Makhosini ♛ White skin, african heart.

Beau et jeune garçon qui nous vient tout droit de Beauxbâtons pour entamer sa huitième année au collège. Il est né à Pau, petite ville des Pyrénées en ce beau jour qu'était le 21 décembre 1980 en tant que sang mêlé ; à présent il vit entre Elhorta dans les pyrénées, et Makgari en Afrique du Sud. Il est plutôt observateur, notant tout un tas de détails inutiles dans son esprit. Attentif aux autres, il n'est pas rare qu'il aide son prochain -avec l'air de le faire par obligation ou politesse, il a une réputation de traumatiseur de petits blancs à tenir-, ou qu'il sème des cadeaux anonymes pour redonner le sourire à quelqu'un. D'un naturel pacifiste, il ne met quasiment jamais ses menaces à exécution, dissimulant sous ses airs ronchons, beaucoup de douceur. Il suffit de le voir avec des animaux pour se rendre compte que sa carapace de gros dur cache une puissante gentillesse. Curieux, il s'intéresse  plein de choses, mais ce pendant en général une courte durée, se lassant vite une fois qu'il a appris ou découvert ce qu'il voulait. Mais aussi distant, il a tendance à repousser tout le monde de prime abord. Il n'accorde que peu sa confiance, et sera toujours assez froid. Il peut s'avérer très incisif dans ses mots, et particulièrement blessant quand il le veut. Il est peu souriant et souvent le premier à ronchonner. Son humour grinçant a tendance à vexer aussi. Blasé, il a souvent l'air de se foutre de tout et surtout de tout le monde. Cela lui joue souvent des tours en classe, il paraît très inattentif. Susceptible et rancunier, il n'oublie jamais quand on se moque de lui ou de sa famille, et tôt ou tard, il trouvera un moyen de vous faire regretter ces mots, sans se salir les mains ou se fatiguer. . Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être moyen avec des fulgurances dans certaines matières. Il y a quelques années maintenant, il s'est procurée une baguette faite en bois d’ébène, mesurant trente-trois centimètres et contenant un crin de sombral. Avec cette baguette, il lui est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'un éléphant de savane. La vision qu'il a eu face au miroir du risèd : sa famille au grand complet, avec sa soeur jumelle en vie, souriante, elle aussi détentrice de pouvoir magique. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. son épouvantard prend la forme du fantôme de sa soeur, vociférant contre lui, l’accusant de sa mort.

ϟ Que pensez-vous de l'échange européen inter-écoles ? A dire vrai… Il s’en fout un peu. Franchement qu’est-ce que ça change de faire ses études à Poudlard ou à Beauxbâtons ? Tant qu’il obtient un diplôme qui lui permet de mener à bien ses projets, en France ou au Royaume-Uni, c’est du pareil au même. Au moins, Poudlard, c’est plus loin de chez ses parents, ça met un peu de distance...

ϟ Que faisiez vous lors de la Grande Bataille ?  La Grande Bataille, ce fut un laborieux et pénible sujet de débat avec ses grands-parents. Makho aurait voulu y aller. Sans doute porté par la fougue de l’âge et la volonté de changer le monde, mais ses grands-parents l’ont bien refroidi. En sortant des arguments plus ou moins valides allant de : “Tu es trop jeune pour ça.”, “Est-ce qu’ils sont venus aider les noirs pendant l’apartheid tes sorciers anglais ?”, “Tu crois qu’ils viendraient nous aider si on était dans la même situation ?”... Et puis, si vous connaissiez sa grand-mère, vous sauriez qu’on ne la contredit pas. La Mama dans toute sa splendeur, si vous la mettez en colère, pendant dix ans des objets aléatoires vous arriveront dans la tronche… Mama Nassoumi Ngoyi fait presque plus peur que Voldemort à Makho.

ϟ Avez-vous peur de perdre vos pouvoirs ? Pourquoi ?  Étant né de parents Cracmols, Makho n’a pas vraiment peur de perdre ses pouvoirs. Il sait que l’on peut vivre très heureux sans. Il ne craint donc pas de les perdre. A dire vrai, plus jeune, il a même regretté d’en avoir. Il aurait préféré rester comme ses parents, en marge de toute cette société magique qui lui paraît souvent injuste. Alors que des sorciers perdent leurs pouvoirs, disons que pour lui, c’est un peu un juste retour des choses, ça leur apprend ce que c’est de vivre sans. Ça leur montre ce que c’est d’être un paria dans le monde magique. Lui, il a vécu toute sa vie montré du doigt, un peu plus ou un peu moins, ça ne lui fait pas vraiment peur… Perdre ses pouvoirs ne l’empêcherait pas de vivre sa vie comme il l’entend.

