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(maddvia) you're the song in my heart

Maddox Berkeley
Consumed by the shadows
Maddox Berkeley
Élève de Serdaigle
Maison/Métier : 2e année de GISIS Médecine magique
Célébrité : Matthew Daddario
Pseudo : Estelle / .sparkle Âge : 33 Parchemins : 1792 Gallions : 1043 Date d'inscription : 28/02/2017

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you're the song
in my heart


Depuis près d’un mois et demi, la quarantaine avait été levée. Maddox ne s’attendait pas à ce qu’ils puissent enfin sortir des cachots. Il avait l’impression qu’ils y resteraient pour toujours, jusqu’à ce que leur état se dégrade. Finalement, il avait été déterminé que l’épidémie n’était pas contagieuse, ils pouvaient donc retrouver leurs vies normales. Quand il avait appris qu’ils allaient sortir, Maddox pensa à l’après. Il se demandait comment les élèves allaient les accueillir. Réponse ? Certains avaient facilement accepté leur retour, d’autres moins. Tout ce qui comptait, c’était qu’il pouvait retrouver ses meilleurs amis, Flynn et Mila. Il pouvait à nouveau passer autant de temps qu’il le souhaitait aux côtés d’Oktavia, sans une surveillance permanente. Dès le premier soir où ils avaient été relâchés, Oktavia était venue dans son dortoir. Elle ne voulait pas dormir seule. Elle avait été très affectée par la quarantaine, plus que Maddox. Avant d’arriver en quarantaine, le né-moldu pensait qu’il ne s’en sortirait pas s’il était enfermé, mais cette quarantaine était bien moins pire qu’Azkaban, bien moins pire que ses cauchemars. Son temps dans les cachots s’était donc plus ou moins bien déroulé. Maddox était heureux qu’Oktavia vienne le voir lui plutôt que Thomas, avec qui elle avait été enfermée plusieurs semaines à la fin de la quarantaine. Il avait été à la fois jaloux et angoissé quand il l’avait appris. Il ne faisait vraiment pas confiance à Thomas. Il avait peur qu’Oktavia réalise qu’elle serait mieux avec le Serpentard qu’avec lui. Maddox voulait qu’elle se sente en sécurité à ses côtés. Il l’avait accueillie dans son dortoir sans histoire. Personne n’avait osé protester non plus. Ils avaient intérêts car eux n’avaient pas vécu ce qu’ils avaient vécu. Ce soir-là, Maddox et Oktavia avaient dormi ensemble pour la première fois. Ils avaient aussi passé une bonne partie de la nuit à parler. C’est là qu’il avait appris que Thomas et elle avaient décidé de rompre leurs fiançailles, même si c’était encore officieux, c’était une nouvelle qui lui réchauffa le cœur. Les semaines suivantes, le Serdaigle ne lâchait plus sa petite amie. Ils avaient besoin l’un de l’autre. Ils avaient besoin de rester ensemble. C’est en passant autant de temps aux côtés l’un de l’autre qu’ils devinrent encore plus proches qu’ils ne l’étaient déjà.

L’anniversaire de la belle Oktavia approchait, c’était le 28 février et Maddox avait envie de lui préparer quelque chose. Il n’était pas très doué pour faire des surprises, mais il avait envie de lui faire plaisir. Maddox n’avait pas envie de lui préparer une fête, il voulait au contraire passer un moment rien qu’avec elle, il savait qu’Oktavia ne supportait plus d’être enfermée trop longtemps et dans quelques jours, il devait faire beau d’après la gazette des sorciers. Maddox avait donc décider de lui organiser un pique-nique. La veille, Oktavia était venue dormir à nouveau avec Maddox. Il aurait aimé se réveiller le premier, mais quand le sorcier ouvrit les yeux, la belle était déjà réveillée. Il lui sourit et lui souhaita un joyeux anniversaire avant de l’embrasser. Aujourd’hui, c’était mercredi. Ils avaient cours, le pique-nique aurait donc lieu en début de soirée. Heureusement, il faisait en effet plutôt beau. Pour une fin de mois de février, on pouvait même dire que le temps était assez doux. Maddox espérait qu’Oktavia n’avait rien prévu ce soir-là. Il ne lui en avait pas parlé pour lui faire une surprise. Il alla récupérer en fin d’après-midi à la cuisine le panier qu’il avait commandé à un elfe de maison qu’il connaissait depuis ses quelques visites liées à la lettre de Serdaigle. Il y avait tout ce qui pouvait constituer un pique-nique idéal : un plaid confortable, de quoi faire un bon repas, des fleurs qu’il avait choisi en avance lui-même pour les offrir à sa belle, ainsi qu’un gâteau d’anniversaire à la framboise. Et bien sûr, il avait dans sa poche le cadeau. Maddox avait eu très envie de faire un beau cadeau à Oktavia pour marquer l’occasion. Le né moldu avait emprunté un peu d’argent à Flynn en lui promettant de lui rembourser dès que possible.

