soft as the thorn of a rose (avery)

Belle et peut-être encore jeune femme qui travaille comme professeur d'étude des runes depuis maintenant près de deux mois. Elle est née à Dettelbach, Allemagne en ce beau jour qu'était le 9 mai 1970 en tant que sang pur ; à présent elle vit à Poudlard, Écosse. Lors de son passage à Durmstrang, son niveau scolaire était excellent. Lorsque les dinosaures vivaient encore, elle s'est procurée une baguette faite en bois d'aubépine, mesurant vingt-sept virgule six et contenant une larme de sirène. Avec cette baguette, il lui est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'un renard. La vision qu'elle a eu face au miroir du risèd : elle voit son propre reflet. Nous pouvons en déduire qu'elle perçoit le fantasme d'une vie où elle serait seulement elle, Avery.. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. Une vulgaire araignée poilue, immense qui se précipite aussi vite que ses quatre longues et dégoûtantes pattes peuvent lui permettre, vers elle, dans son cas.

   ϟ  Quel est votre opinion sur l'épidémie ? « C'est louche, cette épidémie créer la peur chez les sorciers. Seulement, nous ne savons strictement rien sur les individus porteur de cette maladie. Est-ce que cela existe réellement ? Est-ce que c'est quelque chose créer de toute pièce ? J'aimerais en connaître davantage et parfois je me dis que je pourrais facilement me porter volontaire pour être infecté du virus. J'en aurais le coeur net et il sera plus facile pour moi de travailler pour inversé la situation. Seulement, ça ne marche pas comme ça et pour résoudre cette enquête je devrais faire preuve de finesse. »

   ϟ Que pensez-vous du nouveau directeur de Poudlard ?  « Un homme reste un homme, qu'il soit haut placé dans une école ou qu'il soit vendeur de bonbons à Pré-au-Lard. Il finira tôt ou tard pour être un gros crétin d'imbécile. Un homme qui embauche une femme principalement parce qu'elle à usé de la technique de drague en démontre long sur sa personne. En ce qui me concerne, il ne possède pas ma confiance, bien au contraire. Je le considère comme un idiot, un sans cervelle et il n'aurait pas fait long feu à Durmstang. Le Directeur ne sait pas réfléchir et selon moi il est l'unique catin de quelqu'un de beaucoup plus intéressant et puissant. C'est pour cette raison que je me montre si aimable envers lui, derrière ce regard de gros gras se cache une mine d'or d'information. Il tente d'émettre une aura mystérieuse autour de lui, une aura qui ne marche pas avec moi. Je l'ai à l'oeil. »

   ϟ Le partenariat magique entre les écoles est-il une bonne chose ?  « Dans la mesure où je ne rencontrerais personne provenant de mon passé, je trouve ça très bien. C'est plus facile pour moi de faire mon job si j'ai tout le monde sous le même toit. Bien entendu que j'aurais préférée retourner chez moi, mais je dois faire avec. Inévitablement j'ai à l'oeil les élèves de mon ancienne délégation. Je dois malheureusement me rendre à l'évidence que si l'école à fermer c'est pour une raison. Est-ce que quelque chose se trame sur place ? Je ne le sais pas. Est-ce que des ''élèves'' sont parmi nous sous couvertures ? Je le découvrirais bien tôt ou tard. »

   ϟ Quel était votre camp lors de la Grande Bataille ?  « Activiste pour l'Ordre, c'est toutefois dans l'ombre que je travaillais. À ma façon j'ai supporter Harry Potter, tentant de découvrir où se cachait Voldemort, tentant de découvrir les moyens les plus efficaces de l'anéantir. Nous connaissions l'existence des Horcuxes, mais nous ne savions rien de plus. Bref. Harry Potter, malgré son jeune âge, est une inspiration pour moi, pour nous, pour tous ceux qui milite pour un monde de paix. La vérité dans tout ça c'est que j'aurais volontairement donné ma vie pour ce combat, parce que bien que je ne suis pas une native du territoire anglais, c'est là que mon coeur est bien enraciné. »

   Elle remontait le couloir la conduisant au bureau du directeur de Poudlard en observant tout ce qui se passait autour d'elle. Les tableaux qui voyaigeaient les uns à travers les autres, les fantômes qui, sans prévenir, se manifestait ici et là. L'endroit était un nid parfait pour obtenir toutes les informations souhaitées. Il lui semblait évident que rien, absolument rien, ne pouvait rester un secret très longtemps ici. Un petit sourire moqueur se forma aux extrémités de ses lèvres alors qu'elle pensait que le seul secret que Poudlard ne découvrirait jamais était sa véritable identité. Une petite voix au fond d'elle qu'Avery tenta de faire taire aussi rapidement qu'elle était apparue lui disait que de toute façon, Poudlard ne pouvait pas découvrir ce qu'elle-même ne connaissait pas. La délicieuse femme blonde marchait d'un pas déterminé, pas question pour elle de louper cet entretient, même si elle se doutait qu'elle obtiendrait le poste. Honnêtement, qui voudrait enseigner une matière aussi ennuyeuse que l'Étude des Runes ? Bon, d'accord, elle, elle trouvait ça fascinant, mais elle se savait dans une case à part. Avery regardait les jeunes sorciers de demain courir à travers le couloir et sauter les escaliers pour arriver en temps et en heure aux cours. Jamais, dans son jeune temps, elle ne serait arriver en retard à un cours. Probablement parce qu'il est de notoriété public que l'école du nord est beaucoup plus stricte et sévère qu'ailleurs, mais surtout parce qu'Avery adorait les études et apprendre. C'était une première de classe, une véritable miss-je-sais-tout. C'était une caractéristique qu'elle affectionnait particulièrement, peut-être parce qu'à travers tous les personnages qu'elle à fait, c'était la seule chose qui les unissaient les uns aux autres. Ils étaient tous des sorciers intelligents et doués. « Patacitrouille » Avery prononça le mot de passe lorsqu'elle arriva enfin au pied de l'escalier la conduisant chez le directeur de l'école. La Dragonne grimpa rapidement les escaliers. « Bonjour, mademoiselle Rovner. » Un long frisson parcoura le corps d'Avery, elle ne se souvenait de la dernière fois qu'on l'appela ainsi. Probablement lorsqu'elle était elle-même étudiante. « Bonjour, Professeur. » L'homme l'invita à s'asseoir, ce qu'elle fit aussitôt.