ϟ Quelle est votre réputation à Poudlard ? Que pensent les autres élèves de vous ? Sa réputation, Makhosini a toujours fait en sortes qu’elle soit un brin effrayante, histoire qu’on ne vienne pas le voir pour faire copain-copain. Il aime sa tranquilité et son rang d’outsider. Il se complet dans son rôle de bête de foire. Alors, il passe pour le mec bizarre, les rumeurs sur lui vont plutôt bon train et il fait parfois en sorte de les alimenter. A Beauxbâtons, il avait réussi à faire croire aux plus crédules que sa grad-mère avait inventé le vaudou, et qu’il pouvait zombifier les gens qui l’emmerdaient avec ses dons d’homme noir… Enfin noir-blanc. Ouais parce que bon, son albinisme, ça traumatise autant les sorciers que les moldus… Bref, il compte bien continuer de passer pour un monstre plutôt de d'être collé par tout le monde.

(MISE EN SITUATION : Aucun nombre de lignes imposé.)
Les voyages, Makhosini était habitué, avec les allers-retours entre l’Afrique et la France. Alors, un de plus ou un de moins, il n'appréhendait pas vraiment. Il regrettait juste de ne pas pouvoir emporter tous ses fléreurs. Ils étaient entre de bonnes mains avec sa mère, mais, c’était ses bébés, et un an sans les voir, ça allait être vraiment long. Car oui, il avait plus de mal à se passer de ses bébés que de sa famille. Peut-être parce que sa famille avait un comportement particulièrement étouffant. Sans doute. Bref. Une dernière accolade avec ses parents, les ultimes recommandation de sa grand-mère -oui, oui, elle était venue pour lui dire au revoir, elle était incorrigible-. Un coup de poudre de cheminette et il serait en Angleterre. Pas de quoi en faire un drame.

“Et trouve toi une fille bien…”

“Maaamaaa !”

“Mais pas trop maigre !”

Il préféra jeter la poudre plutôt que d’en entendre plus. Parce que c’était si gênant quand sa grand-mère se mêlait de sa vie sentimentale inexistante. Heureusement qu’il n’allait pas faire son cursus à Uagadou, elle aurait été fichue de devenir prof là-bas pour l’espionner…


L’architecture de Poudlard le dépaysait au moins. Le climat aussi après un été en Afrique du Sud.. C’était frais. Il allait devoir investir dans plein de pulls. Et des plaids. Et des écharpes, beaucoup d’écharpes. Il se faisait mentalement la liste de tous ces achats à prévoir -au moins ici, il craindrait pas trop le soleil- quand un cri le sorti de ses pensées. Un cri un peu trop familier. Il releva le nez et eut le réflexe de sa vie en attrapant Zeke à la volée. Les câlins de retrouvailles, c’était toujours violent, mais bon, c’était jamais pire que ceux de sa grand-mère.

“Zeke… A moi aussi tu m’as manqué… Mais c’est gênant, j’ai une réputation d’associal à débuter ici… Laisse-moi une chance d’être crédible…” souffla-t-il à son ami.

Il fusilla aussi du regard tous ceux qui auraient voulu se foutre d’eux. Bref. Ici ou à Beauxbâtons, les choses ne changeaient pas tant que ça. Il allait juste devoir paraître un peu plus hostile les premiers jours que les autochtones ne se sentent pas trop en confiance avec lui. Faudrait qu’il en parle à Zeke d’ailleurs, qu’il lui fasse pas trop de câlins en public quand même…

ϟ Ton pseudo : Cedrick. ϟ Ton âge : 25 ans. ϟ Ton avis sur mumblemumps : ça m’a l’air chouette par ici ♥. ϟ Le mot de la fin : Zackery est un corrupteur, sachez-le !

Naître blanc dans une famille de noirs. D’habitude, on fait des blagues sur l’inverse. Mais pour les Ngoyi, c’était ça qui s’était produit. Sur leurs jumeaux, l’un d’eux était blanc. Mais pas blanc comme le petit français caucasien, blanc comme l’albâtre plutôt. Albinos. C’était pourtant assez rare. Les médecins les avaient rassuré, mais le gamin devait quand même subir tout un tas d’examens. Mais il allait bien. Et sa soeur jumelle aussi. Makhosini et Meitamei allaient bien malgré un accouchement difficile pour leur mère.


