“Sois sage, ô ma douleur, et tiens-toi plus tranquille !” ⎜ Mathilde

Belle et jeune fille qui nous vient tout droit de BeauxBâtons pour entamer sa septième année au collège. Elle est né(e) à Paris en ce beau jour qu'était le neuf juillet mille neuf cent quatre-vingt deux en tant que sang mêlé ; à présent elle vit à Pou du Lard. Elle est plutôt douce, délicate, attentionné, perfectionniste, intelligente, loyale mais aussi borné, empoté, peu sur d'elle, jalouse, rancunière mais pas trop. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être bon. Il y a quelques années maintenant, elle s'est procurée une baguette faite en bois de Chêne blanc , mesurant vingt et un centimètre cinq et contenant Crin de Kelpy . Avec cette baguette, il lui est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'un(e) coccinelle. La vision qu'elle a eu face au miroir du risèd : elle même en compagnie d'un oiseau-tonnerre. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. sa mère morte, dans son cas.

ϟ Que pensez-vous de l'échange européen inter-écoles ? Réellement, Mathilde n'a pas d'avis. Tout du moins, elle n'y a pas réfléchis. Elle n'y pensait même pas avant que sa mère ne lui annonce qu'elle s'envolait pour Poudlard rencontrer son père et étudier dans son école. C'était un peu...surréaliste pour elle. Ce n'était pas qu'un changement d'école, c'était une nouvelle vie. Une rencontre décisive dans sa vie. En plus de ça, Mathilde a toujours été nul en anglais, alors se retrouver parachuté là-bas...c'était pas vraiment pour lui faire plaisir. Elle a un peu subit, et au final, après réflexion, ça l'ennuie plus qu'autre chose, elle aimerait bien rentrer chez elle et retrouver une vie normal où elle comprendrait ce qu'on lui dit.

ϟ Que faisiez vous lors de la Grande Bataille ?  Comme pour la plupart des élèves étrangers, du moins c'est ce qu'elle pense, Mathilde était très loin de tout ça. Bien sûr la prise de pouvoir de Lord Voldemort se ressentait partout, en France aussi, et Beauxbâtons n'y a pas échangé. Cependant, pendant cette grande bataille, Mathilde était tranquillement chez elle, assise dans un fauteuil à lire un livre, coupé du monde à la campagne avec sa mère. Ce soir-là, cette nuit là plutôt, Mathilde était loin de se douter de ce qu'il se passait de l'autre côté de la Manche, elle qui était plongée dans Les Fleurs du Mal ne réalisait pas que son avenir était en train de se jouer. C'est le lendemain matin, quand sa mère et elle ont écouté la version Française de Salut les Sorciers que la nouvelle les a frappés. Le monde était libre, le Seigneur des Ténèbres était tombé. Sa mère et elle ont fêté cela en ouvrant une bonne bouteille. Mathilde se souvient parfaitement des mots qu'a prononcé sa mère "Tu auras un avenir ma fille."

ϟ Avez-vous peur de perdre vos pouvoirs ? Pourquoi ?  La magie fait partie d'elle, mais elle n'est pas ce qu'il la définit. Pendant de nombreuses années, sa mère et elle ont pensé qu'elle était une Cracmol, jusqu'au jour où une petite fleur à réagit à son contact, réaction toute petite, mais suffisante pour montrer la magie en elle. Mathilde a fini par recevoir sa lettre pour Beauxbâtons, l'intégrer et se rendre compte qu'elle n'était pas une sorcière très puissante. Alors, si finalement, elle venait à perdre ses pouvoirs, elle s'en rendrait peut-être à peine compte. Et puis, elle veut travailler avec les animaux du monde magique, ses pouvoirs ne sont pas vraiment indispensables, elle s'en passera facilement.

