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Version 7
La version sept est enfin arrivée ! Centrée sur l'épidémie, les problèmes politiques, de nouveaux clans se forment, venez voir de quoi il en retourne.
Découvre tout ici
L'épidémie dévoilée !
Le Ministre parle de l'épidémie en conférence de presse, les Médicomages sortent leur premier rapport, les premières conclusions sur l'épidémie !
Jette un oeil au nouvel épisode !
Besoin d'adultes !
Nous manquons d'Aurors à Poudlard et à Pré-au-Lard, de Professeurs et d'habitants de Pré-au-Lard nous en attendons avec impatience !
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| and she will be loved + (athéna) | Athéna V. BorginConsumed by the shadows Maison/Métier : deuxième année en médecine magique Célébrité : madelaine petsch Pseudo : Prim Âge : 27 Parchemins : 505 Gallions : 849 Date d'inscription : 08/07/2017
| Sam 7 Oct - 8:05 |
| Athénaïs Victoire-Vega Borgin avec Zoey Deutch. (Tumblr) Belle et jeune fille qui nous vient tout droit de Poudlard pour entamer sa deuxième année au collège, en médecine magique. Elle est née à Londres, mais elle a grandi dans les coins plus sombres, loin de ces autobus rouges qui l’avaient tant fait rêver, fait croire en un monde où la véritable magie se trouvait dans le cœur des autres, pas dans leurs veines, où le carmin se pensait encore prometteur des merveilles en ce beau jour qu'était le 24 décembre 1980 en tant que sang-pur ; à présent elle vit à Poudlard, ce qui l’arrange d’une certaine façon, en fin de compte, elle n’a aucun endroit où se dire à la maison. Elle est plutôt courageuse, curieuse, douce, déterminée, intelligente, réfléchie, studieuse, mais aussi impulsive, têtue, téméraire, rêveuse, pacifiste, naïve et incomprise. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être excellent, elle collectionne les honneurs, à force de grandir dans le milieu, de vouloir se dépasser, elle n’a pu atteindre que les meilleures notes, l’excellence, c’est la seule chose qui lui permettrait de s’envoler loin de son monde de magie noire, pour qu'un jour, elle puisse crier victoire, ailleurs que dans son prénom. Il y a quelques années maintenant, elle s'est procurée une baguette faite en bois de cyprès, cyprès des braves, des audacieux, de ceux qui n’hésiterait pas à se sacrifier, qui n’ont pas peur de leurs propres ténèbres, mesurant vingt centimètres et contenant un crin de sombral ; petite mort se faufilant un chemin dans ses mains ténèbres et dans son cœur galaxie. Avec cette baguette, il lui est possible de créer un patronus - le sien prend la forme d'un ours, autant celui que l’on serre dans ses bras pour se réconforter que celui qui se ferait menace pour protéger sa progéniture, cela représente bien les deux côtés de sa personnalité, sa douceur, son désir de sauver le monde. La vision qu'elle a eu face au miroir du risèd : elle voit encore un homme, elle se voit aimée, elle se voit devant une belle maison en train de regarder ses enfants faire du balai, même si elle s'affime différente, la jeune femme rêve d'amour, du prince charmant. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. Son enfant qui meurt, dans son cas. We have more questions... ϟ Que pensez-vous de l'échange européen inter-écoles ? Contente, elle était contente en apprenant l’échange, pour elle, il représente une chance, une nouvelle chance de faire mieux et de découvrir de nouvelles cultures. C’est un premier pas vers un monde de paix, un monde meilleur, un monde où aucune barrière ne séparerait les sorciers les uns des autres. Espoir, elle utiliserait probablement ce mot pour parler de cette main tendue de l’Angleterre à l’adresse des autres écoles, pour conforter les étudiants dans l'idée que les professeurs leur transmettraient un savoir, des connaissances qui leur permettrait de grandir et de faire grandir leurs nations, un jour, de devenir les meneurs et les penseurs de demain. À la manière du métal de gobelin, les étrangers n'aspireraient que ce qui les renforce, tout comme Perséphone, autrefois, lui donnait le courage de s'affirmer, elle qui n'était qu'une perle sur un collier d'obsidiennes. Même si les ténèbres l'ont rattrapé, Athéna, elle a toujours voulu la paix, la conciliation ; à défaut de l’avoir, elle voit ce premier pas vers un monde meilleur comme une occasion de découvrir les magies occidentales et orientales et de développer sa curiosité. Pour elle, même si elle ne le dirait jamais, c’est une opportunité pour mieux recommencer, car les étudiants venus d’ailleurs ne la connaissent pas. Ils ne peuvent voir ses défauts, son passé trouble qu’elle porte dans ses insomnies et dans les cicatrices marquant sa peau, son ventre, dépendamment des endroits, dépendamment des batailles traversées, la carte de sa tristesse, de son amour, de son désespoir étant marquée sur son derme. Au fond de son cœur, tout ce que désire la Borgin, c’est s’émerveiller encore une fois, retrouver la bienveillance, pour croire encore aux miracles, petite perle tombée de haut qui n’a retrouvé dans sa chute que l’amertume des Rosier. ϟ Que faisiez vous lors de la Grande Bataille ? Son existence ne vient ni de la noblesse, ni de la prestance ; son existence ne vient même pas de l’amour, pour son père, pour sa mère, elle était une ombre, se perdant parmi ses sœurs, parmi sa lignée maudite, des filles et des filles, des femmes et des femmes, le rêve pour n’importe quel homme, mais pas pour celui qui souhaitait avoir un héritier pour reprendre les affaires familiales, pour mener une entreprise reposant sur la magie la plus sombre du monde sorcier. Même si elle était douce, même si elle était bonne, le diamant n’a jamais oublié qu’il provenait dans la noirceur. Pour l’amour de ses parents, pour le coeur de son fiancé, Athéna a appris à accepter ses ténèbres et à les embrasser, tout comme elle aimait embrasser les lèvres de son premier amour, son premier baiser, pensant naïvement que cela permettrait de garder auprès d’elle les personnes qu’elle aimait le plus au monde. Dans son désir d’acceptation, sans penser aux conséquences, elle s’est battue pour la pureté, pour le Seigneur, pour le Seigneur qui était son Dieu, son Dieu qui lui promettrait l’amour de ses proches et la survie de la vie qui avait grandie dans le creux de son ventre. Cette Déesse qui n'en était pas une, portant un masque éternel sur le visage, aux armoiries de sa famille, de son clan, s’était battue farouchement. Venant à peine de se remettre de son accouchement, elle n’était pas particulièrement forte, mais elle a blessé des gens, elle a été considérée comme suffisamment menaçante pour devoir prendre la fuite et se cacher pendant un an, afin de ne pas être retrouvés par les aurores, elle qui était finalement devenu un pan de nuit, un ciel de noirceur. Personne n’en a vraiment conscience, encore aujourd’hui, tout ce qu’avait voulu la pacifiste, c’était garder les gens qu’elle aimait en sécurité, s’assurer que son fils puisse compter sur son père et ne jamais devenir un bâtard. Pour cela, elle aurait été prête à casser son image, briser les miroirs, mais maintenant, elle se questionne sur son emportement, se demande si elle n'aurait pas pu faire les choses autrement. ϟ Avez-vous peur de perdre vos pouvoirs ? Pourquoi ? Elle a peur. Elle a grandi toute sa vie dans la magie et toutes ses richesses lui viennent des enchantements, de la boutique dont elle avait tant espéré pouvoir reprendre le contrôle. Gamine cérébrale, toutes ses richesses lui viennent de ses connaissances et de ses livres, elle qui avait tout fait pour qu’on la remarque, nourrissant son cerveau de formules, de prénoms, de noms, de dates importantes, pour la simple attention du paternel. À part son penchant pour les littératures romantiques, tout ce qu’elle a appris est purement théorique et en lien avec les enchantements. Athéna, elle a grandi uniquement dans le monde sorcier, dans le monde où tout peut se faire sans que l’on n’ait à se poser la moindre question. Tout cela lui semble acquis ; même si Perséphone l’a encouragé à se rebeller, à couper les ponts avec des idéologies qui semblaient venir d’un autre siècle, à découvrir le monde moldu, la religion, la science, la sagesse, elle est capable d’admettre ses faiblesses. Jamais elle ne serait capable se débrouiller sans sa baguette. Elle se rappelle de l’année passée dans les rues londoniennes, qui avait été la plus difficile de toutes ; elle avait eu la chance d’avoir ses enchantements pour passer au travers des moments difficiles, pour protéger son enfant de tous ceux qui avaient voulu lui faire du mal. Aussi, avec tout ce qui se passe, elle sait qu’en quarantaine, elle ne serait pas apte à venir au secours de son enfant, et même si elle a confiance en Ismaël, elle ne veut plus se laisser marcher sur les pieds. Une partie d’elle hésite encore à faire totalement confiance en un homme, après tout ce qu’elle a traversé ; elle élèverait son fils elle-même, mais pour ce faire, elle a besoin de rester en bonne santé. ϟ Quelle est votre réputation à Poudlard ? Que pensent les autres élèves de vous ? Athénaïs a l’apparence de la bonne fille, de la puritaine ; elle a de longs cheveux de la couleur du chocolat tombant en boucles dans son dos et son visage rond lui donnent un air doux. C’est la meilleure amie de la frivole, de la légère, de la déesse des fleurs et du printemps qui rit et charme le monde alentours. Jamais Athénaïs n’a été jalouse de Perséphone ; les deux compensent leurs propres faiblesses, Perséphone est le Soleil brillant des étés, les feuilles croquantes et craquantes des automnes. Athénaïs est la fraîcheur douce des flocons d’hiver et l’éclat de rire des mois de printemps. Toujours catégorisée comme la fille studieuse, aimante, Athénaïs, elle est de ces ordinaires que l’on ne remarque pas, de ces extraordinaires dont l’on a peur de ne pas être à la hauteur ; certains utiliseraient le mot qu’elle n’a jamais aimé, tout le monde dirait qu’elle était parfaite, car elle avait de bonnes notes, car elle était belle, car elle ne jugeait pas les autres, mais personne n’avait vu que derrière cet acharnement au travail, cette