My skin's smothering me, help me find a way to breathe Ҩ Axel

My skin's smothering me, help me find a way to breathe

Un petit plaisantin avait eu le malheur de mal choisir sa cible lorsqu’il voulu tester l’une de ses blagues moldus à la sortie du cours d’étude des runes. Plaçant un sceau rempli d’eau en haut de la porte, il suffisait que la première personne sorte de la classe en poussant la porte pour que le tour soit une réussite. Une vulgaire plaisanterie, mais il ne s’était certainement pas attendu à ce que ce soit Azarov qui sorte le premier de la classe en question, car d’habitude c’était toujours une personne de sa maison qui sortait en premier pour pouvoir échapper au cours le plus vite possible et Azarov restait généralement jusqu’à la fin. Mais il avait suffit d’une fois. D’une erreur. D’une blague de mauvais goût pour qu’Azarov entre dans une colère noire. En effet, lorsqu’il ouvrit la porte de la classe, le sceau se déversa, le trempant de la tête aux pieds d’eau. Le grand Azarov venait d’être touché par de l’eau, entourée par toutes les personnes de sa classe et autant dire qu’il n’apprécia absolument pas. D’ailleurs, aucune des personnes n’ayant vu la scène n’eut l’audace de rire, car le regard noir empli d’une haine sans nom qu’il lança leur fit comprendre que le premier qui piperait mot prendrait pour son grade. Sauf que voilà… Celui ayant fait la blague avait seulement vu la porte s’ouvrir, mais il n’avait pas vu la personne qui l’avait ouverte et il se mit à rire… Grave erreur, car sans réfléchir une seule seconde, Azarov quitta le pas de la porte pour avancer rapidement vers la personne qui osait se jouer de lui. Un gryffondor d’une classe inférieure à la sienne. Sont-ils vraiment assez stupide pour énerver Azarov ? Il fallait croire que oui, car bien enragé, le russe agrippa le gryffondor par le col, sa baguette au poing et le traîna à l’ écart des autres, en menaçant les autres d’oser les suivre. Il savait sans se retourner que personne ne les suivait, tout simplement parce qu’après ces quelques mois passer dans la classe de celui venant de Durmstrang ils avaient très vite compris qu’il ne fallait pas le contrarier.

Or voilà le gryffondor l’avait contrarié et ce n’était pas peu dire. Voilà pourquoi une fois arrivé dans un endroit où il était persuadé qu’il n’y aurait personne, le couloir des statues, il plaqua le jeune homme hébété contre le mur. Et avant qu’il ne puisse se rendre compte du pétrin dans lequel il s’était fourré, Teodor mis sa baguette contre son cou. Un geste du gryffondor en vu de prendre sa propre baguette et le russe la lui arracha pour la jeter loin dans le couloir où il ne pourrait pas la récupérer de ci-tôt. « Pour qui tu te prends sale SANG DE BOURBE pour faire des blagues avec aussi peu de goût ?!! Tu en fais à tes potes aussi con que toi si tu veux, mais je te jure que si tu fais ENCORE UNE FOIS quelque chose aussi puéril avec moi je te couperai la main, tu m’entends PETIT BATARD ?!!!! » Avec son accent russe qui accentuait chaque mot, autant dire que la menace qu'il proliférait ne pouvait être qu'écouter, car on sentait toute la rage, toute la haine et à dire vrai... Toute la retenue dont il faisait preuve à cet instant. Il aurait voulu le traîner aux cachots, lui lancer un sortilège de doloris, ou encore un Sectumsempra bien maîtrisé. Oui... Un sectumsempra pour voir s'effacer son petit sourire niais de son visage une bonne fois pour toute. Et il se viderait de son sang peu à peu sous les yeux carnassiers d'Azarov qui montrerait une nouvelle fois à quel point il ne faut pas se moquer de lui. Pas un seul instant. Mais il ne pouvait pas le traîner aux cachots alors qu'il était presque opposé à l'endroit où il souhaitait aller et tout le monde l'avait vu attraper ce gryffondor de malheur. Pour autant ce n'était pas parce qu'il ne pouvait pas aller aux cachots qu'il ne ferait rien, abaissant sa baguette, relâchant la prise sur le jeune homme, ce dernier poussa un soupir de soulagement, mais ne lui laissant pas le temps de finir, Teodor vient à lui mettre un crochet du droit directement sur son visage et un bruit sourd se fit entendre. Et alors, il le plaqua une nouvelle fois contre le mur, sa tête percutant le mur glacial derrière lui. « Un seul mot de travers. Un seul regard. Un seul rire niais et tu entendras parler de moi. Quant à l'infirmerie tu oublies, car si tu y vas ton coquard sera la dernière de tes préoccupations. » Il avait réussi à le traumatiser et il le voyait au fond du regard du gryffondor. Ses yeux étaient écarquillés. Il tremblait. Il avait peur et Teodor jubilait intérieurement. Il était le prédateur et l'autre rien d'autre qu'une proie.