La vie dans un petit village de campagne, quand on vit dans la seule famille noire, c’est dur. Alors imaginez quand vous êtes le blanc d’une famille de noir. Et qu’en plus, vous avez des lunettes de vue qui rendent celles de Lionel Jospin sexy. Et ne songez pas à les enlever, parce que sans, Makhosini, il louche. Et puis pas le petit strabisme facile à cacher. Bref. Sa vie n’était pas simple, même à 6 ans !

Heureusement que Mei était là ! Sa jumelle. Ils étaient toujours ensemble. Inséparables. Makho était le cerveau, Mei les bras et les jambes. Oui. C’était elle qui tapait tous ceux qui les embêtaient. Et alors ? Elle était plus forte que tous les garçons de leur âge… Ils se fichaient bien que personne ne les aime, parce que eux deux, ils s’aimaient. Leur lien était si fort. Fusionnel.



“T’es pas cap d’aller en haut Mei !”

8 ans. Ils avaient 8 ans, et déjà assez de cicatrices à force de faire les 400 coups dans les environs de la ferme de leurs parents. Makho sortait tout juste d’un plâtre au bras, mais ça l’empêchait pas de vouloir explorer le grenier de cette grange en ruine.

Et un défi ne résistait jamais à Mei. Jamais. C’était une règle entre eux. Toujours cap. Toujours plus courageux et brave que l’autre. Makho peinait souvent à rivaliser, mais s’avouer vaincu, jamais ! Il luttait toujours, il ne lâchait rien. Sans doute parce qu’il ne voulait pas laisser sa soeur s’ennuyer. Sans doute pour elle plus que pour lui-même.

Il grimpa moins vite qu’elle. Ses bras étaient moins fort, ses jambes moins souples, et ses yeux pleuraient à cause des poussières de pailles. Elle gagnait presque toujours quand il s’agissait d’aller vite, ou d’être plus fort. Elle riait de lui de là-haut.

“Eh bha alors ! T’es mou aujourd’hui Makhokho !”

“T’as triché ! Tu m’as empêché de grimper plus vite…”

La mauvaise foi était là presque pour la forme. Mei rit de plus belle, lui tendant la main pour qu’il arrive plus vite. Et les deux compères se retrouvèrent au dessus du sol, à quelques mètres près. Au milieu des vieux outils de culture oubliés. Le plancher grinçait. Et puis, après avoir grincé, le plancher craqua. D’abord sous les pieds de Mei puis sous ceux de Mak. Les poutres s'effondrent, tout le bâtiment s’effondre sur eux.

On retrouva les deux enfants que plusieurs heures après le drame. Makho s’en sortit avec une légère blessure à la jambe. A son réveil, il appela sa soeur. Elle ne répondait pas. Ce jour-là, alors que la magie s’éveillait en lui, il eut l’impression que cette magie ne faisait que comblait maladroitement un vide en lui. Cette magie, il n’en voulait pas. Il voulait sa soeur.


L’apparition de ses dons magiques avait fait voler en éclat l’un des plus lourds secrets de sa famille. Ses parents étaient des “cracmols”. Ce mot était moche. Sans en savoir la signification, il n’aimait pas ce mot. Il n’aima pas plus ce qu’il voulait dire. Ni le monde qui s’offrait à lui. Un monde qui refusait les siens sous prétexte qu’ils étaient différent ? Et pourquoi lui ? Et pourquoi la magie n’avait pas sauvé sa soeur ? Il répétait cette question. Il la répéta inlassablement. Jusqu’à ce que sa grand-mère n’arrive. Une mama noire digne des plus grand cliché.

“Meitamei n’était pas l’une des nôtres.”

“Je veux pas être des vôtres si elle n’est pas là !” cria le gamin.

La mama Ngoyi eut un tchip. Ensuite tout alla très vite, une lionne lui sauta dessus. Enfin, c’était sa grand-mère puis ce fut une lionne qui lui hurla dessus. Face à un tel argument, on peut difficilement négocier. En une journée, il avait appris ce qu’était un cracmol, un animagus, et surtout que plus jamais il mettrait Mama Ngoyi en colère. Il partit en Afrique, ses parents ne se sentant pas capables d'élever un sorcier...


