I'm waiting for it, that green light, I want it.

Belle et jeune fille qui nous vient tout droit de Durmstrang pour entamer sa 8ème année au collège. Elle est née à Dolen en Bulgarie en ce beau jour qu'était le 29 octobre 1981 en tant que née sang pur ; à présent elle vit à Poudlard. Elle est plutôt audacieuse, charismatique, courageuse, douce, engagée, intelligente, intègre, persévérante, sensible
mais aussi anxieuse, sarcastique, émotive, solitaire, impatiente, impulsive, indécise, méfiante, naïve, jalouse et possessive. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être bon. Il y a quelques années maintenant, elle s'est procurée une baguette faite en bois de marronnier, mesurant trente cinq centimètres et contenant une plume de phoenix. Avec cette baguette, il lui est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'un aigle. La vision qu'elle a eu face au miroir du risèd : son reflet en tenue d'auror. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. Lorsqu'elle fait face à son épouvantard, Anastasia a affaire à son père sous l'apparence d'un mangemort et est contrainte de le tuer ou de mourir sous sa baguette, dans son cas.

ϟ Que pensez-vous de l'échange européen inter-écoles ? Ce n'est pas une mauvaise idée du tout. Je suis surtout satisfaite de ne plus avoir à arpenter les murs de Durmstrang avec les gens qui y régnaient là-bas. Bien que le contexte politique et magique demeure douteux en Angleterre, je préfère largement étudier à Poudlard et y vivre quelques années encore. Et puis, ça permet de rencontrer d'autres élèves anglais et français sans doutes moins "barbares" que d'où je viens. Même si au final, les gens se ressemblent sans doutes tous.

ϟ Que faisiez vous lors de la Grande Bataille ? J'étudiais à Durmstrang. La guerre est une chose terrible, je n'aurai pas aimé m'y trouver, même si tout le monde magique était sous tension depuis un moment déjà...

ϟ Avez-vous peur de perdre vos pouvoirs ? Pourquoi ? Bien-sûr que j'ai peur. Si je n'ai pas de magie, comment pourrais-je me protéger face à mes ennemis ou aux forces obscures qui règnent autour de nous ? Un monde magique avec des sorciers qui ont conscience de qui ils sont et de où ils se trouvent, dénués de toute magie... ce doit être bien terrible.

ϟ Quelle est votre réputation à Poudlard ? Que pensent les autres élèves de vous ? Comment pourrais-je le savoir ? Je fais profil bas, je m'enferme à la bibliothèque, me cale dans le parc, près du lac, me met en bout de table quand j'en ai l'occasion à la Grande Salle. Je n'évite pas les gens car je ne les aime pas pourtant. Je les évite pour qu'ils ne me fassent pas de mal. Ce n'est que légitime défense, bien qu'ils doivent peut-être jaser dans mon dos, ou me trouver bizarre. Qui sait ? Je ne préfère pas le savoir.
Ou bien peut-être que ça me tue de me poser la question.

(MISE EN SITUATION : Aucun nombre de lignes imposé.)
Pour les élèves de Beaubâtons et Durmstrang : Quitter la Bulgarie n'aura pas été trop difficile, mais quitter le dernier endroit qui me rattachait à ma mère et à ce qu'il restait de mon père fut beaucoup plus douloureux. J'avais donc été mise au courant que des portoloins se trouvaient à divers endroits du monde sorcier bulgare. Or, je savais aussi que je ne devais pas être en retard, sinon le portoloin partirait sans moi... C'est donc par chance que je pus rejoindre le portoloin le plus proche pour rejoindre Pré-Au-Lard. Le voyage fut très particulier, très étranger. J'avais peur de lâcher mes affaires ou le portoloin en chemin, ou d'être simplement désintégrée en chemin si jamais le sort était mal lancé sur l'objet. Or, tout se passa plus ou moins bien et n'ayant pas été seule lors du voyage, les autres élèves présents et moi-même avons très facilement pu rejoindre le château.
En Angleterre, tout est si différent... l'atmosphère, la température, le comportement des gens, leur façon de penser... mais nous avons été très bien accueillis et je me sentais déjà bien ici. Cependant, même si je faisais face à plusieurs visages amicaux et bienveillants, je décidais de me méfier de tout le monde. Il était hors de question que je rate ma scolarité ou que je passe encore des années à souffrir à cause des autres. C'était un nouveau départ.
C'était ma chance.

