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Les gobelins de Mumblemumps
Le staff à votre service
Version 7
La version sept est enfin arrivée ! Centrée sur l'épidémie, les problèmes politiques,
de nouveaux clans se forment, venez voir de quoi il en retourne.
Découvre tout ici
L'épidémie dévoilée !
Le Ministre parle de l'épidémie en conférence de presse,
les Médicomages sortent leur premier rapport, les premières conclusions sur l'épidémie !
Jette un oeil au nouvel épisode !
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Sabal de Vandekeybus
Consumed by the shadows
Sabal de Vandekeybus
Personnel de Poudlard
Maison/Métier : professeur d'art à l'école poudlard, tel un prophète dans le désert le voilà à tenter d'apprendre à voir aux plus déterminés des aveugles.
Célébrité : jeffrey dean morgan
Pseudo : baba yaga Âge : 27 Parchemins : 375 Gallions : 106 Date d'inscription : 10/02/2017

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i'm stuck in repeated scenesTHERE IS A DREAM THAT SHOOK MY WORLD LAST NIGHT.
AM I STILL ASLEEP ?
C'est fini. La quarantaine. Finie. Elle n'est plus d'actualité. Est-ce vrai ? Tout ça, c'est beaucoup trop rapide. Tout s'est fait d'un moment à l'autre et toi tu sais toujours pas si c'est une si bonne chose. Si. Bien sûre que c'est une bonne chose. T'es perdu, c'est tout. Tu te rappelles plus très bien, plus en détails, de la journée de libération de tes collègues et élèves. Tu sais que tu t'es précipité, que t'as tout envoyé volé, que tu t'es presque rétamé dans les escaliers menant aux cachots. Puis qu'une fois dans la pièce t'as foncé tête baissée vers Zephÿr. Comme un idiot, sans penser à lui, à ce que ça voulait dire, pour lui, de retrouver sa pseudo liberté. Une liberté bien amère, sûrement. Il t'a presque pas regardé, considéré. T'es resté immobile quelques secondes avant de rebrousser chemin. T'as pas tout compris, t'as pas cherché à en savoir plus. Pour le moment, c'est le silence. Avec Zephÿr, tu devrais avoir l'habitude, des silences inexpliqués.

Tu te souviens, ce matin là, avant de savoir qu'ils allaient sortir, avoir ressenti un soulagement intense, mêlé à une appréhension profonde. A ce moment-là, tu ignorais pourquoi, ça t'avait même semblé déplacé. Qui s'était amusé à joué ainsi avec tes émotions de si bon matin ? Puis tu avais compris. Après. Quand la nouvelle a traversé les couloirs. Ils étaient libres. C'est le soulagement de tes collègues, de ce groupe formé comme par malchance. Il y a quelque chose entre vous tous, quelque chose de fort, de mystérieux, d'inexplicable. Ou si ça l'est, pour le moment vous n'avez aucune idée de tout ce que ça signifie, de l'ampleur du lien. D'un côté tu as presque envie de parler de signe du destin. Ces gens à qui tu es désormais lié, d'une façon ou d'une autre, c'est la vie qui te les a amené. James avait été l'un des premier à venir à ta rencontre à ton arrivé au poste de professeur. Et Zriwya. Well...la jeune femme avait fait plus pour toi que quiconque ces dernières années. Elle avait apprit à te rassurer, à soigner tes maux. Ceux de ton corps, et ceux de ta tête. De pouvoir ainsi te sentir proche d'elle, plus proche encore, lié émotionnellement...ce ne pouvait pas être du pur hasard.

Le matin de leur libération, t'étais perdu. Aussitôt rentré dans les cachots que tu es ressorti, sans un mot ou un regard pour les autres. En remontant les marches des escaliers menant au rez-de-chaussé tu t'es giflé mentalement. Tu t'es senti coupable. Ils venaient de passer des mois enfermés, et toi t'avais pas été foutu de les prendre ne serait-ce que dans tes bras. Mais tu comptes bien réparer cette erreur. Alors tu te diriges vers l'infirmerie. Là où tu espères trouver Zirwya, ta sauveuse aux yeux couverts de secrets passés.
Une fois les portes passées, tes prunelles ont scruté l'espace, les lits, les paravents, les tables, les bocaux, les potions, les plantes, les remèdes. Et là, dans un coin de la pièce, Zirwya. Sans vraiment réfléchir tu t'avances vers elle, tu le sens jusque dans tes os que l'espace diminue, c'est anormal, mais vertigineux. Elle est là, à quelques centimètres. Elle sait que tu es là, tu le sais, tu le sens. Vous, vous vous sentez. Aussi étrange que cela puisse paraître. Sans vraiment réfléchir tu l'encercles de tes bras et tu la sers fort contre toi. Parce que quatre moi c'était beaucoup trop long, parce qu'elle t'a sauvé l'âme auparavant, que tu pouvais bien lui offrir un peu de chaleur humaine à présent.
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♛ I'm stuck in repeated scenes
stuck in repeated scenes. @Sabal de Vandekeybus