érudition, ce qu’elle avait n’était rien d’autre qu’une soif de pouvoir, se cachant derrière un besoin de reconnaissance et d’approbation. Au fond d’elle, elle rêvait de puissance, pas la puissance pour faire le mal, pour s’imposer, mais pour être reconnue à sa juste valeur, pour que ses parents l’aiment, pour que son père reconnaisse qu’elle puisse être l’héritière. Quand elle s’était rebellée, c’était simplement pour ne pas être oubliée au milieu de ses six autres sœurs, pas parce qu’elle affectionnait le monde sans sorcellerie. Gamine utopique avait vu ses rêves s’écraser sous les lueurs vertes, quand elle s’est rendue compte qu’en abandonnant Perséphone, elle s’était elle-même perdue en chemin. Athéna est une femme. Les cheveux bruns lui arrivent maintenant aux épaules et elle ne regarde plus les hommes comme avant ; elle ne se laisse plus bercer par les amours et par les amourettes, elle sait qu’elle est sienne avant d’être à quiconque. La mature, la grandie, elle ne veut plus se faire avoir par sa pureté et par sa naïveté, alors, elle conserve la tête haute, même si son angélisme ne l’a pas vraiment quitté. On la pointe du menton et on la qualifie de traîtresse, mais personne ne sait les choix qu’elle a dû faire et le fait qu’elle a donné sa vie pour sauver une autre vie. Déterminée, elle ne se fait plus intimider par le regard des autres sur elle. Raisonnable, posée, Athéna, elle a retiré la dernière particule de son prénom pour montrer la croissance qu’elle a faite dans les dernières années, après les guerres qu’elle a traversées ; elle a retiré le « aïs » pour retirer le « haïssent », pour retirer la haine, pour ne laisser que l’amour, que la confiance, que l’affirmation, le fait que pour une fois, elle croit en ses choix. Plus individualiste, loin d’être une déesse, elle est avant tout une mère, une héroïne des temps modernes. Les gens semblent moins disposés à lui parler, maintenant, elle tente d’aller de l’avant, de ne plus se soucier de ce que les autres pensent. Libre pour la première fois, elle laisse les chaînes tomber en même temps qu’elle détache ses colliers d’opale, mais elle se rend compte, à présent, que les rôles sont inversés, que c’est sa meilleure amie qui se retrouve enchaînée. The best day of my life... Beaucoup de changements ont eu lieu au début de la nouvelle année, mais la jeune femme ne s’en soucie pas vraiment. Il faut dire qu’elle est habituée aux atmosphères sombres, elle a grandi dans les embrumes, ses parents avaient même considéré Durmstrang pour son éducation avant de se rendre compte qu’elle ne serait pas suffisamment forte, qu’elle ne pourrait jamais assumer la charge de sa famille sur ses épaules menues. C’était la sous-estimer ; dans un autre temps, dans une autre vie, elle aurait fait un féroce Basilic. Dans celle-ci, Rogue dirigeait maintenant Poudlard, les choses se promettaient différentes. Pourtant, les inquiétudes de la demoiselle se trouvent ailleurs. Caressant son ventre, enchanté pour en cacher la rondeur, elle se fait surprendre par son fiancé, passant sa main autour de ses hanches pour lui embrasser la joue. Alors, ils entrent dans la pièce pour le cours de magie noire. Athénaïs a toujours accepté cette discipline, plus par amour de la connaissance que par amour du mal, mais elle n’aurait jamais voulu la pratiquer dans un tel contexte. C’était soudain, cruel, elle n’aimait pas les méthodes d’enseignement des Carrow ; c’était une méchanceté purement gratuite, ne rendant pas honneur aux sciences occultes. Cependant, elle ne pouvait pas s’imposer. La jeune femme savait que les rebelles prenaient cher, et elle ne pouvait pas subir de torture sans que son enfant ne la subisse aussi. Pour s’assurer de la sécurité de sa famille, en écoutant les conseils de son fiancé, elle a accepté de prendre sa baguette et de jeter les Doloris, se composant un visage renfermé et sombre, c’est là que les gens ont commencé à comprendre son nom de famille, que derrière cette douceur, elle est totalement barjo. On l’a qualifié de traîtresse, elle a fait du mal sans distinction, écoutant les Carrow, sans prendre la peine de penser, de réfléchir, torturant les étudiants. Pour jeter un sortilège de douleur, il faut vouloir la souffrance de l’autre, et Athénaïs, elle avait voulu leur souffrance ; si les autres souffraient, son enfant allait bien, cela lui convenait parfaitement. Ce n’était qu’accessoirement qu’elle y a pris du plaisir, car enfin, elle avait l’approbation des siens, de son fiancé. Durant les retenues, elle était acharnée, comme une furie ; ce ne sera que plus tard qu’elle reviendra, plus contenue. Cette année s’est bien passée pour elle, ni cicatrice, ni coupure, pas même la moindre trace de sang sur ses vêtements. Les garçons de son âge la regardaient enfin, mais la demoiselle ne se souciait plus de personne, à l’exception de son fiancé. « J’étais pas mal, non ? » lui demande-t-elle. Là, on voit Athénaïs sourire, on la voit comme elle est véritablement, bonne, mais naïve, naïve de croire qu’elle pouvait espérer l’amour en faisant le mal, on la voit souriante. Au fond, elle n’était pas si méchante. Elle a juste oublié qu’en voulant faire le bien pour une personne, elle a fait du mal au monde entier. ϟ Ton pseudo : Prim. ϟ Ton âge : 21 ans. ϟ Ton avis sur mumblemumps : Mon enfant, je l'aime d'amour. ϟ Le mot de la fin : Ayant de la difficulté à interpréter Fortune de la manière que je le voulais, depuis un certain moment, il s'agit d'un changement de personnage. Je m'excuse encore auprès de mes partenaires, de ceux qui avaient un lien, en attendant, j'espère que ma petite Barjow vous plaira. Sinon, vivement le PERSÉIS. Mumblemumps ϟ Tous droits réservés. |
