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Je te suis, tu t’enfuis, je suis pendu à ton regard sans aucun espoir Ҩ BLACKAROV I

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Je te suis, tu t’enfuis, je suis pendu à ton regard sans aucun espoir

Teodor
&
Cassandre

Un parfum. Une odeur. Un souvenir. Oui… Un simple parfum allait changer ta journée, voir même aller changer ta vie et ta perception de celle-ci, mais pour le moment, le seul parfum que tu sentais était celui des livres dans lesquels tu étais plongé. A force de te voir à la bibliothèque on aurait presque pu croire que la deuxième maison qui aurait pu être tienne se trouvait être Serdaigle. Car oui, tu avais dans une certaine mesure envie d’apprendre toujours plus et ce, sur différents sujets. Bien que principalement les runes et les créatures magiques, mais malgré tout, il t’arrivait de te pencher sur la divination qui était particulièrement liée aux runes. Quant aux sortilèges, bien évidemment que cela t’intéressait. Cela t’intéressait énormément même, mais autant dire que les sortilèges que tu apprenais à Poudlard n’étaient pas assez puissant et dangereux pour que tu passes réellement du temps à les apprendre. Ce que tu voulais c’était t’améliorer en magie noire, mais bien entendu, en Angleterre il valait mieux faire profil bas à ce sujet. Voilà pourquoi, cela faisait longtemps que tu n’avais pas ouvert un livre portant sur la magie noire et pourtant… Pourtant Morgane savait que toutes les fibres de ton corps semblaient te pousser à en trouver un. A défaut de pouvoir, tu te retrouvais donc ici, dans la bibliothèque, inconscient de ce qui allait se passer à l’instant même où tu franchiras les portes pour sortir de ce lieu d’érudition. Oui tu ignorais tout… Et c’est pourquoi c’est sans la moindre réflexion que tu rangeas les ouvrages que tu venais d’étudier dans les étagères et tes cours dans ton sac, prêt à partir. Tu sortis donc de la bibliothèque, courant tout droit vers une histoire encore inexpliquée et incertaine. Une histoire qui pourrait chambouler tous tes principes. Une histoire prête à modifier jusqu’à ta façon de pensée. Mais après tout, tu n’avais pas peur des histories pas vrai ? Croyant seulement au présent et à ce que ce dernier allait t’apporter. Autant dire qu’il t’allait apporter un grand changement. Prêt à te noyer ?

C’est en sortant que le parfum te parvient. Une jeune femme passait devant toi, sans faire attention au fait que tu étais là. Et elle avançait, te tournant le dos, dans les couloirs du quatrième étage, mais pourtant son parfum flottait dans les airs jusqu’à toi. Emplissant ton esprit d’une multitude de souvenirs de l’été. Le souvenir de cette inconnue que tu avais rencontrée non loin du Big Ben par un total hasard. Une moldue. Tout du moins était-ce là ce que tu t’étais imaginé et pourtant ce parfum était bien réel… Morgane devrait t’aider à ne pas sombrer sous ces sentiments qui semblaient vouloir te submerger de toute part. Mais n’écoutant pas la raison, tu te mis soudainement en mouvement pour tenter de rattraper la jeune femme qui faisait remonter tellement de souvenirs en toi. C’était étrange, bien trop étrange en vérité que tu veuilles ainsi voir son visage, t’assurer que tu te trompais sur toute la ligne. Mais en même temps, souhaitais-tu véritablement te tromper ? Tu n’avais eu de cesse de penser à cette jeune moldue de Londres durant l’été, alors que tu avais toujours eu l’habitude de ne penser qu’à ta propre personne. Alors au fond tu ne souhaitais peut-être pas te tromper… Tu souhaitais retrouver celle qui avait réussi à faire frémir ce cœur que tu ne possédais pas vraiment au fond de ta poitrine. Celle qui t’avait fait penser ne serait-ce qu’un instant que les moldus n’étaient pas si inintéressant que cela. Celle auprès de laquelle tu souhaiterais te consumer, mais au fond… tu savais que tu n’en avais pas le droit. Car oui, comment choisir entre la raison et la douleur d’y croire ? Croire qu’il te serait peut-être possible de ne pas être aussi impassible que cela pour une personne… Pour elle… Et tu finis par la rattraper, une main sur son épaule et tu l’as poussa à se retourner pour qu’elle te fasse face. Ce que tu vis te laissas estomaqué. « Cassandre… » Elle était là, elle était vraiment là, ça semblait presque irréel. Peut-être rêvais-tu ? C’était sûrement ça… Ca ne pouvait être que ça.

