Lumos


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Version 7
La version sept est enfin arrivée ! Centrée sur l'épidémie, les problèmes politiques,
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Le Ministre parle de l'épidémie en conférence de presse,
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For all the ghosts that are never gonna catch me ♦ ft. Maddox

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For all the ghosts that are never gonna catch me
If i fall, if i fall down
ϟ 23 Mars 2000, Couloir des statues  

Une soirée tranquille chez lui. Ou du moins, ce qui y ressemblait. Mais, il préférait largement être dans ses appartements à Poudlard que chez sa fille comme un vil squatteur. Salem profitait de la soirée, l'eau chaude coulant encore du robinet alors qu'il était en train de se laver le visage. Il aurait bien pris un bain mais, le courage n'était pas là. L'idée de rejoindre son lit était quelque chose de bien plus tentant. Il était à jour. Dans son travail tout comme dans ses dettes. Il n'avait pas pas voulu s'engager dans une soirée aventureuse ce soir par crainte que celle-ci se finisse mal. Et puis, il avait préparé son cours du lendemain en seulement l'espace de quelques heures. Une bonne excuse pour louper une fois de plus le repas. Tant pis, de toutes façons, il n'aimait pas fréquenter la Grande Salle. Elle était bien trop bruyante selon lui pour y trouver un tant soit peu de calme. Une fois séchée, il avait fini par s'écrouler dans son lit avec pour seul pyjama un pantalon de jogging sur les fesses. C'est toujours mieux que rien et puis, il n'était pas à l'abri des visites surprises nocturnes. Et se connaissant, il allait sûrement avoir trop la tête dans le cul pour songer à s'habiller convenablement avant d'ouvrir la porte. Du coup, il prenait les devant maintenant. Sa nuit aurait pu être tranquille mais, ce n'était pas le cas. Sinon, ça ne vaudrait pas le coup de la raconter. Alors que la nocturne avait fais du chemin sur la trotteuse, son sommeil était agité. La faute à cette présence au-dessus de sa tête. Une fantôme charmante qui venait de poser sa main sur son épaule. Se contact avait eu pour effet de le réveiller subitement, haletant à cause de la frayeur.
Il était dans cette phase bien connu du sommeil. Celle où on ne sait plus vraiment ce qui est réel et ce qui ne l'est pas. Pourtant, elle était bien là. Un spectre qui était loin de lui être inconnu et à sa première visite en pleine nuit. Salem eu le reflex immédiat de prendre sa baguette sur sa table de chevet pour la pointer vers la jeune femme. Impossible de dire si elle était brune, rousse ou bien châtain à cause de cette couleur spectrale. Seulement qu'elle possédait des cheveux suffisamment foncés pour en déduire qu'elle ne tournait pas autour du blond pendant son vivant. « Dégage », le professeur avait annoncé son ordre d'un ton froid. Elle était morte. Il avait enterré sa fiancée de ses propres mains devant les yeux de sa fille. Il était bien entendu hors de questions qu'un imposteur ou un mauvais farceur s'amuse à lui faire une blague avec ce sujet-là. Pourtant, elle ne bougeait pas. Elle souriait même. C'était bien connu que Salem n'était pas très doué pour engueuler ou ordonner des choses parce qu'il avait toujours cette tête de paumés de la vie.