Il avait donné rendez-vous à sa merveilleuse petite amie à l’entrée du château vers dix-huit heures. Il faisait encore assez doux, mais aussi un peu frais quand il y avait du vent. Il lui prit la main quand la belle arriva. Il avait déjà tout préparé là-bas, près du lac. C’est là qu’il l’emmenait, dans un coin où ils seraient tranquilles. « Tout le monde t’a souhaité un joyeux anniversaire aujourd’hui ? » Demanda-t-il sur le chemin. Pour la plus grande partie de la journée, il était avec Oktavia et quelques personnes étaient en effet venues le lui souhaiter, mais il en avait sûrement manqué une grande partie. Certains avaient probablement attendu qu’il ne soit plus là pour y aller, que ce soit ceux qui ne l’aimaient pas ou les vautours qui aimeraient bien prendre sa place. Il devait forcément y en avoir. Quand ils arrivèrent près du lac, un plaid était étendu au sol, des lumières étaient accrochées aux branches des arbres autour d’eux et le panier était là. Maddox prit le bouquet de fleurs dans ses bras et le donna à sa petite amie. Il se pencha vers elle pour l’embrasser tendrement. « Encore un joyeux anniversaire à toi. J’ai hâte d’en fêter de nombreux autres avec toi. » Maddox voulait rester avec Oktavia pour longtemps, très longtemps, voire même pour toujours. Était-ce égoïste de vouloir rester avec la même personne pour toujours ? Il n’en savait rien. Tout ce que Maddox savait, c’était qu’il était amoureux d’Oktavia et qu’il ne voulait aucune autre petite amie qu’elle. Il ne voulait pas l’imaginer avec un autre non plus. Ils venaient d’arriver sur les lieux du pique-nique, mais il ne pouvait plus attendre pour lui offrir son cadeau. Il sortit de sa poche une petite boite entourée d’un joli ruban bleu. A l’intérieur, il y avait un pendentif argenté. Leurs initiales y étaient gravées d’un bleu étincelant. C’était peut-être un brin ringard, comme la peluche de la fête foraine, mais c’était juste une preuve d’amour aux yeux du sorcier. Le brun caressa doucement la joue de la belle avant de glisser sa main dans sa nuque et de la regarder tendrement. Il lui dit pour la première fois ces mots : « Je t’aime, Oktavia. J’espère que tu le sais déjà. » Jamais le Serdaigle n’aurait pu imaginer un meilleur moment pour les lui dire. Ses sentiments, il aurait voulu les exprimer depuis un moment, mais il avait préféré attendre cette occasion. Toutefois, son regard pour elle ne trompait personne, il était amoureux depuis des mois déjà.

