin de licorne. Avec cette baguette, il lui est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'un . La vision qu'il a eu face au miroir du risèd : Il se voit lui, à la tête d'un prestigieux établissement de soins magiques. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. Son lui profond, qu'il redoute et qu'il déteste. , dans son cas.

ϟ Que pensez-vous de l'échange européen inter-écoles ? Ce que j'en pense ? J'apprécie. Cela me permet enfin de revenir en Angleterre. Quelle idée aussi, de m'envoyer paitre je n'sais où dans une école remplie de slaves. Non pas que je n'les apprécie pas, loin de là, mais l'uniforme n'était pas vraiment très avantageux pour mon physique assez sec.

ϟ Que faisiez vous lors de la Grande Bataille ?  Lors de la Grande Bataille de Poudlard, je me trouvais être dans les terres reculées et glaciales de Dumstrang. Que faisais-je ? C'est une bonne question. Pour tout dire, ce n'est pas comme si j'avais pour habitude d'annoter sur papier tout mes moindres faits et gestes. Et tout simplement, je n'étais pas là, alors, quelle importance au fond ?

ϟ Avez-vous peur de perdre vos pouvoirs ? Pourquoi ? Perdre mes pouvoirs me semble inconcevable. Avouons-le, la sorcellerie procure cette sensation de puissance, de liberté que chaque être humain recherche tout au long de sa vie. S'il advenait que par malheur, je perdais cette fibre, qui fait de moi ce que je suis, sans jamais ne pouvoir revenir en arrière, alors il ne me resterait plus qu'à me pendre. Je préférerais la mort, que de retourner à une vie paisible et ennuyeuse d'un moldu pleine de stress d'un quotidien navrant.

ϟ Quelle est votre réputation à Poudlard ? Que pensent les autres élèves de vous ?  Je ne pense pas être le mieux placer pour répondre à cette question. On ment souvent à propos de nous même. Par exemple, certains diraient certainement que je suis égocentrique et prétentieux, moi, je dirais juste que je suis quelqu'un d'exigeant, ne voulant pas m'entourer de personnes inutiles et faibles. Vous voyez c'que j'veux dire ?  

(MISE EN SITUATION : Aucun nombre de lignes imposé.)
L'Angleterre de mon enfance m'avait manquée plus que je ne l'aurais pensé. Ce froid polaire auquel je m'étais habitué au fil des ans avait eu pour répercutions de démolir ce qui me restait d'amour pour les sport d'hiver et les vêtements à rembourrage en poils de mouton. Mais à la fin de cet été, je refaisais ma valise. Cependant, avec le sourire. J'allais enfin pénétrer Poudlard, cette école dont me parlait si souvent mes parents. Ils avaient aimé ces années passées ensemble, enfermés dans les murs du vieux château anglais. Tant aimé que je m'étais toujours demandé pourquoi m'avoir envoyé dans une école spécifiquement pour les individus de sexe masculins, à l'autre bout du monde. Probablement pour mieux apprécier l'Angleterre, car je râlais souvent du temps grisâtre qui semblait avoir apprécié les terres anglaises. "LORIS" Je me retournais. Mon père tapotait sa montre de l'index, comme ce lapin bizarre des dessins animés moldus. Dessin animé de drogué d'ailleurs, quand on se penche un peu mieux dessus. Il est temps de partir. Je ferme ma valise avant de mettre mon manteau sur moi. Et je ferme la porte de ma chambre pour un long moment.

Arrivé à la gare, et à la voie neuf trois quart, je n'peux m'empêcher de me demander comment les moldus font pour ne pas voir que des gens pénètrent dans un mur, comment peuvent-ils être aussi stupides pour ne pas s'apercevoir d'un truc aussi gros qu'une putain de maison ? Je soupire, l'effervescence des lieux me laisse perplexe. Trop d'embrassades, trop de gamins qui courent partout, trop de cris, trop de gloussements, rien de reposant. J'vais morfler.  A l'intérieur du wagon dans lequel j'ai trouvé refuge, c'est la même histoire, si c'n'est pire en fait... Je suis cloué contre la vitre, tandis que des adolescents en manque d'amour se retrouvent. Chez nous, c'était une poignée de main virile, et puis c'était tout. Là, c'est le blabla continu, le récit rocambolesque de vacances d'été interminable et navrante. Comme s'ils ne s'étaient pas vus depuis des siècles. Ils me fatiguent....

