Olivier Beckett : Une baguette n'est rien sans de bonnes valeurs

Relativement Beau et peut-être encore jeune homme qui travaille comme Bibliothécaire depuis maintenant près de onze années ans. Il/elle est né(e) à Alcester en ce beau jour qu'était le 01 janvier 1963 en tant que né(e) sang pur ; à présent il/elle vit à Londres. Lors de son passage à Poudlard, son niveau scolaire était excellent. Lorsque les dinosaures vivaient encore, il/elle s'est procurée une baguette faite en bois de mélèze, mesurant vingt-deux centimètres et contenant un crin de licorne. Avec cette baguette, il lui est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'un(e) souris. La vision qu'il/elle a eu face au miroir du risèd : Il se voit entouré de personnes souriantes, bienveillantes. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. Il se voit lui-même en train de pleurer, dans son cas.

ϟ  Quel est votre opinion sur l'épidémie ? L’épidémie est affreuse, je veux m’investir chaque jour pour apporter un peu plus de joie et d’espoir dans le coeur des sorciers et des moldus.


ϟ Que pensez-vous du nouveau directeur de Poudlard ? Un nouveau directeur… il n’égalera jamais Dumbledore, enfin il peut essayer d’être “assez” bon.


ϟ Le partenariat magique entre les écoles est-il une bonne chose ?  Bien sûr, il faut qu’elles s’investissent à maintenir le monde des sorciers dans sa richesse et sa diversité


ϟ Quel était votre camp lors de la Grande Bataille ?  Olivier voulait combattre du côté de Poudlard. C’est lors de cette bataille qu’il a aussi appris pour son adoption, sa nature de sorcier sang pur et qu’on a voulu le recruter de force.

(MISE EN SITUATION : Aucun nombre de lignes imposé.)
Pour les professeurs :
Que venait-il faire ici ? Il savait sans savoir, il avait si peur qu’on le refoule pour les récents événements. Son implication contre Poudlard non voulue, le fait qu’on puisse se méfier de lui. Il ne désirait rien d’autre que avoir à toucher une baguette le moins possible et apprendre à d’autres à en faire de même. Il avait appris son discours par coeur. Il se revoyait encore devant son miroir : “ Bonjour Messieurs, Mesdames, je suis ravi de me présenter à vous et… c’était quoi la suite ? La lourde porte s’ouvrait déjà qu’il avait l’impression que même sa feuille de brouillon ne transparaissait pas devant ses yeux. Il vit le nouveau directeur notamment, en fait… il ne regarda personne d’autre que lui : il était son point de repère. Il commença son affaire par un “ ...Bonjour? “presque interrogateur. Il commença par leur dire :

“ Alors voilà ... j'aime les livres, j'adore savourer pleinement des découvertes et... les faire partager. Je porte le nom d'un écrivain, cela a toujours plu à ma mère.... heu..  “

Son intervention fut interrompue doucement, il commençait à partir loin, il ne savait même plus où il se situait dans sa tirade. Il avait ce regard perçant qui perçait quelque peu la fine carapace d'Olivier. Une certaine peur lui fit battre le coeur et il reprit presque la parole :

"Demandez moi n'importe quel auteur, mettez moi au défi."

Sur le coup, il s'était senti comme toutes ces fois où il n'avait eu d'autres choix que de foncer. Olivier lui parlait d'un auteur, puis d'une oeuvre, puis d'une influence. A partir de cette influence de l'histoire de la magie. Olivier avait une curiosité associée à une bonne mémoire. Son ton trahissait une hésitation, mais ce qui le sauvait, c'était cette accumulation de détails très pointus. Il ne se laissait pas faire loin de là et fut embauché. En ressortant... il se demandait encore comment il avait fait... Quelque chose s'était fragilisé en lui, une espèce d'ombre grise assez volumineuse. Pouvait-on faire confiance à quelqu'un qui avait combattu ceux pour lesquels il s'engageait à présent ? Pouvait-il se regarder dans la glace après tout cela ? Ce pessimisme qui avait grandi en lui n’avait pas lieu d’être avant cet événement, il ne pensait pas de telles choses. Il pensait en lui-même:

“ Je pense avoir autant à donner qu’à recevoir,  voilà ce qui me motive.