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Oktavia Silaïeva
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Oktavia Silaïeva
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you're the song in my heart

   
Tout était bien trop complexe pour toi à présent, la routine des cours avait repris le cours des choses. Tu t’enfermais un peu plus dans le travail, afin d’oublier ce qui s’était passé pendant plus de trois mois. Le fait que tu avais été enfermée en compagnie d’autres sorciers dans les cachots de l’école, simplement « pour vous protéger. » avait certainement eu plus de conséquence néfaste sur ton caractère qu’autre chose. Certes, tu cachais comme tu le pouvais ton mal être à certains de tes amis, de tes proches pour ne pas les inquiéter. Certains d’entre eux n’avaient pas besoin de savoir à quel point tu te sentais faibles dans cette histoire, impuissante, regardant simplement ta magie s’en aller, te quitter. Tu ne savais pas vivre sans, tout comme ton fiancé, sur ce point vous étiez plutôt sur la même longueur d’ondes et actuellement il était le seul à savoir à quel point tu avais peur de te retrouver telle une cracmolle. Donc tu évitais d’en parler, parce que sinon tu n’étais pas sûre d’être capable de contourner le problème bien longtemps. Lorsque l’on te demandait tu répondais toujours que cela allait, ce qui étais le plus simple au final, plus de question, plus d’ennuis et tu étais tranquille. C’était tout ce que tu voulais d’ailleurs être tranquille, loin de toutes ses questions que tout le monde pouvait se poser. C’était plus simple pour toi, d’éviter d’en parler, rendant la chose un peu moins réelle de cette manière, c’était ta façon d’agir, tu avais toujours été comme ça de toute manière. Eviter les sujets qui fâchent ou bien qui t’inquiète, faire l’autruche à ta façon d’ailleurs.

Ce jour-là alors que tu te réveilles à nouveau aux côtés de Maddox, principalement parce que tu n’arrives plus à trouver le sommeil. Y compris dans ses bras, au bout d’un moment la fatigue fait simplement son effet, mais tu apprécies pouvoir passer tes nuits dans le même lit que ton petit ami. Non pas que tu puisses penser à autre chose que dormir dans ses bras, au final les nausées et le malaise que tu ressentais pouvait avoir raison d’envies auxquelles tu ne succomberais pas pour l’instant. Ce jour-là était différent des autres, tu le savais, c’était ton anniversaire, chose de compliqué à gérer ici, dans cette situation. Tu n’avais jamais eu de petit ami avant Maddox, donc tu ignorais ce qui allait se passer, surtout que tu n’avais franchement pas envie d’effusions d’amour ses derniers temps. Encore moins venant de personnes qui avaient plutôt tendance à t’éviter depuis la fin de la quarantaine, les faux semblants, commençaient réellement à te taper sur les nerfs. Moins patiente tu devenais, tu le remarquais que trop bien, cette patience qui était pourtant tienne, incapable de te laisser tranquille, s’évanouissait en même temps que tes pouvoirs, simplement parce que tu ne contrôlais plus rien. C’est ainsi que tu avais fuis le dortoir des garçons, dès lors que tu le voyais se réveiller, pour être tranquille et te préparer, après tout même si tu dormais avec lui, tes affaires étaient toujours dans le dortoir des filles. Mais tu ne fus pas surprise qu’il te donne rendez-vous à 18 heures à l’entrée du château. Donc tu te décidais d’éviter le petit déjeuner, premièrement parce que tu avais la nausée et deuxièmement parce que tu voulais éviter la plupart des gens qui apprécieraient te souhaiter un bon anniversaire. Tu ne voulais pas de courrier non plus pas besoin de voir des lettres de ta famille, qui t’ignorait grandement d’ailleurs. Toi qui n’avait jamais autant eu besoin de tes parents, ils étaient aux abonnés absents alors que tu souhaitais leur parler de choses bien importantes pour toi.

