Burn It Down + Oxa (Terminé)

Beau/belle et jeune garçon/fille qui nous vient tout droit de Durmstrang pour entamer sa année d'étude en lettres année au collège. Il/elle est né(e) au manoir des Yordanov en Bulgarie en ce beau jour qu'était le 04 juin 1982 en tant que sang pur ; à présent il/elle vit à Poudlard, à son plus grand regret. Il/elle est plutôt Fière, ambitieuse, forte d’esprit mais aussi manipulatrice, tortionnaire, sadique. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être moyen, son comportement  lui faisant perdre pas mal de points. Il y a quelques années maintenant, il/elle s'est procurée une baguette faite en bois de chêne, mesurant vingt-cinq centimètres et contenant ventricule de dragon. Avec cette baguette, il lui est impossible de créer un patronus . La vision qu'il/elle a eu face au miroir du risèd : elle à la tête de la famille. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. En quelques mots, l'apparence de l'épouvantard, de sa propre famille la rejetant comme une bête insignifiante.

Option 2 : Beauxbâtons/Durmstrang
Je suis né(e) le 04 juin 1982. Après mes 11 ans, j'ai reçu ma lettre pour entrer à Durmstrang. J'y suis entré(e) en septembre 1993, ma première année était donc 1993-1994. Après la fermeture de Poudlard en 1998 et de Durmstrang en 1999, un échange entre les trois écoles m'a permis de poursuivre mes études à Poudlard. A mon arrivée à Poudlard, en septembre 1999, j'étais en septième année. Aujourd'hui, pour l'année scolaire 2000-2001, je suis en huitième année cursus politique magique car j'ai réussi mes examens.

Pour une chronologie plus poussée, merci de vous diriger vers le journal du joueur après votre validation !

ϟ Que pensez-vous de l'échange européen inter-écoles ? Ta langue claque contre ton palais d'un coup sec et résonne en échos à travers la pièce. Puissante, virulente, aiguisée. Cette langue tu t'en sers pour la plupart du temps afin de profaner des immondices, afin de réduire à l'état d'agneau apeuré même le plus brave des dragons. Ta tête se secoue en un mouvement fluide, faisant dégringoler sur tes épaules ta chevelure rouge sang. Droite, gauche. Droite, gauche. Droite, gauche. De toutes évidences tu n'es pas d'accord avec cet échange. Pourquoi le serais-tu ? Durmstrang est ta maison. Durmstrang est ton royaume. Alors Poudlard. Entre tes lèvres le nom de l'école de magie sonne comme la chose immonde auquel elle te fais penser. Ton rire rauque, chatouille doucement ta gorge, te donnant, tu en as conscience, un air ahuri. Démentiel. Si la plupart de tes camarades voit une opportunité à rejoindre les rangs de cette école de magie, toi tu ne vois là que l’espérance de te rapprocher de tes frères, sonner un nouveau départ, mais... Tu le sais, ce ne sera pas chose aisée. Non, cet échange europpéen inter-écoles c'est vraiment de la merde.

ϟ Que faisiez vous lors de la Grande Bataille ? Tes yeux se plissent, laissant se dessiner sur ta peau laiteuse un petit creux au centre de tes sourcils. La frustration résonne au fond de ton cœur alors que tes lèvres se pincent. Que faisais-tu le soir de la grande bataille ? Tu aurais aimé répondre que tu te battais, comme tous les autres mais c'est faux. Andrei en a décidé autrement et pour tout avouer, tu étais chez toi ce soir là. Tu étais chez toi, tu tapais des pieds, hurlais à qui voulait l'entendre que c'était une honte. Un honte de ne pas être aux côtés du seigneur des Ténébres le soir de son ascension au pouvoir. Car oui, ce soir là tu étais persuadée qu'il aurait gagné. Que les forces du mal s'en tireraient victorieuses mais ce ne fut pas le cas. Aujourd'hui tu remercies ton géniteur. Aujourd'hui tu réalises que tu n'aurais pas supporté cette défaite, alors tu n'as plus honte.