La déception avait été intense pour ses aïeuls. Ils avaient espéré que cet enfant redore le nom de leur famille au sein de Uagadou. Il n’en fut rien. Il fut appelé à Beauxbâtons, la France étant son pays de naissance et celui auquel il se sentait appartenir. Déraciné, seul, Makhosini était un enfant renfermé. Il ne s’épanouissait qu’au contact des animaux qui étaient bien les seuls à le voir sourire. Le poids des traditions, des superstitions liées à sa couleur de peau atypique l’angoissaient. Il n’était pas un grand sorcier. Sa peau ne lui donnait pas plus de force ni de pouvoir. C’était faux tout ça. Ce n’était que des fables.


Alors quand il arriva dans cette école de magie, avec son accent et ses fautes de français, il n’en menait pas large. Il avait oublié ce que le regard et le jugement de ses pairs faisaient. Il avait oublié la douleur d’être différent. Ici, personne ne voyait sa peau comme le signe d’un don exceptionnel. Il n’était l’élu de personne. Juste une bête de foire dont on riait. Et Mei n’était plus là pour le protéger. Il se sentait affreusement seul. Et blessé. Même si sa fierté l’empêchait de montrer que chaque moquerie, chaque rire l’atteignait.

Assis dans l’herbe du grand parc, Makho tentait d’honorer ses origines en apprenant -seul et peu efficacement- à ne pas utiliser sa baguette pour lancer des sorts. Il avait vu sa grand-mère et son grand-père le faire tellement de fois… Mais lui, on l’obligeait à utiliser une foutue baguette noire qui lui rappelait comme il était blanc.

“Hey Blanche-Neige ! Mange pas de pommes !” ricanna un groupe d’élèves en passant à côté de lui.

Il les ignora même si dans son esprit, les noms de tous ceux qui l’avaient moqué se gravait en attente d’une vengeance digne de la souffrance que leurs mots avaient engendrés. Mais… Cette fois-là, il se passa quelque chose de bizarre. Un garçon qui était un peu plus loin se leva, se planta devant ses agresseurs et leur demanda d’arrêter avec conviction. Fougue. Et bonne foi. Bizarrement, ils écoutèrent ce garçon. Ou alors c’était le groupe de personne derrière lui qui donnait du poids à ses mots. Il ne savait pas trop. Il regarda la scène. Et quand Zeke -c’était comme ça qu’un de ses amis venait de l’appeler- vint vers lui, il dut se forcer pour effacer le léger sourire qui était né sur ses lèvres.

"Désolé, j'pouvais pas laisser passer ça ! Ils sont vraiment cons... Ça va toi ?"

Quelqu’un s’inquiétait vraiment de lui ? Il eut le réflexe de regarder derrière lui. Sauf si ce garçon parlait aux arbres, c’était bien de lui qu’on s’inquiétait.

“Ça va. Je suis habitué. C’est pas la peine de te fatiguer, ils recommenceront… Mais… Merci… C’est gentil…”

Ce Zeke avait continué de parler. S’intéressant à lui. Makhosini avait répondu, il s’était aussi intéressé à ce garçon pas comme les autres. Il avait même fini par rire. Un rire qu’on avait plus entendu depuis trois ans.


Les mois avaient passées. La solitude un peu moins lourde à porter. Parce que même s’il ne parlait pas souvent à ce Zeke, il croisait souvent son regard et son sourire. Cela suffisait à le faire se sentir mieux. Peut-être qu’il y avait beaucoup d’imbéciles dans cette école, mais il y avait aussi des gens biens.

Alors cette fois-là, quand au détour d’un couloir, il était tombé sur un petit groupe en train d’embêter son seul ami -ou le plus approchant-, il n’avait pas réfléchi. Il n’avait même pas sorti sa baguette. Et le sort était parti de sa main. Première fois qu’il arrivait à faire ça, bon sang ! Mais il garda son masque de colère, ses yeux rouges fulminant de rage. Il arracha une poignée de cheveux au garçon à terre, dans un élan de machiavélisme.

