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Version 7
La version sept est enfin arrivée ! Centrée sur l'épidémie, les problèmes politiques,
de nouveaux clans se forment, venez voir de quoi il en retourne.
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L'épidémie dévoilée !
Le Ministre parle de l'épidémie en conférence de presse,
les Médicomages sortent leur premier rapport, les premières conclusions sur l'épidémie !
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How can I move you when you're stuck in your ways Ҩ TEODOMBE

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How can I move you when
you're stuck in your ways

Teodor
&
Colombe
Après avoir quitté une salle de cours pour la dernière heure de sa journée, Azarov déambulait un peu dans les couloirs et fini par s’arrêter à l’une des fenêtres du premier étage pour pouvoir observer l’extérieur et la neige qui recouvrait le paysage de son délicat manteau immaculé. Il pouvait voir le parc où certains élèves s’afféraient à une bataille de boules de neiges en se courant après. Il regardait les élèves qui préféraient rester à l’écart, un livre à la main parfois. Il observait le paysage qui s’étendait au loin. Des arbres et puis le lac glacé. Il appréciait cette vue, car cela lui rappelait quelque peu son chez soi et parfois ça lui manquait. Que ne donnerait-il pas pour passer une journée à Saint Pétersbourg pendant la période hivernale. Certes il gelait beaucoup plus qu’ici et il fallait se couvrir comme si on partait en grande expédition, mais c’était tellement magnifique par là bas. Mais après tout, ce n’était pas comme si il allait passer toute sa vie ici, il finissait ses études et puis après il retournerait certainement au pays, étudier les créatures magiques comme ses études pouvaient le montrer et surtout, jouer au Quidditch le plus possible. Cette simple idée apporta un sourire à ses lèvres. Ah le Quidditch, dire qu’il appréciait ce sport était un euphémisme, car s’il pouvait jouer tous les jours, qu’importe le temps il le ferait, mais en même temps cela dépendait du capitaine et ici, il n’était pas le capitaine. Il est vrai qu’il pouvait aller voler quand il le souhaiter sur le terrain, mais ce n’était pas la même chose qu’un véritable entrainement où il finissait par en ressortir tremper, et parfois amoché. Oui… Rien ne valait un entrainement à la dure. Venant d’un élève de Durmstrang ce n’était pas étonnant d’apprendre qu’il préférait la dureté à toute autre sorte de sentiment et pourtant… Pourtant il n’allait pas être si dur que ça dans un avenir proche.

En effet, alors qu'il était encore plongé dans sa contemplation, il entendit des ricanements et des propos loin d'être sympathique. Un mélange de haine, de mépris et de moquerie. Curieux de connaitre la source de tant de méchanceté, il se tourna vers un petit groupe qui entourait une jeune Poufsouffle à la chevelure blonde. Elle semblait fragile, presque brisée, comme un petit oiseau qui aurait besoin d'aide pour pouvoir prendre enfin son envole. D'habitude, le russe n'aurait pas réagi plus que ça, il aurait laissé coulé et serait même parti loin de cette agitation. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il se dit que ceux qui n'arrivent pas se défendre seuls devraient rester dans leur situation jusqu'à ce qu'ils arrivent à se débloquer d'eux-mêmes. Sauf que voilà, cette jeune femme lui faisait étrangement penser à sa petite soeur Katarina et sans même qu'il ne sache réellement pourquoi il s'approcha du petit groupe. Il reconnu très vite les personnes qui utilisaient la moquerie comme moyen d'attaquer la Poufsouffle. Ils étaient tous les trois à Serpentard, plus jeune que lui et pour tout dire c'était également des anciens de Durmstrang. Autant dire, tout ce qu'il fallait pour qu'Azarov puisse les faire taire une bonne fois pour toute. Approchant au pas de loup, il ne leur permis pas de remarquer que quelqu'un allait les interrompre et alors que l'un d'eux sortait une nouvelle absurdité, Teodor le coupa net et se mit à leur parler d'un ton sec en russe. « Je pense que le représentant de votre école n’apprécierait pas spécialement que vous soyez pris à parler de manière aussi stupide et puéril. » Ils firent tous voltent face pour regarder celui qui venaient les arrêter dans leur élan. « Ah mais attendez, je suis votre représentant, donc je crois qu’il vaut mieux pour vous partir sur le champ et que je ne vous y reprenne plus. » L’un d’eux allait parler mais Teodor le bloqua d’un coup de main. « Si tu comptes dire autre chose qui ne ferait que t’enfoncer davantage, ne te donne pas cette peine. Va plutôt t’occuper de personne de ton gabarit et arrête de me faire perdre mon temps. » Le regard du russe montrait qu’il ne rigolait pas et les trois moqueurs s’en allèrent au pas de course. Ils connaissaient la réputation de Teo à Durmstrang, et s’il ne s’en prenait pas aux élèves de Poudlard autant qu’il le faisait aux élèves de Durmstrang, ils savaient très bien qu’il n’hésiterait pas à s’en prendre à eux. Se tournant enfin vers la Poufsouffle, il esquissa un sourire et repassant à l’anglais il lui demanda « Ça t’arrive souvent de te faire ridiculiser par ces petits cons ? »  