| | | Athéna V. BorginConsumed by the shadows Maison/Métier : deuxième année en médecine magique Célébrité : madelaine petsch Pseudo : Prim Âge : 27 Parchemins : 505 Gallions : 849 Date d'inscription : 08/07/2017
| Sam 7 Oct - 8:05 |
| goddess of wisdom, courage, inspiration, civilization, law and justice, warfare, mathematics, strength, strategy, the arts, crafts, and skill. Mon enfant, Un jour, quand tu seras grand, tu liras cette lettre. Quand tu seras grand, je ne serai pas si grande non plus. Quand tu auras la majorité, je n’aurai pas la quarantaine. Je suis certaine que tu me dépasses maintenant, que tu es bien plus fort que moi, du haut de tes dix-sept ans, que tu serais capable de me soulever comme j’aurais pu soulever des montagnes pour toi, faire élever les flammes de l’Enfer pour que tu montes l’escalier qui puisse te mener au Paradis. FAMILLE Ton nom de famille est un grand nom de famille. C’est une famille au sang pur. C’est une famille sacrée qui diffère des autres, car nous sommes les porteurs de la connaissance, les transmetteurs d’un savoir, d’enchantements que l’on censure ; la magie noire n’est pourtant rien d’autre qu’une sorcellerie comme les autres. C’est en passant notre temps à la diaboliser que nous ne parvenons pas à la comprendre. Mon enfant, mon amour, un jour, tu douteras de la voie à suivre, mais sache que ni ton nom, ni ton prénom ne te définissent, que tu es le seul qui puisse te modeler pour écrire ton nom dans la voie lactée. Les Borgin sont des Mangemorts, mais ce n’est pas notre principale qualité ; avant toute chose, avant d’être des serviteurs, nous sommes des armateurs, des soldats, nous sommes une infanterie qui fournissons les armes aux nôtres et prenons soin des reliques qui font partie de notre histoire commune. Nous avons des rouleaux de pendu, des ossements humains datant de tous les siècles, des ouvrages de magie noire qui contiennent des sorts que nul ne pourrait imaginer. Nos origines remontent à l’Albanie, à la terre des vampires, à la Roumanie, une terre de vendeurs ambulants ; un jour, nous visiterons les deux nations pour se rappeler comment est né la boutique, car la boutique doit continuer de vivre. J’ai toujours tenu à l’entreprise. À l’heure où cette lettre est écrite, tes grands-parents sont en prison. Si tu les juges, essaie simplement de te rappeler qu’ils ont eu le courage d’assumer leurs idéaux, aussi discutables ne puissent-ils être. Mon père a toujours voulu un héritier. Malheureusement, il n’a obtenu que des filles ; nous sommes sept dans la famille, et je suis la dernière. Il n’a jamais voulu en savoir plus ; sept est le nombre magique par excellence. C’est difficile à formuler, mais je n’ai jamais été véritablement aimée. Pour lui, j’ai un peu gâché tous ses espoirs d’avoir un héritier. Il était enchanté en apprenant que j’étais enceinte. Je ne l'ai jamais vu sourire autant que le jour où il t'a pris dans ses bras. Mes parents, c'est toute une histoire, j’ai tout fait pour attirer leur attention, pour leur montrer que j’avais ce qu’il fallait pour réussir, que ce n’était parce que j’étais une fille que j’étais moins puissante. Quand on est jeune, on se trompe, j’ai tenté d’apprendre à être belle et à parler aux autres, à danser et à être gracieuse, à maintenir les conversations et à rire, pas du rire sec de mon père quand il reçoit de nouveaux poisons, mais un rire agréable ; ça doit probablement te faire rire, en tout cas, aujourd’hui, ça me fait sourire, car je n’avais pas compris que sans le vouloir, j’avais creusé ma propre tombe, j’ai été trop similaire à mes sœurs. Mes sœurs. Je ne devrais pas le dire, mais elles sont tout bonnement inintéressantes. Elles rêvaient de diamants, mais mes parents ne voulaient jamais rien acheter. L’argent ne servait qu’à se procurer des produits rares, des instruments de torture ; nous, nous nous contentions de porter les opales, nous passant des colliers, des bracelets, ayant tous appartenus à des personnes décédées. Il y a une puissance magique hors du commun dans ce que nous portons. La chevalière que tu portes sur ton pouce, en toute insouciance, aurait tué un Moldu ; elle contient une force dont tu ne te doutes probablement même pas mais ainsi sont les Borgin. Tous ceux qui ne sont pas nous sont nos ennemis. En tentant de jouer les petites filles de bonne famille, de montrer à mes parents que je connaissais la sorcellerie, j’ai développé rapidement un amour de la