Si les mots n'avaient pas traversé sa bouche, elle s'était cependant mise en mouvement pour se diriger vers la porte et l'inviter à la suivre. En premier temps, l'estomac serré du professeur l'empêchait de bouger pour la rejoindre. Et puis, petit à petit, s'était la curiosité qui lui avait permis de braver sa peur et ses angoisses. Ce n'est pas pour autant qu'il allait rabaisser sa baguette. Il s'était levé tout en la figeant du regard. Prenant avec lui son Éteignoir et sa baguette. Pour la tenue, il verra  ça plus tard. Dans le pire des cas, il se transformera en chat pour éviter que quelqu'un le voix torse-poil et pied nue comme habits pour une promenade dans les couloirs. Salem s'était mit à suivre ce fantôme bien trop familier à son goût dans les couloirs, se demandant où elle voulait l'emmener ainsi. Lumos prononça-t-il dans sa tête pour faire apparaître une fine nitescence au bout de sa baguette pour y voir plus clair. Il pouvait entendre ses personnages dans les tableaux râler à la vue de la lumière et être aussi agréable que le goût d'un topinambour à ses oreilles. « Oui bon ça va, je fais que passer » ronchonna-t-il un peu. Si ronchonner pouvait l'aider à se détendre après tout, ce n'était pas un mal, non ? Mais durant ce laspe de temps où il s'était tourné en direction des tableaux, le fantôme avait fini par disparaître. Résultat, voilà que le professeur doit errer dans le Couloir des Statues. Un couloir oppressant où la simple idée qu'il puisse mettre à se mouvoir en détournant les yeux le terrifiait.
C'est quoi ce bordel à la fin … , il était bien trop occupé à se demander pourquoi elle l'avait mené là pour songer au ridicule de la situation. Il avait fini par user de son Eteignoir afin d'éclairer plus convenablement l'endroit où il se trouvait. Et même si la lumière qu'apportait son petit gadget était le bienvenu, il ne retrouvait pas la moindre trace du fantôme d'Héléna qui l'avait mené jusqu'ici. Parfait ! Salem avait fini par se frotter les yeux, essayant de se réveiller et convaincu qu'il était dans son lit. Mais non, loin de là. La panique approche à grande pas. Le petit brun n'avait aucune idée s'il devait faire demi-tour ou bien continuer de chercher pour voir où elle aurait pu passer.

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Maddox Berkeley
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Maddox Berkeley
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Maddox & Salem
For all the ghosts that are never gonna catch me
Hey gamin ! J'me suis rencardé sur les fumiers qui t'ont mis en taule. J'ai réussi à r'monter sur la plupart d'ceux qui t'ont fait ça. T'vas m'dire qu'on s'en branle, qu'c'est du passé. Moi j'pense qu'tu d'vrais aller les voir. T'vois l'genre ? Leur parler yeux dans les yeux, leur dire qu'c'est d'la merde c'qu'ils ont fait. Même si c'était qu'des foutus gratte-papiers qui faisaient qu'obéir. C'est à cause d'vendus comme eux, d'saloperies d'enculés d'traître, qu'Tu-sais-qui a pu r'venir et r'prendre le pouvoir. J'pense qu'ça t'ferait du bien. Si tu veux, j'peux v'nir avec toi. R'dis moi. Tchô. Quelques heures plus tôt, Maddox avait reçu cette lettre d’Aldous. Après avoir affronté sa peur, Maddox était parvenu à arracher le bout de parchemin à la chouette avant que cette dernière ne s’envole. Il ne savait pas trop quoi en penser. Aldous, qui avait lui aussi été enfermé pendant un certain temps, avait subi le même traumatisme que Maddox. Aujourd’hui, Aldous voulait se venger des mangemorts qui s’en étaient pris à lui. Quand l’auror avait délivré le Serdaigle d’Azkaban, il avait fini par devenir une sorte de protecteur pour le jeune homme. Alors quand il lut ces quelques phrases, Maddox ne fut pas surpris. Il savait qu’un jour ou l’autre, Aldous finirait par vouloir qu’il se venge lui aussi. Parce qu’il avait assez de colère et de hargne pour deux. Dans son lit, Maddox se tourna et se retourna pendant des heures en réfléchissant à ce qu’il devait faire. Il n’y avait plus qu’une solution : aller parler à Aldous sur le champ ou il ne trouverait pas le sommeil de la nuit. Ce qui risquait de ne pas être facile. S’il était en train de faire une ronde, Maddox aurait dû mal à le trouver, et surtout sans tomber sur un des autres employés chargés de la surveillance du château la nuit. Le Serdaigle glissa dans sa poche la lettre et se mit sur le dos les vêtements de la veille. Il hésita un instant à mettre ses chaussures, mais il serait plus discret s’il restait en chaussettes, au risque d’avoir un peu froid. C’est donc en chaussettes, baguette à la main, qu’il quitta son dortoir où ses camarades étaient endormis.

En s’apprêtant à prendre les escaliers, Maddox faillit trahir sa présence. Il faillit tomber nez à nez avec un sorcier qui n’était pas Aldous, mais un autre auror qu’il ne connaissait pas. Maddox attendit que le surveillant disparaisse pour descendre. « Lumos ! » Les tableaux sur son chemin se mirent à râler et Maddox mit son doigt devant sa bouche pour les intimer de se taire. Il ne tenait pas à déjà se faire remarquer. Eclairant ses pieds, il descendit les marches deux à deux. Il n’y avait pas de temps à perdre, à tout moment, un professeur pouvait débarquer et il n’y avait qu’un chemin vers le troisième étage.