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Colombe A. Devereaux
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Colombe A. Devereaux
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Maison/Métier : officiellement élève à Poudlard, en GISIS de pédagogie magique, mais en vérité, elle est cracmolle et s'est portée volontaire pour subir des tests au laboratoire du château.
Célébrité : josefine pettersen
Pseudo : elly Âge : 28 Parchemins : 2352 Gallions : 473 Date d'inscription : 27/12/2016

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Teodor
&
Colombe
Poudlard était complètement agité en cette nouvelle année. Depuis les évènements du marché de noël à Pré-au-Lard, les choses sont  sans dessus-dessous. Colombe n'a pas assisté au marché de noël, évidemment, elle aurait adoré, mais elle avait des tests à subir lors de cette sortie. Peut-être valait-il mieux pour elle, car qui sait ce qui aurait pu lui arriver lors de cet événement ? Elle est dépourvue de magie, et elle n'aurait pas pu se défendre. Elle avait regardé ses camarades partir par la fenêtre, en les enviant, mais quand elle les a vu revenir, la mine déconfite, elle s'est aussitôt demandée ce qu'il s'était passé. Plusieurs personnes lui avaient raconté cette fameuse tempête de boule de neige, mais le plus inquiétant était sans doute cette tête de mort marqué dans le ciel. Colombe en avait des frissons dans le dos, rien que d'y penser. La jeune femme se sentait donc heureuse d'y avoir échappé, même si c'était pour subir des souffrances bien différentes. Elle s'habituait aux tests petit à petit, mais cela n'enlevait rien à sa peur et sa fatigue. Encore ce matin, elle avait manqué les premières heures de cour, et elle n'avait pas pu aller se rendre dans la Très Grande Salle pour déjeuner. Elle savait qu'elle risquait beaucoup avec ses absences, que les autres commenceraient à avoir des soupçons, mais elle semblait s'en sortir, et elle espérait que cela durerait. Après quatre mois à Poudlard, elle était plus épanouie que jamais. Elle découvrait la vie de sorcière, alors qu'on lui avait toujours interdit de sortir, elle se faisait des amis, rencontrait des gens et cela la rendait folle de joie. Évidemment, il y avait toujours des troubles-fêtes, mais elle ne s'en formalisait pas. Elle savait qu'elle devait être reconnaissante envers sa famille, et quand ceux-ci lui envoyaient un hibou pour lui ordonner de ne pas faire de bêtises, de bien garder en tête le plan, elle se disait que c'était leur manière de lui dire qu'ils étaient fiers d'elle. Elle se trompait, évidemment, mais elle était comme ça Colombe, d'un optimisme à tout épreuve.