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Cassandre O. Blackwood
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Cassandre O. Blackwood
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Je te suis, tu t’enfuis, je suis pendu à ton regard sans aucun espoir

Teodor
&
Cassandre

Si un destin est inévitable, pourquoi chercher à l'éviter? Est-ce que nous naissons avec une destinée toute tracée et irrévocable, ou au contraire, sommes-nous maîtres de celle-ci, lui imposant notre seule et unique volonté? Quoi qu'il en soit, il est certain d'une chose : Seul le destin bat les cartes, et c'est à nous de jouer avec. Quelque soit le jeu que nous possédons. Et lorsque la partie a commencé, plus rien ne peut la stopper. Il faut la jouer jusqu'au bout. Certains jouent avec la vie, comme si celle-ci était faite pour ça. Comme si nous pouvions la contrôler. D'autres jouent avec le feu, se penchant au bord du gouffre, défiaient le destin de les y pousser. Parfois, ils tombent, parfois non. Mais n'est-ce pas ainsi tout le temps ? Un coup de pouce et nous devenions puissant et immortel, un coup de pied et nous nous retrouvions face contre terre, le nez dans la poussière. Tout n'était que question de chance, ou de malchance. Il suffisait d'être au bon moment au bon endroit, ou bien de ne pas y être. Alors, peut-être que rien ne nous appartient et que finalement, mieux vaut laisser la vie décider. Ou bien faut-il se décider à agir, être acteur de ce qui ne nous appartient pas, tout en sachant qu'un jour, il nous sera repris, alors que nous en aurons tout de même profité ? À nous de choisir... Cassandre Blackwood se disait cela chaque jour. Elle se le répétait sans cesse. Car elle pensait que chacun avait le choix. Étrange pour une apprentie voyante de croire au destin, et en même temps de vouloir le contrôler. Mais si on pouvait vraiment contrôler le destin, aujourd'hui ne serait pas le jour où la vie de la sorcière pourrait basculer. Non aujourd'hui serait simplement un jour normal, banal. Mais ce n'était pas le cas. Cette journée allait changer le cours des choses, et Cassandre ne l'avait pas vu venir, elle n'aurait pas pu prévoir tout cela, même si elle l'avait voulu. Car parfois, le temps nous rattrape. Le passé venait de la rattraper, il serait bientôt à son niveau, et elle ne pourrait rien faire pour l'en empêcher. La machine était enclenchée.

La jeune femme marchait dans le château, errant sans but. Elle s'ennuyait. Il était rare qu'elle n'ait pas d'idées d'aventures, de choses dangereuses à faire, mais aujourd'hui, elle était à court d'idées. Son imagination lui faisait défaut. Les vacances venaient à peine de commencer, et elle ne savait pas vraiment ce qu'elle pouvait faire pour s'occuper. Elle aurait pu commencer ses devoirs, mais elle n'avait pas vraiment envie de passer sa journée à écrire et étudier à la bibliothèque. À vrai dire, depuis quelques temps, elle ne savait pas vraiment quels étaient ses désirs. Elle était déboussolée. Peut-être à cause de la soirée d'Halloween qui avait tourné au désastre, ou de son rapprochement avec Orion. Le jeune homme qui avait fait battre son cœur des années plus tôt l'intriguait aujourd'hui. Mais il fallait avouer que Cassandre était troublée pour un rien ces derniers temps. Le temps des fêtes la rendait à la fois joyeuse et tourmentée. Elle sentait un vide en elle, un manque. Le manque de ses proches, mais aussi celui d'un inconnu, d'une ombre qu'elle ne reverra jamais.  Elle errait donc comme un fantôme dans les couloirs du quatrième étage, passant près des élèves heureux d'être en vacances. Si elle n'avait pas le même sourire, c'était peut-être parce qu'elle avait sentie au fond d'elle que cette journée serait unique. Alors même que l'idée lui traversait l'esprit, elle sentit une main s'appuyer sur son épaule. Elle aurait pu fermer les yeux, elle connaissait cette main. Cette présence, cet aura. Elle le reconnaissait. Et quand elle se retourna, elle vit le même regard que le sien dans les yeux de celui qu'elle pensait ne jamais revoir. Il prononça son prénom, il ne l'avait pas oublié. Cassandre resta bouche-bée.

On attend tous son âme sœur. On attend tous quelqu’un qui puisse nous prendre dans ses bras lorsque ça va pas. On attend tous quelqu’un qui puisse nous dire « Je t’aime ». On attend tous quelqu’un de qui ont pourrait tomber éperdument amoureux. On attend tous la personne parfaite. Notre vie est résumée a attendre après quelque chose que l’on a pas, ou que l’on a aperçut un jour au coin d’une rue. C’est pour cela que maintenant, nous attendons, regardant cette rue, avec un regard pétillant, dans laquelle on a aperçut celui ou celle qui définit le mot « âme sœur ». En fait, on ne sait pas si c’est notre âme sœur, mais c’est ce que nous espérons. On passe par là souvent, très souvent, en espérant, toujours et encore. Mais rien, rien ne se passe. On doute, on cherche, on arrête d'espérer. Quand un jour, on retrouve cette personne qui a fait chaviré notre cœur à la minute où on l’a vu. On essaye d’aller vers elle, on est tout près d’elle, mais on n’ose pas lui parler. Puis elle s’en va, sans vous laisser l’espoir qu’un jour, vous pourrez la retrouver. Pourtant, elle revient sur ses pas, se retournant sur votre passage et vous sourit. C’est le plus beau jour de votre vie. Nous restons impuissant face à cette être fascinant qui disparaît et revient selon ses désirs. Nous attendons tous quelque chose qui pourrait changer notre vie à jamais. Et si, nous étions tous destiné à quelqu’un. À un être qui nous ferait sentir parfait alors que ce n’étais pas vrai. Mais qu’à l’inverse, cette personne était quelque chose de rare, de parfait à nos yeux. « Teodor... Que... que fais-tu là ? » Cassandre n'en croit pas ses yeux. Elle est désorientée, et sent le rouge lui monter aux joues. Elle croit à une blague. Quelqu'un lui joue un tour. Il ne peut pas être là, à Poudlard, dans l'école de sorcellerie. Il n'est pas un sorcier. C'est... Puis, elle voit sa cape, qui porte l'emblème des Serpentards. Puis elle voit son sac, qui déborde d'ouvrages de la bibliothèque. Puis elle voit sa baguette coincée dans une poche de sa cape. Aussitôt elle a peur. Elle le regarde droit dans les yeux, l'appelle au secours, lui en veut. La colère monte et la jeune femme préfère s'enfuir. Elle le bouscule et court devant elle. Elle ne veut pas lui faire face, elle ne comprend pas ce qu'il se passe.