Quand il arriva au troisième étage, il entra dans le couloir des statues, mais il entendit un bruit. Il n’était pas seul. Il y avait quelqu’un d’autre dans ce couloir. C’était peut-être Aldous, mais comme ce couloir menait aux appartements du personnel de Poudlard, ça pouvait tout aussi bien être n’importe quel autre professeur ou auror temporairement sur place. Les bruits de pas se rapprochèrent. Il se cacha entre deux statues tout en dissimulant le faisceau lumineux projeté par sa baguette. « Nox ! Nox ! … Nox ! » Il avait beau chuchoter cette formule plusieurs fois, sa baguette resta allumée. S’il ne l’éteignait pas bientôt, cette personne finirait par le remarquer. Il avait beau la dissimuler, elle était toujours un peu visible. Ces deniers temps, la magie avait tendance à jouer des tours aux habitants du château. Et c’est à ce moment-là qu’il aperçut le visage de l’autre personne présente. Ce n’était pas Aldous. C’était un professeur de Poudlard, mais pas un des siens. Il devait enseigner une matière qui ne devait pas être au programme en médecine magique. Quand il vit le visage du professeur dans la pénombre, Maddox eut comme un frisson. Il avait eu, l’espace de quelques secondes, l’impression de l’avoir déjà vu par le passé. Une désagréable sensation de déjà-vu, mais il n’arrivait pas à mettre le doigt sur ce qui le dérangeait. Ou peut-être que c’était le simple fait de voir un professeur en jogging et pieds nus marcher dans un couloir qui le troublait. Son nom, si ses souvenirs étaient exacts, était professeur Engelmann. Il l’avait entendu dans la grande salle. Par déduction, il devait enseigner une matière assez importante vu la position qu’il occupait généralement à la grande table.

C’est trop tard. D’un coup, les lumières s’allumèrent et Maddox se pensa démasqué. Si bien qu’il émergea d’entre deux statues et fit face au professeur. Devant la réaction de ce dernier, il comprit qu’en fait, il ne l’avait pas encore vu et qu’il venait de se dévoiler tout seul. « Bonsoir ? » Nerveux, il ne savait pas trop quoi faire. Son cœur lui disait de fuir immédiatement, mais son cerveau le ramenait sur terre en lui disant qu’il ne pourrait jamais échapper à un sorcier et de toute façon, il avait vu son visage. Maddox sortit sa baguette de sa poche, se demandant ou non s’il devait à nouveau tenter de l’éteindre. Il ne voulait pas se ridiculiser devant le professeur pour un sort digne d’un élève de première année. « Nox. » La baguette resta allumée. Voilà qui était fait. « Pardon, j’ai quelques soucis avec cette baguette. Ce n’est pas ma baguette à l’origine. La mienne a été détruite. Celle-ci… ne m’a pas vraiment choisi. Ou peut-être que c’est moi qui ne l’ait pas choisi. » Etrangement bavard, ça ne lui ressemblait pas. Mais le professeur face à lui était bien silencieux. Maddox le regarda un peu plus attentivement. Il ne semblait pas être sur le point de lui faire la morale et d’enlever des points à sa maison. En vrai, il avait l’air un peu perdu. « Vous allez bien, professeur ? On dirait que vous avez vu un fantôme. » Ce qui était peut-être une chose assez stupide à dire dans le monde des sorciers, là où les fantômes existaient réellement, mais en tant que né moldu, on ne pouvait pas lui en vouloir, il avait entendu cette expression toute sa vie.
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If i fall, if i fall down
ϟ 23 Mars 2000, Couloir des statues  