La jeune femme avait passé une grande partie de l'après-midi dans le parc. Elle avait eu besoin de prendre l'air, de s'éloigner un peu du château et du laboratoire qu'elle avait quitté tôt le matin. Elle s'était allongée dans la neige, s'amusant à dessiner des ailes d'ange avec ses bras. Elle n'avait pas besoin de grand chose pour être heureuse, et la neige en faisait partie. Elle n'avait pas vu la neige depuis des années, et elle ne l'avait sans doute jamais touchée. Elle adorait ce petit nuage blanc, frais, qui craquait sous ses pas. Heureuse, elle n'avait pas tout de suite vu les idiots qui tournaient autour d'elle. Elle les entendait rire, mais elle pensait que ce n'était rien de grave. Elle se trompait, puisque quelques secondes plus tard, elle se retrouva ensevelie de la tête au pied par des boules de neige qu'on lui lançait. Elle se leva rapidement, et essaya de courir dans la neige. Elle trébuchait à chaque fois, et les boules de neige étaient à chaque fois plus grosses. Elle se rendit jusqu'au château, sans regarder ses assaillants, mais ils la suivaient. Elle avait peur, peur de trois idiots sans doute plus jeune qu'elle, alors qu'elle survivait à des tests douloureux et dangereux. Elle ignorait où aller, mais elle avait réussi à prendre un peu d'avance, et elle décida de prendre les escaliers. Les monter devenait difficile à chaque marche, parce que ceux-ci n'en faisaient qu'à leur tête. Elle avait le tournis, mais enfin, elle arriva au premier étage. Elle ne voulait pas perdre son avance, et elle savait que l'infirmerie n'était pas loin, mais elle n'eut pas le temps de l'atteindre, car un bras la tira en arrière. « Ne crois pas que tu vas t'en sortir comme ça ! » Elle se retourna et fit face à un jeune boutonneux hideux. Elle essaya de faire profil bas, peut-être qu'ils la laisseraient tranquille. Mais plus ils l'entouraient et s'approchaient d'elle, plus elle sentait qu'ils avaient d'autres idées derrière la tête. Elle voulait crier, mais elle s'en sentait incapable. Tout courage s'était évaporé de son corps. Et elle ferma les yeux, attendant les moqueries, les coups, les attaques. Mais rien ne se passa. Elle entendit alors une langue qu'elle ne connaissait pas, et quand elle ouvrit les yeux à nouveau, elle vit que les trois jeunes avaient disparus. Ils laissaient place à un Serpentard beaucoup plus grand. « Ça t’arrive souvent de te faire ridiculiser par ces petits cons ? » Il lui parlait en anglais, mais elle reconnaissait le timbre de sa voix. C'était lui qui s'était exprmé en russe un peu plus tôt. Elle le regarda, à la fois soulagée et apeurée. Elle ne le connaissait pas, et même si il était seul, il était beaucoup plus musclé et grand que les autres. Lui voulait-il du mal ? En y réfléchissant, c'était peu probable. Pourquoi l'aider pour l'enfoncer après ? Elle soupira et lui offrit un magnifique sourire reconnaissant. « C'est la première fois... pour eux en tout cas... Mais ça m'arrive de temps en temps d'être la cible de ceux qui s'ennuient. » Elle recoiffa un peu ses cheveux, humides à cause de la neige. Elle tendit la main vers l'inconnu et se présenta : « Adélaïde Devereaux, élève de Beauxbâtons ! » Peu à peu, il fallait reprendre son rôle : la posture fière et élégante de sa cousine.

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Teodor
&
Colombe
Les trois élèves de Serpentard, et anciens de Durmstrang, étaient partis sans demander leur reste comme s'ils craignaient les représailles de l'Azarov s'ils venaient à ne pas écouter ses propos. Et à dire vrai, étant donné qu'ils venaient également de Durmstrang, ils savaient qu'il y avait de quoi le craindre,  car après tout de nombreuses rumeurs sur ses agissements face à ceux ne suivant pas ses propos avaient circulé dans les couloirs de l'école slave. Or sachant que les trois élèves étaient plus jeunes que lui, Azarov c'était à leurs yeux comme l'ombre qui pourrait bien les blesser s'ils venaient à faire une connerie qu'il n'apprécierait pas. A croire que le russe pouvait devenir un épouvantard à lui tout seul, mais au fond c'était ce qu'il avait cherché à faire à Durmstrang, créer un climat de peur autour de son nom pour que personne n'ait la stupide idée de le contredire ou de tenter de l'atteindre. Certes il s'était quelque peu calmé à Poudlard, car il se devait de faire profil bas puisque l'école anglaise était totalement opposée à l'école slave, mais il n'en demeurait pas moins qu'il n'hésiterait pas à mettre ses menaces à exécutions s'il en ressentait le besoin. Et cela, les trois idiots l'avaient bien vu dans son regard particulièrement glaciale et électrique, il y avait une grande probabilité qu'ils passent un sale quart d'heure s'ils ne suivaient pas ses dires. D'autant plus que sa voix ne s'était pas montrée d'une extrême douceur, bien au contraire, il savait se montrer sec et terrifiant quand il le voulait. Sauf que voilà, maintenant qu'ils étaient partis, son expression se radoucissait considérablement et même l'ombre d'un sourire flottait sur ses lèvres tandis qu'il demandait à la jeune Poufsouffle s'il lui arrivait souvent de se faire ridiculiser. Certes ce n'était pas une entrée en matière particulièrement délicate, mais la réponse à cette question l'intriguait.En effet, la jeune femme pourrait avoir une prestance royale si elle le souhaitait et de ce fait il ne comprenait pas pourquoi elle se contentait d'être un souffre douleur pour des personnes qui ne seraient jamais à sa hauteur.