ϟ Ton pseudo : Moriarty ϟ Ton âge : 23 ans ϟ Ton avis sur mumblemumps : Tout le monde est très accueillants, excellent système pour le parrainage, esthétiquement tout est nickel aussi, et très bien construit, j'ai hâte d'être des vôtres  ϟ Le mot de la fin : Je vous aime déjà

(HISTOIRE : sept cent mots minimum.)

L’adrénaline monte de plus en plus vite au fur et à mesure que je me rapproche du point de non retour, encouragée par les autres enfants. Je ne suis pas si loin du bord, mais je n’avais pas prévu d’aller aussi loin. Je n’avais pas prévu d’être là tout court. Je devais pourtant leur prouver que j’étais digne d’eux, que je pouvais sauter du toit de la maison des parents Vladimir. Ils étaient absents pendant quelques jours, c’était la fin d’après-midi et nos parents ne faisaient pas attention à ce que nous faisions. J’étais suffisamment loin de chez moi pour avoir vraiment peur qu’il m’arrive quelque chose de mal. Leurs cris résonnèrent dans ma boîte crânienne et dans mes oreilles si fort que je ne savais plus pourquoi je faisais ça initialement. Pourtant au fond, je savais pourquoi. Je voulais simplement faire partie de leur groupe, être l’une des leurs et plus leur tête de turc. Sauf que je l’étais toujours. Aucun d’entre eux n’avait jamais sauté du haut d’un toit. Je voulais reculer, m’arrêter, retourner sur le sol, mais l’un d’eux était sur le toit avec moi tandis que les autres étaient en bas à me hurler de sauter, me menaçant au passage de tout raconter à mes parents si jamais je ne sautais pas. Ou que si je ne descendais pas en sautant de si haut, ils allaient s’occuper de moi. J’avais peur. Je ne voulais pas mourir, pas maintenant, pas comme ça, pas face à eux. J’étais trop jeune pour mourir. Pourtant, j’ai décidé de m’arrêter une fois à la limite du toit et toute la colère et la peur qui étaient en moi ont fait jaillir un petit bruit d’explosion. Pas grand chose, mais suffisamment pour qu’ils aient peur et prennent tous la fuite. Juste ce qu’il fallait pour que le garçon derrière moi tombe et que je le rattrape de justesse, glissant et poussant un cri, me rattrapant à la bordure du toit. Je suis restée accrochée dix minutes, suspendue dans les airs, avant qu’un adulte ne vienne m’aider à descendre. Le garçon à mes côtés avait prit ses jambes à son cou en m’insultant et me disant qu’aucun d’entre eux n’oublierait ce qu’il venait de se passer.

Inutile de préciser que c’était une menace.

Une fois cet incident passé, mes parents m’expliquèrent en quelques mots que je n’étais pas comme les autres enfants. Que j’étais différente, spéciale. Ma mère m’annonça alors qu’il existait deux types de personnes dans « ce » monde. Les moldus, personnes dénuées de pouvoirs magiques, et les sorciers. Eux, faisaient partie des sorciers. Ils s’étaient installés ici pour prendre un peu de repos hors du monde des sorciers, après que ma mère ait été attaquée par un mangemort, sous l’emprise d’un endoloris qui l’avait bien amochée. Bien-sûr, je ne l’ai appris que plus tard. Ils me demandèrent alors de ne plus rester avec les autres enfants. Parce qu’ils m’avaient mise en danger - et que ce n’était pas la première fois - mais aussi pour les protéger, eux. Si jamais il leur arrivait malheur, ce serait de ma faute et aussi la leur.


Coupée du monde, mes parents me firent des cours à domicile, m’autorisant à sortir uniquement pour accomplir quelques missions avec mon père pour aller chercher du bois pour le feu, ou bien pour faire quelques courses avec ma mère au marché. Alors, faute de mieux, ils m’apprirent le nécéssaire à mon éducation. Lire, écrire, me tenir convenablement, m’exprimer tel qu’il le fallait, quelques histoires sur le monde des sorciers et celui des moldus. Mon éducation ne fut pas aussi bonne que celle des autres enfants sans doutes, mais au moins, j’étais plus attentive avec mes parents, chez moi, sans peur et sans danger quelconque. Mon père m’apprit même quelques petits sortilèges anodins, comme pour réparer mes lunettes lorsque je les cassais. Ce n’était peut-être pas grand chose, mais ça représentait beaucoup pour moi. Je ne connaissais que ça. Alors lorsque j’ai reçu ma lettre pour Durmstrang, j’étais aux anges. J’allais enfin être avec des enfants de mon âge, des sorciers, je ne serai pas jugée et je me ferai enfin des amis. Je pourrais avoir la même éducation et les mêmes chances. Je fus également rassurée de savoir que mon père travaillait dans le monde sorcier et que je le verrais sans doutes, ne serait-ce que pour me récupérer pour les vacances.