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Teodor était dans une colère noire, l’une de ces colères qu’il n’avait que rarement eu depuis qu’il était ici, mais qu’il avait souvent eu à Durmstrang. En effet, il s’était quelque peu calmé en arrivant à Poudlard tout simplement parce qu’il n’avait pas eu d’autre choix, l’école anglaise était bien différente de la slave d’où il venait. Et de ce fait, il savait très bien que si la moindre de ses incartades se savaient, il serait très certainement suspendu, or il ne pouvait décemment pas se laisser suspendre alors qu’il lui restait des années d’études à faire. Voilà pourquoi il s’était quelque peu calmé, bien qu’il ait à d’autres reprises montrer cette facette de lui à des personnes, il n’en demeurait pas moins qu’il avait particulièrement bien compris qu’il fallait qu’il le fasse discrètement. Tout comme il s’entraînait à la magie noire en cachette dès qu’il trouvait un endroit sûr où tenter ses petites expériences. Sauf que voilà, à cet instant, il n’avait pas réussi à contrôler la montée de violence qui s’était emparé de lui dès l’instant où l’eau s’était déversée sur lui et il avait donc traîné le rouge et or avec lui pour lui montrer qu’il n’avait pas intérêt à recommencer une nouvelle fois. Peut-être que le fait d’avoir pas mal retenu son côté violent depuis son arrivée à Poudlard n’avait pas eu un effet particulièrement bénéfique, car c’était comme si face à l’élève toute sa violence retenue se rediriger sur lui et finalement, il lui mit un crochet du droit plus puissant qu’il ne se l’était imaginé pour finalement le menacer s’il venait à dire quelque chose. Et alors qu’il s’apprêtait à ajouter encore d’autres propos, il fut soudainement stoppé par une voix qu’il connaissait bien.  « Teo ! Non mais ça va pas ?! Lâche-le ! » Tournant son visage vers l’endroit d’où provenait la voix, Teodor fronça les sourcils. C’est bien ce qu’il s’était dit en entendant la voix, c’était Axel et en toute sincérité même s’il l’appréciait et le considérait comme un ami, il n’appréciait pas particulièrement qu’il se mêle de ses affaires.

D'ailleurs il n'appréciait jamais qu'on se mêle de ses affaires et généralement il s'en prenait aussi à la personne qui cherchait à le calmer, mais là il n'allait pas le faire. Après tout c'était Axel et il ne méritait pas son courroux. Ce dernier en vient à s'approcher de Azarov et de sa proie pour finalement le prendre par les épaules pour l'éloigner du Gryffondor terrorisé. Il semblait ne pas comprendre ce qu'il se passait et pourquoi son bourreau ne s'était pas encore énervé contre le Poufsouffle, mais en même temps il était reconnaissant, ça se voyait sur son visage quelque peu amoché. Autant dire que Teodor aimerait bien faire partir le léger sourire qui venait de se plaquer sur le visage du Gryffondor. Axel dû sentir qu'il recommençait à s'énerver car il lui dit alors sur un ton réprobateur. « On se calme ! Si on te voit faire ça, tu te fais direct exclure, mec ! » Il était sérieux ? C'était cela son excuse pour vouloir le séparer de sa victime ? Le fait d'être exclu de l'école ? Et bien et bien, on voyait toute suite les élèves traumatisés à l'idée d'être lâchée dans la nature avant d'avoir fini ses études. Mais en même temps Axel n'avait pas encore eu ses ASPIC, alors que Teo si, ce qui fait que même s'il souhaitait continuer ses études, il ne serait pas entièrement traumatisé s'il venait à se faire renvoyer. « J’en ai rien à battre Axel ! Ce petit con mérite ce qui lui arrive, il se fout de ma gueule, or ceux qui le font en paye le prix fort après ! Et ce dernier n’a encore rien eu ! » Il tourna à nouveau son visage vers le Gryffondor qui avait perdu son sourire,  car il se mettait à douter que Axel réussisse à contenir le russe dont les yeux jetaient des éclairs. « Maintenant décale toi Axel et si tu veux pas voir ça va t’en, s’il ne comprend pas maintenant qu’il a joué au con, il le comprendra jamais. Or ceux qui font des conneries il faut les calmer de suite ! » Oui en effet, il parlait de calmer les gens faisant des conneries, alors que lui-même n’était strictement pas calme et que ses réactions pouvaient s’apparenter à de la connerie, mais Teodor n’en avait cure, il ne pouvait tout bonnement pas accepter que le Gryffondor s’en sorte à si bon compte alors qu’il lui avait fait une blague stupide.  