« C'est la première fois... pour eux en tout cas... Mais ça m'arrive de temps en temps d'être la cible de ceux qui s'ennuient. » Son acceptation de la situation le sidérait vraiment. Comment pouvait-elle ne pas vouloir changer les choses et prendre le dessus sur ceux qui la prenait comme souffre douleur ? Comment pouvait-elle ne pas vouloir voir plus grand, plus loin, plus haut ? Comment en effet… Elle devait certainement être une française, car assurément elle avait une douceur qui correspondait particulièrement à l'idée que Teodor se fait de la France. Mais tout de même, ce n'était pas parce qu'elle était douce qu'elle ne pouvait pas être forte, non ? En tout cas, il était clair que le russe ne pouvait se mettre dans la tête d'une personne qui acceptait de se faire ridiculiser sans broncher et en fermant les yeux qui plus ait. Après tout, lui c'était le total opposé, puisqu'il martyrisait les autres et que ce ne sera jamais l'inverse qui se produira, car il ne laissera personne l'atteindre, ça c'était certain. Elle tendit soudainement la main en se présentant. « Adélaïde Devereaux, élève de Beauxbâtons ! » Comme quoi, Teodor avait vu juste en l’imaginant française. Elle venait bien de Beauxbâtons et à dire vrai, il espérait quand même pour les français qu’il y en avait quand même qui possédaient une plus grande force de caractère, car sinon il était clair que les élèves qui venaient d Durmstrang n’hésiteraient pas à leur marcher dessus. Et il en savait quelque chose puisqu’il venait lui-même de Durmstrang. Quoi qu’il en soit, il pris sa main et la serra, pour finalement la lâcher en se mettant à parler. « Enchanté, je suis Teodor Azarov, élève de Durmstrang. » Mais cette dernière précision elle avait bien dû le constater lorsqu’il s’était mis à parler aux trois serpentards étant donné qu’il leur avait parlé en russe. « Tu ne devrais pas les laisser t’importuner de la sorte, car il n’y aura pas toujours quelqu’un pour te sortir de telles situations. Or si tu veux avancer dans la vie, il faut que tu te montres forte et que tu ne laisses plus jamais les gens te marcher dessus. Je suis certain que tu es bien plus forte que tu ne le crois, alors montre le, ait foi en toi et les gens ramperont à tes pieds plutôt que l’inverse. »

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Colombe A. Devereaux
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Teodor
&
Colombe
Colombe vit le regard que lui portait l'étranger. Il était froid, presque écoeuré. Elle savait ce qu'il devait penser d'elle. Qu'elle était faible, trop fragile, trop naïve. Ils pensaient tous ça d'elle. Ils n'avaient pas tord, et pourtant, la jeune femme se sentait plus forte un peu plus chaque jour. Ayant passé la moitié de sa vie enfermée, cachée, elle avait appris à aimer la solitude. Elle était peut-être différente de la plupart des filles de son âge, mais elle n'en était pas moins forte. Colombe refusait qu'on pense d'elle qu'elle n'était qu'un petit oiseau tombé du nid, même si c'était vrai d'une certaine manière. Elle entendait sans cesse la voix de son père dans sa tête : « Ne fais pas honte à la famille ! ». C'était sa seule mission à Poudlard. L'étranger la regardait comme si elle n'était qu'un nourrisson, incapable d'affronter les autres. Mais elle voudrait bien l'y voir, lui ! Serait-il capable de supporter la douleur des tests sans rechigner ? Ils la jugeaient, mais ignoraient tout de sa vie. Parfois, elle mourrait d'envie de tout dévoiler, pour leur montrer qu'elle n'était pas celle qu'il pensait, pour leur montrer qu'elle était beaucoup plus forte. Mais la plupart du temps, elle ne disait rien, ne faisait rien, parce qu'au fond, Colombe vivait pour elle, pas pour les autres. À force d'avoir été séparé du monde réel, elle s'était forgée une carapace, un masque qui lui permettait d'oublier les soucis de la vie. On lui avait volé son enfance, mais elle s'en était inventé une autre. On lui avait refusé l'amour parental, mais elle s'était aimé pour eux. Colombe était forte à sa manière, et c'est pourquoi elle ne répliqua pas quand Teodor la regarda comme si elle n'était qu'un pauvre microbe. Il prit tout de même sa main pour la serrer, et se présenta. « Enchanté, je suis Teodor Azarov, élève de Durmstrang. » Elle avait entendu parler de lui. Il était dans l'équipe de Quidditch de Serpentard. Elle s'intéressait au Quidditch depuis quelques temps, simplement pour se rapprocher de Lionel. Quand il lui avait annoncé qu'il avait été nommé gardien de l'équipe des Gryffondor, elle avait sauté de joie, alors qu'elle ignorait tout des règles de ce sport, et qu'elle n'était jamais monté sur un balai de sa vie. Elle ne pourrait jamais jouer au Quidditch, mais par simple curiosité, elle avait lu toutes les règles d'un grimoire, un soir où elle n'arrivait pas à dormir à cause de la douleur de la potion qu'on lui avait donné. La cracmolle était fière de savoir quelque chose du monde magique presque sur le bout des doigts, sans que ce soit par ses parents, ou sa cousine.

