No one is free, even the birds are chained to the sky. ◄ Amore (délai jusqu'au 20/11)

Beau et jeune garçon  qui nous vient tout droit de Beauxbâtons pour entamer sa sixième année au collège. s  Il est né(e) à Bordeaux (quartier sorcier) en ce beau jour qu'était le le 13 Décembre 1983 en tant que né sang pur ; à présent il vit à Poudlard. Il est plutôt réservé qu'extravertie, réfléchie plutôt que impatient, observateur plutôt qu'étourdi mais aussi méfiant plutôt que très sympathique, anxieux  et obstiné. Jusqu'à maintenant, son niveau scolaire s'est révélé être bon mais peut mieux faire. Il y a quelques années maintenant, il s'est procurée une baguette faite en bois de érable, mesurant 23 cm et contenant corne de serpent cornu. Avec cette baguette, il lui est impossible de créer un patronus. La vision qu'il/elle a eu face au miroir du risèd : Lui-même, des  étoiles dans le ciel et un patronus. Mais la vie n'est jamais entièrement rose, la preuve avec les épouvantards. Une corde qui l'étrangle: souvenir d'enfance, faute des moldus, dans son cas.

ϟ Que pensez-vous de l'échange européen inter-écoles ? Quand j’ai su son existence, je n’étais pas très enthousiaste à cette nouvelle idée. Je jugeais que cette idée était subite, comme un cadeau joliment emballé donné avec surprise. Et les cadeaux sont censés vous rendre heureux, moi cela ne me rend pas joyeux. Au contraire, cela m’exaspère. La nouvelle d’un échange entre trois écoles de sorcellerie en Europe ne m’a pas enthousiasmé au premier abord. « Partir pour voir un autre monde » disait la professeure de potions à Beauxbâtons. Moi, je pense déjà à un autre monde dans mon imaginaire. Pas besoin de voyage de physique pour rencontrer un nouveau monde; mon imaginaire nous emmène ailleurs.
Cependant, je suis ici pour en discuter.  Il serait clair que c'est un de mes parents qui m’est obligé à venir par ici, un parent qui se dit que son fils à besoin d'expérience humaine pour se consistuer un avenir.  Sachez que vous avez bien tort !  Au contraire, c’est moi qui ai décidé de venir malgré que cela puisse m'ennuyer. Je me suis laissé charmer par l’idée que je pourrais être un tout nouvel élève dans une autre école, dans un autre monde qui n’est pas le mien comme dans mes rêves telle une sorte d’échappatoire. Etre à Poudlard me permet d’avoir de nouvelles habitudes et de rêver à de nouvelles choses dans un endroit auparavant imaginé.  Je m’échappe toujours par les rêves où que je sois !


ϟ Que faisiez vous lors de la Grande Bataille ?  Je n’ai pas participé à cet événement. J’ai pris connaissance de cet épisode par les médias, les murmures entre connaissances et je ne sais quoi d’autre. Tout le monde en parlait même dans mon pays d’origine.Je n’aime pas le mal. J’aime les duels quand ils sont sujets à des compétitions, à la volonté elles-mêmes de grands compétiteurs. Il n’y avait pas de compétition dans la grande Bataille, seulement de la violence  et les camps très « célèbres » du mal et du bien qui s’affrontent.

ϟ Avez-vous peur de perdre vos pouvoirs ? Pourquoi ?  Oui, j’ai peur  de perdre mes pouvoirs.  MMais, si un jour cela m'arriverai, j'essaierai de trouver des solutions pour me satisfaire. Cependant, ne serait-ce pas une honte un sang pur sans magie? Probablement oui

ϟ Quelle est votre réputation à Poudlard ?  C’est comme à Beauxbâtons, mon école d’origine ; les gens ontdu mal à me cerner. Certaines personnes me trouvent sympathique. On a même tendance à me dire que je suis drôle. C’est vrai que je suis drôle. Le monde est drôle quand il est intéressant. Amis et ennemis me trouve un peu sûre de moi. Ce n’est un tort d’être sûr de soi. Puis d’autres ne savent pas quoi dire sur moi. Moi aussi je ne sais pas quoi dire sur moi.