connaissance. Les livres me nourrissaient, mais j’ai fini de lire les livres de la boutique bien rapidement. Alors, il a fallu trouver autre chose. Un jour, je parlais à mes amies, elles aussi venant des Sacrées ; elles m’ont prêté des récits de fiction. C’était des histoires à l’eau de rose, qui me rendaient si heureuse, comme mon amie qui avait aussi le nom de famille des rosiers. Tu ne le comprendras jamais, mais en tant que femme, tout ce que nous pouvons espérer est l’attachement, l’amour. Nous pouvons être les plus belles du monde, nous pouvons être les plus riches, les plus savantes, mais si aucun homme ne se trouve près de nous, alors, nous ne valons rien. Si nous mourrons en tant que vieilles femmes, alors notre nom est brûlé de la toile familiale. Cette partie de l’éducation puriste, c’est ce qui m’a permis de renaître de mes cendres. Quand ton père m’a abandonné, j’ai pu renouer moi-même, apprendre qui était Athénaïs quand je me concentrais trop à connaître, à faire reconnaître la Borgin. AMOUR J’ai toujours aimé les dieux, je pense que tu l’as constaté en apprenant l’origine de mon prénom. Athéna est la déesse de la sagesse dans la mythologie grecque, accessoirement, c’est aussi une de ces déesses qui ne connaît pas d’aventures. En dehors de ma famille, je n’ai aimé qu’un seul homme, un homme dont tu as les joues et les fossettes, la même expression quand tu es triste ou en colère. J’ai toujours connu ton père, mais je ne me suis jamais vraiment rapprochée de lui. Tu comprends, je me faufile dans les ombres, je suis la rationnelle, la tendre, celle que les gens ont peur d’aimer par peur de ne pas être à la hauteur. La plus grande partie de ma popularité, je la devais à Perséphone, mais même si j’étais intelligente, je n’étais pas assez brillante pour que ton père ne le remarque ; alors, je l’admirais de loin, je tombais amoureuse, mais il n’était pas comme moi, il ne pensait pas que tout le monde pouvait être un sorcier, il avait des idéologies différentes des miennes, plus proches de celles de mes parents. Mon père, ma mère, n’ont jamais aimé mon ouverture d’esprit ; pour eux, il n’y a qu’une voie à suivre, celle devant soi, la conscience du bien, du mal, ils ne l’ont pas vraiment, tout comme ton père, ils brûlent des ponts pour éclairer les chemins. Mes parents ne m’aimaient pas vraiment, donc j’avais compris que je pouvais abandonner l’idée que ce garçon ne m’aime, mais j’ai toujours été comme ça, j’ai toujours voulu ce que je ne pouvais pas avoir. Pourtant, il était encore dans mon esprit, dans mon cœur ; tu apprendras un jour que rien ne se contrôle moins que le cœur d’une jeune femme. Probablement tu auras eu des amours, probablement tu auras eu des amantes, mais je te conseille, avant de faire un choix irréparable, de ne jamais sous-estimer une demoiselle. Même coquette, pomponnée, elle est plus forte et indépendante que tu ne pourras jamais l’estimer. Son maquillage, c’est sa peinture de guerre, et elle la refait à chaque matin pour se faire une place dans ce monde que tu parcours si librement. Ton père était charmant et charismatique, et quand nous avons eu enfin la chance de discuter, il tentait de m’expliquer pourquoi il croyait à la supériorité du sang ; il tentait de me montrer que nous devions protéger notre histoire, que le Seigneur des Ténèbres n’était rien d’autre qu’un Seigneur qui emmènerait la paix pour tous les sorciers, et que ses Serviteurs seraient récompensés. Nous avons commencé à nous fréquenter, et plus nous nous fréquentions, plus je me sentais forte, plus je me sentais puissante, comme si, finalement, mon nom de famille avait un sens, que moi aussi, j’avais ma place sur l’échiquier. Je n’avais plus besoin de me rebeller pour avoir l’attention de mes parents, je n’avais plus besoin de fréquenter les Moldus pour me conforter dans le bonheur de la simplicité, de la religion, de la science, de la civilisation, des inventions fictives qu’ils se sont inventées pour donner un ordre à leur monde sans la moindre touche de sorcellerie. Mes croyances, je les ai cependant perdues en chemin. Je tombais du mauvais côté, je ne prenais plus le temps de réfléchir, je suivais les opinions de ce garçon qui prenait tant de son temps pour me réconforter. Il m’aimait, il m’embrassait, il me faisait sentir comme is j’avais une place en ce monde, il me donnait envie de croire en Dieu, et peu m’importait si ce Dieu se trouvait être le Seigneur des Ténèbres. Nous nous sommes fiancés en cachette quand la situation a commencé à se détériorer. Personne ne le savait. Seulement mes parents et les siens étaient au courant ; nous voulions faire les choses sans que personne ne nous en empêche et Perséphone, je la connais, elle aurait tout fait pour m’empêcher de suivre la voie de mes parents, elle est indomptable, elle est de ces mauvaises perdantes qui sont mauvaises perdantes simplement parce qu’elles ont trop connu la victoire. Perséphone est ma meilleure amie, mon âme soeur, nous sommes complémentaires, nos pères sont des cousins, et c'est pour cela qu'elle ne pouvait pas savoir. Je