La journée passait bien trop lentement à ton goût cependant tu ne râlais pas lorsque l’ont te souhaitait un bon anniversaire. Tu étais trop bien élevée pour ça d’ailleurs. Tu souriais, gentiment, silencieusement rageant. Une fois l’heure donnée par ton petit ami, tu te décidais de le retrouver enfin, près de l’entrée du château. Tu souris en le voyant, comme si sa présence était apaisante, tu pouvais enfin oublier toute cette journée, parce que tu étais seule avec lui. Oublier ces non-dits que certains gardaient simplement parce que c’était ton anniversaire. Il restait silencieux alors qu’il te prenait la main et t’emmenait avec lui. Tu avais besoin de savoir où, mais tu ignorais ce qu’il te voulait d’ailleurs. « Tout le monde t’a souhaité un joyeux anniversaire aujourd’hui ? » « Oui. » Tu n’avais pas envie d’en parler plus que ça, mais bon tu savais que cela susciterait un peu trop de questions dans la tête de Maddox, i était trop intelligent pour ton bien. « Toutes les personnes que je voulais, donc c’est parfait.[/color] » Voilà, c’était mieux, il ne s’inquiéterait un peu moins, après tout tu étais censée être heureuse lors d’un jour comme celui-là. Tu avançais donc vers le petit coin qu’il vous aviez préparer et tu t’arrêtes presque immédiatement. Tu t’arrêtes presque nettement en regardant l’oeuvre du jeune anglais tu cherchais à savoir quoi dire ou bien quoi faire. Tu restais bouche bée alors qu’il attrapait un bouquet de fleurs pour te le donner. « Encore un joyeux anniversaire à toi. J’ai hâte d’en fêter de nombreux autres avec toi. » Tu suis son baiser, presque machinalement, tu ne t’attendais pas à cela venant de lui, venant de personne d’ailleurs. Surtout qu’avec ton état tu n’étais pas certaine d’être capable de supporter cette soirée. Néanmoins, tu gardes un visage souriant, cherchant à ne pas lui montrer certaine de tes craintes. Mais sa phrase te perturbe. Tu essaies de ne pas suivre, mais tu sais que trop bien ce qu’il sous entend. Et tu commences à paniquer d’ailleurs. Alors, que tu le vois sortir une boite te sa proche, tu restes toujours figée à ta place, incapable de bouger, tu regardes sa main te tendant la boite, puis son autre décidant à te caresser la jour. « Je t’aime, Oktavia. J’espère que tu le sais déjà. » Alors, là pour le coup tu t’y attendais pas, tu ne savais pas quoi faire, quoi répondre, tu n’étais pas certaine d’être prête à le faire d’ailleurs. Sauf que tu ne peux pas laisser le moment en suspens, tu décides donc de l’embrasser, histoire d’essayer de faire oublier cette phrase ne serait-ce qu’un petit peu. Puis tu te recules le temps d’ouvrir la boite qu’il t’a offerte, regardant le pendentif un instant pensive. Tu trouves cela des plus romantique au final, tout comme cette soirée qu’il t’a préparé, sans que tu n’y penses. « Oh c’est parfait, tu veux bien me le mettre ? » Tu lui tends donc le pendentif où vos initiales sont gravées pour lui faire dos et qu’il le mette à ton cou, tout en tenant ta chevelure pour qu’il soit le plus à l’aise possible.
   