La peur, un sentiment qui ne lui avait pas manqué. Cela faisait longtemps maintenant qu'il ne l'avait pas ressentit aussi bien. Ce souffle glacial sur sa nuque de la part de ce fantôme si spécial qui le faisait frissonner. Salem ne serait dire si c'était un frisson agréable ou non. Tout ce qu'il voulait, c'était savoir ce qu'elle voulait pour venir le harceler presque tous les soirs maintenant. Auparavant, elle ne faisait pas d'apparition si régulière. Elle était venue quelques fois à Sainte-Mangouste pour le rassurer alors qu'il était enfermé dans sa camisole. Les médecins croyaient qu'il parlait tout seul alors que non, c'était avec elle qu'il discutait. C'était elle, cette fameuse personne qui venait lui rendre visite. Et puis, plus de signes. Jusqu'à son petit incident avec le professeur de vol. Que les remords commencent à lui venir à l'esprit et qu'elle les sente. Elle semblait le narguer avec son sourire innocent à lui demander de la suivre. La suivre jusqu'où comme ça ? Salem pourrait passer par une fenêtre ou marcher dans le vide, il ne s'en rendrait même pas compte tellement qu'il était captivé par la marié cadavérique. Jusqu'à ce qu'elle disparaisse en passant à travers une statue. Le professeur de défense avait cru halluciner devant ce spectacle. Elle le fait bouger de son lit pour, au final, l'abandonner en plein milieu du couloir des statues. Avec juste son pauvre jogging sur les fesses et son bandage pour masquer la marque des ténèbres. Le brun était grognon. Très grognon même. Terrifié également, il se demandait si ce n'était pas un mauvais coup pour lui faire une mauvaise surprise ? Si elle n'allait pas le prendre en traître ? Et si elle arrivait par derrière pour lui planter sa main dans le torse ? Juste comme ça, pour jouer. Jouer avec ses sentiments, faire semblant de lui prendre le cœur.
La respiration de Salem se faisait haletante, au bord de la crise de paranoïa. Il cherchait quelque chose, un peu de lumière et un visage familier pour se rassurer. Bien vivant de préférence. Mais rien, le souvenir d'être seul dans ces couloirs lui était revenu et il ne pouvait compter que sur son calme et sa maîtrise de soi. Fermant les yeux, le professeur cherchait à retrouver ce karma qui lui permettait de rester calme face aux disputes des frères Rosenberg. Il cherchait un souvenir rassurant mais, sur le moment, il n'y avait rien. Jusqu'à ce qu'il se souvienne de sa fille, du professeur Charlebois qui acceptait son amitié, de Gabriel qui faisait le pitre maladroit devant lui. De ses élèves curieux et déterminés.

Jusqu'à ce qu'une voix l'interromps et lui fasse pousser un cri qui remet grandement en doute sa virilité. Salem s'était retourné dans l'élan vers l'auteur de ladite voix en restant un peu idiot sur le moment. Il ne le connaissait pas, il ne se souvenait pas l'avoir eu dans sa salle de classe mais de toutes évidences, vu son âge, c'était un élève de l'école. Le professeur ne s'était pas gêné pour le sonder de bas en haut, essayant de juger s'il devait craindre quelque chose de lui ou pas. À première vue non, loin de là même. Son attitude de chiot battu témoignait de tout le contraire. Pourtant, Salem avait un regard suspicieux. Ayant l'impression que, même s'il ne se souvenait pas l'avoir croisé dans l'école, ils se seraient vus dans d'autres circonstances. « Bonsoir » avait-il fini par lâcher une fois remit de sa surprise. Cet air perdu encore accroché à son visage, il ne semblait pas vouloir juger ce gosse pour ne pas réussir à éteindre sa baguette. Après, il était tout à fait à son honneur de vouloir défendre sa fierté et de ne pas se laisser abattre par un sort aussi simple que celui-ci. C'est donc en le regardant faire qu'il se demandait à quoi il jouait jusqu'à ce qu'il lui explique sa situation.  « Oh, je vois hum ... » détournant son regard un instant pour pouvoir réfléchir, il avait pris un petit temps avant de lui demander « Ou alors, c'est parce que vous ne voulez pas vous entendre. Si tu montres qui est le chef à ta baguette, il n'y a pas de raisons qu'elle se montre récalcitrante. Juste un peu de confiance en soi et, elle se sentira mieux. Le fait aussi que tu ne sois pas totalement détaché à ta précédente baguette peut jouer. Beaucoup de critère peuvent entrer en compte finalement. ». Salem débinait ses paroles à une vitesse effarante mais, ça lui permettait d'oublier pendant quelques instants la raison pour laquelle il était présent dans ses couloirs. Jusqu'à ce que, bien entendu, le petit oisillon égaré le lui rappelle sans vraiment le vouloir. « Euh … hum, oui, on peut dire ça comme ça. » Il lui avait répondu sans aucune volonté de rentrer dans d'avantage de détails. Après tout, ça ne le regardait pas.