ϟ Ton pseudo : Mathie ϟ Ton âge : ...joker ? ϟ Ton avis sur mumblemumps : Très joli design, j'ai bien envie de me replonger dans cet univers. ϟ Le mot de la fin : écrire ici.

(HISTOIRE : sept cent mots minimum.) 2344 mots

Olivier est né en début d'année, lorsque l'hiver glaçait les vitres des carreaux et rendait les sapins encore plus couverts qu'ils n'étaient. Le premier jour de l'année était aussi le premier jour de sa vie. Les parents le regardaient bien embêtés, ils firent de nombreuses démarches et le remit à un orphelinat à son plus jeune âge. Ses parents étaient tous les deux sorciers, ils avaient des liens avec des groupes peu recommandables. Voyant leur enfant dans leurs bras, ils ne souhaitaient pas le mêler à toute leur vie plutôt difficile. Olivier ne connut jamais l'aversion que ses parents biologiques avaient pour les moldus et les cracmols ni leur grand attachement aux familles de haut lignage. Il allait vivre une vie bien ordinaire, écartée de toute magie jusqu'à ce que celle-ci ne le rattrape. L'orphelinat était bruyant, mais pas désagréable. Il était le plus jeune pensionnaire. Il n'en conserva pas un souvenir marqué, puisque presque aussitôt soit quelques mois après de nouvelles personnes vinrent prendre soin de lui. Il avait alors tout juste deux ans.

Olivier entendait ces gamins en contre bas l’appeler, il n’avait aucune envie de descendre. Depuis sa jeunesse, il avait peur de tout, d’absolument de tout. Quand il résumait le cours de sa vie tout commençait et finissait par d’intermédiables cris. Il avait peur de vivre sûrement, peur d’oser… ce qui englobait disons…. la totalité de ce qui pouvait lui arriver. A l’école, le seul à pleurer dès qu’il était seul, c’était lui. Olivier avait toujours été l’enfant fragile qui ne s’en défendait pas. Il se réfugiait derrière ses larmes, se rassurait en faisant transparaître ses émotions au grand rouge comme une œuvre dont il avait le secret. Sa petite enfance fut un peu pénible pour ses parents, contraint de l’entendre pleurer si souvent qu’il ne savait pas comment lui faire plaisir. Il l’emmenait au parc pour jouer avec les autres, il se cachait derrière le banc, derrière eux. Olivier n’eut aucun ami durant ses premières années. Il avait toujours un petit bilboquet qu’il faisait bouger de temps à autre dans un petit toc et une lampe de poche qu’il allumait à chaque fois qu’il se réveillait la nuit. Vers ses neuf ans, il devint plus calme, il se raisonnait en prenant un autre pli, une autre orientation de vie. Il arriva dans de beaux habits neufs, un grand sourire au visage :

“ Maman, les crises, c’est fini.”