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you're the song
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Maddox avait donné rendez-vous à sa petite amie en fin de journée. Il lui avait préparé une petite surprise. S’il avait été un adolescent extravagant, il aurait sûrement préparé une fête, mais c’était loin d’être le cas. Alors, il avait simplement mis en place un pique-nique qu’il pourrait partager rien qu’avec elle. Le Serdaigle avait été heureux de la retrouver quand elle montra le bout de son nez à l’heure du rendez-vous. « Oui. » Répondit-elle simplement quand il lui demanda sur le chemin si tout le monde lui avait souhaité son anniversaire. Il était content que ce soit le cas, mais il comprit qu’elle ne souhaitait pas en parler plus que cela. Il décida de ne pas insister, ce n’était pas son genre et puis c’était l’anniversaire d’Oktavia, c’était à elle de choisir ce dont elle voulait lui parler ou non. Maddox espérait qu’elle allait bien et qu’elle ne lui souriait pas juste pour lui faire plaisir. Il était là pour elle, peu importe l’humeur dans laquelle elle se trouvait réellement, ou la fatigue, l’angoisse. Après tout, il était aussi passé par cet état, à sa sortie d’Azkaban. S’il avait été moins affecté par la quarantaine que la sorcière, c’était surtout parce qu’il avait connu bien pire avant. Il espérait qu’elle ne connaisse jamais pire que la quarantaine. Il espérait qu’ils soient bientôt guéris. « Toutes les personnes que je voulais, donc c’est parfait. » Ajouta-t-elle après quelques secondes. Maddox se dit qu’il avait peut-être sur son visage un air interrogatif ou inquiet. Il répondit par un sourire et ne continua pas sur le même sujet. Maddox avait préparé un petit coin romantique avec plaid et lumières aux arbres. Des efforts qu’Oktavia ne pouvait que remarquer. Romantique, ce n’était pas tout à fait le terme qu’on pourrait utiliser pour qualifier Maddox. Il était bien trop inexpérimenté dans ces choses pour qu’on le considère de cette façon, mais il voulait vraiment bien faire parce qu’elle était sa première petite amie et parce que son cœur battait pour elle plus qu’il ne l’aurait jamais cru. Le brun donna à la belle un bouquet de fleurs et constata la surprise dans le regard de sa petite amie. Elle souriait, même si elle ne répondit rien au moment où il lui dit qu’il aimerait en fêter beaucoup d’autres avec elle. Il ne s’en formalisa pas. Il s’approcha d’elle et lui offrit son cadeau, un pendentif avec leurs initiales. Cet instant était celui qu’il avait choisi pour lui dire les fameux mots qu’on prononçait quand on aimait vraiment quelqu’un. C’était la première fois qu’il les disait à une fille. Jamais il ne les avait autant pensés. Il l’aimait sincèrement. Il ne les avait jamais prononcés, il ne savait donc pas quelle réponse il aurait. Cette phrase lui était venue spontanément, il ne l’avait pas planifiée. La réponse d’Oktavia fut de l’embrasser. Il appréciait le baiser, bien sûr, mais il attendait l’instant où elle lui retournerait ses paroles. Quand le baiser fut terminé, c’était l’instant parfait pour la réponse. Sauf qu’elle ne dit rien et ouvrit son cadeau. Elle regardait le cadeau et il ne savait pas ce qu’elle pensait. Est-ce qu’elle le détestait, ce pendentif ? Il commençait à angoisser, elle avait l’air pensive et elle n’avait toujours rien dit. A un moment donné, il avait presque l’impression qu’elle allait lui jeter la boite à la figure et partir, mais c’était son angoisse qui parlait, Oktavia n’était pas ce genre de filles.

« Oh c’est parfait, tu veux bien me le mettre ? » Finit par dire la jeune Silaïeva. La belle lui tendit le pendentif et se tourna pour qu’il puisse l’attacher. Il ne comprenait pas pourquoi son cœur était serré. Il regarda quelques secondes le pendentif et Oktavia qui attendait, les cheveux relevés. Il s’approcha alors et tenta de l’attacher. Il mit un peu trop longtemps à y parvenir, peu habitué à ce système de fermeture. Et puis, son esprit était ailleurs. Quand il eut fini, elle relâcha ses cheveux. Il était toujours perturbé par la réponse qu’il n’avait pas eue, mais il ne pouvait pas la forcer à lui dire ces mots en retour. Et puis, c’était son anniversaire, elle disait ce qu’elle voulait. Un silence s’installa entre eux. Maddox la contourna et s’assit sur le plaid, s’attendant à ce qu’Oktavia fasse de même. Il était encore tôt pour manger, il n’avait pas encore faim. Ces derniers temps, avec les nausées, il n’avait pas souvent faim et il fallait parfois qu’il se force à manger au risque de perdre ses forces. Il savait que c’était pareil pour Oktavia. Il déplaça le panier à pique-nique sur le côté et s’approcha de la belle qui s’était assise entretemps. « Tu veux parler… de ce qui te tracasse ? » Dit-il doucement à la demoiselle. Le Serdaigle se surprenait lui-même en étant persuadé que la première chose qu’il lui demanderait, c’était si elle l’aimait. Il ne pouvait pas avoir besoin de tant d’attention. Aujourd’hui, ce n’était pas lui le centre de l’attention, c’était elle. « Tu peux sourire autant que tu veux, tu peux prétendre aller bien, mais je sais que c’est faux… Tu peux tout me dire. » Maddox n’était pas dupe, il la sentait bouger la nuit quand elle n’arrivait pas à trouver le sommeil. Il la sentait sursauter quand elle faisait un cauchemar. Il tentait d’être là pour elle, mais cela ne suffisait pas à la rassurer. Il était triste à cet instant qu’elle lui cache son état d’esprit. Il voulait être le petit ami à qui on pouvait tout dire. « Je suis désolé si je n’agis pas… comme tu le voudrais. Je dis trop de choses… que je devrais peut-être garder pour moi. Je n’en parlerai plus. » Le sorcier faisait référence aux phrases qu’il avait dites et qui avaient semblé gêner la belle. Son cœur parlait plus vite que son cerveau aujourd’hui, il ne fallait pas lui en vouloir. Il était déçu qu’elle ne lui dise pas qu’elle l’aimait, mais il ne pouvait pas lui en vouloir. Il comprenait. C’était des mots qu’il entendait rarement, il en pouvait pas s’attendre à ce qu’elle le lui dise si facilement.