ϟ Quelle est votre réputation à Poudlard ? Que pensent les autres élèves de vous ?  Timide ? Coincé ? Ou Ah bon, elle existe ? Sans doute les premiers mots qui viennent aux autres élèves de l'école. Il faut dire, quand vous ne savez pas vraiment parler anglais et que vous vous retrouvez dans une école Anglaise, ça aide pas. Elle est assez effacée, passant son temps dans la grande bibliothèque à chercher des livres de poésie et se frustrer en réalisant qu'il n'y en a pas vraiment. Au final, les autres ne prêtent pas attention à elle, l'oubliant facilement, les profs aussi, à part peut-être son père, mais c'est pas la même chose. Mais ça ne la dérange pas, elle s'enferme dans sa bulle et quand elle peut, elle va traîner du côté de la forêt discrètement ou de la serre. Au final, les autres ne cherchent pas à la connaitre, et elle non plus.

(MISE EN SITUATION : Aucun nombre de lignes imposé.)

Mathilde entre dans le salon, son exemplaire des Fleurs du mal en main, elle prend un plaid qui traine sur le canapé et va se nicher dans le bon gros fauteuil défoncé près de la fenêtre et s’installe tranquillement pour une énième lecture de son recueil favoris.

- … qui vous mangera de baisers, que j’ai gardé la forme et l’essence divine, de mes amours décomposés !
- Mathie ! Nous devons parler.

Elle relève les yeux vers sa mère, lui offrant un sourire. Comme toujours, l’attention de sa mère l’a poussé à attendre qu’elle ai terminé son poème pour l’interpeller. Elle prend un petit tabouret pour s’installer face à sa fille bien aimé, posant une main sur le genou de son enfant, elle plonge son regard dans le sien.

- Tu m’as souvent questionné au sujet de ton père.

Mathilde regarde sa mère, surprise, le jour serait-il enfin venu ? Mathie ne se souvient plus la première fois qu’elle a demandé à sa mère de lui parler de son père. La jeune fille fronce les sourcils, soucieuse de savoir ce que sa mère va lui dire.

- Aujourd’hui, je vais te dire la vérité à son sujet, son nom, et tout ce que tu dois savoir sur lui.

Le coeur de la jeune sorcière se serre alors qu’elle laisse son livre se refermer de lui même entre ses mains. Ses dernières se ressert d’ailleurs sur celui-ci, laissant ses jointures blanchir tellement cette information la laisse… sans voix. Oui, pour une des premières fois de sa vie, Mathilde ne sait pas quoi répondre à sa mère et attend avec une certaine appréhension la suite de ses paroles.

- Il s’appel James, James Martell, et est l’homme le plus merveilleux que j’ai jamais rencontré. Aujourd’hui, il est professeur au collège Poudlard en Angleterre, il c’est battu lors de la grande bataille contre le Seigneur des Ténèbres, tu sais. C’est un homme courageux et plein de vertu. Si aujourd’hui je t’en parle, c’est parce que j’ai pris une décision. Tu sais que ton école organise un échange entre les écoles de magie européennes ? Je choisi ce moment pour te donner la chance de découvrir qui il est. J’ai pris contact avec lui pour lui annoncer que je lui confiais ta tutelle. Tu partiras pour la rentrée prochaine faire ta dernière année d’étude là-bas. Tu pourras travailler ton anglais et peut-être même te choisir une spécialisation pour poursuivre ? Toi qui aime tant les animaux, tu seras sans doute ravi d’apprendre que ton père est professeur Zoomagie, tu pourras lui poser toutes les questions que tu voudras pour la poursuite de tes études. Je suis persuadée que c’est une grande opportunité pour toi….