ne sais pas comment s'arrangeront les choses avec elle, mais le tout reste encore à voir. Mon fiancé m’a passé l’alliance au bord du lac et c’était comme un conte, comme de ces histoires que l’on raconte, où l’amour existe véritablement ; il n’y avait que lui et moi, sous la lueur lunaire, nous nous étions embrassés. Il m’avait caressé, c’est ce soir-là que je suis devenue une femme et que je suis tombée enceinte. Ce ne sera qu’en avril que tu seras né. Ma grossesse, je l’avais cachée par des enchantements et des sorts, seulement le personnel était au courant, pour des raisons de sécurité. Par une permission du personnel – exceptionnelle en raison des circonstances,de mes excellents résultats scolaires et de quelques objets de la boutique, à des fins scolaires, pour reprendre leurs mots – j’ai pu sortir de l’école pour accoucher et terminer le reste de ma septième année à la maison. C’était ce qui avait été prévu, mais je n’ai pas passé mon temps à dormir et à paresser. À la maison, je me suis occupé de toi, mais j’ai aussi commencé à préparer des plans pour la bataille qui arrivait. Dans mes bras, je t’allaitais, mais ma tête, elle était bien loin. Le Seigneur nous le faisait sentir, bientôt aurait lieu la confrontation finale. LES PROCHES Mon père avait enfin commencé à me considérer. Mes plans l’ont impressionné, et il a compris, il a finalement compris. Un homme a la force musculaire, mais il est sauvage et il ne se retient pas. Une femme est une meneuse, elle est pensante et perspicace. Une fille n’est pas seulement une lectrice, une étudiante, elle est aussi une guerrière ; Athéna est la stratégie militaire, l'organisation de la guerre. Soudainement, mon père m’a vu sous mon véritable jour, il m’a vu comme une battante. Quand je bougeais sur le champ de bataille, il a vu que la souplesse acquise lors du ballet était utile, et il a vu aussi que les hommes se retenaient devant une femme, pour ne pas la blesser, mais que moi, je ne me retenais devant personne. Que quiconque vienne me dire que je combatte comme une femme. Par contre, tout le monde a compris que le petit groupe tournait autour de moi. Encore faible de l’accouchement, je ne combattais pas vraiment, je me contentais de mener les attaques, c'était ma manière de contribuer. Protectrice des miens, mais devenue ennemie des autres, les gens tombaient sous mes ordres et cette sensation de puissance, elle avait été grisante. Ayant contribué au massacre de façon importante, même mon statut de jeune adulte ne m’a pas protégée, j’ai été catégorisée comme Mangemort, alors, il a fallu que je m’enfuis. SOI-MÊME Ton père m’a laissé tomber ; tout ce qui l’avait intéressé était mon nom de famille et l’entreprise, le fait que nous étions riches parce que nous dépensions peu, que nous investissions dans nos produits, pour offrir les produits les plus cotés de l’Allée des Embrumes. Pour mon fiancé, j’ai coupé les ponts avec tous mes proches. Je sais qu’un jour, tu me jugeras ; toi, tu auras la chance de grandir dans un monde où tous les sorciers sont égaux, toi, tu ne comprendras jamais l’importance de la valeur du sang, mais ce que j’ai fait, je ne l’ai fait que pour toi. J’ai combattu pour les Mangemorts pour te défendre. Naïvement, j’ai cru que ce serait en étant de son côté que ton père ne t’abandonnerait jamais. Tout le monde m’a reconnu. Ce n’est pas un masque qui change qui tu es ; mes cheveux bruns, qu’ils soient détachés ou tressés sont reconnaissables par n’importe qui. Je ne voulais pas que tu sois un bâtard, parce que je sais que s’il y a une chose qui est pire que de naître en étant femme, c’est de naître d’une union illégitime. Ma naïveté n'est pas candeur, ma naïveté avait été confiance, espoir ; ne crois jamais que tu n’as pas été voulu. Tu es la plus belle chose qui ne m’est jamais arrivé, et si les choses étaient à refaire, je détruirai tout, je mettrai la terre à feu et à sang ; personne ne peut comprendre avant d’avoir eu un enfant. J’ai fui pendant un an. Tu ne te souviendras jamais de cette année de cauchemar où nous avions vécu dans tous les endroits les moins recommandables du monde sorcier et du monde normal. J’ai multiplié les travaux en jouant les femmes de ménage et en dormant dans les rues, en espérant ne pas me faire attraper par la police ou la gendarmerie. Des mois plus tard, c’est un Auror m’a retrouvé, un Auror que tu connais probablement comme ton oncle Ismaël. Il m’a accueilli, il m’a nourri, sa sœur m’a coupé les cheveux, ils m’arrivaient aux oreilles, maintenant, ils tombent un peu plus bas que mes épaules. Je me suis toujours demandé pourquoi toutes les mamans avaient les cheveux courts ; je l’ai compris le jour où, en te faisant roter, tu as régurgité sur mon épaule. En plus, les cheveux courts, c’est pratique, je peux dormir dix minutes le plus le matin avant de m’occuper de toi ; crois-moi, les nuits ont été difficiles, mais franchement, on aura été heureux. MOI-MÊME J’ai repris mes études pour te donner le plus bel avenir possible. Je me suis spécialisée dans le domaine de la médecine parce