(MISE EN SITUATION : Aucun nombre de lignes imposé.)
Au milieu d’un silence étouffé, et dans le ciel gris et bleu britannique, les portoloins dans le ciel de l’école de sorcellerie française emmenait ses élèves aux alentours d’une seconde école, avec la crainte et l’excitation à bord faisant écho aux bonnes et mauvaises nouvelles de partir loin de ce qui est familier.  Puis,  Pré-au-Lard se présentèrent à leurs yeux, à leurs pieds. Quelques élèves de Beaubâtonx n’avaient pas honte, parlant de ce qui leur manqueraient dans la culture sorcière et française, différente de celle des Britanniques. La cuisine, l’art, les manières ; une autre philosophie est un autre goût de la vie paraissant contraire à celle de leurs voisins anglophones. Amore de Bourgevin, l’un de ses élèves paraissant parfois hautain dans leurs propos, pensait qu’il n’y avait pas de quoi eu peur de l’inconnu ; selon lui, la grande épreuve serait celle de rester eux-mêmes et il le fallait puisqu’il était important de garder ce qui les caractérisait d’être français dans un autre pays.  Il avait raison. Les autres, surtout les filles, se souvenaient des rumeurs disant que les femmes anglaises admiraient le charme des françaises. Enfin, ce ne sont que des rumeurs répétaient les élèves moins hautains du carrosse. « À bas les ragots ridicules » scandaient-ils, les yeux rivés sur de Bourgevin. C’était certainement sa mère qui lui avait mis cette idée dans la tête, ou bien c’était son père ; il était parfois incrédule face aux propos de ses parents. Ceux-ci étaient fiers de leur nationalité, de l’histoire française. Il était possible qu'Amore, comme les autres élèves aussi dédaigneux que lui, tinssent pour vrai les ragots les plus insolites sur les Anglais. Alors, fallait-il leur clouer le bec pour faire taire leurs fausses certitudes ? Ceux qui lui tenaient tête avaient de bons arguments contre ses idées infondées, des exemples nombreux qu’ils avaient aussi entendus par la bouche des Français plus déférents que les parents de leurs camarades, dont l’intention était d’effacer son orgueil, ou peut-être son animosité, et celle de ses amis. Ces exemples étaient aussi des ragots, des ragots qui soutenaient que les Britanniques étaient des gens très sociables et amusants, propre et amateurs de bonnes choses tout autant que les Français.  C’étaient de nouvelles idées qui rassuraient un peu Amore, mais tout comme ses camarades, il attendait de voir la réalité des choses pour faire ses propres idées et non celle des autres.
Alors que les élèves se turent, après de longues minutes d’argumentations autour d’un débat quelque peu enflammé, Amore et les autres élèves de Beaubâtons dirent au revoir et arrivèrent pendant la nuit dans leur nouveau Beaubâtons. Bientôt des Anglais et même des Bulgares allaient peut-être devenir leurs amis… ou pas, se disait Amore.
Les jours se succédèrent à l’intérieur du château de. Poudlard. Ainsi, Amore savait ce qui était vrai ou pas. Il était vrai que les Anglais avaient un mauvais goût en matière de mode, surtout de chapeau de sorcier. Les chapeaux des professeurs étaient bien pointus ou bien trop larges, colorés d'une couleur criarde.  Malgré tout, il était heureux d’apprendre que les Anglais étaient propres, mais les Français avaient tendance à sentir de meilleures fragrances que les Anglais. Malgré ses quelques défauts, Amore se faisait quelques amis ayant quelques qualités et défauts qu’ils n’avaient pas. Cependant, il gardait une grande estime de lui-même.