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Je te suis, tu t’enfuis, je suis pendu à ton regard sans aucun espoir

Teodor
&
Cassandre
Un regard... Dire que tout pouvait changer avec un seul regard se trouvait être étrangement véridique, car durant l'été tout avait changé de ton côté. Toi qui t'étais toujours cru sans coeur, sans âme, sans réelle habilité à former des sentiments, il se trouve que tu avais soudainement ressenti un battement. Et puis un autre. Et encore un autre. Comme si ton coeur s'était réveillé dès l'instant où tes yeux avaient croisé ceux que tu admirais maintenant. Oui... Cela avait été comme si tu t'étais soudainement ressenti pleinement vivant quand tu l'avais rencontré elle. Elle que tu t'étais imaginée être une moldue, alors que tu avais toujours pris pour habitude de mépriser les moldus car ils t'étaient inférieurs. Et pourtant elle tu n'avais pas réussi à la détester comme les autres. Tu avais voulu la connaitre. Tu avais désiré être auprès d'elle. Tu avais même senti une sorte de connexion dont tu savais qu'elle y avait également pris connaissance. C'était un lien entre vous deux, qui semblait être imperceptible et qui pourtant était bien là au fond de toi. Au fond d'elle. On pourrait l'appeler un coup de foudre. Mais il fallait bien avouer que tu n'étais pas très friand de ce genre d'idées, car ça te donnait toujours le sentiment que les personnes ressentant un tel coup de foudre se trouvaient être soudainement privées de raison. Ils agissaient bêtement, or s'il y avait bien une chose qui ne collait pas avec toi, c'était ce manque de réflexion, car oui, tu réfléchissais toujours à tes coups bien longtemps avant de les faire. La vie était pour toi un échiquier géant, sauf qu'à cet instant au lieu de vouloir prendre le roi, tu souhaitais avoir la reine et ça changeait tout... ... Absolument tout... Surtout qu'au final, la moldue n'en était pas une. Vous n'étiez pas si différent que cela si on enlevait vos uniformes de deux maisons opposées. Gryffondor et Serpentard. Mais une couleur ne devrait pas définir ce que vous pouviez ressentir ou non l'un pour l'autre. Tu étais maître de ton choix. Et ton choix c'était elle. Tu ignorais encore tout du futur, mais tu savais que tu voudrais le passer avec elle. C'était étrange. Bien trop étrange en vérité, surtout sachant que tu n'avais passé que peu de temps avec elle, mais ça semblait être tellement évident.

Mais la jeune femme dont les yeux t'avaient permis de revivre après une lente agonie semblait être encore plus perturbée que toi par le fait de te retrouver. « Teodor... Que... que fais-tu là ? » Et avant même de pouvoir répondre à sa question elle en vient à te bousculer et se mit à partir en courant, cherchant à te fuir. Pourquoi une telle réaction ? Pourquoi vouloir partir ? Pourquoi ne pas être heureuse de te revoir ? Oui... Pourquoi... Tellement de questions trottaient dans ta tête et autant dire que tu avais particulièrement besoin des réponses, car en la voyant terrifiée et fuyante, ton coeur avait raté un battement. Tu ne pouvais la laisser partir comme ça sans comprendre. Alors tu tournas les talons et tu te mis à presser le pas dans la direction qu'elle avait prise. Tu l'as suis et elle s'enfuit... Tu es perdu à son regard sans aucun espoir... Et pourtant, tu espérais tout de même qu'il y en ait un, car tous ces sentiments que tu avais ressentis la première fois que tu l'avais vu. Tout cela ne pouvait pas être une simple coïncidence. Et plus que tout, ils ne pouvaient pas être sans réponses. C'était tout bonnement impossible à tes yeux. C'est à un croisement de couloir que tu parviens à la rattraper, non loin d'un passage menant à la salle des miroirs. L’attrapant par la main tu l’as força à s’arrêter. Mais elle ne te faisait pas face, comme si elle refusait de te regarder. Comme si tu n’étais pas celui qu’elle attendait. Comme si elle avait en quelque sorte oubliée tout ce que vous aviez ressenti lors de cette journée à Londres. « Cassie… Ne vas quand même pas me dire que me voir te fuir ? Devrais-je comprendre que je n’aurais pas dû t’aborder ? Pourtant tu sais autant que moi que c’était tout bonnement impossible que je ne saisisse pas l’opportunité. » Secouant la tête tu finis par ajouter. « Je te croyais dans le monde moldu, à des kilomètres de moi et pourtant tu es là dans ton uniforme de Gryffondor. On s’est menti tous les deux ce jour là, mais on a plus besoin de se mentir maintenant. Alors ne souhaiterais tu pas que l’on recommence tout depuis le début ? » Tu l’as lâcha et tu te décidas à te placer devant elle, posant une main sous son menton pour la forcer quelque peu à te regarder. « Je suis Teodor Azarov, sorcier qui vient de Durmstrang. Étranger parmi tant d’autres qui s’est fait répartir à Serpentard, mais un étranger qui est ravi d’avoir l’occasion de te revoir. »