Olivier n’avait jamais été aussi sérieux de sa vie. A l’école, on lui disait qu’il était un bébé, incapable de vivre sans papa et maman. Que l’on soit clair à cet âge, personne ne le peut, mais cela semblait tellement être une insulte dans leurs bouches, dans toutes leurs mimiques… Il sortit presque aussitôt de la salle avec la ferme intention d’aller faire ses devoirs. Le lendemain, un petit Olivier faisait sauter sur son dos son sac de cours. Il passa par la campagne aux alentours de sa maison. Il connaissait un petit raccourci qu’il ne prenait jamais, il y avait une rivière avec un courant parfois impétueux. Devant l’obstacle, il s’arrêta. Son regard jaugeait la berge, elle devait être à quelques enjambées. Il pouvait être emporté par le courant, tomber sur un rocher, glisser malencontreusement et se briser la nuque. Il songeait à toutes ces choses, toutes ces choses qu’il avait entendues. Comme parfois une situation se percevait mieux avec du recul, il fit demi-tour et prit son élan. Décollage instantané. Plus aucune prise avec le sol. Pédalage.. dans le vide…? Olivier regarda en contrebas pour voir qu’il se tenait à quelques centimètres enfin ça… c’était avant de s’écaser en plein vers la berge. Au moins, il était passé de l’autre côté. Olivier sentait son coeur se décrocher, il imaginait une scène atroce. Il était passé maître dans cela. Il revoyait son père vider le poisson de ses entrailles sur la table. L’animal avait le regard blanchâtre, la peau sèche… étrangement il se sentait comme ce poisson. Son courage était resté de l’autre côté de la berge. Le jeune garçon ne voulait plus bouger. Il le pouvait. Ce n’était pas une question de capacité. Il tremblait comme une feuille.


“..... J’ai rêvé… “


Olivier se tourna pour voir la longueur de la rivière. Il n’était pas mauvais en sport, mais cette performance là… et non il s’était vraiment vu flotter. L’enfant regarda son école… retourna chez lui en prétextant une envie de vomir qui devenait de plus en plus présente. Dix ans … Il s’était fait des amis, avait une sainte horreur de l’eau et adorait jouer au basket. Détail qui avait son importance.. La seconde manifestation de sa magie fut pendant un match particulièrement féroce. L’arbitre, un grand d’une taille de plus que notre Olivier, faisait la sourde oreille. Il était clairement à la solde de l’équipe adverse. Pour une raison inconnue, le panier c’était sa tronche. La balle lui arriva avec une force inhumaine en prenant un angle étrange…. Tout allait bien. Olivier revint chez lui en pleurant. Il ne l’avait pas fait depuis un an quasiment.


“ Pourquoi tout ce que je fais foire… ? “


Il pleurait en ramassant ses pieds vers lui. Il s’était isolé dans un coin d’une pièce les yeux noyés de larmes. La  balle avait été dans ses mains avant de se diriger dangereusement vers cet arbitre… En plus, ils avaient perdu. “HORS ZONE” avait-il hurlé en se massant la joue. Il était bien réveillé pour annoncer cette erreur-ci. Enfin, peu importe. Il aurait bien voulu aider son équipe à gagner. Le dimanche, il sortait les poubelles en traînant la vieille benne dont il manquait une roue. (ses amis et lui avaient fait les imbéciles avec, depuis la trainer était devenu un exercice de force quotidien.). Une lettre cachetée. Son nom dessus. Sur le coup, il songea à toutes les bêtises que ses amis et lui avaient encore faites. Ils étaient bien plus tapageurs et lui trop suiveur. Il la plaça à une place stratégique : au dessus de l’armoire. Inutile de vous dire que cette lettre n’avait rien à voir avec ce qu’il aurait pu faire de mal. Il additionna deux lettres sans les ouvrir… La troisième lui fut apportée par son père:


“ Un de tes amis t’a écrit, dis donc, pas mal le cachet de cire rouge”...