« Tu ne devrais pas les laisser t’importuner de la sorte, car il n’y aura pas toujours quelqu’un pour te sortir de telles situations. Or si tu veux avancer dans la vie, il faut que tu te montres forte et que tu ne laisses plus jamais les gens te marcher dessus. Je suis certain que tu es bien plus forte que tu ne le crois, alors montre le, ait foi en toi et les gens ramperont à tes pieds plutôt que l’inverse. »   Colombe se figea. Son sourire également. Les paroles de Teodor résonnèrent plusieurs fois à ses oreilles. Elle était comme paralysée par son discours si véridique, qu'il lui donnait des frissons. Comment pouvait-il parler ainsi sans la connaître ? Comment pouvait-il avoir autant compris la situation de Colombe ? Elle essaya de garder la face, et lui répondit plutôt froidement : « Je te remercie, mais je pense que ce ne sont pas tes affaires... Je ne rampe pas aux pieds des gens, tu ne me connais pas. » Elle qui voulait que les choses se passent bien entre eux, elle avait finit par aller dans une toute autre direction. Elle avait maintenant en tête seulement le regard écoeuré de Teodor posé sur elle. Il la pensait faible et il ne changerait pas d'avis, mais il avait tord. Si elle était faible, elle ne lui aurait pas répondu ainsi. Mais après tout, c'était normal qu'elle lui parle sur ce ton, elle était Adélaïde Devereaux, la célèbre sorcière de Beauxbâtons. Et Adélaïde ne se laissait pas marcher sur les pieds. « Si tu veux te la jouer moralisateur, tu es très mal placé pour le faire. Ce n'est pas parce que tu m'as aidé avec ces importuns que je te dois quoi que ce soit. Pourquoi faut-il toujours que vous les slaves, vous vous sentiez supérieurs ? » Colombe était plutôt fière de sa réplique. Elle imaginait tellement sa cousine parler ainsi, et peu à peu elle prenait beaucoup d'assurance dans son rôle. Si le professeur d'Art avait été présent, il aurait été fier de son interprétation.