Durmstrang. Je n’aurai pas su dire si je trouvais vraiment des points positifs à cette école ou à ses élèves. Je ne pouvais pas dire qu’ils étaient tous pareils, mais je n’avais pas eu les meilleures chances de mon côté en arrivant. La cérémonie de répartition m’avait beaucoup angoissée, tout se résumait à la force et à la volonté de réussir ici. Juste pas de la manière que je pensais. En entendant le nom des maisons, j’ai compris très vite que je ne serai jamais dans la fratrie des dragons. Trop prestigieuse, puissante et importante pour que j’y accède. J’ai tout de suite su que j’allais avoir du mal à m’en sortir ici. C’est pourquoi, quand vint mon tour, je fus surprise de voir qu’en très peu de temps, j’étais parvenue à détruire le morceau de bois. Décontenancée, on m’accueillit cependant chez les dragons, ce qui me fit me poser quelques questions sur moi-même durant quelques temps.

Autant vous dire que la mentalité bulgare est assez centrée sur la force et sur la puissance. Il fallait être le meilleur, si on ne faisait pas partie de l’élite, on était considéré comme faible. Bien que je ne correspondais pas au profil recherché pour réussir à faire partie des meilleurs, j’en faisais partie. Je n’étais pourtant pas l’une des meilleures, j’avais besoin d’étudier énormément et de beaucoup lire, prendre tout le temps nécéssaire afin de réviser et travailler. Mais en ce qui concernait la magie, j’avais quelques facilités, sans même comprendre pourquoi et d’où cela me venait. Cependant, je voulais être l’une des meilleures. Je voulais devenir quelqu’un. J’en avais assez de rester dans l’ombre, de me faire marcher dessus, regarder de travers, de baisser les yeux lorsque l’on me regardait.  Je ne voulais plus jamais revivre ce que j’avais vécue étant petite. Je ne voulais plus être une victime. Pourtant, je me suis très rapidement tapie dans l’ombre, me concentrant énormément sur ce que je faisais, mes études, et les quelques amis que je possédais. J’étais toujours sujette aux moqueries ou aux humiliations. Le système assez barbare de l’école ne me convenait pas, pourtant je devais bien faire avec. Je devais être à la hauteur.

Ce qui me manquait le plus, je suppose que c’était d’avoir confiance en certaines personnes. Je n’étais pas vraiment seule, j’avais quelques amis et j’ai eu aussi mes premiers coups de coeurs, mais j’avais tellement de mal à faire entièrement confiance aux gens que parfois, je m’en éloignais et ne m’autorisais qu’à me reposer sur moi-même. Mais c’était un travail qui demandait beaucoup d’efforts et qui fatiguait énormément. Je voulais croire qu’on pouvait vraiment m’apprécier ou vouloir être en ma compagnie, mais je ne le pensais pas. Hormis mes parents, je n’avais pas beaucoup de gens avec qui je me sentais libre. Mon expérience avec les moldus de mon enfance n’avait que renforcée ma peur des autres. Je détestais les foules, je détestais me retrouver seule face à plus de deux personnes que je ne connaissais pas ou qui ne m’appréciaient pas. Je ne voulais pas rester effrayée toute ma vie. Je n’étais pas une taupe condamnée à prendre la fuite et à se cacher.


En Bulgarie, la vie n’est pas la même qu’en Angleterre ou en France. Aussi, bien qu’il s’agisse de la maladie, ma mère est tombée gravement malade lors d’un hiver un peu trop froid pour sa santé fragile. Elle était pourtant coriace, mais elle a attrapé un virus. Aussi mon père s’est occupé tout seul de pas mal de choses à la maison. Je l’aidais dès que je pouvais rentrer. Mais les temps étaient durs dans le monde des sorciers. Alors lorsque toutes les rumeurs sur Vous-Savez-Qui sont apparues, j’ai remarqué que mon père devenait un peu distant. J’ai tenté de comprendre, mais j’ai mis un moment avant de savoir ce qui se tramait. Un jour, alors qu’il coupait du bois, je l’ai vue.