ϟ Ton pseudo : BaBy DoLL ϟ Ton âge : 17 ϟ Ton avis sur mumblemumps :   ϟ Le mot de la fin : Yeah Baby

(HISTOIRE : sept cent mots minimum.)
Les derniers jours de décembre s’approchaient. Noël arrivait enfin ! Elèves de Beaux-bâtons comme professeurs restés dans l’école durant les vacances, nous avions tous hâte de célébrer les fêtes de fin d’année. Nous commencions même à rêver des cadeaux que nous allons recevoir de nos familles ou de nos amis si nous étions des malheureux nés moldus, blessés de vivre dans une seconde société qui faisait abstraction de notre personne.

Je fais partie de cette catégorie de personnes, et franchement je n’exagère pas en disant que la vie peut paraître dure. Durant les dernières vacances d’été, je n’ai pas réussi à avoir un jour heureux. Mes parents ont du mal à accepter ma différence.  Cependant, il serait trop facile de s’imaginer que mon début d’année que la société sorcière, dans son ensemble, accepte de sorcier « sang de bourbe ». Comme chaque année, j’ai le droit aux réprimandes de certains de mes camarades Ses autres ne sont que des bornés de sang purs et de sang-mêlé qui ont oublié que nous, les nés moldus, restons des sorciers malgré notre statut Quand je pense à ce groupe de personnes, je me revois ces mêmes visages de garçons et de filles remplis d’orgueil : Lemoine, Pascal et de Bourgevin. Mathilde Lemoine  est une jeune fille aux cheveux châtains, très belle et bien grande. Mais ne fiez pas à son visage angélique. Cette fille est bien vilaine tout comme son meilleur ami, Julien. Celui-ci se fait dépasser en taille par sa fidèle amie, mais en stupidité, il dépasse n’importe qui. Avec ses yeux qui me rappellent  celui de son illustre ancêtre moldu très célèbre, je me dis que l’intelligence  n’est pas une qualité qui se transmet dans les gènes. Quant au dernier, Amore de Bourgevin, il ne ressemble pas à ses camarades, mais à une époque, je le trouvais aussi inintelligent que ses camarades de jeux.  Du physique, c’est le plus clair de peau des trois. Il est plus grand que Mathilde, coiffé d’une tignasse plus blonde et plus lisse que celle de Julien et a une paire d'yeux bleus comme les miens, semblable à un « sang de bourbe » aux yeux bleus. C’est ce dernier, avec ses défauts, que j’ai apprécié un jour.
Noël, ce jour-là, approchait aussi à grands pas. Il faisait froid dehors, la neige tombait des milliers de flocons et le froid glaçait nos corps.  Ce jour-là je me protégeais de l’air froid, en restant à l’intérieur de la bibliothèque de l’école. Je n’étais pas le seul dans ce cas ! Nous étions beaucoup dans l’enceinte de la bibliothèque.  Un grand nombre d’élèves prenait un livre pour justifier leur simple présence, d’autres y venaient pour revoir les leçons de leurs derniers cours. J’adhérais au premier principe du second clan. Assis à une table, je révisais la dernière leçon d’études des runes.  Pendant une longue heure, je pensais que rien ne pouvait me perturber jusqu’au moment où Amore de Bourgevin avait décidé de prendre un livre et de le lire devant moi.

Il était clair que le jeune homme m’étonnait pour la première fois.  Lui qui fut l’une première des horreurs à m’apprendre, ce qu’était la haine se tenait maintenant devant moi.  Dans un premier temps, je me voyais très étonné de sa présence dans l’école durant les vacances d’hiver. Sa soeur et lui avaient coutume de célébrer les fêtes de fin d’année en famille à. Bordeaux, leur ville d’origine. D’après des rumeurs, ils vivaient dans un beau domaine, loin du boucan citadin où se mêlaient sorciers et moldus dans une seule et même agglomération.  Ils en profitaient pour voir l’ensemble des membres de leur famille, celle qui avait fait le choix de quitter la France afin de résider dans de nouveaux pays.  Dès les premiers jours du mois de janvier, les. De Bourgevin  nous assommer de leur prétendue anecdote.  En tout cas, sa soeur oui, mais Amore était derrière celle-ci et tenait pour vrai toute fabulation et vérités. Il se pouvait qu’il soit calme face aux spectacles des moqueurs ou des fiers. Quelquefois, je me voyais croire qu’il pouvait se lasser de sa propre routine. Je le considère comme un être lunatique qui s’imagine un monde ailleurs.