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Comme il avait pu s’y attendre, une fois qu’il lui eut dit qu’il en avait rien à battre d’être renvoyé et qu’il voulait mettre une raclé au Gryffondor, Axel se décala pour le laisser aller vers le petit fouteur de connerie. Même si Azarov s’était douté que Axel n’aurait pas été assez stupide de rester dans son passage, il était d’une certaine manière déçu, car il aurait bien aimé que Axel tente encore de le raisonner. Après tout, cela montrait qu’il commençait à prendre plus confiance en lui-même pour ne pas trop craindre de s’en prendre une et ça, Teodor trouvait que c’était génial. Car oui, il appréciait bien Axel et il aimerait beaucoup qu’il arrive peu à peu à voir qu’il faut avoir confiance en sois et ne pas craindre de dire ce que l’on pense, sauf si c’est une connerie, là il vaut mieux se taire. Mais en tout cas, il souhaitait sincèrement que celui qu’il considérait comme son ami prenne de l’assurance et parvienne à lui tenir tête plus longtemps. Car clairement, c’était certain que même si Azarov n’aimait pas qu’on lui tienne tête, étrangement de la part du Poufsouffle il l’appréciait. Comme quoi, tout le monde peut changer quand il le veut. Et qu’il le veuille ou non, qu’il ne le remarque ou non, le russe avait changé au contact des anglais. Certes, pas autant que certains l’auraient souhaitait, car il restait violent et addict de magie noire, mais il était nettement plus sympathique qu’il ne l’était à un moment à Durmstrang.

Sauf que voilà, pour le Gryffondor il ne souhaitait absolument pas être sympathique, car il ne le méritait pas et en plus il le cherchait avec son visage moqueur et amusé. Il avança d’un pas vers sa victime passée, mais à nouveau Axel se mit à parler, ce qui fit esquisser un sourire à Teodor. « Et pourquoi est-ce que tu crois que je suis là, hein ? Pour vous tenir la chandelle ? » En effet, les propos de Axel le firent sourire car il le visualisait maintenant avec deux chandelles à la main tandis que Teodor continuait à frapper le Gryffondor, image pas particulièrement romantique mais particulièrement amusante. Secouant la tête, il tourna sa tête vers Axel. « Bien que l’idée de toi tenant la chandelle me fait particulièrement sourire, je doute que ce soit adapté dans ce cas de figure, à moins que le rouge symbole d’amour vienne de la dent cassé qu’il va finir par avoir s’il continué avec son sourire d’attardé mental. » Le concernant émis un petit bruit réprobateur « Je… » Mais avant même qu’il ne termine sa phrase, le russe s’était précipité sur lui et le surplombé de sa taille. « Toi tu fermes ta gueule, on ne t’a pas parlé. Après si tu me poses la question car tu dois aller aux toilettes, je peux te couper les parties génitales pour t’éviter cette peine. » En disant cela, il tourna son visage vers Axel qui le regardait en essayant de faire une mine sévère comme s’il voulait montrer qu’il n’approuvait pas ce qu’il faisait et disait, même si le Gryffondor en question était un connard fini.

Soupirant, Teodor se re-concentra sur le Gryffondor qui semblait blaser au possible. Il s’approcha encore d’un pas et posant ses mains de part et d’autre de ses épaules, il fini par lui donner un petit coup de genoux dans les parties génitales. Il n’avait qu’à pas faire le gars particulièrement occupé dont l’altercation l’ennuyait. L’intéressé se plia en deux en jurant. « Casses-toi et si je te recroise aujourd’hui, je te jure que ce coup sera rien à côté de ce qui t’attend. » Il ne se fit pas prier et partie en courant en restant assez courbé dans sa douleur. Azarov, se tourna alors vers Axel en arborant une mine plutôt angélique comme s’il n’avait absolument rien fait à ce pauvre bougre. « Que dirais-tu que je te payes un verre pour me faire pardonner de ce fâcheux contre temps ? »