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Teodor
&
Colombe
Lorsqu'il avait prononcé ses propos Teodor avait bien remarqué qu'elle avait tiqué, en même temps il fallait bien avouer qu'il n'était jamais tendre dans ses propos, mais malgré tout il ne disait que la vérité. Elle les avait laissés s'en prendre à elle sans chercher à se défendre, elle avait été faible dans sa manière d'agir et elle s'était mise à ramper à leurs pieds, comme si elle espérait que cela les aurait rendus plus clément. Et tout dans son attitude n'avait fait que prouver davantage au russe que ce n'était pas la première fois qu'elle se laisser ainsi embêter. C'était donc ce qu'il lui avait fait remarquer. Certes il n'utilisait aucune pincette, mais en même temps il ne fallait pas croire qu'on était dans un monde à paillette et à arc-en-ciel. Le monde pouvait être dur et cruel, de ce fait il fallait vite s'y habituer avant de se faire vraiment blesser un jour parce qu'on aurait baissé le regard. Oui, Teodor s'était montré mauvais comme à son habitude mais c'était plus dans l'intérêt de la jeune française qu'autre chose. Pour une fois que dans le fond il agissait de manière sympathique en un sens, voilà que celle-ci se mettait à avoir une attitude particulièrement froide envers lui avec un air presque hautain. « Je te remercie, mais je pense que ce ne sont pas tes affaires... Je ne rampe pas aux pieds des gens, tu ne me connais pas. » Effectivement, il ne la connaissait pas, mais il n'avait pas besoin de la connaître pour comprendre les choses lorsqu'il les avait face à ses yeux. Adélaïde se montrait faible, trop faible, alors qu'elle pourrait les faire cesse une bonne fois pour toute si elle osait seulement leur tenir tête et leur montrer qu'elle n'était pas une petite chose fragile qu'ils pouvaient casser comme ils le souhaitaient. Car en même temps, si elle ne montrait pas qu'elle était plus que ça, elle n'aurait de cesse de faire rabaisser.