Peut-être est-il un grand fantaisiste ? En suivant cette hypothèse, je m’imaginais que son fin sourire, à la bibliothèque de l’école, ne voulait dire que cela. Ou bien, se moquait-il de moi ? À force de le regarder, de penser à lui et à ses délires infantiles ; à son tour, Amore posait ses yeux sur moi. C’était un regard fixe. Il songeait à quelque chose.
Je suis pourtant très observateur, mais je ne m’étais jamais rendu compte de ce grain de beauté, répliqua-t-il de sa voix chantante, oui, celui-ci à ton poignet de droit,  en pointant son index vers ce qui le troublait. C’est étrange, je pensais avoir tout vu de ton physique, enfin de ce que tu montres en public. Heureusement, tu es pour ainsi dire pudique ou bien timide.. Après cela, il souriait, puis il me demanda s’il me dérangeait. Je ne voulais pas lui répondre jusqu’à ce qu’il me déclare : « je veux bien t’aider si tu m’en donnes la possibilité. J’aime bien cette matière ; l’étude des runes. Ce qui en rapport au passé m’intéresse. Cela me fait voyager dans le temps. Tu ne t’es jamais imaginé comment tes ancêtres ont vécu leur jeunesse, leur vie d’adulte puis leur mort. Moi oui avec beaucoup de curiosité, quasiment la même qui me donne de l’intérêt pour les gens du monde présents.

En résumé, il avait trouvé un subterfuge pour engager une conversation avec moi. Je vous l’ai déjà dit, je maudissais Amore. Je ne voulais pas que LUI m’aide. Néanmoins, j’avais besoin que l'on m’aide.  Il est difficile d’apprendre seul certaines leçons.  En conséquence de quoi, j’acceptais sa proposition. Toutefois, je lui réclamai une réponse à une question ; en effet, quelle raison lui poussait à m’aider ? Sans attendre une réponse de sa part, je lui affirmais que je pouvais être un jeune homme aussi observateur que lui-même. En effet, je lui déclarai que seule son arrogance en était la cause. Certes, c’était Amore de Bourgevin qui me proposait son aide !

« Tu me crois prétentieux ? », m’interrogea-t-il de sa fameuse voix chantante qui me fâche souvent.« C’est surprenant que tu oses me dire cela.  Je ne suis pas hautain. J’ai simplement une confiance en moi dans certains domaines de vie. C’est très bien d’avoir une confiance en soi. En tout cas, cela me donne le courage de dépasser certaines limites. Je suppose qu’il y a des choses où je suis bon, d’autres non, mais ces dernières choses en question, j’essaye de ne pas en avoir peur ou bien de dépasser cette même peur. Je sais ce qu’est ma valeur, cependant l’important c’est ce que j’en fais ! L’important c’est de gagner, non de participer ! Maintenant serait-ce difficile pour toi d’accepter mon aide ? »
Même si son discours me paraissait pertinent, je ne me faisais pas d’illusion au sujet d’Amore.  Je me rappelle lui avoir demandé, avec audace, comment pouvait-on faire pour passer de haine contre un né moldu à une amabilité envers eux.  

