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Crise de nerfs et souffre douleur. ⎜Maximus

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Crise de nerfs et souffre douleur.

       

A. A comme Acceptable. Acceptable ! C’était la plus mauvaise note de toute ma vie dans cette matière. J’avais toujours été excellente, mais voilà, faire un devoir en anglais n’était pas de mon ressort. Se fut la goute qui fit débordé le vase, et alors, en plein milieu du cours, que le prof recommençait son discourt, je rassemblais mes affaires dans mon sac, du moins je les fourrais dedans, et me levais. Le prof levait les yeux vers moi, demandant se que je faisais en anglais, et en Français je dis :  "Je m’en vais !" et je tournai les talons.

Claquant la porte derrière moi, je parcourrais le couloir d’un pas déterminé, ouvrant à la volé la porte des toilettes des filles du deuxième étage. Je me postais devant le miroir, posant les mains sur l’évier et serrant si fort que mes jointures blanchir. Je poussais un petit cri d’indignation. Cette école me faisait littéralement tourner en bourrique. Je voulais rentrer à la maison, passer mes A.S.P.I.C et les avoir. Ici, se serait impossible, et tant pis pour mes études supérieurs, il était évident que je ne serai pas en mesure de suivre des cours plus avancé en anglais. Je n’étais capable de rien, et en plus de ça, j’étais plus mauvaise en magie que je ne l’avais jamais été jusqu’à aujourd’hui. L’Angleterre ne me réussissait pas, le seul point positif était ma rencontre avec mon père, mais ça ne faisait pas tout.

"La petite fille pleure parce qu’elle ne comprend rien…"

Ça je l’avais compris par contre. Je faisais volte-face pour voir qui avait parler. Mais il n’y avait personne. Je fronçais les sourcils, sentent déjà la colère due à cette moquerie monter en moi.  J’ouvrai la porte d’un des toilettes, mais rien, puis une autre et ainsi de suite.

"Tu devrais faire comme moi, tu serais plus en paix avec toi même."  

Je regardais toujours autour de moi, cherchant la source de cette voix qui commençait à m’énerver. De quel droit se moquait-elle ? Et que devrais-je faire comme elle au-juste ?

"Qui est là ? Montre toi !"  

Je connais un coup de pied dans la dernière porte, pour ne trouver personne. Je me retournais, me retrouvant nez-à-nez avec le fantôme d’une élève.

"Bouh ! Tu m’as trouvé !"  
"Qui es-tu ?"
"Tu ne le sais donc pas ? Tu n’as tellement pas d’amie que personne ne t’as dis d’éviter les toilettes du deuxième étage ? "  
"Je…tu n’as pas répondu à ma question,"  grognais-je.
"Oula, j’ai touché une corde sensible ? Toute seule, toute seule. Suicidé toi, je deviendrais ton amie."  
"Tais toi !"  
"Tu y as déjà pensé ?"  
"Je t’aie dis de te taire !"  
"Roo elle est malheureuse la française. Meurs et je serai ton amie."  
"TAIS TOI !!!!"

J’aurai voulu la frapper, mais c’était impossible, je passais à travers elle, tremblante de rage, des larmes de colère dans les yeux. "On ne peux pas frapper un fantôme. On ne t’as jamais appris ça dans ton école ?"   "MAIS TU VAS LA FERMER OUI !" Et je sortis des toilette en trombe, percutant de plein fouet un élève portant l’uniforme des Poufsouffle, ma stupide maison. "Quoi encore ?! Je dérange ?!!!"

  

(c) naehra.

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"Crise de nerfs et souffre douleur."


J'sais pas pourquoi, mais quand je te vois là, comme ça, je sens que je vais en prendre plein la gueule pour pas un rond.


Un muffin aux myrtilles dans le bec, les bras chargés de confiseries, entre autre des beignets et des tartelettes, Max avançait à pas feutrés dans les couloirs du deuxième étage après une escapade dans les cuisines. Depuis neuf ans qu'il était à Poudlard, il avait finalement réussi à corrompre quelques elfes de maison et obtenir l'accès aux cuisines, où il se servait allègrement quand l'envie lui en prenait, puis il se trouvait un coin pénard où glander sans vergogne sans que personne ne le découvre. Au fur et à mesure des années, il avait fini par prendre l'habitude de se rendre aux toilettes désaffectées du deuxième étage, où personne n'allait plus et où la seule personne susceptible de le déranger était la mythique Mimie Geignarde. Incisive, bipolaire et geignarde -ce qui tombait sous le sens-, elle n'était pas la compagnie rêvée, mais avait le mérite d'être un fantôme, ce qui signifiait que les victuailles qu'il trimbalait avec lui ne risquaient rien.

Arrivant dans le couloir de Mimie, il fronça les sourcils en entendant des cris, qui semblait d'ailleurs provenir des fameuses toilettes et c'est donc avec une certaine résiliation qu'il termina d'avaler son muffin, chassa les miettes d'un revers et fit disparaître les gâteaux qu'il trimbalait avec lui d'un coup de baguette, directement de retour là où il les avaient fauchés, mieux valait-il éviter que quiconque ne sache qu'il avait ses entrées aux cuisines du château.