En tout cas, malgré les propos de Adélaïde, il continuait à la regarder droit dans les yeux, l’air de dire qu’elle pouvait mieux faire, et que de toute façon quoi qu’elle dirait elle ne parviendrait pas à ôter des pensées de Teodor qu’elle s’était laissée écraser. Elle avait beau dire le contraire, il reconnaissait la soumission lorsqu’il se trouvait face à elle, et la française transpirait cet état d’esprit qui l’insupportait tellement. « Si tu veux te la jouer moralisateur, tu es très mal placé pour le faire. Ce n'est pas parce que tu m'as aidé avec ces importuns que je te dois quoi que ce soit. Pourquoi faut-il toujours que vous les slaves, vous vous sentiez supérieurs ? » Teodor n’eut certainement pas la réaction espérée par la jeune française avec son discours, car il se mit soudainement à rire légèrement tout en l’observant. Elle devait très certainement se sentir fière de s’être ainsi élevée dans ses propos plutôt que de se laisser encore une fois marcher dessus, mais ce n’était clairement pas ça qui allait déstabiliser le russe. Bien au contraire, il en fallait tellement plus que ça. « Ai-je dis un seul instant que tu me devais quoi que ce soit pour t’avoir aidé ? Je pense que tu dois entendre des voix dans la tête comme cette célèbre française, Jeanne d’Arc, non ? Car clairement je n’ai rien dit de la sorte, surtout que je ne vois pas vraiment ce que tu pourrais m’apporter. » Il la regardait droit dans les yeux tandis qu’un sourire en coin flottait sur ses lèvres, puis il ajouta. « Quant à la supériorité slave je n’en ai pas fait référence, je t’ai juste fait remarquer que tu devrais éviter de ramper aux pieds des gens. Ne me fais pas croire le contraire, car si tu t’es conduits comme ça avec eux, alors qu’ils sont jeunes et idiots, tu dois te conduire comme cela avec tout le monde. Sauf quand soudainement te prends l’envie de déclamer une supériorité que tu n’as pas face à une personne qui était simplement venu t’aider. Belle mentalité mademoiselle Devereaux. »
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Colombe
Jamais de sa vie Colombe n'avait osé parler à quelqu'un ainsi. À vrai dire, jamais de sa vie elle ne s'était opposée à quiconque. Elle n'en avait pas eu besoin, mais surtout, elle n'en a jamais eu le droit. Les seules personnes qu'elle côtoyait étaient son père, sa mère, sa cousine, et quelques domestiques qui connaissaient son secret. Et ce n'était pas contre eux qu'elle pouvait se rebeller. Elle aurait pu se révolter contre son père, contre ses coups, lorsqu'elle était plus jeune, mais il avait arrêté de la frapper quand il avait compris qu'elle ne serait jamais une sorcière. À partir de ce moment là, elle était morte pour lui, pour tout le monde d'ailleurs. Alors Colombe avait du se construire une carapace, elle s'était réfugiée dans son monde, dans ses livres, et elle avait décidé de ne jamais être méchante, de ne jamais répondre à la méchanceté. Mais à Poudlard, les choses étaient bien différentes, et elle ne pouvait pas tenir sa promesse. Adélaïde était quelqu'un de sûre d'elle, quelqu'un qui inspirait l'admiration, la beauté, le respect. Tout le contraire de la nature de Colombe. La jeune femme était une seule pièce avec deux faces, et elle peinait à jongler entre les deux, mais elle apprenait, petit à petit. Seulement, quand elle entendit Teodor rire, elle ne put s'empêcher de se sentir mal. Elle n'avait pas réussie à le convaincre. « Ai-je dis un seul instant que tu me devais quoi que ce soit pour t’avoir aidé ? Je pense que tu dois entendre des voix dans la tête comme cette célèbre française, Jeanne d’Arc, non ? Car clairement je n’ai rien dit de la sorte, surtout que je ne vois pas vraiment ce que tu pourrais m’apporter. » En l'entendant, elle avait l'impression d'entendre son père. Elle pensait souvent à lui depuis son arrivée à Poudlard, elle priait à chaque fois qu'elle lirait dans ses lettres combien il était fier d'elle. Mais il n'écrivait jamais ces mots. Il ne cessait de lui dire combien il était important qu'elle tienne sa mission, et qu'elle fasse tout pour Adélaïde. Colombe n'était pas du genre jalouse, mais au fond d'elle, elle espérait recevoir un jour la reconnaissance de son paternel. Elle voulait voir le bon en lui, même si cela n'arriverait jamais. Alors quand elle entendit Teodor parler comme cela, elle eut envie de pleurer. Les larmes commençaient à monter, mais elle essayait de les cacher le plus possible. Adélaïde ne pleurait pas. Elle n'avait pas pleuré le jour où elle était partie se battre à Poudlard. Elle n'avait pas pleuré le jour du départ de Colombe pour l'Angleterre. Colombe devait lui ressembler, Colombe ne devait pas laisser les larmes s'échapper. « Quant à la supériorité slave je n’en ai pas fait référence, je t’ai juste fait remarquer que tu devrais éviter de ramper aux pieds des gens. Ne me fais pas croire le contraire, car si tu t’es conduits comme ça avec eux, alors qu’ils sont jeunes et idiots, tu dois te conduire comme cela avec tout le monde. Sauf quand soudainement te prends l’envie de déclamer une supériorité que tu n’as pas face à une personne qui était simplement venu t’aider. Belle mentalité mademoiselle Devereaux. » Colombe n'en croit pas ses oreilles. Elle reste bouche bée devant la haine et le ton si arrogant du slave. Elle ne s'était pas attendue à ce qu'il la rabaisse ainsi. Quel intérêt ? Il était venue l'aider, et maintenant, il la réduisait en miettes ? Colombe ne comprenait pas pourquoi tant de gens pouvaient être si méchants, si haineux. Le monde avait changé les gens. Dans les livres, les choses ne se passaient pas ainsi. Ils avaient arrêtés de voir le bien, et ne voyaient que le mal désormais. Teodor n'était qu'un petit prétentieux et Colombe ne tolérait pas son comportement. L'énervement montait, la peine aussi, et les larmes coulèrent sans qu'elle ne puisse les retenir. Tant pis, se disait-elle. Elle ne pouvait pas cacher ses faiblesses. Elle ne pouvait pas toujours être quelqu'un d'autre, parce que même si ils essayaient tous de l'éteindre, au fond d'elle, la flamme vivait toujours. Au fond d'elle, elle était toujours Colombe. Et c'est en larmes qu'elle répondit à Teodor « Tu me parles de mentalité ? C'est toi qui continue à me rabaisser. Tu n'es pas mieux qu'eux. Qu'est-ce que je t'ai fais ? Pourquoi tu restes là, alors qu'apparemment, je ne peux rien t'apporter, pourquoi tu restes là alors que tout ce qui t'amuse c'est me blesser ? »

Une fois qu'elle eut parler, la jeune femme porta ses mains à son visage, éclata en sanglots. Elle lâchait toute la pression accumulée ses dernières semaines. Elle avait besoin de se vider. Elle n'aurait jamais pensé qu'être libre aurait un prix, que ce serait aussi difficile. Aujourd'hui, elle n'était même plus sûre d'elle.