que je suis passionnée par le fonctionnement du corps humain ; j’ai grandi dans les cadavres, dans les ossements, il y aussi l’influence du Docteur Poison qui est la femme la plus forte qui n’ait jamais existé. J’essaie cependant d’oublier cette partie de moi. Je veux faire du bien, je ne veux plus faire les guerres et que les gens haïssent encore plus la pauvre Athénaïs, qui, au fond, avait seulement voulu ne jamais être abandonnée. C'est Ismaël qui m'a encouragé à reprendre ma vie en main et à faire des études supérieures ; il m'a aidé pour les démarches, il m'a défendu auprès du Ministère et nous a pris en charge, mais en contrepartie, il garde un oeil sur moi pour ne plus que je dévie du droit chemin. J'imagine que c'est la seule raison pour laquelle je peux encore fréquenter Poudlard, étant sous la surveillance d'un Auror, mais peu importe. Je veux me reprendre en main. Victoire-Vega, c’est mon deuxième prénom, c’est le nom des victorieux, des vainqueurs, mais aussi des étoiles, de la noirceur du ciel dans lequel scintille des bribes de diamant. C’est pour cela qu’Athéna est devenu mon surnom, Athéna, déesse de la victoire. C’est en perdant tout que j’ai gagné mes batailles. Certains me surnomment encore « Athé », mais ça ne veut rien dire, je ne suis pas athée, je crois en quelque chose, je crois en une force supérieure, auparavant, j’aurais dit que c’était Dieu. Maintenant, je pense que je crois simplement en moi. Joyeux dix-septième anniversaire, mon ange. Ta maman qui t’aime fort. Mumblemumps ϟ Tous droits réservés. |
| | | InvitéConsumed by the shadows | Sam 7 Oct - 9:55 |
| - Spoiler:
Je me réveille tranquillement, je me connecte sur MUM et qui est-ce que je vois ?! C'EST LE PLUS BEAU DES REVEILS LA JE T'AIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIME ( Comme un fou, comme un soldat, comme une star de cinéma ) Je sais que je me répète, mais tu ne sais pas à quel point je suis heureuse que tu prenne le scénario d'Athéna et à quel point tu me rend heureuse surtout Perséphone et Athéna sont vraiment LE ship de ma vie de rpgiste et je ne vois personne d'autre que toi pour jouer la meilleure amie de Perséphone Je suis en adoration totale devant ta plume, rien que le début de la fiche me prouve à quel point tu t'es approprié Athéna. Tu as su y ajouter ta touche personnelle, comme j'aime tant On va faire des merveilles ensemble, j'ai tellement hâte de rp à nouveau avec toi, ma belle Bon, que rajouter de plus à part je t'aime, re bienvenue chez toi et bon courage pour finir ta fiche ( je vais la dévorer en la lisant ) et comme tu le dis si bien VIVE LE PERSEIS |
| | | Ilia T. YordanovaConsumed by the shadows Maison/Métier : Auror à Poudlard Célébrité : Troain Bellisario Pseudo : Pandore Malone Âge : 35 Parchemins : 1061 Gallions : 1272 Date d'inscription : 06/06/2017
| Sam 7 Oct - 13:16 |
| oooooh la belle *-* re-bienvenue avec ce perso qui à l'air cool ! on a le même âge !! peut-être que cette fois on aura un lien positif XD |
| | | InvitéConsumed by the shadows | Sam 7 Oct - 14:35 |
| Recoucou Prim, j'ai hâte de voir ce nouveau perso en rp |
| | | Alcyone ShafiqConsumed by the shadows Maison/Métier : 1ère année GISIS en Zoomagie, Serpentard Célébrité : Emily ❤ Didonato Pseudo : Loupiotre Âge : 36 Parchemins : 655 Gallions : 928 Date d'inscription : 06/02/2017
| Dim 8 Oct - 14:05 |
| Re-Bienvenue avec ce nouveau compte |
| | | Sakura Swanson-OkadaConsumed by the shadows Maison/Métier : 7e année Célébrité : Masaki Sato Pseudo : Estelle ⊹ .sparkle Âge : 33 Parchemins : 502 Gallions : 641 Date d'inscription : 28/03/2017
| Dim 8 Oct - 14:26 |
| Re-bienvenue avec cette nouvelle tête |
| | | InvitéConsumed by the shadows | Dim 8 Oct - 15:59 |
| Éternel re-bienvenue ma perle Tes personnages ne cessent de m'éblouir un peu plus à chaque fois, comment tu fais ? On en a déjà parlé mais évidemment, je mets mes deux déesses à tes pieds pour tous les liens que nous aurons l'audace de leur imaginer |
| | | Mila V. SilaïevaConsumed by the shadows Maison/Métier : Serdaigle, deuxième année de GISIS en Zoomagie, préfète & membre des clubs d'astronomie et du 2ACM Célébrité : Lily Collins Pseudo : Barling Âge : 31 Parchemins : 3299 Gallions : 3398 Date d'inscription : 12/10/2016
| | | | InvitéConsumed by the shadows | Lun 9 Oct - 9:37 |
| REBIENVENUE Je plussoie VDD. ZOEY + TON VAVA Ilnousfaudraunlien |
| | | Athéna V. BorginConsumed by the shadows Maison/Métier : deuxième année en médecine magique Célébrité : madelaine petsch Pseudo : Prim Âge : 27 Parchemins : 505 Gallions : 849 Date d'inscription : 08/07/2017
| Mar 10 Oct - 23:54 |