Mathilde n’a pas entendu la suite. Sa mère lui à décrit tout ce qu’elle se souvenait de son père, lui parlant de leur courte mais réel histoire d’amour. De ce que son grand-père avait dit puis fait. Mathilde en avait plus apprit sur son origine en une heure que pendant les seize premières années de sa vie. De quoi la laisser complètement…abasourdit. Pendant des années Mathilde avait cru son père mort, imaginant que c’était pour cela que ça mère ne lui en avait jamais parlé. Que la douleur était trop grande pour l’évoquer.  Non, sa mère lui avait en quelque sorte menti, du moins, c’est ainsi qu’elle voyait les choses. Son père était en vie, vivant de l’autre côté de la manche pendant toutes ses années, la laissant ainsi ignorante. Mathilde avait levé les yeux vers sa mère et prononcé une phrase puéril et parfaitement représentatif de ce que sont les adolescents avec leurs parents : « Je te déteste. » Puis elle c’était levé, rejoignant sa chambre, s’y enfermant pendant de longues heures en tournant en rond. Sa mère venait de redéfinir entièrement sa vie. Son père, qu’elle avait toujours pensé mort était en fait en vie, et elle allait le rencontrer, vivre chaque jours dans le même endroit que lui. Mais en plus de cela, elle allait changer de pays, rejoindre une patrie dont elle ne connaissait pas grande chose. Mathilde ne parlait pas un mot d’Anglais, elle avait toujours été nul pour les langues étrangères, même en travaillant dur, elle n’avait jamais réussit à avoir un niveau supérieur à « Where is Brian ? Brian is in the kitchen. »  Elle n’était pa prête à ça. Et pourtant, elle savait qu’elle n’avait pas le choix. Quand ça mère prenait une décision, elle ne pouvait rien dire pour aller à l’encontre de celle-ci. D’habitude pourtant, elles les prenaient ensemble, mais pas cette fois. Comme ci quelque chose n’allait pas.

Mathilde avait fini par faire sa valise. Partant avec un groupe d’élève de son académie pour rejoindre une sorte de transport magique jusqu’en Angleterre et de là, avec les autres élèves de Poudlard elle c’était retrouvé sur la voix neuf trois quart. Devant une magnifique locomotive rouge et tout un tas de monde qui parlaient anglais. Dès sa monté dans le train, elle était déjà complètement perdue. Repensant au adieu avec sa mère. Elle lui avait à peine adressé un mot, beaucoup trop vexé. Lui disant à peine au revoir, elle lui avait tourné le dos, devenant une ados comme les autres.

Dans le train, elle avait trouvé un compartiment vide, qui avait fini par se remplir de premières années. Elle ne leur avait pas adressé un mot et eux non plus. Ils parlaient sans qu’elle ne saisisse un traite mot de leur conversation. Elle n’avait que la base. « ça va, oui et toi ? comment ce sont passé tes vacances ? » mais ça n’allait pas vraiment plus loin. Mathilde passait déjà des heures et des heures pour apprendre, elle n’osait même pas imaginer ce qui allait en advenir d’elle avec des cours en Anglais.

Quand elle est arrivée à Poudlard, elle a regardé le château avec un certain émerveillement, le trouvant magnifique et imposant. Mais les élèves de l’école ne lui inspiraient aucune confiance. Si elle avait put rentré sous terre, elle l’aurait sans doute fait. Elle c’était simplement laissé guidé par les autres. Face à l’immensité de ses lieux, aux nombres d’élèves, et à l’obstacle que représente la langue, Mathilde n’a qu’une certitude, c’est qu’elle va se sentir terriblement seul ici.

ϟ Ton pseudo : Slana mais Noémie c'est bien aussi ^^ ϟ Ton âge : 19 ans ϟ Ton avis sur mumblemumps : vraiment très beau, avec un contexte intéressant.. ϟ Le mot de la fin : j'avais hâte de retrouver l'univers d'HP en rp..

(HISTOIRE : sept cent mots minimum.)
Une vie, ça commence toujours de la même façon. Celle de Mathilde n’a pas fait exception à la règles, sa mère à mis au monde une petite fille le neuf juillet mille neuf cent quatre-vingt deux à Paris. Pendant quelques années, des années que Mathilde n’est pas en mesure de se souvenir, sa mère a fait tout ce qu’elle pouvait pour subvenir aux besoins couteux de son petit bébé. Puis, par le plus grand des hasards elle a obtenus un post au ministère de la magie français, au service des permis baguettes. Leur situation financière c’est considérablement amélioré et elles ont pus emménager dans un petit appartement tout à fait convenable avec le chauffage, ce qui n’était pas vraiment le cas avant. Mathilde n’avait plus qu’une seule chose à faire, grandir. Ce qu’elle s’appliqua à faire. Rapidement elle se mit sur ses deux jambes pour abandonner le quatre pattes trop contraignant pour sa curiosité de bébé. Elle bougeait partout et n’était pas très adroite, ce qui lui valu quelques passages à l’hôpital magique parce qu’elle c’était cogné la tête contre un meuble. La maladresse à toujours fait parti d’elle, elle tombait tout le temps, mais se relevait sans broncher pour continué ses explorations.