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Maddox & Salem
For all the ghosts that are never gonna catch me
Alors qu’il était venu voir Aldous, Maddox était tombé sur un professeur. Il ne savait pas encore à quoi s’attendre car il ne le connaissait pas, mais il n’avait pas d’autres choix que d’essayer de ne pas se faire punir pour traîner dans les couloirs en pleine nuit. Le professeur, qui avait crié quand il avait entendu la voix de Maddox, semblait à présent plus calme, mais pas forcément plus à l’aise. « Bonsoir » Avait-il fini par répondre à l’élève. Quand Maddox voulut éteindre sa baguette et qu’elle ne lui obéit pas, il se retrouva très gêné devant le professeur et essaya de s’expliquer. Cette baguette lui causait pas mal de soucis dans les cours de pratique de médicomagie. L’ancienne lui manquait beaucoup, mais il n’avait pas d’autres choix : elle avait été détruite. « Oh, je vois hum... Ou alors, c'est parce que vous ne voulez pas vous entendre. Si tu montres qui est le chef à ta baguette, il n'y a pas de raisons qu'elle se montre récalcitrante. Juste un peu de confiance en soi et elle se sentira mieux. » Maddox regarda la baguette dans ses mains. Manquant toujours de confiance en lui, il n’était pas étonnant qu’elle ne le reconnaisse pas comme son maître. Il n’était pas le chef de sa baguette. Il n’était le chef de rien. Frustré, il n’aimait pas cette baguette et peut-être qu’elle le ressentait. Il n’avait jamais réellement pensé qu’un bout de bois pouvait ressentir ce genre de choses, mais si elle choisissait son sorcier, c’était qu’elle avait peut-être une âme après tout. « Le fait aussi que tu ne sois pas totalement détaché à ta précédente baguette peut jouer. Beaucoup de critère peuvent entrer en compte finalement. » Le Serdaigle hocha la tête doucement. Il était plutôt d’accord avec les théories du professeur. Il faisait sens, même en pleine nuit. S’il continuait ainsi avec sa baguette, il finirait par s’attirer des ennuis. Mais il ne voyait pas comment il pouvait changer son attitude du jour au lendemain. Maddox avait sa précédente baguette depuis ses onze ans et elle fonctionnait à merveilles. Quand on perd quelque chose de précieux, c’est difficile de le remplacer avec quelque chose d’autre. Voyant que le professeur avait l’air un peu pâle et perdu, Maddox lui avait demandé s’il n’avait pas vu un fantôme. Ce à quoi le professeur répondit sans entrer dans les détails : « Euh… hum, oui, on peut dire ça comme ça. » A nouveau, Maddox hocha la tête. Il avait bien compris que le professeur ne souhaitait pas en parler, et c’était normal, lui et l’élève ne se connaissaient pas. Maddox ne se confierait jamais vraiment à un inconnu sur quelque chose de très personnel. Mais comme là, il s’agissait d’un professeur de Poudlard et non d’un complet inconnu, peut-être qu’il pouvait se permettre de discuter un peu plus de sa baguette.