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Il est vrai que le russe avait peut-être agit de manière bien trop impulsive, mais il fallait croire qu'il était fait ainsi : de l'impulsivité à l'état pure bien difficile à contrôler. Mais en même temps, il suffisait de titiller son amour propre pour réussir à le faire sortir de ses gongs en moins de temps qu'il ne le faut pour le dire et le Gryffondor avait très bien réussi à ce niveau là. D'ailleurs lui donner un coup dans les parties génitales lui avait fait bien plus plaisir que ce qu'il ne s'était imaginé. Comme quoi, parfois faire mal n'était pas si terrible, bien au contraire. Mais bon… Il voyait déjà le regard de Axel qui n'avait pas particulièrement apprécié d'être témoin de ça et Teodor ne pouvait pas lui en vouloir, car après tout, il savait très bien que son ami Poufsouffle était contre la violence. En même temps, il y en avait beaucoup à Poudlard qui était contre cela, ce qui n'était pas étonnant lorsqu'on sait toutes les blessures qu'ils ont dûs penser à la suite de la bataille de Poudlard. Mais bon, le truc c'était que Teodor lui n'avait pas eu affaire à cette bataille et qu'il avait toujours vécu dans une certaine forme de violence alors en changer soudainement, c'était tout bonnement impossible à ses yeux.  « J'aurais bien voulu, mais là j'ai encore trois heures de cours. Mais si tu veux, ce week-end pourquoi pas, avec plaisir même ! »

Ah oui les cours… Ca lui faisait d’ailleurs penser que lui-même avait un cours dans lequel il devait se rendre avant d’avoir terminé sa journée. Il allait lui répondre que ce serait avec grand plaisir pour ce week-end lorsque soudainement Axel ajouta. « Mais seulement si tu recommences pas un truc pareil » Son air réprobateur amusa particulièrement Teodor qui voyait bien qu’il n’était pas entièrement sincère. Il fit alors une tête plutôt angélique en lui disant. « Recommencer des coups de genoux dans les parties génitales ? Ne t’en fais pas j’ai retenu la leçon et je ne le ferais plus. » Il eut un moment d’arrêt puis fini par ajouter comme s’il s’agissait d’un secret. « Par contre pour le reste… Il suffit que les petits cons de Gryffondor ne le soient plus et j’arrêterais d’agir ainsi. Mais étant donné qu’ils n’ont jamais réussi à apprendre de leurs erreurs, je crains ne pouvoir te promettre seulement que je donnerais plus de coups en bas de la ceinture. C’est déjà pas mal, non ? » Il esquissa alors un sourire ravi de son petit compromis entre violence et arrêt total de violence. En même temps, demander à Teodor de cesser totalement son comportement impulsif ce serait comme demander au soleil de cesser de briller. Autant dire que c’était impossible. Tout bonnement impossible. Il pouvait faire une concession certes, mais pas aussi grande que celle que Axel lui demandait.

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Axel semblait presser de partir, mais en même temps ce n’était que peu étonnant, car Teodor savait à quel point le jeune Poufsouffle pouvait être assidu en cours et que clairement, il ne louperait jamais une seule heure de cours. A l’opposé du russe qui avait déjà loupé certaines heures lorsque ça ne l’arrangeait pas et qu’il avait envie de faire autre chose, mais à chaque fois il réussissait à trouver de bonnes excuses qui lui évitaient toute convocation pour qu’il s’explique. « Bon, je désolé Teodor, j'aurais bien voulu rester avec toi plus longtemps, mais le devoir m'appelle ! Et je dois absolument pas être en retard sinon Mrs. Schünberg va pas être super contente. » Ainsi Axel avait cours de botanique et autant dire qu’en apprenant ça, Teodor compris pourquoi il était si stressé à l’idée d’être en retard, car lorsqu’elle le voulait Mrs. Schünberg pouvait montrer fort bien son mécontentement et autant dire qu’il valait mieux pas être dans les parages. « T’inquiètes pas, je préfères que tu y ailles plutôt que de te retrouver transformer en légume géant. » lança-t-il de manière amusée en lui faisant un petit clin d’œil, car bien évidemment il ne finirait jamais en légume, mais l’Azarov aimait exagérer quand il le pouvait.

« On se voit ce week-end du coup ? » En entendant la question, Teodor esquissa un sourire et hocha la tête pour approuver. Et déjà Axel lui fit un salut militaire pour finalement disparaître au pas de course. En le voyant courir ainsi, le russe ne pu s'empêcher de rigoler doucement. Il fallait bien avouer qu'on avait l'impression qu'il était poursuivi par un dragon, ou encore par l'une de ces statues qui se trouvaient alignées contre le mur. Secouant la tête, Teodor lança un dernier regard vers l'endroit où Axel avait disparu, pour finalement attraper son propre sac et tourner les talons. Il fallait qu'il se rende à son dortoir et qu'il se change pour éviter que tout le monde ne remarque qu'il était trempé. En tout cas, une chose était sûr, promesse ou pas, si Teodor venait à croiser le Gryffondor une nouvelle fois aujourd'hui, c'était sûr qu'il ne pourrait pas rester calme, car ce dernier était vraiment un bouffon et autant dire qu'il détestait les personnes de son espèce. Mais bon, le bouffon en question n'était pas là et à cet instant toute sa colère était retombé. Comme quoi, Axel pouvait avoir un effet très positif sur lui.

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