ϟ Avez-vous peur de perdre vos pouvoirs ? Pourquoi ? Tes doigts tapotent contre le bois abimés de la table sur laquelle tu es accoudée, tes ongles raclant légèrement la texture. Tu relèves le visage, tes iris scrutant ton interlocuteur d'un air grave. Un instant le temps se suspens entre vous et le silence s’immisce à vos oreilles donnant à cette scène une allure d'autre-monde. Peur de perdre tes pouvoirs ? Bien évidemment que tu as peur de les perdre. Ta main vient fouetter les airs, alors que tu affiches un air déconcerté. Oui, tu as peur. Peur d'être faible. Peur de ne plus pouvoir te défendre. Peur de perdre cette magie qui fait partie intégrante de toi. Savez-vous ce que fait l'effet de perdre une partie de son âme ? Tu le sais toi. Tu l'as vu tant de fois ce moment douloureux à travers les yeux de tes victimes. Alors... Tu as peur. Car tu ne veut pas être une de ces faibles qu'il te plait tant de briser.

ϟ Quelle est votre réputation à Poudlard ? Que pensent les autres élèves de vous ?  Tu prends le blâme, tu prends le drame. Sur tes épaules, repose le poids des accusations. Sur ton passage les chuchotements s'élèvent, les yeux se baissent. Tu inspires la crainte autant que la fascination. Même si en apparence ton sourire a quelque chose d’innocent, tu n'en reste pas moins la reine des cauchemars. Ta réputation te précèdes, tes camarades de Durmstrang ne t'ont pas laissé le bénéfice du doute et ici plus rien n'est a refaire. Tu es Oxana, tu inspires la folie, l'angoisse et la souffrance, tu en joues et le revêt comme une seconde peau. Après tout pourquoi cacher ta vraie nature.  

(MISE EN SITUATION : Aucun nombre de lignes imposé.)Tes yeux se ferment doucement alors que le tintement des rails sous tes pieds cahotent dans un doux tintamarre. Tu ressens la moindre secousse, qui se répercute dans ton corps. Voilà déjà plusieurs heures que le géant de fer te balade à travers les contrées et les paysages tous aussi différents les uns des autres. Au milieu du vacarme ambiant le silence trône en ton esprit. Tu es d'habitude une personne joueuse, une de ces personnalités que l'ont remarque très vite et pourtant, ce soir tu te mures dans ce cocon silencieux. Tu ne partages pas l'enthousiasme de tes camarades et ce ne sera jamais le cas. Tu n'as pas envie de rejoindre les autres, de faire la fête avec eux. D'ailleurs tu te demandes encore ce qui te retiens de leur cracher ton venin à la figure. Impulsive. Entêtée. Mutine. Impitoyable. Ce sont des qualitatifs que l'ont utilise à ton égards. Un léger soupire franchit la barrière de tes lèvres alors que ton front se colle contre la paroi glacée de la vitre du train.

Il fait nuit lorsque le train s'arrête sur le quai de gare en un vrombissement sourd. Le contraste avec le paysage de ton pays est détonnant, alors que tu découvres ces landes quasi inconnues. Ces routes que tu découvres avec un air blasé figé sur le visage. Tu inspires un grand coup, l’air frais de l'Angleterre caressant ton visage. L'arrivée est plus calme que ce que tu aurais pu penser. Tes amis affichent des mines émerveillées, songeant sûrement aux nouveaux élèves a approcher.  Dans certains wagon on entend les garçons parler du charme anglais, les filles gloussent en mentionnant les petits français. Toi, tu t'en fiches. Tu pinces les lèvres avec une seule idée en tête retrouver TON jouet. Zahari. Il n'est plus qu'à quelques mètres de toi et déjà tu tressailles de retrouver cette mine si pitoyable se coucher à tes pieds. Un sourire carnassier étire tes lèvres alors que d'un pas francs tu martèles déjà les pavés.  Pourquoi tu souris ainsi Oxana ? Toi aussi tu es curieuse de rencontrer les petits anglais ? dit une voix à ta droite. Tu tournes lentement la tête vers ta camarade avec un sourire éclatant tout en hochant la tête. De nouveaux jouets. De nouveaux jouets à qui malheureusement elle n'aura pas le droit de toucher. Tu te penches vers la demoiselle qui te fixes d'un air entendu, colle doucement ton front au siens. Ici, parmi tes camarades, tu es respectée. Là-bas tout est à refaire. Je suis plus que curieuse oui... dis-tu d'un claquement de langue. Curieuse, c'est le mot. Passant la main dans le monticule de tes cheveux carmins, tu les relèves en un chignon réalisé à la va vite. Des plans tu en as. Tu en avais. Tu n'as pas put tous les réaliser, mais tu gardes espoir.

ϟ Ton pseudo : Badmoon. ϟ Ton âge : 24 ans. ϟ Comment as-tu connu le forum ? : Topsites. ϟ Ton avis sur mumblemumps : Cey bo et tout le monde a l'air cool. ϟ Le mot de la fin : Beware, j'arrive.    