« J’ai bien conscience que ce n’est ni l’endroit, ni le moment, mais si vous pouviez me donner un peu plus de conseils sur ma baguette… je vous en serais reconnaissant. » En réalité, Maddox était content de pouvoir enfin parler à un professeur de son problème de baguette. Jusqu’à présent, il s’était dit que ça venait forcément du changement et non de lui. Ou bien du détraquement de la magie à l’école. Ou sans doute un mélange de tout ça. Il n’avait pas osé en parler aux professeurs ou à ses amis de peur qu’on ne lui dise à nouveau qu’il avait volé sa baguette ou ce genre d’histoires qui l’avait emmené en prison. L’idée qu’on se moque de ses compétences magiques l’avait aussi freiné dans sa démarche. « Cette baguette est plus fine que la précédente et j’ai toujours l’impression qu’elle va glisser. D’ailleurs, l’ancienne avait un petit défaut sur le manche qui formait la rune Eihwaz… » Dit-il en observant le manche de sa nouvelle baguette, parfaitement lisse. Il se souviendrait toujours de ce détail qu’il n’avait jamais vu sur aucune autre baguette, c’était ce qui la rendait un peu particulière, en dehors du fait qu’elle l’avait choisi lui, un né moldu. Il ajouta très vite : « Pardon, je m’éloigne du sujet. Je crois… que je n’arriverai jamais à me faire à celle-ci. » Maddox se demanda s’il allait la vexer, c’était peut-être possible, il n’en savait rien, mais s’il devait continuer à faire de la magie avec, alors il allait devoir se plier à ses caprices. Ou apprendre à s’imposer et voir si cela changeait quelque chose. « A chaque fois que je regarde cette baguette, elle me rappelle pourquoi j’ai perdu l’ancienne et les mois que j’ai passé à Azkaban. » Maddox poursuivit tout de suite pour éclairer le professeur avant qu’il ne pense qu’il était un criminel : « Je suis né moldu. » Deux mots qui expliquaient beaucoup de choses depuis la guerre.
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ϟ 23 Mars 2000, Couloir des statues  

Ce n'était pas le genre de Salem de punir des élèves parce que l'envie de se promener dans les couloirs était là. Mais il est vrai qu'avec les derniers événements, c'était bel et bien le professeur qui risquait la remontrance pour ne pas se montrer ferme. En même temps, pourquoi faire ? Cet oisillon n'était plus tout seul dans les couloirs, ils pourraient trouver une excuse bidon du genre en vie présente d'aller aux toilettes. Pas de quoi s'alarmer donc. À la place, le professeur de défense se montrait bienveillant à l'égard de ce garçon. Il ne savait pas pourquoi. Il n'avait aucune explication à donner sur son comportement. Mais, en cherchant bien, c'est parce que celle-ci était terrée au fond de lui. Loin, très loin de l'adulescent qu'il était et des reproches qu'il s'infligeait. Comme un sentiment de devoir accomplir son devoir et de finir une tâche qu'il avait commencé. Il écoutait donc le récit de l'élève devant lui qui lui racontait sa mésaventure avec sa baguette. Ce désaccord et ce manque de travail d'équipe qu'il y avait entre eux. Pour autant, Salem ne lançait aucunes suspicions. Il se contentait d'échanger un regard entre l'élève et la baguette pour mieux comprendre. Voir s'il y avait des signes affligeants et en l’occurrence, il y en avait un. Le bout de celle-ci brillait encore d'une lumière vive à tel point qu'il finissait par en être éblouis. Mais ! Il n'allait pas l'éteindre car, cela pourrait être un bon exercice afin que ce garçon reprenne les reines en main pour maîtriser sa baguette et lui montrer qui était le chef.
Et puis, cela lui permettait aussi de penser à autre chose pendant quelques instants. De ne pas penser à cette Corpse Bride qui se promenait dorénavant au château alors qu'il n'avait pas eu de nouvelle de celle-ci depuis sa sortie de Sainte-Mangouste. « Oui bien sûr, si tu veux. Mais, la science des baguettes magiques n'est pas mon domaine de prédilection de bases. Je ne fais que te ressasser les cours que j'ai eu à ce sujet. ». Modeste, comme à son habitude, Salem ne pouvait pas refuser d'aider un élève en difficulté. Il était professeur après tout maintenant, c'était son rôle. Les bras croisées, il n'avait plus qu'à attendre que l'interrogation se fasse plus claire afin de pouvoir y répondre plus facilement.