Et c'est donc d'un pas résolu qu'il poursuivit son chemin jusqu'aux toilettes de Mimie, les voix qu'il entendait s'amplifiant au fur et à mesure qu'il avançait. Il reconnu celle de Mimie, bien sûr, la seconde en revanche ne lui était pas familière et parlait un anglais fort accentué, traduction : la seconde voix appartenait à une élève étrangère, ou à une troll ayant miraculeusement acquit la parole. Alors qu'il s'apprêtait à entrer dans les toilettes, il fit un pas en arrière pour esquiver la porte s'ouvrant en grande volée devant lui en écarquillant les yeux, mais, pas de bol, il n'eut pas le temps d'esquiver la petite brune qui en sortit comme une furie et qui le percuta de plein fouet. Il tomba sur le cul, littéralement, tandis qu'une voix perchée haut dans les aigus lui vrilla les oreilles.

"Quoi encore ?! Je dérange ?!!!" Et bien, ça semblait bien engagé... Maximus se releva doucement et épousseta son uniforme, tout en se massant une fesse de l'autre main, encore un peu sonné d'avoir été percuté si brusquement. "Wow wow, on s'détends, pas la peine de me criser dessus." Lâcha-t'il simplement en temporisant gestuellement la situation. Puis il détailla la jeune femme de la tête aux pieds, apercevant enfin l'écusson de sa maison sur son uniforme, sans doute une élève étrangère qui avait été répartie à Poufsouffle en début d'année, parce qu'il ne lui semblait pas la connaître. "A titre informatif, on t'entends hurler de l'autre bout du couloir, hein." Tout en désignant du pouce l'immense couloir qui s'étendait à gauche comme à droite.

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Crise de nerfs et souffre douleur.

       

La fureur, c’était nouveau chez moi, je n’avais jamais été aussi en colère. Pas au point de hurler sur quelqu’un, et encore moins quelqu’un qui était mort. C’était assez moche quand on y pense, mais cette fille était une vrai torture. Rien que sa voix irritais mes oreilles et ses paroles me mettait complètement hors de moi. Ce qu’elle avait dit, ce qu’elle pensait que j’avais pus penser.. ça m’horrifiais que quelqu’un puisse lire ce genre de chose sur mon visage. Ma détresse était-elle si évidente ? Ça me terrifiais, je voulais pouvoir renter sous-terre, m’enfoncer profondément et ne refaire jamais surface. Alors, la seule et unique réaction qui me vient face à elle, c’est la colère, je lui hurle littéralement dessus et je quitte la pièce en trombe. Ne réalisant pas que quelqu’un se trouve devant la porte je lui rentre dedans avec force, faisant un petit bon en arrière en lui hurlant dessus à son tour.

Il tomba à la renverse tombant littéralement sur les fesses, je le regardais là par terre, après lui avoir aboyé dessus, lever les bras en guise de « tu te calme oui ! » avec ses paroles totalement… normal, il a raison de dire ça. Et je ne sais pas, à le voir comme ça, toute la pression sur moi, la colère, la fureur, le désespoir, tout redescend et j’éclate de rire. Je ris, je ris, si fort que je dois être entendu dans tout le château. Toute la tension de ses dernières semaines est en train de retomber pendant que je le contemple par terre. Je n’arrive pas à m’arrêter de rire, je ris même plus fort lorsqu’il dit qu’on m’a entendu hurler dans tout le couloirs. Si j’avais été à la place de c’eux dans les salles, j’aurai pesté contre la personne troublant le cours. J’avais toujours été une bonne élève, bien rangé, discrète, du genre que les profs aiment vraiment bien, à qui on donne des bouquins et des bonnes notes quoi. Mais depuis que j’étais dans cette école, j’avais des mauvaises notes, je ne comprenais rien en cours et j’étais encore plus mauvaise avec ma baguette que je ne l’avais jamais été. Je me sentais terriblement seule alors que j’avais passé toute ma scolarité à fuir les autres. Je ne dormais pas, alors qu’à BeauxBâtons j’avais énormément de mal à me tirer du lit. Je pensais que mon père était mort à l’époque, et aujourd’hui ici, je le croisais dans les couloirs, je dinais dans la même salle que lui tous les soirs, et même…j’allais lui parler parfois. Comment dire que…plus rien n’était pareil, absolument rien, c’était comme ci j’étais une autre personne. On me dirait que quelqu’un avait prit possession de mon corps et que je regardais ses actions à travers mes propres yeux que je l’aurai cru. C’était si bizarre, si différent. Je me perdais moi-même, ne me reconnaissant plus et j’étais là, à rire comme une taré après avoir hurler sur un fantôme.