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you're the song in my heart

   
Cette vie à laquelle tu allais être vouée, si jamais personne n’était capable de trouver un remède à cette foutue épidémie t’inquiétait un peu trop. Tu n’arrivais pas à t’enlever cela de la tête, parfois tu regardais juste ta baguette, comme ça, parce que tu n’arrivais plus à rien avec elle. Ils te l’avaient rendue à ta sortie de la quarantaine, mais tu n’arrivais plus à interagir convenablement avec elle, comme si elle ne t’appartenais plus, qu’elle estimait que tu n’étais plus son maître. Chose qui t’inquiétais un plus de jour en jour, mais tu ne voulais pas en parler, pas le jour de ton anniversaire, tu devais oublier tes tracas. Ne serait-ce que ce jour-là, tu avais reçu une lettre anodine de la part de tes parents, te rappelant juste tes devoirs au sein de votre famille. Un simple joyeux anniversaire glissé entre deux ordres, ce que tu détestais tes parents, c’était fou. Tu t’en rendais de plus compte, tu avais toujours tout fait pour être leur princesse parfaite, celle dont ils seraient fiers, mais voilà tu étais bien trop inutile ses derniers temps. Tu t’en rendais compte au fur et à mesure que ta maladie avançait, plus tu étais malade, plus ils s’éloignaient de toi. Certes cela te laissait plus de tranquillité et plus de liberté, mais à quel prix ? Celui de te faire renié ? Ce n’était pas ce que tu attendais, tu voulais que pour une fois dans leur vie ils agissent comme des parents normaux, qui s’inquiétaient pour leur enfants pas pour leur nom.

Cependant, tu ne pouvais pas faire vivre à Maddox ces peines là que tu n’arrivais à peine à cacher. Tu le retrouvais donc dans la cour, où il te l’avait demandé, alors qu’il t’accompagnait dans le parc dans un coin tranquille, pour vous deux. Que l’anglais avait décoré d’une manière totalement adorable, cela te plaisait, bien plus que tu ne l’aurais imaginé. Surtout avec ton mal-être actuel, il te faisait le plus grand bien d’être là ton petit ami. Tu ne lui montrais certainement pas assez au final, surtout lorsqu’il te dit les mots que n’importe quelle fille voudrait entendre. Toi tu évites la situation, tu ne lui répond pas, te concentrant sur le cadeau qu’il t’offre en regardant le pendentif. Mais réveille toi bordel ! Tu secouais la tête un instant pour te remettre les idées en place, tu n’arrivais pas à penser correctement, pourtant tu étais bien là. Pourquoi n’arrivais-tu simplement pas à lui répondre ? Tu l’ignorais, peut-être que dire ses mots sans être certaine de ce qui va vous arriver t’inquiétait. Tu ne voulais pas être déçue, parce que tu savais bien que cela arriverait si tu n’arrivais pas à repousser les fiançailles. Maintenant, tu lèves tes cheveux afin qu’il dépose le collier sur ton cou, souriant doucement, en silence. Lâchant ta chevelure dès qu’il scelle ce cadeau autour de ta nuque. Tu t’en voulais ne pas lui avoir répondu, mais tu ignorais réellement le bon moment. Tu ne le pensais, il te fallait un peu plus de temps.