La marque des ténèbres. Lorsque je la vis, je me demandais alors depuis combien de temps mon père l’avait sur son bras. Etait-ce récent ? L’avait-il toujours eu ? Je n’avais jamais vraiment porté attention à cela avant de vraiment comprendre de quoi il s’agissait, et de savoir que le grand Mage Noir était de retour. Il ne fallut que quelques semaines à mon père pour me faire comprendre quel était notre camp. Il fallait se plier à la volonté du Seigneur des Ténèbres, car il était le sorcier le plus puissant de tous les temps. Lorsque j’en ai parlé à mon père, il m’annonça que ma mère ne survivrait pas à la maladie. Qu’elle était vouée à mourir, que ce n’était qu’une question de temps. Il devait sans doutes avoir peur qu’ils ne la tuent pour de bon avant de nous tuer nous. Peut-être avait-il oublié ce qui l’avait gravement affaiblie dans un premier temps… les mangemorts. Je décidais alors de passer tout le temps que je pouvais avec ma mère, jusqu’à ce qu’elle nous quitte quelques temps plus tard.

Le plus difficile en soi, ne fut pas de porter mon deuil et de réaliser que je venais de perdre un parent. Ce fut d’assimiler cet événement au fait que mon père l’avait déjà considérée comme morte et qu’il s’était allié à des forces bien plus grandes et importantes que nous. Je me sentais presque obligée de me faire enrôler parmi les mangemorts, pourtant au final, rien ne m’y obligeait. Je ne le voulais pas. Aussi décidais-je de ne plus retourner chez moi à moins d’y être forcée. Bien que Durmstrang n’était pas l’endroit rêvé, au moins je n’étais pas liée par le sang à un homme s’alliant à ceux qui avaient en partie tuer ma mère. Ceux qui propageaient la mort. De plus, je n’aurai pas non plus à devoir faire face à l’absence physique de ma mère. C’est ainsi que je fis mon deuil en silence, plongeant le nez dans mes bouquins et trouvant quelques endroits où pleurer lorsque je craquais et que j’avais besoin d’évacuer.


Lorsque la guerre a éclaté, je terminais ma sixième année à Durmstrang. Plus qu’un an. Un an encore avant de me lancer dans la vie active. Assez loin de la guerre, mais tout de même au coeur du conflit, j’avais enfin compris ce que je voulais faire de ma vie. Je ne voulais plus être une victime, plus jamais. J’avais été acceptée dans la Fratrie des Dragons, j’avais de bons résultats… et si ma vie sociale et familiale était plus ou moins misérable, je vouerai ma vie à protéger les autres. Je voulais me battre. Je voulais beaucoup plus passer à l’action et s’il me fallait plus de théorie pour y parvenir, cela ne me dérangeait pas. C’est pourquoi, lorsque je fus à la fin de ma scolarité ici, j’appris que Poudlard, l’école de magie britannique, avait ouvert une nouvelle section. Mais mieux encore, dans celle-ci se trouvait une spécialité sur la sécurité magique. J’ai donc décidé de postuler pour cette branche du GISIS.

Angleterre, me voilà.


La guerre terminée, les mangemorts « disparus » tout devait être nouveau. J’avais profité d’une absence de mon père pour empaqueter toutes mes affaires et partir, sans laisser de mot. Sur le coup, je n’ai pas vraiment regretté ce geste. Il m’aurait peut-être vendue pour les mangemorts. J’avais d’ailleurs eu peur que mon père participe aux assauts dans le monde magique lorsque la guerre n’avait pas encore éclaté. Je suppose qu’il était des leurs, et rien qu’à cette pensée, mon coeur se contractait et ma poitrine me faisait mal. J’aimais tellement mon père et je haïssais tellement les mangemorts que j’avais du mal à assimiler le fait qu’il soit devenu ce que je détestais. Alors j’ai quitté le mangemort et laissé l’homme qui m’avait élevée et donnée tout son amour derrière moi. Tout comme j’ai laissé Durmstrang derrière. Mon village. Les gens. Mon passé. Je voulais tout recommencer ailleurs. Personne ne me connaîtrait là-bas. J’aurai une nouvelle chance de grandir et de m’imposer. Là-bas.


Poudlard. Une toute nouvelle école, un tout nouveau système, un directeur que personne n’avait jamais vu, quelques élèves et professeurs de Durmstrang également présents. Mais surtout, les anglais et les français. De nouveaux élèves, de nouveaux professeurs, de nouveaux paysages, une spécialisation. Vous connaissez ce sentiment de renouveau ? Quand vous avez l’impression d’avoir enfin commencer à vivre à un moment crucial de votre vie ? Je ne dirais pas que je l’ai vu comme ça, que cette rentrée était ainsi, mais c’était assez semblable. Je ne savais pas du tout ce que l’année allait donner, mais je voulais croire que celle-ci m’apporterait enfin du positif. Que je rencontrerai des gens merveilleux ici.