La douleur est toujours là. Tapie dans l’ombre. Parfois vibrante. Plus rarement suspendue dans le temps. Les épisodes et les crises s’espacent, mais s’allongent et s’étirent pour compenser l’accalmie accordée. Un mal pour un bien, comme tu le dis si bien. Une torture infligée depuis des années, une punition instaurée dès les premiers moments. Marquant à jamais son corps et son esprit, d’une signature au fer rouge. Une douleur ressentie à chaque instant. Chaque jour qui passe est signe d’une nouvelle horreur que ton esprit si tordu peut engendrer. D’une nouvelle plaie que tu peux creuser dans sa peau. D’un fragment brisé que tu peux inscrire en son âme. En ce jour, la douleur est encore là. Présente alors que tu effleures sa peau de tes mains. Pulsante en ses muscles une fois l’impact causé par tes poings. Crépitante contre son épiderme dès lors que tes paumes le libèrent enfin. De cet étau étouffant qui l'oppresse. Alors que les coups pleuvent sur son être. Tu ne t'arrêtes pas. Tu ne t’arrêtes jamais. Tu hurles, tu crises, tu es en colère. La rage élève ta baguette tandis que tu abats tes sorts sur lui, encore et encore. A n’en plus finir. Couvrant sa peau d’une couleur bleutée, mauve, parfois orangée ou verdâtre, tirant sur le jaune. Son corps est maculé, tâché de ces tons pastels. Un filet vermeil jaillissant parfois tranchant avec ce tableau. Une plaie, que tu dessines sur son épiderme, creuse dans sa peau. Laissant le liquide carmin s’échapper, glisser hors de ses veines, s’épancher à même le sol. Teintant le béton, cette texture terne, d’une tâche écarlate, colorant ce gris fade. Tes yeux glissent sur la silhouette du bâtard.  Zahari. Son nom te dégoute, sa personne t’execres, sa présence te pourries l'existence. Il y a bien longtemps que tu n'as plus senti cette douceur, cette chaleur couler en toi. Le frisson du contact a été des plus grisant, et le bruit des sorts lancés vibre en toi à mesure qu'il rencontre une résistance. Tu es transporté, littéralement. Comme si un nouveau monde s'était ouvert à toi en réalisant un simple geste. Les bruissements et les frottements de la peau contre les vêtements ont subtilement chatouillé tes sens, alors que ta vue s'embrume. Les expirations et les exaltations parcourent la pièce, se répercutant sur toutes les surfaces, en écho à vos émotions. Des gouttes perlées s'écrasent au sol, rejoignant le décor macabre qui prend lieu autour de vous. Tu observes le corps recroquevillé de ton frère... Non. Ce n'est pas ton frère. Le corps de cette... Chose. Ses couleurs ont disparues, et pourtant, tu vois tout plus vivement. Comme s'il t'avais transmis ses propres couleurs, comme si tu les lui avais volées. Tu le déteste. Du plus profond de ton âme. Zahari t'obsédes ça en est  presque maladif. Mais c'est sa faute. Tout est sa faute. Votre père le dit. Zahari tout est ta faute.

Tes yeux glisses sur ton bras, parcourant de tes iris noires le tatouage qui orne fièrement ta peau pale. Tu te souviens sans le moindre mal de ce jour. Celui où à tes 7 ans, tu fut marqué du tatouage familial. Du jour où tu es devenu un dragon. De l'énergie, pulsant silencieusement dans l'obscurité, en des arabesques intriquées si habilement, si élégamment, que rien ne pouvait décomposer cette beauté.  Aucune perturbation ne dérangeait ce paysage dénué de couleur, grisé par l'absence de lumière, autre que celle provenant de la baguette patriarcale elle-même. Le silence obstruait la pièce, cette sphère et toi-même était soumise à cette absence de murmures, de chuchotements. Les frictions de matière, d'anti-matière, les particules alentours, rien de tout cela ne semblait pouvoir t'atteindre. Tes yeux absorbés par les crocs acérés qui défilent en cascade sur ton membre. Peut-être aurais-tu du ressentir de la douleur. Une forme d'émotion ? Pourtant rien de tout cela ne te traverse. Tu n'es qu'une petite fille et pourtant ton palpitant ne te sers déjà qu'à pomper le sang dans tes veines. A vivre. Les émotions, tu les refoulent. Tu ne veux pas devenir faible. Tu ne les connaient pas, du moins tu t'efforces à les rejeter. Tu es un dragon, aux griffes acérées. Tu es un dragon et tu ne songes déjà qu'à faire trembler. Après tout... Pourquoi quelqu'un pourrait-il t'aimer ?