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Cassandre O. Blackwood
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Teodor
&
Cassandre

Cassandre fuit. Elle court, aimerait s'envoler. Elle longe cette rivière qu'elle ne parvient pas à franchir. Elle aurait tant aimée ne jamais le revoir. Et pourtant, elle en a rêvé tant de fois. Elle a rêvé de lui, de ses baisers, de ses mains sur sa peau. Elle a rêvé de lui, dans Londres, quand ils étaient amants. Elle a rêvé de lui et s'est brûlé les ailes. Et si ce n'était pas un rêve ? Si c'était une vision, qu'elle avait manqué ? L'avenir a essayé de lui faire signe, mais elle n'a pas su interpréter le bon message. Cassandre s'en veut, se sent stupide. Elle continue de courir parce qu'elle ne veut pas l'affronter. Tant de mensonges, tant de souffrances. Elle aurait aimé qu'il reste un souvenir, qu'il ne revienne pas la hanter. Est-il seulement réel, ou est-il le fruit d'hallucinations ? Elle court, continue de lui échapper, alors que d'autres la regardent avec des yeux interrogateurs. Elle sait ce qu'ils pensent. Tous la croient folle. Tous pensent qu'elle n'est pas voyante, qu'elle n'a pas hérité du don familial. Et tous adorent venir la voir pour qu'elles leur donnent un peu d'excitation dans leur vie ennuyante. Ils la craignent et ont besoin d'elle en même temps. Mais Cassandre s'en fiche. Cassandre est libre. Elle se moque de ce qu'ils peuvent penser. Mais pas ce que lui pourrait croire. Elle le fuit, mais il est plus rapide, il la rattrape. Il prend sa main, la tire, mais elle reste le dos tourné. Elle ne veut pas affronter son regard. Elle a peur Cassandre, son cœur bat la chamade, et elle ne comprend pas pourquoi. Ce genre de choses ne lui est jamais arrivé. Elle met ça sur le compte de l'adrénaline, mais c'est quelque chose d'autre. Il la ensorcelé. « Cassie… Ne vas quand même pas me dire que me voir te fuir ? Devrais-je comprendre que je n’aurais pas dû t’aborder ? Pourtant tu sais autant que moi que c’était tout bonnement impossible que je ne saisisse pas l’opportunité. »  Elle ne veut pas le voir, elle résiste, et pourtant elle est attirée par lui. Par lui tout entier. Son corps, son regard, ses paroles. Elle est à sa merci, mais elle résiste. Évidemment qu'elle savait qu'il était impossible qu'il ne l'aborde pas. Ce qu'ils ont partagés à Londres, c'était indescriptible. Mais ils n'étaient plus à Londres. Tout cela ne pouvait pas exister à Poudlard. « Je te croyais dans le monde moldu, à des kilomètres de moi et pourtant tu es là dans ton uniforme de Gryffondor. On s’est menti tous les deux ce jour là, mais on a plus besoin de se mentir maintenant. Alors ne souhaiterais tu pas que l’on recommence tout depuis le début ? » C'est un appel d'espoir qu'il lui lance. Elle veut l'accepter, elle veut lui répondre, mais elle n'y arrive pas. Elle se sent si mal au fond d'elle, un trou grandit dans son ventre. Quelque chose qu'elle n'a jamais ressenti avant. L'attraction des deux amants est inévitable pourtant, et il vient se placer devant elle. Il tend sa main vers son menton, pour qu'elle lève la tête vers lui, le regarde dans les yeux. Le contact est électrique, une vraie décharge. « Je suis Teodor Azarov, sorcier qui vient de Durmstrang. Étranger parmi tant d’autres qui s’est fait répartir à Serpentard, mais un étranger qui est ravi d’avoir l’occasion de te revoir. » Elle hésite, s'imagine plusieurs plans dans sa tête. Dans le premier, elle lui crache à la figure, il la lâche, et elle s'enfuie. Loin. Elle quitte Poudlard et part étudier à Beauxbâtons. Dans le deuxième, elle l'embrasse. Elle ne peut pas résister à ses lèvres. Elle se hisse sur la pointe des pieds, et dépose un baiser sur sa bouche. Un baiser immortel. Mais elle ne fera aucune des deux propositions. Elle n'aura pas le temps de prendre une décision.