▼▲▼

Zirwya tournait en rond. Tout était fini. Elle n'y croyait pas. Tout ne faisait que commencer. Le ministère n'avait pas fini leurs études, n'avait pas fini de leur en faire baver. Elle n'avait pas pu faire autrement que de courir se réfugier hors de l'enceinte du château, à peine les grilles de sa cellule avaient-elles été ouvertes. Elle courait d'un bourreau à un autre sans savoir vraiment ce qu'elle faisait, sans réfléchir. La vérité, c'était que Zirwya n'arrivait plus à faire confiance à qui que ce soit. Sa soeur elle-même l'avait déçue, elle n'était pas venue lui rendre visite pendant ses mois d'emprisonnement, elle lui en voulait, elle ne comprenait pas. La jeune fille voulait se faire plus grande qu'elle ne l'était, Zirwya tentait de faire de son mieux pour récupérer un rôle maternelle auprès de sa soeur, qui elle, ne rêvait que d'émancipation. L'infirmerie était calme, comme si le château avait été vidé de ses vagues de malades. On leur laissait un temps de répit. Elle ne savait même pas pour combien de temps encore elle endosserait ce double rôle de médicomage et infirmière, Izaiah pouvait gérer seul, et maintenant que tout le monde était au courant pour l'épidémie, il n'y avait aucun intérêt à ce qu'elle joue double-jeu. Les quelques élèves qui s'étaient pointés aujourd'hui avaient été pris en charge par lui, Zirwya ne tarderait pas à retraverser le château pour rejoindre le laboratoire et apporter son aide là-bas. L'ambiance y était désormais différente, oppressante. Tout était oppressant. Même les couloirs, même l'infirmerie. Même sa chambre. Son seul espoir était de recevoir une réponse favorable du ministère, qu'elle pût prendre un temps loin de tout ceci, reprendre son souffle, respirer l'air libre. Elle savait qu'elle pouvait compter sur Eliael pour la prendre sous son aile, à Pré-au-lard. La russe se demandait seulement si elle tiendrait le coup en étant là-bas. En le voyant la dernière fois, pour la première fois depuis l'été, elle avait compris qu'il n'y avait plus qu'un fil ténu entre le sortilège d'amnésie et sa mémoire. Il suffisait d'un rien pour que la barrière éclatât, pour qu'elle retrouvât ses fragments de souvenirs. La terreur l'envahissait à chaque fois qu'elle y pensait car elle ignorait ce qu'elle trouverait dans son propre esprit. Eliael était-il vraiment un criminel ? A voir l'homme se comporter, elle ne pouvait y croire, seulement les faits étaient là. Il avait été envoyé à Askaban pour ça. Ses doutes se répercutaient aussi bien sur le ministère que sur le magenmagot, les erreurs de procès étaient courants, surtout après la guerre. On voulait trouver des coupables. On voulait faire payer. La justice n'avait alors aucune pitié, et elle se demandait continuellement si Eliael avait été victime de cette violente purge de criminels.

Elle avait l'impression d'être revenue depuis des mois. Les habitudes se reprenaient trop rapidement. Au loin, Izaiah faisait un bandage à une deuxième année, tombée de son balai. Blessure anodine qui semblait dénoter dans ce monde infecté. Ça l'aurait presque fait sourire, Zirwya, de voir les pleurs d'une enfant causés par une égratignure. Ça avait presque le goût d'un monde normal, il y avait une part d'innocence dans ce fait divers. Les portes de l'infirmerie s'ouvrirent, et elle releva la tête. Postée dans le coin, accolée contre le mur, elle était seulement là à attendre qu'un nouveau patient entrât. Sabal, pourtant, n'avait rien d'un malade. Ses mains ne semblaient pas devenir folles, mais Zirwya avait appris à ne pas se fier aux apparences, la folie de certains était bien souvent mentale, perdue dans les limbes de la pensée. Elle observait son collègue s'avancer vers elle, prête à reprendre du service. Il se tint là, devant elle, et il y avait quelque chose d'étrange à l'observer là. Elle l'avait croisé, dans les cachots, mais il n'était jamais venu la voir. Si elle ne se trompait pas, c'était à Zéphÿr qu'il rendait visite à chaque fois. Une amitié bien forte qui semblait s'être tissée rapidement, sans même qu'elle n'eût le temps de s'en rendre compte. Après tout, ce n'était pas ses oignons : les deux hommes étaient deux de ses collègues qu'elle appréciait le plus, pas étonnant qu'ils ne s'entendissent aussi bien. Ce n'était sûrement pas pour parler de Zéphÿr que Sabal était là, elle s'apprêtait à lui demander s'il y avait un problème lorsque les deux bras du professeur vinrent entourer les épaules de la demoiselle. Surprise, elle ne réagit pas tout de suite, mais il y avait dans cette étreinte quelque chose qu'elle cherchait depuis longtemps, un peu d'affection, un peu d'espoir, de l'amitié, du soulagement peut-être. Alors Zirwya ne se sentit pas la force de laisser Sabal s'écarter, elle voulait en profiter encore un peu, pendant qu'il était temps. Elle resserra encore le lien qui les tenait, posant son menton sur l'épaule, un peu trop haute pour elle, de son ami et, se laissant aller, elle autorisa une larme à dévaler sa joue.

Se séparant enfin de lui, elle chassa l'humidité de sa pommette d'un revers de main et arbora un large sourire. « Tu n'as pas cours ? » Question idiote qui n'était là que pour lui faire gagner du temps, pour qu'il restât là encore un peu, auprès d'elle, pour qu'elle se sentît entourée. Zirwya sentait qu'il y avait un lien fort qui les unissait, sans qu'elle ne sût vraiment de quelle nature il était. Un lien entre la coupable et la victime, entre ces deux rescapés de guerre. Elle avait parfois l'illusion de sentir ses mains se contracter parfois, comme si elle était lui, comme si elle pouvait s'immiscer dans son corps, connaître ses douleurs, les apaiser aussi. « Il faut que je trouve le moyen de partir d'ici, Sabal. » Et sans même lui expliquer pourquoi elle disait ça, elle savait qu'il comprenait, que quelque part ses maux à elle faisaient parti des siens. Il n'y avait pas qu'avec Sabal qu'il lui arrivait ces drôles de sensation, mais en le sentant si proche, elle avait l'impression qu'il n'y avait qu'eux deux, là, tout de suite.

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