"Je…je…" , non, je n’arrivais pas à reprendre mon souffle n’y a arrêter de rire. Bientôt un prof finirai par sortir de sa salle de cours pour voir ce qu’il se passait et alors il trouverai un garçon se relevant avec peine et se massant une fesse endormie en compagnie d’une pauvre fille incapable d’aligner deux mots correct parce qu’elle était en train de perdre son souffle à rire. L’idée que je me faisais de la réaction de cet hypothétique prof ne fit que faire redoubler ma crise de rire. J’avais chaud, trop chaud,… "Y fait chaud non ?"  Le pauvre, il me regardait comme si il était face à une folle, il n’était pas loin de la vérité. Soudain, Mimie passa son nez à travers la porte pour voir ce qu’il se passait et alors voir son visage fit remonter la colère en moi elle allait ouvrir la bouche que je grognais :"Ferme là !" … Mon hilarité venait de passer d’un coup, comme si rien ne s’était passé. Au fond…je devais être timbrée.

  

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"Crise de nerfs et souffre douleur."


J'sais pas pourquoi, mais quand je te vois là, comme ça, je sens que je vais en prendre plein la gueule pour pas un rond.


Au bout d'un certain temps, Max cessa de se masser la fesse endolorie par la chute, tandis qu'il s'était relevé et attendait une réponse de la part de celle qui venait de le renverser. Mais plutôt que de s'excuser, comme une personne saine d'esprit l'aurait fait, elle partie dans une hilarité des plus bizarres... Et même en réfléchissant, Max ne voyait pas d'autre mot pour décrire cela, en dehors de la démence, probablement. Elle riait aux éclats, riait si fort qu'il doutait que quiconque à cet étage ne l'ait entendu. Il avait beau lui répéter de se taire, lui faire les signes les plus explicites du monde pour qu'elle comprennes, parce qu'après tout, peut-être qu'elle n'avait pas compris ce qu'il lui avait demandé, il n'y avait rien à faire, elle continuait de rire comme une tarée au beau milieu du couloir. D'un instant à l'autre, un élève, un professeur ou quelqu'un allait débarqué au beau milieu du couloir et là, ça n'allait plus être le même jus de citrouille, il fallait qu'elle se taise, rapidement. Pendant un instant, Maximus fut tenté de lui lancer un maléfice de bloclang, pour qu'elle arrête de rire comme une furie, parce qu'elle riait de plus en plus fort, la bougresse, les inférieurs et supérieurs devaient commencer à se poser des questions tant elle riait fort. Il allait se prendre une colle à cause d'une tarée qui hurlait dans les couloirs, génial, le top, vraiment, c'était pile ce qu'il lui fallait, alors qu'il ne lui restait plus que trois heures à faire pour être débarrassé des heures qu'il avait accumulé depuis le début d'année, autant dire que c'était magnifique. Au revoir liberté, au revoir promenade avec ses amis, au revoir tout cela.

Finalement, la jeune femme tenta de reprendre la parole, mais en vain, tant son hilarité la prenait aux tripes, Maximus lui lança le regard le plus exaspéré qui soit au monde avant de tenter le tout pour le tout. "Sérieux, arrête de rire comme une grue ou je te lance un bloclang et je te laisse en l'état. Sérieux hein, j'rigoles pas." De deux choses l'une : soit la menace était efficace et elle se calmait, soit il allait prendre une gifle monumentale, bien que l'un ne soit pas incompatible avec l'autre, d'ailleurs. "Y fait chaud non ?" Bordel, pourquoi il fallait que ça tombe sur lui ? Pourquoi, à chaque fois, il fallait que ça soit lui, hein ? On lui reprochait souvent d'être dans les mauvais coups, en fait, la vérité, ce n'est pas qu'il était dans les mauvais coups, c'est que les mauvais coups le suivait comme son ombre, pire, qu'il l'incluait avec ou sans son consentement.

Finalement, Max entendit le grincement d'une poignée que l'on s'apprêtait à ouvrir, il tira aussitôt sa baguette et visa la porte en question. "Collaporta !" Le sortilège scella la porte, mais pour un bref moment seulement avant que quelqu'un ne rompe le charme, alors sans perdre de temps, il attrapa la main de la jeune femme et la tira ailleurs, tandis que celle-ci pestait sur Mimie-Geignard, Max eu quant à lui a peine le temps de lui adresser un signe de main avant de filer en tirant derrière lui la française.

Il entra dans une salle de classe désaffectée, ferma la porte derrière eux et s'enfonça dans l'obscurité en entraînant la jeune femme dans son sillage, une fois qu'ils furent suffisamment loin du seuil de la porte, alors seulement il daigna faire un peu de lumière. "Lumos." Une douce lumière alluma l'extrémité de sa baguette, tandis qu'il plongeait un regard incrédule dans les yeux de la jeune femme. "Tu as un sérieux pète au casque, ma fille, t'es consciente qu'on vient d'éviter au moins trois heures de colle, là ?! Moi c'est Max en passant." Lâcha-t-il, plus stupéfait que réellement fâché, en fait, en y réfléchissant bien, il trouvait cela marrant, lui aussi.

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