« Alors Blackwood, on fricote avec l'ennemi ? » Elle se retourne directement. Furieuse. Elle regarde le Poufsouffle qui vient de lancer cette stupide blague. Elle n'a pas besoin de lui dire de déguerpir, il le fait de lui-même. Elle se promet de le retrouver plus tard, pour lui faire passer un sale quart d'heure. La jeune femme reporte son attention sur Teodor. Ainsi donc, il est de Durmstrang. Évidemment, lorsqu'ils étaient à Londres, elle n'avait pas pu s'empêcher de craquer pour son doux accent. Mais elle pensait que c'était un touriste, tout simplement. Il avait été réparti à Serpentard... Même si la haine entre Gryffondor et Serpentard n'existait plus, des tensions persistaient entre les deux maisons. Si le choixpeau avait envoyé Teodor chez les verts et argent, cela ne pouvait que signifier qu'ils n'étaient pas faits pour s'entendre, pour être ensemble. Cassandre chassa cette pensée de sa tête aussitôt. Personne n'avait parlé de couple. Personne n'avait parlé d'amour. Il n'y avait rien entre eux, et il n'y aurait jamais rien. « Je crois que tu ferais mieux de m'oublier. Nous avons passés du bon temps, rien de plus. » Elle se pinça les lèvres. Elle, elle ne pourrait pas l'oublier évidemment. Elle, elle pensait à lui le soir avant de dormir. Mais elle n'était pas bonne pour lui. « Londres, c'est du passé. Nous n'avons rien à nous dire, compris ? » Elle le regarda enfin dans les yeux, d'elle-même. Elle y vit le reflet de ses propres pupilles. Elle y vit le mélange de leurs iris. Elle vit l'équilibre. Mais Cassandre n'était pas une femme équilibrée.

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Je te suis, tu t’enfuis, je suis pendu à ton regard sans aucun espoir

Teodor
&
Cassandre
Comprendre voilà une chose que tu n'arrivais pas faire à cet instant. En effet, tu ne comprenais pas pourquoi elle t'avait fui dans un premier lieu, et pourquoi maintenant elle évitait ton regard. Avais-tu fait quelque chose pour la décevoir à ce point ? Aurait-elle préféré que tu restes ce moldu inconnu et que jamais plus elle ne croisera ? Pourtant tu étais là devant elle et tu l'implorais limite de t'expliquer pourquoi il y avait toute cette froideur entre vous deux. Mais maintenant, même si elle te regardait, elle ne semblait pas vraiment là, comme prise entre deux feux... Tu cru sur le coup qu'elle allait à nouveau se dérober à toi dès l'instant où tu laissas tomber ta main le long de ton corps, laissant son menton libre. Oui tu cru à un moment qu'elle partirait avant même que tu ne puisses parler, mais elle te laissa finir et maintenant, elle était là. Silencieuse, à observer ton visage comme si c'était la première fois et en même temps comme si c'était la dernière. Dans son regard il ne semblait pas y avoir le moindre espoir, tu aurais voulu allumer une certaine lumière dans son regard... Quelque chose.. Tu aurais voulu l'embrasser, mais tu ne pu le faire, car quelqu'un interrompis ce moment à ta plus grande rage. « Alors Blackwood, on fricote avec l'ennemi ? » En même temps qu'elle, tu te tournas vers la personne qui venait de dire cette absurdité. Un poufsouffle, cela n'aurait pas dû t'étonner. « Tu verras ce que l'ennemi te fera blaireau, rentres vite dans ta tanière avant que le serpent ne te morde. » Et tout s'expliqua dans le regard que tu lui lanças, un regard chargé de haine et de colère. Cassandre dû lui lancer un regard du même gabarit, car il parti rapidement sans demander son reste. Il avait mis en colère deux personnes qu'il aurait peut être pas dû chercher.