Les conditions financières de sa mère grandissaient de jours en jours, après une promotions, sa mère acheta une maison à la campagne et Mathilde et elle s’y installèrent pour ne plus jamais la quitter. Mathilde avait une chambre à elle et un grand jardin. Sa mère n’était plus du tout dans le besoin ce qui lui permit d’offrir une très belle enfance à sa fille. Mathilde, comme la plupart des enfants de sorciers fit pas mal de cours à l’école moldu en attendant d’avoir l’âge requis pour intégrer l’école de magie. Sa mère guettait doucement le jour où elle devrait la retirer du cursus moldu car ses pouvoirs deviendraient trop présent pour être mit sous le nez des moldus. Mais se jour tardait à venir. Lorsque Mathilde eu sept ans et n’avait toujours pas montrer le moindre signe de magie, sa mère finit par croire qu’elle était une cracmol et ne s’inquiète plus de la retirer de l’école moldu où sa fille s’épanouissait. Elle avait apprit à lire très rapidement, se passionnant pour tout un tas de livres anciens avec des mots compliqué. Même petite fille, Mathilde était très raffiné et parlait d’une façon très courtoise et pointus. Un jour, sa mère prit l’idée de l’emmener à la bibliothèque du petit village où elle habitait pour lui montrer d’autres livres que ceux qu’elle possédait déjà. On se serait attendu à ce que la petite fille s’intéresse aux livres illustrés, mais elle prit un livres au hasard dans ses mains, un qui attendait patiemment d’être remis à sa place en rayon et l’ouvrit commençant à lire ses premiers vers de poésie.


Sa mère ouvrit grand les yeux, et la bibliothécaire se fendit en un cri d’exclamations ravit et surpris.

- C’est un vrai petit ange, et ses vers prononcé de sa douce voix, sont un véritable enchantement. Charles et elle risque de devenir de grands amis.

Cette femme était loin de se douter à quel point elle avait raison. Mathilde demanda à emprunter se livre, et le lit en une nuit seulement, demandant le lendemain matin à en avoir d’autre de ce magnifique poète. La poésie était devenu sa nouvelle passion, une passion qui ne la quitta jamais. Et souvent elle réemprunta Les Fleurs du Mal qui était devenu son recueil favori. La bibliothécaire fini même par lui offrir son exemplaire personnel un jour. Mathilde promit de le chérir le temps que sa vie durerai, et la jeune fille ne s’en sépara jamais.

Mathilde c’était passionné pour la poésie et plus particulièrement pour Baudelaire et sa mère c’était fait à l’idée qu’elle n’entrerait pas à Beauxbâtons, ferait des études moldu et finirai sans doute…poètes. Mais un jour, alors que Mathilde rêvassait dans le jardin, elle prit un bourgeon de fleur qui peinait à s’ouvrir dans ses mains, et sous les yeux de sa mère, au contact des mains de sa petite fille, la fleur s’épanouie. Mathilde se tourna vers sa mère avec un grand sourire et dit : « Maman, moi aussi je suis une sorcière. » Mathilde avait neuf ans et sa mère éclata de rire avant d’embrasser sa fille avec amour. Bien que cela ne l’aurait pas le moine du monde dérangé de savoir sa fille cracmol, elle préférait tout de même cela. Pour l’occasion, sa mère décidât de lui offrir une chouette et toute deux se rendirent dans le quartier magique. Dans la ménagerie, Mathilde se sentit comme chez elle, elle se mit à jouer avec les mulots, les chats, les hiboux, les crapaud et toutes les autres espèces. Sa mère lui demanda alors ce qu’elle préférait et le choix de la petite fille se porta sur un petit duc-nain qu’elle baptisa « Alfi ». Il ne pourrait sans doute jamais porté de lettre, mais il avait une bouille qui fit craqué la petite fille, il devenu son meilleur ami.