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Teodor
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Colombe
Il avait été dur dans ses propos, beaucoup trop dur peut-être aux yeux de la jeune femme qui se tenait face à lui. En même temps il avait toujours pris la fâcheuse habitude de réduire en miette ceux qui osaient s’opposer à lui ou qui osaient lui faire la moindre réflexion. Or là, la française venait tout juste de lui faire une remarque qu’il n’avait pas apprécié, tout simplement parce qu’elle n’était pas mérité. Il l’avait aidé en empêchant les élèves de son école de la prendre comme bouc émissaire sur laquelle se rabattre quand ils étaient frustrés et qu’ils désiraient dire des insultes. Oui il l’avait aidé et qu’avait-il eu en retour, lui qui ne demandait rien, des propos pas particulièrement sympathique. Encore s’il avait dit quelque chose de mal venu, certes il aurait compris qu’il le méritait, mais là il lui avait juste apporté de l’aide. Il est vrai qu’au passage il lui avait dit de ne pas ramper aux pieds des gens, car alors il faut pas s’étonner qu’ils nous traitent mal. Peut-être était-ce cela qui ne lui avait pas plu, mais même si c’était le cas, il n’avait dit que la vérité. Comme quoi, il n’y a que la vérité qui blesse. Et à nouveau il l’avait blessé en ne disant que la vérité. Il était particulièrement sec et arrogant quand il parlait, ceux qui n’avaient pas l’habitude d’entendre les gens parler ainsi pouvaient être déstabilisés.  Et il est vrai que Teodor n’avait pas particulièrement pensé au fait qu’il avait fasse à lui une petite française qui n’avait rien demandé, et qui n’avait déjà de base pas un caractère fort alors entendre un russe parler de la sorte… Ca ne devait pas spécialement plaire. Et cela se voyait, car au fur et à mesure qu’il avançait dans son discours, il sentait Adélaïde devenir bien plus vulnérable. Bien plus fragile. Et elle se mit soudainement à pleurer. Effectivement, il s’était montré trop dur pour la mentalité de la française. Faute à son habitude de parler ainsi comme s’il était le roi. Alors qu’ici il n’était qu’un élève comme un autre.

« Tu me parles de mentalité ? C'est toi qui continue à me rabaisser. Tu n'es pas mieux qu'eux. Qu'est-ce que je t'ai fais ? Pourquoi tu restes là, alors qu'apparemment, je ne peux rien t'apporter, pourquoi tu restes là alors que tout ce qui t'amuse c'est me blesser ? » Elle marquait un point, un excellent point même. Et lorsqu’elle porta ses mains à son visage pour éclater en sanglot, il se mit soudainement à regretter. Lui regretter ses paroles c’était bien nouveau, car au contraire il ne revenait jamais sur ce qu’il disait, tout simplement parce qu’il pensait ce qui sortait de sa bouche et qu’il ne voyait pas pourquoi revenir dessus. Mais voilà, la voir dans cet état c’était comme voir un ange privé de ses ailes, avec ses plumes éparpillées sur le sol, et quelque chose en lui en vient à réagir directement. Il s’approcha d’un pas d’elle, pour finalement poser une main se voulant rassurante sur l’épaule de la française. Il ignorait comment elle allait réagir à son contact, car après tout il avait été mauvais dans ses propos, mais il n’avait pu s’empêcher de vouloir la rassurer un minimum. « Je sais bien que j’ai été un véritable con depuis que les élèves de mon école sont partis, et je me doute qu’être con n’est pas une excuse. Mais.. Je suis désolé. Je ne voulais pas te blesser à ce point. C’est juste que j’ai un sale caractère et il suffit qu’on me fasse la moindre remarque pour que je parte au quart de tour, or étant donné la remarque que j’avais fait juste avant, ton attaque était justifiée. » Il laissa alors retomber sa main pour finalement qu’elle retourne à sa place initiale le long de son corps. « Tu dois me prendre pour l’un de ces russes qui croit que tout lui ai du et à dire vrai, je ne peux même pas te donner tort à ce sujet, car c’est malheureusement ce que je suis. Mais sache que je ne ferai plus l’erreur de te rabaisser comme ça. Tu ne mérites pas d’être la cible d’un courroux qui de base ne t’était pas destiné, tu as bien d’autres problèmes à faire face j’imagine… » Il attendit donc quelques instants pour finalement ajouter en cherchant à croiser le regard de la jeune française pour qu’elle puisse voir sa sincérité. « Je suis désolé, et je recommencerai plus. Et maintenant, si tu essuyais tes larmes pour qu’on puisse voir ton visage qui doit certainement être rayonnant quand il n’y a pas de cons derrières ton dos. »
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