ϟ Ton pseudo : Noodle ϟ Ton âge : 24 ϟ Ton avis sur mumblemumps : trop cool ϟ Le mot de la fin : Tâtez mon string  

Je suis quelqu'un de blasé depuis l'enfance. Mon père dit que c'est parce que j'ai un gros Q.I, moi je pense que c'est uniquement parce que je ne trouve pas grand intérêt de vivre une vie simple, et que rien ni personne n'avait encore jamais réussi à faire bouillonner ce que j'aimais appeler, ma sentimentalité. Du moins, rien ne me stimulais avant l'apparition de mes pouvoirs, la fierté de mes parents lorsqu'ils virent que leur héritage le plus précieux était enfin arrivé. Une famille japonaise constituée intégralement de sorciers, se voyait enfin voir la dernière génération de la famille dotée de pouvoirs qui dépassait le commun des mortels.
Je rejoignais donc une école d'Angleterre jusqu'à mes onze ans, 'une éducation normale, moldue, afin de pouvoir m'intégrer au monde qui n'était à présent plus le mien, me cacher derrière un leurre d'humanité. tout en apprenant les bases de la magie, ainsi que son histoire par mes parents bienveillants. Entendant le soir, les souvenirs de mes parents durant leur scolarité au collège Poudlard, endroit où ils s'étaient rencontrés des années plus tôt. J'ai rêvé de pouvoir l'intégrer, jusqu'à ce qu'ils décident de m'exiler dans des pays froids, à l'école Durmstrang. Ce que je pris de manière plutôt morose. Le froid n'était pas un très bon ami à moi. Je détestais cette sensation sur ma peau, cette sensation de peau qui se craquèle sous la brise hivernale, la peau qui rougit, devenant douloureuse.

J'ai connu l'amour à Durmstrang, mais pas l'amour humain, celui que l'on ressent lorsqu'une personne fait accélérer le palpitant. Pour tout dire, la gente féminine était pour moi inutile, stupide, indigne d'intérêt, comme si elles n'étaient qu'une tripotée de boulets accrochée à ma botte. J'ai connu l'amour de la médecine, pour laquelle j'éprouvais, une passion démesurée. Pour tout dire, je n'ai vécu que pour cet objectif. Devenir un grand médecin dans le monde magique. Alors je me renfermais de plus en plus, bien qu'ayant une vie sociale satisfaisante, afin de pouvoir étudier au calme, et avec excellence. Un japonais qui ne fait que bosser pour des bonnes notes ? Cliché dira t-on, et oui, je l'admet. J'étais l'un de ces clichés, et pour tout dire, je m'en foutais, car en attendant, moi, j'aurai un avenir qui ferait mon bonheur. Durant mes sept années à Durmstrang, je connaissais les joies de l'amour humain à sens unique, finalement. Cette fille, qui semblait si intelligente au départ, aux courbes sensuelles qui avaient eu le don de retenir mon regard, mais qui, dès qu'elle avait ouvert la bouche, avait perdu mon intérêt, par sa stupidité débordante. "Je t'aime Loris." M'avait-elle lancé d'un coup, au détour d'un couloir sans que je ne m'y attende une seule seconde. Je l'avais observé, désabusé. "Je hais les femmes stupides." Et j'étais parti. Le reste de ma scolarité fut sans histoire, j'en vins finalement à bout, diplômé de ce collège empli de slaves...