L'entretient entre les deux adultes dura deux longues heures. Avery avait cette facilité à créer le contact avec autrui, ce qui faisait d'elle une arme redoutable pour son équipe d'espionnage. C'était toujours utile d'avoir dans sa manche une belle femme, séductrice et amicale. « Voyons professeur, vous êtes encore jeune, ne dites n'importe quoi. » Avery s'exclaffa en posant une main sur celle de l'homme, un échange de sourire sous-entendu entre eux se faufila sur le visage de la jeune femme. « Bon, maintenant, madamoiselle Rovner, dites moi un peu, nous avons parlez de votre passé dans l'école Durmstang. J'aimerais en fait savoir, où pensez-vous que le Choixpeau vous aurait envoyer si vous seriez venue faire honneur à notre école ? » La blonde glissa ses doigts de la main du viel homme et fit mine de réfléchir. En vérité, Avery avait amplement eu le temps de réfléchir à cette question depuis bien longtemps maintenant. Poufsouffle n'était pas envisageable. La loyauté n'était pas une vertue qui lui collait à la peau. Gryffondor aurait été un choix acceptable, Serpentard aussi tout comme la maison bleue et argent. Avery se doutait qu'il poserait certainement cette question. « Pour être bien honnête, Professeur, je crois que je serais une candidate idéale pour le chapeauflou ! J'ai les aptitudes pour porter les couleurs de Godric Gryffondor, je suis courageuse et déterminée. Je ne laisserais jamais la peur me paralysé l'esprit. Je serais également à ma place chez les Serpentard, je suis rusée et j'ai plus d'un tour dans mon sac. Sauf que, je crois que c'est à la table des Serdaigles que j'aurais pris mon repas du soir. Je suis une passionnée de l'apprentissage et je suis complètement gaga des livres. Mon accent ne provient pas d'un endroit du monde en particulier, mais je trouvais fascinant de connaître différentes langues. Je parle anglais, français, allemand, le russe, le chinois et le mandarin. Oui, c'est bien les vertues de Rowena Serdaigle que j'aurais défendu si j'aurais eu la chance d'étudier ici. » Elle pouvait voir à la réaction de l'homme que la réponse lui plaisait. Enfin, la réponse ou le fait qu'elle glissait habilement sa main sur sa cuisse, affichant un regard malicieux et un sourire enfantin.

Le directeur semblait plus ou moins en contrôle de ses hormones. Avery savait que lorsqu'elle jouait la carte de la jeune femme innoncente, candide et diablement sexy, les hormones des hommes et des femmes en générales partaient dans tous les sens. Elle créait une attraction particulière autour d'elle, un petit quelque chose de spécial s'échappait de son être qui attirait les regards des autres. Ce n'était pas sexuel ou sensuel, mais c'était ''magique''. « Si je vous prenais comme enseignante, qu'est-ce que vous feriez comme différence dans la vie de vos élèves ? Vous n'êtes certainement pas sans savoir que l'Étude des Runes n'attire pas forcément les masses. » La blonde croisa les bras sous sa poitrine. « Voilà une excellente question Professeur. Une question pour laquelle j'ai une réponse pour vous. » Elle s'avança un peu plus vers lui, posa ses mains sur le bureau de l'homme. « J'aspire tout simplement à montrer à mes élèves que la réponse aux questions que l'on se pose peuvent prendre différente forme. Parfois, les livres tels que nous les connaissons ne dévoilent pas les véritables réponses. Les Runes, elles, ouvrent une possibilité infini de réponses. Je souhaites qu'il partage la passion que j'ai pour les sorciers d'autrefois, pour les secrets d'une citée aujourd'hui disparue. Professeur, je souhaites les guidés vers une nouvelle vision du monde. » Elle décrocha son plus sourire à l'homme. « Dans ce cas, bienvenue chez nous mademoiselle Rovner.» Il lui tendit une main qu'elle n'hésita pas une seconde à prendre. « Appelez-moi Avery, Professeur. »  

ϟ Ton pseudo : écrire ici. ϟ Ton âge : 23 yo, bon, pas tout à fait, mais c'est tout comme. ϟ Ton avis sur mumblemumps :    ϟ Le mot de la fin :    

(HISTOIRE : sept cent mots minimum.)
Retracez de la manière que vous voulez - par anecdotes, extraits de journal intime, texte suivi, etc - la vie de votre personnage jusqu'à maintenant. Bien sûr, nous n'avons pas besoin de connaître la couleurs de ces chaussettes le jour où il a avoué à son amie qu'il l'aimait lorsqu'il avait quatre ans. Juste l'essentiel, ce qui nous permettra de cerner le personnage.