“Vous voyez ça ? Vous savez ce que je peux faire avec vos cheveux ? Je peux vous empêcher d’avoir une vie heureuse, je peux vous maudire sur dix générations, alors si je vous revois emmerder Zeke, vous regretterez ne serait-ce que d’y avoir penser. Parce que je peux avoir les cheveux de chacun de vous. Et vous savez très bien que mes ancêtres ont une magie beaucoup moins mignonne que la vôtre !”

Il ponctua sa tirade d’un cri guerrier, presque bestial.

C’était théâtral, mensonger, mais, hey, ça avait marché, dis donc ! Il attendit qu’ils soient partis pour éclater de rire en croisant le regard de Zeke.

“Eux, ils t’embêteront plus !” rit-il avec malice.

Et c’est ainsi que naquit sa terrible réputation de sorcier vaudou. Une vraie bénédiction pour faire fuir les cons. Ce fut aussi sa première de colle. Motif : on arrache pas les cheveux des gens dans les pays civilisés.


Les années s’étaient suivies sans se ressembler. Il avait appris. Il avait agacé pas mal de professeurs aussi avec son air perpétuellement ennuyé. Il s’était passionné pour la métamorphose. Peut-être qu’un jour comme ses aïeuls il aurait la ténacité de devenir animagus, mais pour le moment, une passion fugace en remplaçait une autre. Il ne savait guère persévérer dans un même domaine. Il aimait la nouveauté. Et la seule chose qu’il aimait plus que la nouveauté, c’était les créatures magiques. A chaque vacances, il se réjouissait d’aider son grand-père dans la réserve et les élevages de ce grand homme. Il avait pourtant écopé de tout un tas de cicatrices au contact des animaux, mais… Il les aimait. Plus que les humains parfois, ce qui pouvait sembler bizarre. Asocial.

A 19 ans, il désespérait toujours sa Mama Ngoyi en résistant aux charmes de toutes les sorcières qu’on lui présentait. A 19 ans, il commençait à accepter ses différences. A 19 ans, il avait enfin l’espoir de savoir qui il était.

Félicitations, tu as réussi à faire ta fiche de répartition ! Le Choixpeau n’a pas hésité plus d’une minute avec toi et a pris sa décision. Maintenant que tu as été réparti dans ta maison, tu vas pouvoir procéder à toute la partie inscription administrative de Poudlard.  

N’oublies pas qu’ici, tu peux t’amuser rapidement alors n’hésites pas à nous rejoindre soit dans le flood soit sur la ChatBox ! Tout le monde est le bienvenue. Tu peux maintenant commencer à créer de nouveaux liens avec les autres sorcier de mumblemumps.    Tu trouveras tout ça dans  le journal du sorcier. Ce n'est pas tout, il va falloir que tu viennes recenser ton personnage dans le dortoir, les clubs, l'équipe de quidditch etc... Tu trouveras tout ce qu'il faut dans les parchemins indispensables !  Ensuite, si tu as la moindre question n’hésites pas à envoyer un hibou à l’un des membres du Staff. Nous t’attendons vite à Poudlard et nous tenons surtout à te remercier de t'être inscrit sur MUM ! Si tu as envie de RP mais que tu n'as pas de partenaire, viens t'inscrire au speed dating version sorcier. Tu peux aussi consulter le répertoire des sujets libres et communs. Pour ne pas te perdre dans la chronologie du forum, voici un petit rappel.
Si tu as du mal à te retrouver dans le château, que tu ne comprends rien à tes cours ou que tu as été victime d'un sortilège de confusion, tu peux toujours demander un parrain pour te guider.  

Tu trouveras le QG de ta maison et les secrets qui l'entourent, par ici. N'hésite pas d'ailleurs à dépenser tes gallions pour faire gagner des points à ta maison, pour découvrir des indices sur l'épidémie ou pour t'acheter des objets. Tu trouveras toutes ces choses dans la boutique. Il te faudra également installer ton hibou dans la volière pour pouvoir recevoir du courrier.    Enfin, pour consulter la liste des cours disponible et t'y inscrire, c'est par ici.  

Si tu veux agrandir ton cercle d'ami et que tu as une idée en particulier, n'hésites pas à créer ton propre scénario, une fois que tu auras deux semaines d'activité sur le forum et un RP en cours, que tu peux faire ici. Enfin, et surtout pour gagner le coeur de nouveaux sorciers, nous t'invitons à voter pour MUM dans la session que tu trouveras dans la taverne.

N'oublie pas le plus important : amuse-toi bien sur MUM !

Cordialement,
Le Choixpeau Magique