L'Angleterre de mon enfance m'avait manquée plus que je ne l'aurais pensé. Ce froid polaire auquel je m'étais habitué au fil des ans avait eu pour répercutions de démolir ce qui me restait d'amour pour les sport d'hiver et les vêtements à rembourrage en poils de mouton. Mais à la fin de cet été, je refaisais ma valise. Cependant, avec le sourire. J'allais enfin pénétrer Poudlard, cette école dont me parlait si souvent mes parents. Ils avaient aimé ces années passées ensemble, enfermés dans les murs du vieux château anglais. Tant aimé que je m'étais toujours demandé pourquoi m'avoir envoyé dans une école spécifiquement pour les individus de sexe masculins, à l'autre bout du monde. Probablement pour mieux apprécier l'Angleterre, car je râlais souvent du temps grisâtre qui semblait avoir apprécié les terres anglaises. "LORIS" Je me retournais. Mon père tapotait sa montre de l'index, comme ce lapin bizarre des dessins animés moldus. Dessin animé de drogué d'ailleurs, quand on se penche un peu mieux dessus. Il est temps de partir. Je ferme ma valise avant de mettre mon manteau sur moi. Et je ferme la porte de ma chambre pour un long moment.

Arrivé à la gare, et à la voie neuf trois quart, je n'peux m'empêcher de me demander comment les moldus font pour ne pas voir que des gens pénètrent dans un mur, comment peuvent-ils être aussi stupides pour ne pas s'apercevoir d'un truc aussi gros qu'une putain de maison ? Je soupire, l'effervescence des lieux me laisse perplexe. Trop d'embrassades, trop de gamins qui courent partout, trop de cris, trop de gloussements, rien de reposant. J'vais morfler.  A l'intérieur du wagon dans lequel j'ai trouvé refuge, c'est la même histoire, si c'n'est pire en fait... Je suis cloué contre la vitre, tandis que des adolescents en manque d'amour se retrouvent. Chez nous, c'était une poignée de main virile, et puis c'était tout. Là, c'est le blabla continu, le récit rocambolesque de vacances d'été interminable et navrante. Comme s'ils ne s'étaient pas vus depuis des siècles. Ils me fatiguent....

Félicitations, tu as réussi à faire ta fiche de répartition ! Le Choixpeau n’a pas hésité plus d’une minute avec toi et a pris sa décision. Maintenant que tu as été réparti dans ta maison, tu vas pouvoir procéder à toute la partie inscription administrative de Poudlard.  

N’oublies pas qu’ici, tu peux t’amuser rapidement alors n’hésites pas à nous rejoindre soit dans le flood soit sur la ChatBox ! Tout le monde est le bienvenue. Tu peux maintenant commencer à créer de nouveaux liens avec les autres élèves.   Tu trouveras tout ça dans  le journal du sorcier. Ce n'est pas tout, il va falloir que tu viennes recenser ton personnage dans le dortoir, les clubs, l'équipe de quidditch etc... Tu trouveras tout ce qu'il faut dans les parchemins indispensables !   Ensuite, si tu as la moindre question n’hésites pas à envoyer un hibou à l’un des membres du Staff. Nous t’attendons vite à Poudlard et nous tenons surtout à te remercier de t'être inscrit sur MUM !  Si tu as envie de RP mais que tu n'as pas de partenaire, viens t'inscrire au speed dating version sorcier. Tu peux aussi consulter le répertoire des sujets libres et communs. Pour ne pas te perdre dans la chronologie du forum, voici un petit rappel.  
Si tu as du mal à te retrouver dans le château, que tu ne comprends rien à tes cours ou que tu as été victime d'un sortilège de confusion, tu peux toujours demander un parrain pour te guider.  

Tu trouveras le QG de ta maison et les secrets qui l'entourent, par ici. N'hésite pas d'ailleurs à dépenser tes gallions pour faire gagner des points à ta maison, pour découvrir des indices sur l'épidémie ou pour t'acheter des objets. Tu trouveras toutes ces choses dans la boutique. Il te faudra également installer ton hibou dans la volière pour pouvoir recevoir du courrier.    Enfin, pour consulter la liste des cours disponible et t'y inscrire, c'est par ici.  

Si tu veux agrandir ton cercle d'ami et que tu as une idée en particulier, n'hésites pas à créer ton propre scénario, une fois que tu auras deux semaines d'activité sur le forum et un RP en cours, que tu peux faire ici. Enfin, et surtout pour gagner le coeur de nouveaux sorciers, nous t'invitons à voter pour MUM dans la session que tu trouveras dans la taverne.

N'oublie pas le plus important : amuse-toi bien sur MUM !  

Cordialement,
Le Choixpeau Magique