| Perséphone + Je pense que tout a été dit, mais ce scénario, ce personnage, c’est de la folie pure, je suis tellement contente que tu aimes ce que j’ai écrit jusqu’à présent. C’est toi qui me rends trop heureuse, je suis enthousiaste, tu n’as pas idée à quel point chaque minute passée à écrire avec Athénaïs est un plaisir sans nom. Je te remercie pour le temps, pour l’écoute, encore une fois, tu ne sais pas à quel point ça me touche, j’ai hâte d’écrire de nouveau avec toi, parce que ta plume me manque, c'est un truc de dingue. Je t’aime aussi, je te remercie, j’espère que le produit fini te plaira, tu es la plus parfaite, tu es la Fred Weasley à mon George Weasley, le Tic à mon Tac, ma Tic Tac dont je ne pourrais jamais me passer. Ilia + Merci beaucoup ma grande sœur d’amour d’un autre visage. Bien évidemment que l’on se trouvera un lien, les deux demoiselles sont similaires et ce sont toutes les deux des traîtresses, elles ne pourront que s’entendre (jotem ). Kata + Merci, mon petit cœur. Alcyone + Merci, chou. Sakura + Merci, mon amour. Eva + Comment je fais ? Je prends exemple sur toi pour créer mes personnages. J’ai hâte que l’on se fasse un petit tête pour discuter de nos liens, je suis certaine que l’on se fera quelque chose de génial. Mila + Merci, mon trésor ! Je suis contente si mes choix te plaisent, et j’espère que le reste te plaira également, ça me ferait tellement plaisir que tu aimes. C’est toi, la merveille du monde, la huitième, la neuvième, la millième, il n’y a pas de mot, pas de limites. Qentrys + Merci beaucoup, je suis contente que cela te plaît, et ce sera avec plaisir pour un lien. Sur ce, j’ai posté l’histoire, il ne me reste qu’une petite partie, on y croit. |
| | | Mila V. SilaïevaConsumed by the shadows Maison/Métier : Serdaigle, deuxième année de GISIS en Zoomagie, préfète & membre des clubs d'astronomie et du 2ACM Célébrité : Lily Collins Pseudo : Barling Âge : 31 Parchemins : 3299 Gallions : 3398 Date d'inscription : 12/10/2016
| Mer 11 Oct - 11:35 |
| Tu ne peux pas m'adresser de tels compliments quand tu as une plume aussi belle que la tienne, je m'incline volontier devant la beauté de tes mots et je vais de ce pas te créer un petit autel (comment ça je m'enflamme ?)J'ai parcourus des brides de ta fiche et je suis déjà en admiration, j'ai hâte d'avoir le temps de m'y consacrer pleinement pour découvrir ta nouvelle merveille |
| | | InvitéConsumed by the shadows | | | | InvitéConsumed by the shadows | Ven 13 Oct - 23:09 |
| Alors, ma belle Tu sais que j'ai aimé Athéna, avec cette super référence à l'un des personnages le plus sous exploité de la saga. Cet amour d'une jeune mère à son enfant, ce besoin de reconnaissance qui la pousse à adhérer à des idéaux qui à la base n'étaient pas les siens, ce connard de fiancé avec toujours cette façon décrire belle et limpide. Alors, JE TE VALIDE, PINNOCHIO MON ENFANT (à dire comme le ferait la Fée Fagot hinhin) Allez, et parce que j'ai été indécise jusqu'au bout et que finalement, c'est plus Wiwi & Kata qui ont su me mettre sur la bonne voie, je te laisse encore un peu de mystère - SUSPENS:
Félicitations, tu as réussi à faire ta fiche de répartition ! Le Choixpeau n’a pas hésité plus d’une minute avec toi et a pris sa décision. Maintenant que tu as été réparti dans ta maison, tu vas pouvoir procéder à toute la partie inscription administrative de Poudlard.
N’oublies pas qu’ici, tu peux t’amuser rapidement alors n’hésites pas à nous rejoindre soit dans le flood soit sur la ChatBox ! Tout le monde est le bienvenue. Tu peux maintenant commencer à créer de nouveaux liens avec les autres sorcier de mumblemumps. Tu trouveras tout ça dans le journal du sorcier. Ce n'est pas tout, il va falloir que tu viennes recenser ton personnage dans le dortoir, les clubs, l'équipe de quidditch etc... Tu trouveras tout ce qu'il faut dans les parchemins indispensables ! Ensuite, si tu as la moindre question n’hésites pas à envoyer un hibou à l’un des membres du Staff. Nous t’attendons vite à Poudlard et nous tenons surtout à te remercier de t'être inscrit sur MUM ! Si tu as envie de RP mais que tu n'as pas de partenaire, viens t'inscrire au speed dating version sorcier. Tu peux aussi consulter le répertoire des sujets libres et communs. Pour ne pas te perdre dans la chronologie du forum, voici un petit rappel. Si tu as du mal à te retrouver dans le château, que tu ne comprends rien à tes cours ou que tu as été victime d'un sortilège de confusion, tu peux toujours demander un parrain pour te guider.
Tu trouveras le QG de ta maison et les secrets qui l'entourent, par ici. N'hésite pas d'ailleurs à dépenser tes gallions pour faire gagner des points à ta maison, pour découvrir des indices sur l'épidémie ou pour t'acheter des objets. Tu trouveras toutes ces choses dans la boutique. Il te faudra également installer ton hibou dans la volière pour pouvoir recevoir du courrier. Enfin, pour consulter la liste des cours disponible et t'y inscrire, c'est par ici.
Si tu veux agrandir ton cercle d'ami et que tu as une idée en particulier, n'hésites pas à créer ton propre scénario, une fois que tu auras deux semaines d'activité sur le forum et un RP en cours, que tu peux faire ici. Enfin, et surtout pour gagner le coeur de nouveaux sorciers, nous t'invitons à voter pour MUM dans la session que tu trouveras dans la taverne.
N'oublie pas le plus important : amuse-toi bien sur MUM ! Cordialement, Le Choixpeau Magique Mumblemumps ϟ Tous droits réservés.
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