Dès qu'il fut hors de ta vue, tu abaissas ton regard vers Cassandre qui t'observais à nouveau. « Je crois que tu ferais mieux de m'oublier. Nous avons passé du bon temps, rien de plus. » Alors c'était juste ça ? Un bon moment ? Rien de plus... Alors que tu avais passé tout l'été à vouloir retourner à Londres pour pouvoir la recroiser mais qu'au final tu t'étais restreint car tu avais été persuadé que de toute façon tu ne parviendrais pas à la retrouver ? Un bon moment... C'était comme si elle venait d'effacer tout ce qui avait pu se passer d'un revers de main. Étrange. Dérangeant. Énervent. Tellement d'émotions s'opposaient en toi et tu aurais eu envie de les hurler à la lune, mais tu restas calme. Il fallait que tu te contrôles. « Londres, c'est du passé. Nous n'avons rien à nous dire, compris ? » Elle croyait vraiment qu'il suffisait qu'elle dise compris pour qu'il la laisse tranquille ? Elle n'avait donc pas retenu leur moment passé à Londres ? Tu ne lâchais pas. Tu ne lâchais jamais. Ou alors c'était parce que tu l'avais décidé, or là ce n'était pas ta décision et tu ne l'acceptais pas. Entendant à nouveau des bruits de pas s'approcher de vous, tu ne voulu pas avoir une nouvelle remarque comme tantôt et de ce fait, à nouveau tu l'entraînas vers l'un des murs et passant par un passage oublié, derrière un miroir, tu finis par la plaquer doucement contre le mur du dit passage. Ici personne ne pourrait vous chercher, par contre au vu du peu de lumière dans le passage, tu fis un lumos avec ta baguette pour éclairer légèrement l'endroit vous entourant. Tu savais qu’en continuant le chemin vous parviendrez dans la salle des miroirs, c’était Lyra qui te l’avait montré lors du Tournoi, mais vous n’aviez pas besoin de continuer votre chemin. Vous aviez besoin de parler. « Alors c’est tout ? Un bon moment ? Juste un bon moment... » Tu t’approchas d’un pas, votre proximité étant limite dérangeante. « Mais dans ce cas explique moi Cass, pourquoi est-ce que ton cœur s'emballe ? Pourquoi m'avoir fuis alors que tu aurais pu me le dire clairement dès le départ ? Pourquoi tant de contradiction...? » Tes lèvres étaient à quelques centimètres des siennes. Ta main sur sa taille, l’autre tenant ta baguette. Quant à tes yeux ils l’observaient, attendant une réaction. Un signe. Un infime espoir.

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Cassandre O. Blackwood
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Cassandre pensait-elle vraiment que Teodor la laisserait tranquille ? Au fond d'elle elle espérait que non. Elle avait besoin de lui autant qu'elle voulait qu'il l'oublie. Tous ses rêves s'étaient envolés. Elle pensait réellement qu'il n'était qu'un souvenir, qu'une chimère. Quand elle l'avait rencontré à Londres, elle avait été séduite par l'inconnue, par le fait qu'il n'était pas son semblable, qu'il ne la jugerait jamais sur le fait qu'elle ne soit pas une voyante, qu'elle ne soit pas à la hauteur de ses espérances. Aujourd'hui tout s'écroulait. Maintenant qu'il était à Poudlard, Cassandre avait l'impression que la magie avait disparut. Pourtant, elle était toujours autant charmée par le regard du blond, par son visage. Il fallait qu'elle arrête de le regarder, il fallait qu'elle fuie et qu'elle s'en aille. Évidemment, elle serait amenée à le revoir, mais elle l'éviterait, et ne lui accorderait aucun retard. Décidée, la jeune femme allait s'en aller quand il attrapa sa main. Le contact lui fit le même effet que lorsqu'il lui avait touché le visage, une décharge électrique. Elle sentait en elle son sang coaguler à une vitesse multipliée, elle sentait son cœur battre le chamade, et elle sentait qu'elle allait se jeter dans la gueule du loup si il ne la lâchait pas. La rouquine n'eut pas la force de lui faire face, de résister, elle le suivit. Il la conduisit dans un petit passage escarpé, entre deux murs. Un endroit où ils seraient seuls. Ce passage elle le connaissait, il menait à la salle de Risèd avec tous ses miroirs. Elle se demanda ce qu'il voulait lui montrer, mais très vite, il s'arrêta au milieu du passage. Il se planta face à elle, et la bloqua contre le mur. Il était froid, les briques étaient gelées, austères, et pourtant, Cassandre n'avait pas peur. Au contraire, elle sentait elle une sorte d'excitation. Qu'allait-il lui faire ? « Alors c’est tout ? Un bon moment ? Juste un bon moment... » Elle ignorait si il voulait l'intimider. Il ne lui apparaissait plus comme le Teodor qui voulait à tout prix qu'elle se souvienne de lui. Il ne ressemblait plus au moldu qu'elle avait aimé le temps d'une journée. Il était en colère, dangereux peut-être, mais Cassandre ne le craignait pas. Au contraire, elle était encore plus happée par ses yeux, par ses paroles. Elle l'écoutait, retenant son souffle alors qu'il se rapprochait de plus en plus. « Mais dans ce cas explique moi Cass, pourquoi est-ce que ton cœur s'emballe ? Pourquoi m'avoir fuis alors que tu aurais pu me le dire clairement dès le départ ? Pourquoi tant de contradiction...? » Il la tenait par la taille, et elle pouvait maintenant sentir l'air qui passait entre eux. Elle sentait son souffle chaud de sa respiration contre son cou. Il était plus grand qu'elle, il la dominait, et c'était la première fois de sa vie qu'on lui tenait tête ainsi. Elle était hypnotisée par ses yeux. Elle était à deux doigts de craquer, vraiment. Elle ne trouvait rien à lui répondre, parce qu'elle savait pertinemment qu'il avait raison. Elle était sous le charme, accroc à lui comme à une drogue. Le retrouver lui faisait peur, parce qu'elle sentait qu'elle deviendrait incontrôlable à ses côtés. Elle savait que tout les séparaient, mais elle ne pouvait pas fermer les yeux. Elle ne pouvait pas l'oublier tout simplement.

