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La lecture est à l'esprit ce que l'exercice est au corps. ⎜ Olivier

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La lecture est à l'esprit ce que l'exercice est au corps.

       

"Un mètre de parchemin sur les propriétés de la pierre de lune." Rien que ça ? Ce sera tout monsieur le professeur ? Un mètre ? En anglais ? C’est évident que les professeurs de cette école voulaient ma mort. Bientôt, je serais comme ce fantôme dans les toilettes des filles du deuxième étages, à hurler sur tous le monde parce que je serai morte ! Le désespoir c’était peu à peu emparé de moi à mesure que les semaines s’étaient écoulé à Poudlard. J’avais perdu tout repère, je ne comprenais toujours pas ce que l’ont pouvait me dire, bien que je me sois amélioré un peu. Je comprenais parfaitement maintenant lorsqu’ils demandaient tous des mètres de parchemin pour le lendemain. Pas que je ne connaissais pas la pierre de lune, j’en connaissais énormément dessus, mais j’étais incapable de transposer les choses en anglais. Je ne voyais plus qu’une chose à faire, aller me terrer à la bibliothèque, trouver un livre, des livres mêmes et tenter de comprendre les mots que je lirai pour les télescoper à mes connaissances. Si j’avais pu faire ce parchemin en français, je savais parfaitement que j’aurai eu une note optimal pour en avoir fais un similaire à BeauxBâtons l’année dernière.

D’un pas trainant et désemparé je me dirigeais vers le quatrième étage afin de rejoindre la bibliothèque. Au deuxième étages c’est avec un naturel déconcertant que je prenais le passage secret caché derrière un tableau représentant Basile de Fronçac, un ancien directeur de Poudlard selon la mention présente. Une personne m’avait une fois glissé que le passage avait changé de direction pour diriger vers la grande salle, mais en l’essayant j’avais découvert qu’il menait tout droit au couloirs de la bibliothèque au quatrième étage.  Je passais devant le tableau de Percival Pratt, remarquant que des troisièmes années cherchaient le fameux mot de passe pour emprunter le passage secret menant à l’hangars à bateau. Du moins c’est ce que j’avais compris en écoutant des bribes de conversation et en les traduisants approximativement.  Je passais la grande porte de la bibliothèque pour pouvoir à nouveau admirer les centaines de rayons et les millions d’étagères présent dans la bibliothèque. Commençant à connaitre les lieux comme ma poche, je me dirigeais vers la section des potions, trouvant une table libre quelque peu à l’écart j’y déposais mes affaires et commençais ma recherche de livre. Des renseignements sur les pierres de lunes, dans quoi pourrais-je bien trouver ça ? Les titres des livres me semblaient n’avoir aucune signification, mais c’était bien parce qu’ils étaient en anglais. Un livre intitulé «Stones as ingredients » me sembla tout indiqué après une vérification de la signification de Stones dans mon dictionnaire.

J’étais installé depuis plus d'une heure déjà, quand, sans m’en rendre compte j’agitais ma baguette en réfléchissant et une dizaine de livres me tombaient sur la tête, me poussant sur le côté, j’en évitais un maximum alors que les regards se tournaient vers moi, laissant les rires commencer à monter dans la bibliothèque. J’entendis une voix leur demander de se taire et des pas approcher. Sans aucun doute que j’étais bonne pour prendre la porte. Je me retournais, découvrant le bibliothécaire qui avançait vers moi, paniqué, je bredouillais en français : "Désolé… vraiment, je ne comprend pas ce qui s’est passé. Je rêvais et j’ai agité ma baguette sans m’en rendre compte. Je n’ai vraiment…vraiment pas fais exprès. Je ne sais vraiment pas ce qu’il s’est passé. Excuser moi. Je vais ranger, et je partirai après…je ne vous dérangerai plus."

Toute troublée, je commençais à rassembler maladroitement mes affaires, faisant tomber ma plume sur le sol, elle se brisa sur le coup. Je poussais un soupir contrit. Je n’en pouvais vraiment plus de cette école. Je haïssais de plus en plus ma mère de m’avoir infligé ça. Jamais je n'aurai mon diplôme.   

(c) naehra.

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Olivier briquait sa bibliothèque, il la chérissait plus que tout. Pour beaucoup d'élèves, ce lieu était un refuge, un endroit pour dissiper toute la nervosité environnante le temps de quelques lectures, de quelques voyages. Lui même n'était pas vraiment présent aujourd'hui, il s'était disputé avec Earendil sur des sujets idiots. A des moments, il lui semblait parler une langue étrangère ou que quelque chose se terrait dans cette relation. Il avait oublié lui-même ses soucis en s'occupant de la conservation de certains ouvrages. L'activité demandait une grande maitrise de soi, de la patience, autant dire que les questions ou hésitations n'y avait que peu de place. Il plaçait une feuille d'or sur le dos d'un ouvrage, à l'aide d'un pinceau il traçait les contours des lettres pour qu'elles retrouvent tout leur prestige. Le livre aurait bientôt l'air d'avoir vingt ans, il le chérissait en le caressant avec amour. Faire retrouver leur jeunesse aux livres prenait un temps fou, il fallait compter parfois deux jours le temps des différentes applications, des différents séchages. Il aimait dire que tout comme un artiste, il participait quelque part à la beauté de Poudlard. Non, il allait sans doute trop loin. Ses mains étaient encore toutes collantes, il prit soin de ne pas trop toucher le cuir de la couverture. Olivier allait le placer dans l'étagère des futurs retours quand un bruit effroyables digne des chutes de pierres des falaises de Carnwac retentit.

Olivier s'il avait été un furet aurait dressé l'oreille et se serait faufiler jusqu'à l'origine de la cacophonie. L'effet fut du pareil au même. Il se trouva bientôt face à la criminelle toute désignée... Elle venait encore effrontément de faire tomber un énième ouvrage. Il rejoignit tous ses confrères au sol, heureusement la fille n'avait rien... oui heureusement... Il regardait piteusement ces livres qui avaient dû être bien tranquilles avant cette bourrasque. Des explications suivirent. Elles ne retiraient rien à l'acte, mais il put identifier la fille en question. Elle s'appelait Mathilde, il l'avait déjà vu dans cette bibliothèque, où elle s'était bien comportée. Il était bien désolé de parler ainsi mais sans vouloir paraître vieux jeu... certains se comportaient comme des petits sauvages ou des voyous... Sa lèvre tremblait un peu en songeant que peut-être dans tout ce fatras des déchirures seraient apparues.


" Très bien. Tu ramasses et tu me rejoins à l'atelier. Je t'y attendrai, Mathilde. "

Visiblement peu de bonne humeur, il tourna les talons pour retourner à son activité. Une voix de la conscience lui rappela que cela pouvait arriver à tout le monde, qu'il n'avait pas à faire son ronchon car ce n'était pas le bonjour et que surtout... il ne pouvait pas constater les dégâts en s'isolant ainsi. A contre-coeur, il fit demi-tour en souriant. Où donc venait ce sourire ? Personne ne pourrait le dire ? Mais il venait laver toute la monotonie aupravant présente. Il fit tout gaiement :

" Autant s'y mettre à deux"

Ouh, ouh, allons y gaiement. Il ne pouvait s'empêcher de les garder un instant en main, de les retourner pour prendre leur pouls pour savoir s'il devait les emmener à l'atelier.

"... C'est la première fois que cela t'arrive, que cherchais-tu ? "
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