Au moment de la placer sur une étagère, il la regarda. C’était curieux d’avoir peur d’un morceau de papier… Il suffirait juste qu’il l’ouvre non. Décacheter la petite encart qui fermait l’enveloppe et lire ce bout de papier…Un expéditeur se lasse d’envoyer non ? Sauf si c’est une faute suffisamment importante pour  insister. Olivier voyait les choses de cette façon. Olivier fit le courageux choix ….. d’aller trouver sa mère. Il se mit à nouveau à pleurer. Son incompréhension ne cessait de s’accroître. On avait rapporté aux parents qu’Oliver avait tabassé l’arbitre suite à un avis défavorable sur le score. Qu’est-ce qu’il s’en moquait ! C’était tellement injuste comme jeu !  Finalement, ses parents décidèrent qu’ils devaient l’emmener chez une personne apte à l’aider. Oliver était serein dans la voiture, dans la rue, dans… la salle d’attente. Un noeud se formait dans sa gorge. Il avait des larmes qui lui coulaient. Que devait-il dire ? Il n’y pensait que maintenant.  C’était simple première séance, il ne dit pas un mot sauf “ Bonjour, moi c’est Oliver”. C’était cool, mais il le savait déjà. Le jeune garçon se voyait comme un être stupide, qui ne comprenait pas son univers à nouveau. La prochaine fois, sur les conseils du psychologue, il était seul en salle d’attente. C’était sa thérapie… mouais il n’en était pas convaincu. Il se ramassait sur sa chaise et jetait des regards un peu partout. Il souriait à tout le monde, ce sourire l’aidait à ne plus pleurer… Notamment il sourit à une fille, sans la connaître. De toute façon, il ne faisait plus vraiment gaffe à la logique… Il avait un regard confiant quand il se rendit en salle tout en lui adressant encore un sourire.


*C’est un peu comme une tape dans le dos... ce sourire... * pensait-il.


Par la suite, il arriva à dire  qu’il avait un petit frère, qu’il aimait ses parents, ses amis et… qu’il ne savait pas quoi dire. Par la suite, ses parents conversèrent avec les parents de la petite fille. Il fut convenu qu’ils passaient tous les samedis après-midis ensemble. Oliver se mit à avoir peur d’être comme cela avec une personne inconnue. Que dit-on à une personne inconnue ? On ne dit rien ? Non, il lui tendit ce qu’il trouva… une fleur. Sa maman ne put s’empêcher de commenter, il lui plaça brusquement la fleur en rougissant. Les mamans c’était gênant, tout de même. Oliver se mit à être de plus en plus à l’aise, il ne parlait pas beaucoup, mais lui proposait des activités. Progressivement, il se mit à lui parler de ces lettres…. qui somme toute aurait pu lui faire une mini tapisserie… La jeune fille lui dit simplement qu’il devait les ouvrir. Oliver se sentit piteux, il n’avait jamais osé. Il hocha la tête, mais imposa une condition. Il l’ouvrirait face à elle. C’était de cette façon qu’il osa ouvrir cette fameuse lettre. Il n’y avait pas que du papier à l’intérieur, mais aussi un vaste univers : Poudlard.


Il admira le parc, les longs couloirs où les gens avaient trop la bougeotte pour rester dans leurs tableaux et s’il n’y avait que les tableaux, mais même les escaliers bougeaient. Au début, réaction surprenante, Oliver s’évanouit. L’escalier bougea sous ses pieds, il ne supporta pas cette découverte. Tous les autres enfants avaient soit des mines emmerveillées soit ils étaient familiers, lui… il était par terre. Les gens s’écartèrent. Ce fut son premier contact en sachant que dans le train, il s’était retrouvé dans une cabine, où tout le monde se taisait. On aurait dit que quelqu’un était mort. Oliver ne s’était pas beaucoup rassuré, non. Il se redressa en soufflant. Ce fut ensuite le moment des attributions. On lui mit … un espèce de chapeau parlant. Il tassa sa tête dans ses épaules, le chapeau fit sa réflexion à voix haute : “ … Peu courageux, désireux de faire ses preuves, peu ambitieux… je vois aussi de l’impatience, de la maladresse… mais un très grand coeur. POUFSOUFFLE !”. Le jeune homme leva la tête, il était dans le groupe du blaireau. A côté, il y avait celui du serpent, de l’aigle et du lion.. Un blaireau. Il partit s’asseoir sur le banc de sa table puis regarda face à lui en toussant.