Plus cet oisillon perdu avançait dans son récit, plus Salem avait cette sensation de sueur froide étouffante. Un malaise profond dont la douleur de son avant-bras ne faisait que la monter en flèche. Il était subitement bien moins à l'aise. Une rune ? Il avait vu une baguette avec une rune en effet mais des défauts sur les baguettes, ce n'est ça qui manquait, non ? Le brun tentait de se rassurer du mieux qu'il pouvait. Et il ne pouvait pas tirer sur le col de sa chemise pour aérer, vu sa tenue, on ne pouvait pas faire plus aérer que ça. Sa gorge s'était asséchée légèrement, les mots commençant à se retirer pour l'abandonner à son sort et à ses doutes. Qu'est-ce qu'il ne se sentait pas bien à l'heure actuelle. Une panique montante qui l'avait fais décroché de la réalité pendant quelques secondes. Il entendait de nouveau ces sons sans images. Une voix qui ressemblait à celle qu'il entendait actuellement implorant de ne pas être emmener à Askaban. Il savait pertinemment à quel point cette prison était horrible pour y avoir passer plusieurs mois lui-aussi. Ceci dit, Salem tenait bon. Aucune larme ne passait ses joues. Après tout, il en avait tellement versé à Asbakan qu'il ne serait pas impossible qu'il n'en ait plus pour aujourd'hui. « Comment tu t'appelles ? Parce que tu ne t'es pas présentés et, faut bien que je t'appelle par ton prénom. À moins que tu veux que je te nomme oisillon jusqu'à la fin de la soirée ? » Un changement brutal de sujet. Une simple question que voulait poser Salem pour avoir un nom à mettre sur cette voix et ce visage. Le sourire du professeur se faisait grand bien que son tic de frotter l'arrière de sa tête traduisait son malaise.
Ce qui ne voulait pas dire qu'il n'avait pas oublié la raison première de la conversation. Reprenant son sérieux comme s'il avait mit toute sa concentration sur sa réponse, Salem fixait le vide pendant que ses paroles coulaient avec un naturel sans nom. « Et alors ? Mon épouse était aussi une née-moldue, ma mère était une moldue. Je n'ai pas de préjugé et je m'en fiche de savoir si tu es né-moldu ou non. Tant que tu maîtrises la magie avec le cœur et que tu es doué d'imagination, tu peux être né-moldu ou sang-pur, ça n'a pas d'importance à mes yeux. En aucuns cas, je t'ai pris pour un voleur de baguette. » Chose clarifiée, Salem ne savait pas comment ce garçon le juger pour sortir ses origines comme arguments. Mais, il ne s'était pas attardé là-dessus. « Pour en revenir à ta baguette, prête attention à elle. Par exemple, si tu as la sensation qu'elle va te glisser des mains, rajoutes-lui un manche ou une épaisseur. Elle n'en sera pas blessée, bien au contraire. Ça sera une manière de lui montrer que tu prends soin d'elle. Était-elle souple ou non ? Selon sa souplesse, adaptes ta gestuelle pour lancer des sorts. Plus une baguette et souple, plus elle va demandé moins de précision pour le tir mais, plus de conviction et inversement. »

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Maddox & Salem
For all the ghosts that are never gonna catch me
Bloqué avec sa baguette magique allumée, Maddox se vit demander conseil au professeur. Car il avait l’air de s’y connaître mieux que lui, et vu son âge, il avait plus d’expériences en la matière. Maddox avait l’impression que si quelqu’un pouvait l’aider, c’était ce professeur. C’était comme une intuition, il avait décidé de la suivre. « Oui bien sûr, si tu veux. Mais, la science des baguettes magiques n'est pas mon domaine de prédilection de base. Je ne fais que te ressasser les cours que j'ai eu à ce sujet. » Le brun hocha la tête. La science des baguettes magiques, voilà un sujet intéressant qu’il ne manquerait pas de rechercher à la bibliothèque dès qu’il aurait du temps libre. Fâché avec sa baguette actuelle, il préférait en général éviter d’y penser. L’élève avait sans doute enterré le problème au lieu d’essayer de le résoudre. Maddox expliqua son problème au professeur, parlant avec nostalgie de son ancienne baguette qu’il n’arrivait pas à oublier. Les souvenirs attachés à la nouvelle baguette étaient mauvais et c’était peut-être une des raisons de son dérèglement magique frustrant. « Comment tu t'appelles ? Parce que tu ne t'es pas présenté et, faut bien que je t'appelle par ton prénom. À moins que tu veuilles que je te nomme oisillon jusqu'à la fin de la soirée ? » Demanda alors le professeur. Bien sûr, il aurait dû se présenter dès le début. C’était la moindre des choses. Légèrement gêné d’avoir oublié ce détail de politesse, Maddox s’exécuta : « Excusez-moi, professeur. Je suis Maddox Berkeley, actuellement à Serdaigle en GISIS médecine magique. » Puisqu’il n’était pas en tenue avec le logo de sa maison, bien qu’il ait un pyjama aux couleurs de sa maison, il avait trouvé préférable de préciser qu’il était dans la maison des sages et des érudits, ainsi que son année scolaire. Comme tous les cours de GISIS étaient enseignés par le même professeur, il n’était pas étonnant qu’ils ne se connaissaient pas. Alors le brun lui retourna la question : « Et vous ? » Maddox pouvait certes continuer à l’appeler professeur, mais il aimerait bien également connaître son nom.