C’est vrai que  certaines réalités me dépassent. Pourquoi es-tu là ? Je me le demande bien ! Je sais que certaines choses concourent aux biens de certains, de ceux qui parfois paraissent les plus forts. Malgré ma noblesse,  je présume que ta faiblesse ne peut te rabaisser intégralement. Pour compléter ce que j’ai dit tout à l’heure ; je sais ma valeur ; mon sang est supérieur au tien, mais moi ce que je fais et ce qui va m’amener à devenir ce que je suis plus tard, c’est bien ceci qui m’est inestimable […].

Ensuite ; il continuait sur des milliers de certitudes qui lui passaient par la tête. Il avait un avis sur tout :  une supposée tolérance humaine et sorcière, sur la fin de la bonne attitude sans arrière-pensées, la guerre du sang, etc... Je ne l’arrêtais plus.

Puis il s’interrompit. Après quoi il me fixait de ces mêmes yeux comme tout à l’heure, lors de sa venue à ma table.Bon, tu veux que t’aides ? Je n’aime pas tant parler. Je préfère que les gens me parlent. Il se peut que je sois timide, en voilà un défaut médiocre. Il faut affirmer qui l’on est, pas resté en retrait. Les seuls moments où je ne parle pas, c’est lorsque ne supporte plus le monde qui m’entoure. En clair, je suis timide et lunatique, mais valeureux.  Alors, mon aide t’intéresse ? Par peur qui recommence un nouveau discours, j’admettais que son aide me serait d’un grand secours. Or, s'il se montrait pour la première fois sympathique avec moi, il devait faire quelque chose en retour : me demander des excuses pour le mal d’autrefois

J’ignore si je le peux. Je suis plutôt un être fidèle de mes amis, à certaines de mes convictions. D’ailleurs, je suis convaincu que les moldus sont des êtres méchants. Petit, il y en a trois qui ont, osez-me traumatiser avec une corde. Je leur avais fait peur avec la magie. J’étais un enfant et c’était un accident. Pourtant, ils m’ont fait du mal en dépit de ma colère, de ma tristesse et de ma honte. Comme eux, je doute que tu sois un ange. Personne n'est un ange. Ils sont au ciel, et seulement au ciel. Pour la dernière fois, veux-tu de mon aide ? Sinon, j’insisterais jusqu’à ce que tu en aies marre.

Je lui répondis oui. Par la suite, Amour de Bourgevin me fut un grand secours.

Félicitations tu as réussi à faire ta fiche de répartition. Le Choixpeau n’a pas hésité plus d’une minute avec toi et a pris sa décision. Maintenant que tu as été réparti dans ta maison, tu vas pouvoir procéder à toute la partie inscription administrative de Poudlard

N’oublies pas qu’ici tu peux t’amuser rapidement alors n’hésites pas à nous rejoindre soit dans le Flood soit sur la ChatBox tout le monde est le bienvenue. Tu peux maintenant commencer à créer de nouveaux liens avec les autres élèves, tu trouveras tout ça dans  le journal du sorcier. Ce n'est pas tout, il va falloir que tu viennes recenser ton personnage dans le dortoir, les clubs, l'équipe de quidditch, tu trouveras tout ce qu'il faut dans les parchemins indisensables   Ensuite si tu as la moindre question n’hésites pas à envoyer un hibou à l’un des membres du Staff. Allez nous t’attendons vite à Poudlard et nous tenons à te remercier d’être venu sur MUM. Si tu as envie de RP mais que tu n'as pas de partenaire, viens t'inscrire au speed dating version sorcier, mais tu peux aussi consulter le répertoire des sujets libres et communs  . . Enfin, pour consulter la liste des cours, c'est par ici .

Si tu veux agrandir ton cercle d'ami et que tu as une idée en particulier, n'hésites pas à créer ton propre scénario, une fois que tu auras deux semaines d'activité sur le forum et un RP en cours, que tu peux faire ici et enfin pour surtout gagner le coeur de nouveaux sorciers nous t'invitons à voter pour MUM dans la session que tu trouveras dans la taverne.


Cordialement,
Le Choixpeau Magique