Finalement avec les années, il aima sa maison autant que ses amis de quartier. Les vacances, il les voyait et l’année il pouvait compter sur ses amis de maison. Il n’en avait pas tant que cela, mais il en était bien satisfait. Son courage grandit, il tenta même des choses que certains redoutaient. Qui aurait cru que cette brindille qu’il était avait juste besoin d’ouvrir ses ailes ? Les traits d’un jeune adolescent s’accentuaient de plus en plus avec les années. Ses cernes aussi. Il passait des heures à étudier pour être parmi les meilleurs. Oliver voulait faire gagner des points à sa maison, il se montra appliqué, consciencieux. C’était un chevaucheur de balai hors paire, mais un piètre botanicien. S’il était doué dans l’arithmétique, il était une brêle en divination. Ce n’était pas faute d’essayer, mais les “je vois, je vois…” n'aidait pas de toute évidence à avoir une meilleure vision. En cinquième année, il se perfectionnait en soins des créatures magiques. Il pouvait vous réciter le bottin de tout ce qui bougeait, vivait ou respirait sur cette terre. Il avait intégré entre temps l’équipe de quiddich de Poufsouffle pendant deux années, deux années en tant que gardien. C’était un vrai cybère, rien ne passait à travers ses anneaux qu’il gardait avec férocité comme si sa vie en dépendait. Son goût pour le sport et le travail d’équipe revenaient beaucoup.

Ensuite, il y eut cette fameuse bataille… Horrible… désastreuse… Des vies… Des corps… Qui n’auraient pas dû s’échouer ici. Oliver avait été pris à parti et avait dû contre son gré se retourner devant certains qu'il avait salués, aidés... Sans trop comprendre ce qui lui arrivait vraiment, il se retrouvait à lutter contre ses alliés. Des personnes le menaçaient, le manipulaient et il en ressortit un fait... qui le choqua... Comment dire ? Il en apprit plus sur sa naissance, chose qu'il n'aurait jamais remis en cause. Il était un sang pur, ses parents étaient contre .... beaucoup de choses et bon on avait jugé bon de le mêler à cela... Fort heureusement, il parvint à s'extirper de toute cette pagaille... Sans faire un bruit... il voulut reprendre sa vie de tous les jours en songeant à ce qu'il allait manger, ce qu'il allait boire et surtout.. il voulait dormir. Il s'était pris un sacré coup sur la tête.

Il ne voulait même plus parler à son amie de toujours, celle à qui il avait offert son sourire. Que verrait-elle? Un homme abattu qui attendait qu’on le cueille.. Si la magie pouvait être le spectacle de tant de haine, de tant d’atrocités, il ne voulait plus toucher une seule baguette. Il retourna auprès de ses livres, il se laissa aller à leurs douces compagnies comme un imbécile heureux. Son regard avait à jamais changé. Olivier milite énormément en faveur des moldus et des sorciers. Même s'il craint davantage les sorciers et aura tendance à protéger les moldus

Maintenant que tu es validé, tu vas pouvoir torturer les élèves de Poudlard.      

N’oublies pas qu’ici tu peux t’amuser rapidement alors n’hésites pas à nous rejoindre soit dans le Flood soit sur la ChatBox tout le monde est le bienvenue. Tu peux maintenant commencer à créer de nouveaux liens avec les autres élèves, tu trouveras tout ça dans  le journal du sorcier. Ensuite si tu as la moindre question n’hésites pas à envoyer un hibou à l’un des membres du Staff. Allez nous t’attendons vite à Poudlard et nous tenons à te remercier d’être venu sur MUM. Si tu as envie de RP mais que tu n'as pas de partenaire, viens t'inscrire au speed dating version sorcier, mais tu peux aussi consulter le répertoire des sujets libres et communs  . . Enfin, pour consulter la liste des cours, c'est par ici .

Si tu veux agrandir ton cercle d'ami et que tu as une idée en particulier, n'hésites pas à créer ton propre scénario, une fois que tu auras deux semaines d'activité sur le forum et un RP en cours, que tu peux faire ici et enfin pour surtout gagner le coeur de nouveaux sorciers nous t'invitons à voter pour MUM dans la session que tu trouveras dans la taverne.



Cordialement,
Le Choixpeau Magique