Un souffle glisse sur tes lèvres entrouvertes, tes pas claquant contre la texture du sol, tandis que tu t’arrêtes brusquement. Jambes tremblantes, muscles crispés, peau à vif. Joues échauffées, pupilles dilatées, yeux écarquillés. Ta gorge te brûles de par sa course effrénée, ta respiration devenant erratique, le poids de la réalité pesant sur tes épaules. Tes iris s’accrochent à la scène qui se joue là, sous tes yeux. Bien trop tangible, elle t’empoigne au travers de ton âme, transperçant ton organe qui pulse sous tes côtes. L’écho d’un battement raté se répercutant au creux de ta cage thoracique. Tu clignes des paupières, un éclat d’horreur pétillant sur le voile de tes iris, à l’instant où tes traits se durcissent. Ta mâchoire se crispe, et tu serres les dents en t’élançant, ébranlant ton immuabilité précaire pour traverser l’espace qui te sépare de ta sœur. Tes pas résonnent furieusement dans la pièce sombre, ton être bouillonnant comme jamais. Le sang ne fait qu’un tour dans tes veines qui se gonflent sous l’assaut de l’adrénaline. Il cogne à tes tempes, sans jamais s’arrêter, et les percussions résonnent jusqu’à tes oreilles bourdonnantes. Le temps se fige à mesure que tu t’approches d'elle, ta main étendue en avant, paume ouverte, tes doigts cherchant le contact de la silhouette. Pourquoi ? Pourquoi a-t-elle besoin de tout foutre en l'air ? Pourquoi a-t-elle besoin de les briser plus qu'ils ne le sont ? Tu aurais tellement voulu être proches d'elle. Aussi proche qu'elle peut l'être du bâtard. Mais elle n'a d'yeux que pour Zahari. La seule manière qu'elle a de communiquer avec toi c'est à coup de baffes. Tu es un monstre Oxana. Tu ne vois pas ce que tu fais ? Non. Non. Non. Tout ce que tu vois toi, c'est que ta sœur ne veux pas de toi. Ne veut pas des jumeaux. Seul Zahari compte. Traçant les contours pour définir si tout cela est bien réel et pas un mauvais rêve. Ta langue est lourde dans ta bouche, et ta gorge, enserrée par ces émotions qui te transcendent, par ces sentiments qui t’empoigne, et ces sensations qui te tiraillent. Le tableau te rends nauséeuse, alors que ta vision se brouille un instant, ton corps tremblant subrepticement. Et voilà que ce matin, au petit déjeuner elle lâche cette bombe. Ces mots si horrifiques que tu préfères ne pas y penser. Violé et violenté. Les mots se répercutent en ton âme, alors que sous tes doigts le tissus de la robe d'Ilia s'effrite. Les lèvres tremblantes tu es convaincue que si la guerre est déclarée depuis des années déjà, jamais tu ne lui pardonnera. Jamais tu n'en reparlera.

Les étoiles brillent dans le firmament, le ciel à présent assombri par la nuit et caché par quelques nuages éparses. La lune darde ses rayons laiteux sur la fenêtre et ton visage brille alors dans la pénombre alentour. Tu soupire doucement, une tasse de café fumante entre les mains. Tes ongles claquant contre le récipient tandis que tes iris chocolatés contemplent les étoiles. Apportant la tasse à tes lèvres, tu savoure le liquide chaud et amer glisser sur ta langue, caressant ta gorge. Fermant les yeux un court instant, tu soupire en clignant des yeux. Vous avez tellement de secrets… Reportant ton attention sur ta tasse, tu te détourne du spectacle offert par la beauté céleste, et t’avance vers le battant de ton lit. Les pans de ton long gilet en laine dansant derrière toi. Au loin la musique tape contre tes tympans. Yassen sera sûrement contrarié de voir que tu as préféré t’éclipser de sa soirée. Pourtant tu fournis un nombre d'effort incroyable pour rester proche de lui. Tu n'as jamais eut personne d'autre que les jumeaux à qui te raccrocher et si tu as perdue Kamen, Yassen lui, t'es resté fidèle. Longtemps, à tes yeux les garçons sont restés à tes yeux "les jumeaux". Un duo se transformant en trio dés lors que tu fût en âge de les trimballer avec toi. Tu ne te souciais pas vraiment d'eux, ne cherchant pas à les différencier du moment qu'ils restaient dans ton ombre. Te suivant dans toutes tes excentricités. Les jumeaux. Tu soupires, passe une main sur ton visage fatigué. Ils sont probablement les seuls à compter pour toi. Tu le leurs montrent aussi faiblement que possible. Les Yordanov, ne montrent pas ce genre de choses à ton sens mais il est vrai que ce trio te manques incroyablement. Ton regard bifurque sur la malle posée négligemment au pied de ton lit. Bientôt votre vie va changer du tout au tout et si cette idée ne t'enchante pas tu y vois là un moyens de réunifier ce trio qui te tenaient tant à cœur autrefois.