Cette école est très étrange. Pleins d’événements ont eu lieu et demeurent assez inexpliqués. Les anglais sont complètement fous, la rumeur disait vraie. Ils ont un grain. Les boules de neige attaquent les gens, les événements au château ou dans ses alentours se terminent rarement bien, une marque des ténèbres a refait surface… Oui. Les mangemorts sont visiblement de retour. Alors cette fois-ci, je m’étais dis que je pourrais me battre s’il le fallait. Que j’avais probablement des aptitudes en duel et en sorcellerie que les gens ici n’avaient pas. Mais surtout, j’ai peur. Je veux être utile, mais je refuse de me battre face à eux. Sauf si je n’ai pas le choix.

Je ne voudrais pas me retrouver face à lui.


Plus ça va, moins les choses semblent logiques ici. Il semblerait que ça ne touche pas tous les endroits du monde magique, et Poudlard a un certain passif, après tout… mais quelques élèves ont disparus, le château semble vivant et totalement fou. Les anglais en plus d’être bizarres, ont une sorcellerie totalement étrange et des bâtisses comme celle-ci le sont tout autant. Je me suis déjà perdue pour retrouver des salles de cours ou pour retourner à la salle commune. C’est à ne rien comprendre. Mais alors que tout ce que je pensais être un dérèglement de magie ou une folie anglaise, les choses ne firent que de s’aggraver. Une marche blanche fut ainsi organisée en la mémoire des disparus. Je n’avais pas pris les choses au sérieux jusqu’à ce moment. Etaient-ils tous morts ? Etaient-ils prisonniers quelque part ? Plusieurs questions pouvaient désormais se poser, mais trop peu de réponses demeuraient présentes. Puis le directeur montra enfin son visage sous un orage des plus étranges, lui aussi. Cela ne faisait que quelques mois que j’étais là, et je réalisais seulement maintenant qu’ici se trouvait le coeur de tout. J’étais au coeur du conflit et de la bataille. Voldemort était peut-être mort, cela ne signifiait pas qu’aucune menace n’était au dessus de nos têtes en permanence. Jusqu’au coeur de l’école.

Puis de nouvelles règles sont apparues. Les aurors étaient partout. Je me sentais proche de tout, je m’en voulais presque. Parce qu’au fond, être là, subir tout ça, assister à tout ce qui se déroulait ici me donnait l’impression d’être en vie. Je vivais vraiment. Je sentais qu’il ne m’en faudrait peut-être pas beaucoup pour devenir quelqu’un. Mon envie de réussir se transforma alors en obsession. Je devais avoir un impact sur les autres, sur le monde. A mon niveau. Je pourrais peut-être devenir quelqu’un, pour de bon.

Félicitations, tu as réussi à faire ta fiche de répartition ! Le Choixpeau n’a pas hésité plus d’une minute avec toi et a pris sa décision. Maintenant que tu as été réparti dans ta maison, tu vas pouvoir procéder à toute la partie inscription administrative de Poudlard.  

N’oublies pas qu’ici, tu peux t’amuser rapidement alors n’hésites pas à nous rejoindre soit dans le flood soit sur la ChatBox ! Tout le monde est le bienvenue.Tu peux maintenant commencer à créer de nouveaux liens avec les autres sorcier de mumblemumps.    Tu trouveras tout ça dans  le journal du sorcier. Ce n'est pas tout, il va falloir que tu viennes recenser ton personnage dans le dortoir, les clubs, l'équipe de quidditch etc... Tu trouveras tout ce qu'il faut dans les parchemins indispensables !  Ensuite, si tu as la moindre question n’hésites pas à envoyer un hibou à l’un des membres du Staff. Nous t’attendons vite à Poudlard et nous tenons surtout à te remercier de t'être inscrit sur MUM ! Si tu as envie de RP mais que tu n'as pas de partenaire, viens t'inscrire au speed dating version sorcier. Tu peux aussi consulter le répertoire des sujets libres et communs. Pour ne pas te perdre dans la chronologie du forum, voici un petit rappel.
Si tu as du mal à te retrouver dans le château, que tu ne comprends rien à tes cours ou que tu as été victime d'un sortilège de confusion, tu peux toujours demander un parrain pour te guider.  

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N'oublie pas le plus important : amuse-toi bien sur MUM !

Cordialement,
Le Choixpeau Magique