« Fous moi la paix ! » Elle ne sait pas si elle l'a dit tout haut, si elle s'adresse à lui ou à elle-même. Totalement perdue, incapable de prendre des décisions raisonnées, elle commence à trembler. Elle sent le corps de Teodor près du sien. Elle sent que le torse de l'étranger frôle sa poitrine. Elle a envie de le toucher, le sentir contre elle. Elle veut arrêter de respirer, parce que l'atmosphère devient trop pesant, trop étouffant. Mais la seule chose qu'elle  a en tête c'est l'attirance inévitable qu'elle ressent. Il est un aimant et irrévocablement, elle veut aller vers lui. Au diable les principes, au diable ses pensées. Elle a l'impression qu'une éternité est passée depuis que Teodor a pris la parole, et pourtant ce ne sont que quelques secondes. Avant qu'il ne la défie à nouveau, elle se penche en avant et l'embrasse. En déposant ses lèvres sur sa bouche, elle sent tout son corps frémir de plaisir, de satisfaction, de plénitude. C'était tout ce dont elle avait besoin, retrouver la bouche qui l'avait fait rêver tant de nuits. Il n'y a rien de doux dans ce baiser, car Cassandre n'est pas douce, elle n'est pas quelqu'un de calme, elle n'est pas romantique. Elle l'embrasse avec violence, fougue et brutalité. Elle le mordille, franchit la barrière de ses lèvres sans lui demander son avis. C'est à elle de prendre le contrôle. Elle le force à reculer, et c'est désormais elle qui le bloque contre le mur d'en face. Elle s'accroche à son cou, lui caresse les cheveux. Elle ne s'arrête pas, ne veut pas reprendre son souffle, par peur de regretter après, par peur de quitter l'enfer qu'elle voulait retrouver.

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Teodor
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Cassandre
Face à elle tu commençais peu à peu à perdre ta contenance. Elle faisait remonter dans tout ton être des sentiments beaucoup plus violents que tu n'avais eu jusqu'alors. Mais ce n'était pas la même violence que tu avais l'habitude de ressentir, car certes tu avais de nombreuses fois eu des excès violents à frapper un élève, à lancer un sortilège bien douloureux ou encore à briser une personne avec tes mots, mais ça.. Ca c'était totalement différent. Tu voulais la violenter, la secouer, et lui faire prendre conscience du fait que tu étais bien là devant elle et que tu méritais une réponse à toutes tes interrogations. D'ailleurs tu avais tôt fait de reprendre cet air intimidant que tu avais l'habitude d'avoir avec quasiment tout le monde. Après tout, tu étais un Azarov et clairement, personne au grand personne n'avait droit de te tenir tête sans en payer le prix. La preuve était que ceux qui avaient cherché à le faire l'avaient bien vite regretté et avaient alors eu tôt fait de cesser leur impertinence. C'était comme ça que tu avais réussi à monter au sommet à Durmstrang, car tu marchais sur les gens avant qu'ils n'essayent de te marcher dessus. Tu les brisais. Tu les faisais plier à ta propre volonté. Tu les intimidais. Et oui, tu avais toujours fait tout ce que tu pouvais pour faire en sorte de rester le roi et le marionnettiste à la fois. Certaines personnes ne faisaient des mouvements que parce que tu les autorisais à le faire. Tu étais là sur ton piédestal à les regarder chercher à gagner ta faveur dans la crainte de ton courroux. Mais voilà, ici tu n'étais plus dans ton royaume, tu n'étais plus sur ton trône, tu avais perdu toutes les cartes en ta possession et tu retournais au bas de l'échelle. Or tu ne pouvais clairement pas accepter cette condition. Non, tu ne l'accepterais pas, car tu étais un Azarov et que tu te devais d'être au sommet pour ta famille. Pour ton ambition. Sauf que voilà, même à cet instant tu n'arrivais pas prendre le dessus sur une personne, car oui  Cassandre t'avait tenu tête, qu'elle continuait à le faire et que tu ne pouvais accepter un non comme réponse.