Tu t’installes donc à ses côtés, en te mettant sur les genoux pour le regarder, espérant ne pas avoir fait trop de dégâts dans sa tête vis-à-vis de ta non réponse à sa déclaration. Tu ne voulais pas être le genre de fille qui berce en illusions un jeune homme. Il était le seule capable de te faire ressentir ce qu’il t’arrivait en sa présence. Pourtant tu étais incapable de lui dire quelques mots que tu pensais, parce que cela serait encore trop réel, tu avais bien trop peur de devoir le perdre et faire un choix néfaste pour vous deux. Alors, tu voulais le protéger. « Tu veux parler… de ce qui te tracasse ? » Tu lèves la tête vers Maddox, cherchant à lui démontrer que c’était bon, vous n’aviez pas besoin d’en parler au final. Même si cela pouvait te faire le plus grand bien, tu ne voulais pas parler de ce qui se passait dans ta tête, tu voulais le garder pour toi, pour une fois tu voulais éviter que quelqu’un soit au courant de ce à quoi tu pensais. Il pouvait le comprendre non ? Tout du moins tu l’espérais. « Tu peux sourire autant que tu veux, tu peux prétendre aller bien, mais je sais que c’est faux… Tu peux tout me dire. » Il n’était pas stupide, tu le savais bien, il se rendait compte de ce qui se passait, malgré le fait que tu puisses tout faire pour démontrer que tout allait bien. Tu ne lui en voulais pas de faire ça d’ailleurs. Tu t’en voulais à toi, de montrer autant de faiblesse pour le coup, tu ne souhaitais pas paraître ainsi, apparemment tu te voilais un peu plus la face que tu ne le pensais. « Je suis désolé si je n’agis pas… comme tu le voudrais. Je dis trop de choses… que je devrais peut-être garder pour moi. Je n’en parlerai plus. » Tu tentais de garder ton calme, tu n’avais pas envie de t’énerver, tu n’en avais plus la force à vrai dire. Mais le fait qu’il s’excuse te rassurait un peu. Tu ne voulais pas être en conflit avec Maddox et tu risquais de l’être s’il continuait sur la voie qu’il semblait tracer doucement. Parce que tu n’étais pas prête à en parler.

Tu t’approches de ton petit-ami en restant sur les genoux, tu croises son regard encore silencieuse, tu n’avais rien dit depuis un petit moment, comme si tu n’y arrivais pas. Tu pose ton front sur son épaule, tu étais si faible, autant que lui tu le savais, mais il semblait accepter un peu plus la situation que toi et cela avait tendance à te perturber au final. Parce que tu n’arrivais pas à gérer, tu étais pétrifiée à l’idée de te rapprocher des cachots, tant bien même que tu évitais le coin autant que tu le pouvais « Je veux juste oublier que je suis malade, ne serait-ce que le jour de mon anniversaire. C’est trop demandé ? » Tu l’avais dis sur un ton très las, tu n’avais pas la force d’être mauvaise ou quoi que ce soit d’autre ou même la volonté. C’était une requête toute simple au final. Tu avais relevé les yeux le temps d’un instant, juste t’assurer qu’il ne le prenne pas mal. Parce que c’était un peu comme si tout le monde se focalisait sur ton mal-être et jamais le sien, alors que lui aussi était malade. « S’il te plaît je ne veux pas parler de ça, pas maintenant, pas quand tu fais ce genre de choses pour moi. » Tu regardes autour de vous pour expliquer ce que tu racontais, c’était un moment de tranquillité pour vous deux, alors tu voulais en te posant simplement dans ses bras et de parler de choses tout à fait banale. « Tu savais que Mila m’a offert une plume en sucre ? » A croire que le coup de la chocogrenouille dans votre dortoir l’avait autant marquée que toi.    
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