Mathilde avait découverte ses deux plus grandes passions à neuf ans, la poésie et les animaux, celles-là même qui définiraient toute sa personnalité finale et le reste de sa vie. Et finalement, à onze elle reçu sa lettre pour rejoindre l’académie de magie de beauxbâtons.  

À beaux-bâtons, Mathilde commença doucement à s’épanouir, mais elle restait relativement seule, elle avait peu d’ami, mais ils étaient précieux pour elle. Travaillant dur pour suivre le rythme elle se passionna pour la magie, mais réalisa bien vite qu’elle n’était pas très douée. Il lui fallait toujours travailler plus que les autres pour obtenir des résultats, mais elle travaillait si fort qu’elle obtenait toujours de bonnes notes, c’était « une bonne élève ». Elle ne se décourageait jamais, même lorsqu’elle recevait des Troll en potion pour avoir fait exploser son chaudron, elle travaillait alors plus encore, pour obtenir une note de rattrapage. Les professeurs l’aimaient bien, peut-être même plus que les élèves ne l’aimaient. Elle s’en fichait un peu, Mathilde avait son petit monde et son petit groupe d’ami. Quand elle était seule, elle se rendait toujours à la bibliothèque et lisait mille et un poème, avalant de nombreux romans, et travaillant toujours très dur sur ses devoirs. Et quand fut venu le choix des options à prendre, c’est sans même réfléchir qu’elle choisit le soin aux créatures magique, l’étude des runes et l’art. Bien entendu, elle suivait ses cours d’étiques et autres bonnes manières avec une assiduité parfaite. Elle avait d’excellentes notes dans ce domaine. Toujours parfaitement droite et polie, bien que parfois…un peu maladroite, mais « Cela fait partie de ton charme » disait toujours son professeur. En soin au créature magique elle se découvrit une véritable passion et passa plus de temps avec les animaux qu’avec ses amis, se laissant doucement oublier par eux d’ailleurs, pour se retrouver plus seul que jamais, mais elle s’en rendait à peine compte. Quand elle pouvait prendre soin d’une Licorne elle oubliait tout ce qui pouvait exister autour, et souvent, elle récitait des vers pleins de délicatesse aux animaux malades pour les rassurer. Elle trouvait que Baudelaire correspondait parfaitement à la majesté d’une Licorne.
En art, elle se découvrit un talent pour le dessin, réaliser des portraits tout à fait fidèles, qu’elle transforma doucement en représentation des animaux dont elle s’occupait, réalisant une sorte de bestiaire personnel avec toutes sortes d’annotations utile. En rune, elle écouta attentivement, et obtenait de bons résultats, mais ne s’y intéressait pas réellement. Un jour, elle commença à parler avec un membre de l’option musique, et comme elle n’avait pas de cours pendant le leur le suivit pour s’y intéresser d’avantage. Le professeur, réellement sympathique l’invita à rester pour découvrir sa matière, et finalement il s’arrangea pour qu’elle puisse rester en tant qu'élève permanente. Elle découvrit le piano et se laissa porté par les partitions de Debussy. Mathilde était une jeune fille très accomplit, très mature pour son âge, se sentent plus souvent à l’aise avec ses professeurs que les autres personnes de son âge, mais elle ne s’en préoccupais pas vraiment. Elle travaillait, lissait, jouait du piano et s’occupait de ses animaux en réalisant son bestiaire. Sa petite vie lui plaisait bien. On la laissait seule et elle vivait dans sa bulle. La guerre contre Lord Voldemort coula presque sans qu'elle ne s'en rendent compte, elle apprit juste une chose pendant cette "lutte", à réaliser un patronus, bien qu'elle ne fut jamais très douée en magie, elle savait mieux que quiconque penser à un souvenir heureux. Souvent, elle revoyait sa mère l'embrasser le jour où elle avait découvert ses pouvoirs, un souvenirs d'enfant, c'est ce qu'il y a de plus beau. Ça l'enfermait plus encore dans sa bulle protectrice au final et elle oublia bien vite qu'il y avait eu une guerre, se repliant doucement dans son monde.  Mais sa bulle éclata quelque peu lorsque sa mère lui annonça qu’elle partait pour l’Angleterre et qu’elle allait rencontrer son père.