Tu ne l'accepterais pas. Voilà pourquoi tu étais face à elle, la surplombant de ta taille et de ta carrure, l'empêchant de bouger par la même occasion. Elle était à ta merci comme un petit oisillon bloquée dans une cage, et pourtant, tu savais très bien qu'elle n'avait rien d'un oisillon et que c'était certainement la dernière personne que tu réussirais à avoir dans tes filets. Elle était indomptable. Elle était imprévisible. Elle était…excitante dans son impertinence. « Fous moi la paix ! » Dans cette simple phrase tu su au fond de toi que tu avais en partie gagnée. Elle n'avait plus la même puissance dans ses propos qu'elle ne l'avait eu tantôt. Elle hésitait. Elle était perdue et c'était tout à tes bénéfices. Et c'est alors qu'elle fit ce que tu attendais depuis que tu avais croisé son regard dans ce couloir. Elle se pencha vers toi pour finalement déposer ses lèvres sur les tiennes, formant un baiser plein de passion. Tu l'attrapas alors d'autant plus par la taille pour la pousser à se coller à toi, mais déjà elle te forçait à reculer pour te bloquer contre le mur glacé d'en face.Mais cela t'importait peu d'être à sa merci, car au moins avais-tu réussi à avoir ce que tu voulais. Ses lèvres. Ses courbes. Son odeur. Sa peau… Et tu la serrais contre toi, comme si tu voulais éviter qu'elle ne s'en aille une nouvelle fois. Tu n'apprécierais pas qu'elle disparaisse à nouveau sans donner de trace. Alors tu la maintenais contre toi et l'embrassant avec une passion qui faisait surgir tellement de souvenir de cet été à Londres où ton chemin avait croisé le sien. Tu ne saurais dire si les minutes défilaient ou pas, car tout se qui t'importait c'était le fruit des lèvres sur les tiennes. Et tout ce que cela provoquait en toi. Tu bouillonnais de l'intérieur et tu aurais voulu que jamais cet instant ne s'arrête.  

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Cassandre O. Blackwood
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Teodor
&
Cassandre

Elle était profondément concentrée sur les doigts de Teodor enroulés dans les siens, jouant avec comme si tous deux étaient de vieux amis, ou des amants complices et amoureux. À la différence qu'ils n'étaient au final rien du tout. Juste des ennemis, des opposés, des contraires. Le destin voulait qu'ils se battent, qu'ils se fassent du mal, mutuellement. Et pourtant, il était étrange de voir que Cassandre avait mal rien qu'en ayant sa main dans celle de Teodor. Quelque chose était en train de se créer, elle le sentait au fond de son âme, de son cœur et de sa chair. Quelque chose d'autre naissait. Et cette hypothèse se confirma lorsqu'elle rencontra les iris grisés de sa nemesis ; celles-ci avaient reprit leur couleur initiale et scintillaient de mille feux avec les éclats lumineux de la lune. Avec difficulté, elle avala sa salive, essayant de ne pas se perdre entre les couleurs et les nuances profondément abyssal. La jeune femme fut donc heureuse et soulagée de le voir rompre le contact, tout en retirant sa main qui s'était niché dans celle de la brune, hésitante. La sorcière pu respirer quelques secondes et récupérer. La situation était sérieusement étrange, plus rien n'avait de sens. À commencer par ce qu'elle ressentait, c'était complètement désopilant de savoir que le moindre contact avec ce qui était ce menteur la mettait dans une excitation peu commune. Soupirant un bon coup, elle secoua brièvement la tête et se promit de se montrer forte et de mettre ses sentiments de côtés. Ainsi, elle prit son air le plus confiant, n'hésitant pas à le regarder de haut, tandis qu'il redressait la tête vers elle et qu'il faisait une fois de plus chavirer son cœur dans tous les sens, lui donnant presque la nausée.

Leurs iris se croisèrent à nouveau, mais Cassandre préféra détourner la tête, ne voulant pas une fois de plus se trouver dans l'incapacité de le combattre. En vérité, tant qu'elle ne regardait pas son visage, tout irait bien et elle pourrait aisément fuir. A présent qu'elle reprenait peu à peu ses esprits, la jeune femme, naïve et se voilant la face, était persuadée que Teodor possédait un don qui lui permettait de charmer ses victimes avec la simplicité du monde, il était peut-être vélane. La seule contrainte durant le combat sera effectivement qu'elle ne devra lui porter aucune attention et, il était pratiquement impossible de ne pas être fasciné par les traits si angélique et attrayant de son adversaire. Il était d'une beauté si simple mais pourtant si fascinante, jamais elle n'avait vu et ressenti pareil sentiments, pareille merveille. Cédant à la tentation, elle lui jeta un bref coup d'œil et remarqua qu'il semblait vraiment perdu, comme si quelque chose refusait de fonctionner correctement chez lui, comme si tout changeait et se matérialisait en des points d'interrogations et des réponses abruptes, presque incohérentes. Profitant de ce moment de doute, Cassandre souffla longuement, essayant de se donner du courage puis elle se mit à courir vers le bout du couloir, plongée dans sa course, elle réussit à entendre un grognement sourd et mauvais de la part de Teodor, mais n'y prêta pas attention, essayant à tout prix d'arriver à son but. Elle fuyait parce qu'elle n'avait pas d'autres choix. Teodor n'était pas bon pour elle, ils étaient toxiques l'un pour l'autre, et Cassandre ne pouvait pas s'empoisonner la vie avec un garçon de son genre. Elle allait définitivement faire une croix sur ce beau moldu de Londres. Elle allait définitivement oublier ses sentiments, passer à autre chose. Et quoi de mieux pour oublier que de boire, se droguer et se faire du mal. Elle savait où se réfugier, les lames qu'elle cachait sous son lit l'attendaient.

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