Et quand Maddox continua avec son histoire, et précisa être né moldu, le professeur ne tarda pas à lui offrir une réaction. « Et alors ? Mon épouse était aussi une née-moldue, ma mère était une moldue. Je n'ai pas de préjugé et je m'en fiche de savoir si tu es né-moldu ou non. Tant que tu maîtrises la magie avec le cœur et que tu es doué d'imagination, tu peux être né-moldu ou sang-pur, ça n'a pas d'importance à mes yeux. En aucun cas, je t'ai pris pour un voleur de baguette. » Les paroles de cet homme, qui ne le connaissait finalement que depuis quelques minutes, lui réchauffèrent le cœur plus qu’il ne pouvait l’imaginer. Et s’il n’avait expliqué ses origines que parce qu’il venait de dire avoir été à Azkaban, il était content de connaître l’avis du professeur sur la question. Si tout le monde pensait comme le professeur, alors il y aurait eu bien moins de nés moldus innocents enfermés en prison lors de la guerre. C’est alors que Maddox percuta : le professeur avait dit Mon épouse était aussi une née moldue. Le Serdaigle comprit alors que son épouse n’était plus de ce monde, à moins que le professeur n'ait divorcé, mais en tant que née moldue pendant la guerre, c’était une hypothèse probable. Il avait de la peine pour ce professeur qu’il venait à peine de rencontrer, Maddox, lui, avait au moins la chance d’avoir survécu. En revenant au sujet, le professeur chassa les pensées négatives de la tête du jeune homme : « Pour en revenir à ta baguette, prête attention à elle. Par exemple, si tu as la sensation qu'elle va te glisser des mains, rajoutes-lui un manche ou une épaisseur. Elle n'en sera pas blessée, bien au contraire. Ça sera une manière de lui montrer que tu prends soin d'elle. » Les conseils du professeur n’étaient vraiment pas mauvais. Maddox pourrait rajouter une protection à sa baguette pour qu’elle ne glisse pas. Ils devaient vendre cela à Pré-au-Lard ou peut-être qu’il pouvait lui-même en fabriquer une avec ce qu’il avait déjà. « Était-elle souple ou non ? Selon sa souplesse, adaptes ta gestuelle pour lancer des sorts. Plus une baguette est souple, moins elle va demander de précision pour le tir mais, plus de conviction et inversement. » Maddox acquiesça. La nouvelle baguette était en effet plus souple que l’ancienne. Il devait réapprendre à l’utiliser en utilisant de nouveaux gestes.

« Alors essayons… Nox. » Dit-il d’une voix plus assurée avec un geste plus ferme que précédemment. Et la baguette s’était enfin éteinte. Maddox était conscient que c’était grâce aux conseils du professeur et qu’il allait devoir s’entraîner encore plus pour réussir à maîtriser d’autres sorts. Il était soulagé car il ne serait plus autant pénalisé qu’avant pendant les cours de pratique. Maddox ne deviendrait jamais médicomage s’il ne maîtrisait pas son outil de travail, même s’il n’était pas encore certain de vouloir le devenir. « Merci, professeur. Vous êtes de très bon conseil. » Le brun rangea la baguette dans sa poche pour le moment, il n’en avait plus l’utilité. De toute évidence, le professeur s’y connaissait bien mieux que ce qu’il lui avait laissé entendre un peu plus tôt. Il était modeste et Maddox se demandait comment il était en classe. Maddox pensa alors qu’il aurait aimé l’avoir en tant que professeur. « J’essayerai d’ajouter une épaisseur à ma baguette et je vais m’entraîner. C’est difficile ces derniers jours, avec les nouvelles règles et tout ça… D’ailleurs, je ne sais pas si vous avez remarqué, mais ces derniers temps, on dirait que je ne suis pas le seul à avoir des problèmes avec la magie. » Bien sûr qu’il avait sans doute constaté ce changement, il était professeur et ses élèves devaient eux aussi pratiquer parfois la magie dans ses cours.
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