Ce fut un choque pour elle, elle découvrit un nouveau trait de sa personnalité à cette occasion. La colère et la rancune. Elle en voulait terriblement à sa mère de ne lui avoir jamais rien dit à son sujet. Pour Mathilde, celui-ci était mort et s’était pour cela que sa mère n’en parlait jamais. Souvenirs beaucoup trop douloureux pour être évoqué, mais il n’en était rien. Son père vivait tranquillement sur un autre continent sans même savoir qu’il avait fille. Jusqu’à aujourd’hui. Lorsqu’elle apprit son nom, après avoir réaliser les choses, Mathilde à fait de nombreuses recherches sur lui, découvrant son métier, sa mère lui en avait rapidement parler, mais savoir que son père était lui aussi passionné par les créatures magiques avait eut un drôle d’effet sur elle. Elle s’était laissé envelopper d’une douce chaleur agréable alors qu’elle lisait se qu’elle trouvait sur lui. Puis elle s’était braqué, cet homme n’avait jamais rien su d’elle et ne voulait sans doute pas s’encombrer avec une fille maintenant, alors autant ne pas se faire trop d’illusion. Il ne serait sans doute qu’un professeur pour elle, il ne fallait pas qu’elle ai trop d’espoir. Et puis, la douleur qu’elle ressentait était très profonde, comme la colère. Elle en voulait terriblement à sa mère, elle la détestait et se demandait si elle pourrait lui pardonner un jour. Elle lui en voulait aussi de la parachuté dans un pays qu’elle ne connaissait pas, un pays avec une langue qu’elle ne maitrisait pas. Elle qui devait déjà travailler si dur à l’école, elle ne pourrait jamais obtenir son diplôme là-bas, elle ne comprendrait jamais ce que disaient les professeurs. La jeune fille était complètement perdu quand elle parti pour l’Angleterre. Entre colère et appréhension. La colère pour sa mère et ce qui l’attendait, l’appréhension à l’idée de rencontrer son père. S’en sortirait-elle ? Ne deviendrait-elle pas complètement folle ?


Mathilde contempla le château de Poudlard, serrant son exemplaire chéri des Fleurs du Mal contre elle, Alfi sur son épaule, et se laissa entrainer par la foule pour rejoindre La grande salle. Son petit-duc nain s’envola, la laissant avec son angoisse grandissante. Un larme glissa même sur sa joue, elle la repoussa vivement, et respira un grand coup avant d’entrer dans la fosse aux lions.

Félicitations tu as réussi à faire ta fiche de répartition. Le Choixpeau n’a pas hésité plus d’une minute avec toi et a pris sa décision. Maintenant que tu as été réparti dans ta maison, tu vas pouvoir procéder à toute la partie inscription administrative de Poudlard

N’oublies pas qu’ici tu peux t’amuser rapidement alors n’hésites pas à nous rejoindre soit dans le Flood soit sur la ChatBox tout le monde est le bienvenue. Tu peux maintenant commencer à créer de nouveaux liens avec les autres élèves, tu trouveras tout ça dans  le journal du sorcier. Ce n'est pas tout, il va falloir que tu viennes recenser ton personnage dans le dortoir, les clubs, l'équipe de quidditch, tu trouveras tout ce qu'il faut dans les parchemins indisensables   Ensuite si tu as la moindre question n’hésites pas à envoyer un hibou à l’un des membres du Staff. Allez nous t’attendons vite à Poudlard et nous tenons à te remercier d’être venu sur MUM. Si tu as envie de RP mais que tu n'as pas de partenaire, viens t'inscrire au speed dating version sorcier, mais tu peux aussi consulter le répertoire des sujets libres et communs  . . Enfin, pour consulter la liste des cours, c'est par ici .

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Cordialement,
Le Choixpeau Magique