L’anarchie, la beauté archaïque. Troublée en un instant. En une fraction de seconde. Le paroxysme, à peine frôlé, jamais atteint. Et déjà, tout s’écroule. Un craquement, qui résonne en un écho imperturbable, des débris qui jonchent le sol. Clignant des paupières, le souffle court et la respiration extatique, tu reprends brusquement contact avec la réalité. Une autre image s’imprime sur tes iris, tandis qu’un écho plus lent se répand au creux de ta cage thoracique. Sous tes doigts un morceau de papier froissé. Il est mort. Zahari est mort et ce morceau d'âme que tu avais peur de perdre autrefois s'arrache à ton être. Andreï l'a tué. Tué ton jouet et déjà le vide s'engouffre en ton être. Tu ne sais pas très bien ce que tu ressens. Pas de peine, pas de joie. Rien. Un trouble immense. Une frustration. Un manque à comblé. Voilà déjà une année que tu es à Poudlard. Des choses tu en as vécues et pourtant rien n'est tels que les mots qui tâche le parchemin filant entre tes doigts. Tu ne sais pas. Tu ne sais plus quoi penser. Qui tu es devenu et qui tu étais. Tu es perdue. Totalement perdue, là au millieu des autres élèves de Poudlard, le masque s’effrite faiblement mais bien vite le dragon reprend ses droits. Il est mort. Zahari est mort.
 

Félicitations, tu as réussi à faire ta fiche de répartition ! Le Choixpeau n’a pas hésité plus d’une minute avec toi et a pris sa décision. Maintenant que tu as été réparti dans ta maison, tu vas pouvoir procéder à toute la partie inscription administrative de Poudlard.  

N’oublies pas qu’ici, tu peux t’amuser rapidement alors n’hésites pas à nous rejoindre soit dans le flood soit sur la ChatBox ! Tout le monde est le bienvenue. Tu peux maintenant commencer à créer de nouveaux liens avec les autres sorcier de mumblemumps.    Tu trouveras tout ça dans  le journal du sorcier. Ce n'est pas tout, il va falloir que tu viennes recenser ton personnage dans le dortoir, les clubs, l'équipe de quidditch etc... Tu trouveras tout ce qu'il faut dans les parchemins indispensables !  Ensuite, si tu as la moindre question n’hésites pas à envoyer un hibou à l’un des membres du Staff. Nous t’attendons vite à Poudlard et nous tenons surtout à te remercier de t'être inscrit sur MUM ! Si tu as envie de RP mais que tu n'as pas de partenaire, viens t'inscrire au speed dating version sorcier. Tu peux aussi consulter le répertoire des sujets libres et communs. Pour ne pas te perdre dans la chronologie du forum, voici un petit rappel.
Si tu as du mal à te retrouver dans le château, que tu ne comprends rien à tes cours ou que tu as été victime d'un sortilège de confusion, tu peux toujours demander un parrain pour te guider.  

Tu trouveras le QG de ta maison et les secrets qui l'entourent, par ici. N'hésite pas d'ailleurs à dépenser tes gallions pour faire gagner des points à ta maison, pour découvrir des indices sur l'épidémie ou pour t'acheter des objets. Tu trouveras toutes ces choses dans la boutique. Il te faudra également installer ton hibou dans la volière pour pouvoir recevoir du courrier.    Enfin, pour consulter la liste des cours disponible et t'y inscrire, c'est par ici.  

Si tu veux agrandir ton cercle d'ami et que tu as une idée en particulier, n'hésites pas à créer ton propre scénario, une fois que tu auras deux semaines d'activité sur le forum et un RP en cours, que tu peux faire ici. Enfin, et surtout pour gagner le coeur de nouveaux sorciers, nous t'invitons à voter pour MUM dans la session que tu trouveras dans la taverne.

N'oublie pas le plus important : amuse-toi bien sur MUM !

Cordialement,
Le Choixpeau Magique